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Cameroun des grandes réalisations : Ebolowa -750 tracteurs abandonnés dans la broussaille.

25 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun des grandes réalisations : Ebolowa -750 tracteurs abandonnés dans la broussaille.

 

 

                                tracteurs.jpg

            

                  Les ouvriers mécontents les dépiècent pour trafics. Le scandale éclate près d’un an après le comice agropastoral organisé dans la capitale régionale du Sud.

De chaque côté du portail coulissant qui ouvre sur le Complexe industriel d’Ebolowa, deux portraits de Paul Biya habillent le mur de la clôture qui le protège. Deux drapeaux aux couleurs nationales qu’éclairent de nuit deux lampadaires achèvent le décor d’accueil du plus grand complexe industriel de la région du Sud.

La décision de construire ce complexe fut prise à la hâte afin d’ajouter au Comice qui s’était tenu en janvier 2011 à Ebolowa, un élément de plus. Le village Akak-Essatola retenu pour héberger le site de l’usine est à peine 1000 mètres de Ngalan, site principal du Comice.

Akak-Essatola a tout ce qu’il y a de naturel pour plaire : végétation luxuriante et totalement verte, rafraichie par une colline à l’altitude moyenne ; un terrain plat, humide et sec par endroit, est en fin de compte, propice à toutes les formes de cultures. Ce n’est pas un hasard si c’est en ces lieux que le ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation a choisi des passerelles pour ses expériences dans la recherche scientifique. Non loin de là, commencent les deux hectares, domaine réservé à l’usine de montage des tracteurs.

Le gardien qui nous accueille et nous renseigne n’est pas particulièrement heureux : «Nous avons 3 mois d’arriérés de salaire ; certains d’entre nous ne sont pas originaires d’ici ; comment devons-nous vivre ?» S’interroge t-il avant d’ajouter : «Nos patrons (les Indiens, Ndlr) se découragent chaque jour un peu plus ; ils ont envie de partir d’ici parce que rien ne va et rien ne pointe à l’horizon qui soit encourageant», constate ce gardien visiblement à bout de patience.

Salaires
Environ 750 tracteurs de types différents montés hâtivement pour servir, pour certains aux démonstrations pendant le Comice agropastoral d’Ebolowa, sont livrés aux intempéries dans la broussaille d’Akak-Essatolo. L’herbe envahit ces engins dont certains sont conçus pour être protégés sous des hangars.

L’image est saisissante et désolante à regarder ces engins à perte de vue sans savoir ce que le lendemain leur réserve. Ils sont parqués là depuis plus d’un an. Un habitant de la ville d’Ebolowa informe : «depuis la fin du Comice, les Indiens ont sorti les tracteurs deux fois dans la ville afin de les roder, car disaient-ils, ils risquent de prendre la rouille et ne seront plus fonctionnels… Découragés certainement par le mutisme des autorités de Yaoundé qui ne rassurent personne, ces tracteurs ne sont plus sortis de leurs herbes.» Un autre phénomène inquiète les expatriés qui veillent sur le parc à tracteurs d’Akak-Essatolo : certains ouvriers mécontents de ne plus percevoir de salaires depuis 3 mois, dépiècent les engins et écoulent leur butin vers les grands centres de Yaoundé ou Douala pour servir de pièces de rechange à d’autres tracteurs.

Serions-nous en train de revivre le spectre de la Cellucam d’Edéa ? Dans cet autre cas passé il y a une vingtaine d’années, les Indiens, dans un partenariat avec le Cameroun, avaient voulu monter aux environs de cette ville un grand complexe de pâte à papier, étape qui précède la fabrication du papier industriel. Cet ambitieux programme évalué en centaines de milliards de francs Cfa et en milliers d’emplois, mourut dans les magouilles de toute nature. De centaines de gros engins sont morts avec le projet, démontés, rouillés dans la forêt de la Sanaga Maritime. Certains Camerounais, fossoyeurs de ce projet sont là, écoulant paisiblement leurs jours dans la liberté totale, sans être inquiétés le moins du monde.

L’année agricole va bientôt commencer dans les 10 régions du pays. La mise en oeuvre organisée effective de ces engins, ils seraient en train d’être acheminés dans nos campagnes afin de faire commencer la modernisation de l’agriculture camerounaise, comme le souhaite de ses voeux le chef de l’Etat. 
A défaut, ce qui se profile à, Ebolowa conduira à redouter un autre scénario après celui de la Cellucam : que ces tracteurs se retrouvent entre les mains des gros responsables du pays, qui les loueraient plus tard à ceux qui en manifesteraient le besoin.

Par Xavier Messè

Source: Mutations 

 

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Ouattara persona non grata à Paris. Mobilisation Ivoiriens et africains contre sa présence.

25 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Ouattara persona non grata à Paris. Mobilisation des Ivoiriens et africains contre sa présence.

 

                                Manif4

 


           De nombreux Ivoiriens et africains se mobilisent contre Ouattara à Paris
La visite de Ouattara chez son ami, Nicolas Sarkozy, à partir d’aujourd’hui, promet d’être très mouvementée. A cause des manifestations de protestation contre l’hôte de la France. En effet, de nombreux Ivoiriens et Africains de l’Europe convergeront vers Paris pour dénoncer aux yeux du monde, « ..

Pour savoir où se tiennent les manifestations, téléphoner les mouvements patriotes et panafricains (Femmes patriotes, CRI panafricain etc…

 



 

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Le Sénégal bascule dans la dictature totale: interdiction des manifestations publiques du 26 au 30 janvier 2012.

25 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Le Sénégal  bascule dans la dictature totale: interdiction des manifestations publiques du 26 au 30 janvier 2012.

Malick Noel SeckMalick Noel Seck harselé par le regime de Wade.

Le ministère sénégalais de l’Intérieur a décidé d'interdire toute manifestation publique sur toute l'étendue du territoire du 26 au 30 janvier, période couvrant la publication des noms des candidats à la présidentielle de février 2012, a appris Xinhua de source officielle.

"Pour des raisons de sécurité, sont interdits sur toute l' étendue du territoire national, les cortèges, défilés et rassemblements de personnes sur la voie publique", indique un arrêté du ministère de l'Intérieur sénégalais, publié ce mardi.

"Cette mesure temporaire d'interdiction est prise pour la période (...), pendant laquelle le Conseil constitutionnel aura à statuer sur les candidatures à l'élection présidentielle du 26 février 2012", précise le texte.

L'objectif visé par une telle décision, ajoute-t-il, est d'" éviter toute pression, dans un sens ou dans un autre, sur cette haute institution et de lui permettre d'accomplir sa mission dans le calme et la sérénité".

Le Conseil constitutionnel est l'institution compétente pour dire si les candidatures à l'élection présidentielle déposées à son greffe sont recevables ou pas. Les cinq membres du Conseil doivent se prononcer dimanche.

Les partisans et opposants à une nouvelle candidature du président sénégalais, Abdoulaye Wade, se sont livrés lundi à une démonstration de forces à moins d'un moins de l'élection présidentielle du 26 février.

Le président Wade, âgé de 85 an, élu en 2000 et 2007, est candidat à la présidentielle.

Sa candidature est déclaré irrecevable par une partie de l' opposition et des organisations de la société civile qui se sont déclarées déterminées à empêcher le président Wade de briguer un troisième mandat.

Source :Xinhua

 

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Ces présidents malades qui gouvernent l'Afrique, d’autres non cites se reconnaitront.

25 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Ces présidents malades qui gouvernent l'Afrique, d’autres non cites se reconnaitront.

President-Malades.jpg

     Malam Bacaï Sanha est décédé le 9 janvier à l’hôpital du Val de Grâce à Paris, après plusieurs semaines d’hospitalisation. Le décès du président de la Guinée-Bissau n’a pas été une surprise. Il avait déjà effectué plusieurs séjours dans cet hôpital de luxe parisien, où sont soignés les responsables gouvernementaux français et étrangers. Ses allées et venues dans les établissements de soins, à Dakar au Sénégal, étaient également régulières.

Le président bissau-guinéen souffrait depuis plusieurs années d’une maladie dont la nature n’a jamais été rendue publique. «On parle de chute d’hémoglobine dans le sang», avait-il révélé lui-même fin 2009, ajoutant qu’il souffre aussi de diabète. Sa santé était donc déjà chancelante lorsqu’il a été élu président de ce pays d’Afrique de l’Ouest en juillet 2009.

Comme Malam Bacaï Sanha, des hommes politiques célèbres, qui ont dirigé de très grands pays et laissé leur empreinte dans l’Histoire, étaient de santé fragile. Dans Ces malades qui nous gouvernent (éd. Librairie générale française), un ouvrage qui avait fait sensation à la fin des années 70, le docteur Pierre Rentchnick et Pierre Accoce avaient fait des révélations fracassantes sur le sujet.

Morceaux choisis:

«Franklin Roosevelt était malade à Yalta. Mais qui sait que sa tension artérielle atteignait alors trente à son maximum, oblitérant dramatiquement sa lucidité dans la négociation capitale qu’il engageait avec Staline sur le partage du monde?»

Sur John Kennedy, autre président célèbre des Etats-Unis:

«Personne encore n’avait révélé que le président John Kennedy passait couché la moitié de ses journées atteint d’une grave maladie des glandes surrénales, à l’époque même ou Khrouchtchev installait les fusées soviétiques à Cuba.»

Les précédents occidentaux

Leonid Brejnev était également un grand malade. Dans Le Grand Secret (Plon), Michel Gonod et le docteur Claude Gubler, médecin personnel de François Mitterrand, avaient levé le voile sur ce qui était longtemps demeuré un secret d’Etat:

«Le 16 novembre 1981, six mois après son élection à la présidence de la République, des examens médicaux révèlent que le premier président socialiste de la France était atteint d’un cancer de la prostate.»

Un mal qui allait l’emporter en janvier 1996. Ce qui ne l’avait pas empêché d’aller au bout de son premier septennat et d’en boucler un second. Georges Pompidou a eu moins de chance. Il est décédé en avril 1974 pendant son premier mandat, de ce qu’on appelle pudiquement une longue maladie.

Que de grands malades se retrouvent à la tête d’un pays, voire meurent au cours de leur mandat, n’est donc pas spécifique à l’Afrique. Ce qui est plus préoccupant sur le continent noir, c’est la fréquence du phénomène.

En moins de deux décennies, ce fut une vraie hécatombe: Félix Houphouët-Boigny le premier président de la Côte d’Ivoire est décédé le 7 décembre 1993; le roi Hassan II du Maroc, le 23 juillet 1999; le général Gnassingbé Eyadéma du Togo, le 5 février 2005; Lansana Conté de la Guinée-Conakry le 22 décembre 2008; Levy Mwanawassa qui présidait aux destinées de la Zambie le 19 août 2008; le Gabonais Omar Bongo Ondimba le 8 juin 2009; Umaru Musa Yar’Adua du Nigeria, le 5 mai 2010.

Les raisons de la saignée

En Afrique, la mort fait généralement partie de la vie. On en parle volontiers, en invoquant les mânes des ancêtres ou des membres de la famille que l’on vénère. En revanche, on rechigne à s’étendre sur la maladie, a fortiori quand elle est grave. Du coup, inconsciemment, elle est rarement prise en compte comme un facteur déterminant pour confier des responsabilités à un individu.

En Guinée-Bissau, personne n’ignorait que Malam Bacaï Sanha était très gravement atteint par la maladie. Il était donc très risqué de le choisir comme candidat du Parti pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du Cap-vert (PAIGC) à l’élection présidentielle en 2009. Mais l’aura de cet ancien combattant contre l’ex-puissance coloniale portugaise, et l’un des piliers de ce parti, a été la plus forte.

Même cas de figure pour Umaru Musa Yar’Adua au Nigeria. L’ancien gouverneur de l’Etat du Katsina (nord du Nigeria) était un homme à l’intégrité reconnue. Ce qui est plutôt rare chez les hauts dignitaires de ce pays classé parmi les plus corrompus au monde par l’ONG allemande Transparency International. Mais jamais il n’aurait dû être désigné comme le candidat du Parti démocratique du peuple, (PDP, le parti le plus puissant du pays) à l’élection présidentielle de 2007.

Tant la précarité de son état de santé était de notoriété publique. Il souffrait d’une péricardite aiguë liée à une insuffisance rénale. En 2007, en pleine campagne électorale, il avait été évacué d’urgence en Allemagne après un évanouissement. En 2008 après son élection, il a dû se faire soigner à plusieurs reprises en Allemagne et en Arabie Saoudite. Son décès le 5 mai 2010 à 59 ans à Abuja, après une nouvelle hospitalisation à Djeddah (Arabie Saoudite), n’a donc surpris personne.

Les malades du pouvoir

Le Zambien Levy Mwanawassa, mort lui aussi à 59 ans le 19 août 2008 à l’hôpital de Percy-Clamart en France, où il avait été transféré à la suite d’une attaque cérébrale lors du 11e sommet de l’Union africaine à Charm-el-Cheikh en Egypte. Il était au pouvoir depuis 2002.

Seconde explication des ravages de la grande faucheuse parmi les chefs d’Etat africains: quand ils s’installent au pouvoir, ils s’y incrustent, devenant en quelque sorte des présidents à vie. Félix Houphouët-Boigny a régné sur la Côte d’Ivoire, depuis l'indépendance du pays en 1960, jusqu’à sa mort à 88 ans. Gnassingbé Eyadéma a dirigé le Togo d’une main de fer pendant 38 ans, de janvier 1967 à 2005. Il a rendu l’âme à 71 ans. Omar Bongo Ondimba, a présidé le Gabon pendant presque 42 ans, avant de pousser son dernier soupir à 74 ans. Lansana Conté, la Guinée, de 1984 à 2008. Il a été, lui aussi, emporté par la maladie à 74 ans. A eux quatre, ils ont passé 137 années à la tête de leur pays.

C’est l’une des raisons pour lesquelles de plus en plus d’Africains souhaitent que les mandats des chefs d’Etat soient désormais limités à deux et que les candidats à la magistrature suprême prouvent, certificat médical à l’appui, qu’ils sont en parfaite santé.

Source : rew mi.com

 

 

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La Société Orange Afrique confisque la coupe d’Afrique des Nations. Il n’ ya que les Arabes et les autres qui ont droit de regarder la CAN en France.

25 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

La Société Orange Afrique confisque la coupe d’Afrique des Nations. Il n’ ya que les Arabes et les autres qui ont droit de regarder la CAN en France.

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LETTRE OUVERTE A ORANCE-SPORT QUI CONFISQUE LE FOOTBALL AFRICAIN.

        Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations a été donné Samedi, 21 janvier 2012. Or, cette fête du football Africain, tant attendue par les Africains et amateurs de football, en particulier ceux qui résident sur le territoire français (métropole et Outre-Mer), s’est transformée en calvaire pour les passionnés de football qui se préparaient à vivre intensément les exploits des footballeurs Africains. Si nous en sommes là, c’est pour trois raisons principales.

Premièrement, c’est la faute aux « dirigeants » du football Africain qui sont à l’époque contemporaine ce que les « roitelets nègres » étaient à l’infâme commerce négrier et esclavagiste, c’est-à-dire des relais humains prêts à céder les leurs pour acquérir de la verroterie. Hier, certains échangeaient leurs «  frères » contre de la pacotille, aujourd’hui, d’autres, c’est-à-dire les «  marchands  indigènes »,vidéo n°1, qui travaillent pour la Confédération Africaine de Football (CAF), octroient des droits exclusifs du football Africain en échange de billets d’euros ou dollars offerts par des « négociants européens » au service des multinationales.

Deuxièmement, c’est la faute au service public français, en particulier au groupe France télévisions, qui affiche par la non retransmission de cette compétition continentale phare, un mépris évident à l’égard des millions de téléspectateurs, toutes couleurs, origines et religions confondues, qui se passionnent habituellement pour la coupe d’Afrique des Nations (CAN), et payent une redevance annuelle pour recevoir des programmes de télévision de qualité tout au long de l’année. Force est de constater que les dirigeants de la télévision publique française s’exonèrent de leurs responsabilités en n’appliquant pas pour leurs téléspectateurs le «  service minimum », concept pourtant rendu obligatoire par le vote récent d’une loi par le Parlement Français.

Troisièmement, c’est la faute au groupe ORANGE, qui se comporte en féroce prédateur qui s’accapare la coupe d’Afrique des Nations (CAN), pour en faire un véritable produit d’appel pour mieux vendre ses services et offres associées aux passionnés du ballon rond. Pour preuve, ce communiqué paru dans de nombreux médias Africains : « Orange partage avec ses abonnés une passion commune : le football. Depuis de nombreuses années, Orange promeut le football africain et est le sponsor principal des six compétitions majeures de la CAF jusqu’en 2016 ».

Or, le moins qu’on puisse dire, c’est que derrière cette posture en apparence philanthropique se cache en réalité une vulgaire opération mercantile et de communication visant à conquérir de nouvelles parts de marché dans un environnement plus que jamais concurrentiel, encore plus depuis l’entrée en lice fracassante d’un quatrième opérateur, FREE, sur le marché de la téléphonie mobile.

Aujourd’hui, il apparaît clair que la position d’ORANGE par rapport à la CAN relève de l’escroquerie intellectuelle et d’un véritable abus de position dominante relative à l’histoire coloniale française en Afrique. Parce que cette situation est insupportable, ubuesque, contre-productive pour le football Africain, et qu’elle pénalisera des millions de passionnés de football jusqu’en 2016, nous ne pouvons plus l’accepter.( Vidéo n°2)

Parce que la loi du marché ne saurait justifier l’injustifiable, et qu’il aurait été impossible qu’un fournisseur d’accès Africain, par exemple, MTN, multinationale sud-africaine, confisque la prochaine Coupe d’Europe des Nations, privant ainsi des millions de téléspectateurs français de cette compétition, vidéo n°3, nous exigeons immédiatement la rupture de ce DEAL indécent conclu sur le dos des millions de téléspectateurs par les petits copains de la Françafrique.

  Source : alert2neg.com

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Iran : Des chercheurs établissent un lien entre avortement et cancer du sein.

24 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Iran : Des chercheurs établissent un lien entre avortement et cancer du sein.

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 Haijan-Tilaki K.O et Kaveh-Ahangar T. de la Babol University of Medical Sciences a comparé l’histoire « reproductive » de 100 femmes chez qui un cancer du sein avait été récemment diagnostiqué à celle de 200 femmes sans cancer et d’âge comparable.

 

La recherche a permis de révéler ce lien statistiquement significatif entre l’avortement provoqué et le cancer du sein, avec un risque augmenté de 193 %.

Repousser l’âge de la première grossesse augmente aussi le risque de cancer du sein qui augmente alors de 310 % – y aurait-il ici un lien avec le recours à la contraception ? Ce facteur-là n’a pas été évalué.

En revanche l’étude révèle qu’à l’inverse la précocité de la première grossesse et leur nombre réduit le risque de cancer du sein. Les femmes mères de 5 enfants ont un risque diminué de 90 % par rapport à la moyenne ; chaque grossesse réduit le risque de 50 %. L’étude ne donne pas de précisions sur l’allaitement.

Source: stcom.net

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CALIXTHE BEYALA - AFFAIRE KIEFFER: L'ASSASSIN SERAIT OUATTARA?

23 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

CALIXTHE BEYALA - AFFAIRE KIEFFER: L'ASSASSIN SERAIT OUATTARA?

Calixte1 

 

L'affaire Kieffer, comme une poupée russe. Une affaire sans fin. Une affaire qui avait permis au régime Sarkozy, de présenter l'ex président Ivoirien Laurent Gbagbo ainsi que son épouse Simone comme des sanguinaires. Et il me souvient que mes compatriotes ne cessaient de me dire : « Comment peux-tu défendre ces gens ? Ils ont tué un Français ! ».

Et ce français n'était autre que le journaliste d'investigation Kieffer, disparu lors d'un séjour en Côte d'Ivoire, alors qu'il enquêtait sur les filières cacao au pays de Houphouët.

C'était en 2004... Et on supposa que. Et on imagina que. Et on supputa que. Et où que poussait le vent des enquêtes ou des rumeurs, un nom revenait avec insistance, celui de Madame Simone Gbagbo... On disait qu'elle était si méchante, qu'elle était capable d'étriper un enfant et de laisser ses entrailles cuire au soleil; et je n'y croyais pas. On la disait si odieuse, que même le diable et ses cornes tremblaient devant elle ; et je n'y croyais pas.
Voilà que près d'un an après le coup d'Etat en Côte d'Ivoire, la vérité commence à surgir de l'ombre, sans déplaire à tout le monde.

Des gens parlent ; des gens s'accusent du meurtre de Kieffer. Ils disent que le meurtre du journaliste français aurait été commandité par le camp Ouattara. Ils donnent des preuves puisque ceux qui accusent s'accusent d'en avoir été les exécutants. Ils proposent de montrer le lieu où ils ont enterré le corps de Kieffer. Ils disent que trois membres de leur commando «opération meurtre de Kieffer», sont aujourd'hui d'imminentes personnalités proches de Ouattara.

Oui, quelques raisons pour lesquelles certains Français détestent Gbagbo et son épouse s'envolent. Et si tout ceci s'avérait, les français verseront quelques larmes de regrets... Oui, d'avoir fait tuer des milliers d'ivoiriens pour voler des richesses certes, mais aussi pour venger la mort de Kieffer. Que c'est cocasse ! Parce qu’in fine, l'assassin serait Ouattara?????

 

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Libye – Le numéro 1 du CNT, Mustapha Abdeljalil a démissionné !! (22 janvier 2012)

23 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Libye – Le numéro 1 du CNT, Mustapha Abdeljalil a démissionné !! (22 janvier 2012)

 

A Benghazi, des morts et des blessés suite à des affrontements entre les rebelles de Darna et Elbaida.
Des informations parlent de la démission de Mustapha Abdeljalil suite aux événements de Benghazi.


Les photos de la voiture de Mustapha Abdeljalil détruite par les rebelles:

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Source : ALGERIA ISP 

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Sale temps pour le CNT en Libye. Son chef obligé de fuir la colère des libyen en utilisant une ambulance.

23 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Sale temps pour le CNT en Libye. Son chef obligé de fuir la colère des libyens en utilisant une ambulance.

                Image-libye.jpg

Les populations libyennes en général et plus particulièrement celles de Benghazi bastion de la révolution impérialiste demande aujourd'hui la rectification de la révolution et la démission du CNT avec à sa tête Mustapha Abdeljalil qui était obligé de fuir dans une ambulance pour éviter un lynchage lors de sa visite a Benghazi.

C'est le K.O total en Libye depuis l'assassinat de Kadhafi, les autorités du CNT, Sarkozy, Obama et l'OTAN qui ont menés cette guerre regarde aujourd'hui les populations libyennes sans eaux, ni pain, ni travail, ni sécurité, ni logement, sans rien faire. L’Irak, la Libye, doivent à présent servir d'exemple aux syriens, ou autres populations qui comptent sur ces impérialistes.

Source: RLibya

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Chronique de Mbombog Ntohol Deux événements majeurs ont lieu hier 21 janvier en Afrique 2012 (Libye et Côte d’Ivoire) et la CAN un détail de l’histoire.

22 Janvier 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

     t-29 OUEST Foumban Art Bamoun 02 Mbombog Ntohol

              Chronique de Mbombog Ntohol

Deux événements majeurs ont lieu hier 21 janvier en Afrique 2012 (Libye et Côte d’Ivoire) et la CAN un détail de l’histoire.

 

         A Abidjan : Le Front Populaire Ivoirien a convié samedi 21 janvier 2012 ses militants à un meeting politique pour exiger le départ du régime sanguinaire, illégale et illégitime du 11 avril 2011 c'est-à-dire le couple Ouattara-Soro tandis que qu’au même moment à plus de 4000km au nord de l’Afrique, plus précisément à Benghazi les Libyens demandaient le départ du gouvernement illégal et illégitime de Moustafa Abdeljalil le parrain du CNT.

Que réclament ces deux peuples ?

Les ivoiriens réclament le départ de tous les occupants militaires (ONUCI, La LICORNE française) et civils de leur pays  et leurs «suppo» au pouvoir. Et l’instauration d’une véritable démocratie, celle qui prévalait pendant la magistrature du président Laurent Gbagbo. A savoir que l’on pouvait exprimer ses opinions sans crainte, ou les droits de l’homme étaient respectés. Bref ils voulaient le retour de leur champion Laurent Gbagbo.

 La situation d’ailleurs leur donne raison, dans la mesure où depuis le 11 avril date de l’arrestation du président Laurent Gbagbo par les forces françaises, la Côte d’ivoire est dans le chaos total. Ouattara et Soro ont prouvés leur incapacité à gérer ce pays malgré une forte présence militaire de leur parrain de la communauté dite internationale.

A Benghazi : Tandis que les Libyens lançaient la vraie révolution, celle du peuple, qui s’est soldée par le saccage du siège du conseil National de transition et la fuite de tous ces dirigeants. Les libyens ont scandés des slogans hostiles à l’OTAN et à son gouvernement fantoche qui a occasionné la mort de plus de 60.000 des leurs et détruit tout le pays avec l’aide de l’OTAN.

Ceux qui croyaient la victoire militaire avec les forces étrangères l’unique solution pour arriver au pouvoir. Sont aujourd’hui entrain de déchanter.

Quelle leçon peut-on tirer de ces deux événements ?

Que les peuples Libyen et Ivoirien n’ont plus peur, même si on leur tire dessus comme des lapins. D’ailleurs c’est ce qui a eu lieu en Côte d’ivoire  voir photo Ci-dessus.

Journaliste de la BBC     VOIR La VIDEO

On ne gouverne pas un peuple qui ne vous a pas choisit. Si on peut le faire pendant un temps, on ne pourra pas le faire éternellement. La situation commence déjà à trop durée. Les medias d’intox occidentaux en évoquant le problème commence à accepter la vérité qui n’est pas leur fort. La force militaire n’a jamais gagnée nulle part.

Regardez l’histoire et vous verrez que tôt ou tard le peuple reprendra a travers ses fils le pouvoir. La force militaire n’aura servit qu’a créer des haines entre des peuples qui hier étaient amis pour le bien de quelques individus.

Ceux qui ont cru qu’avec ces coups de force leur vie allaient changer, ont vite déchanté.

La Libye et la Côte d’ivoire sont dans le chaos total depuis plus de 10 mois. Pas de gouvernement, pas d’argent et un peuple remonté à bloc qui  veut la liberté et la démocratie africaine confisquées par les gouvernements fantoches à la solde des illuminatis et réseaux mafieux.

A suivre.

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