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Le blog de afrohistorama.over-blog.com

Homosexualité: L'Association des Juristes Catholiques du Cameroun met en garde sur la manipulation de l'opinion sur la question du mariage pour tous.

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Homosexualité: L'Association des Juristes Catholiques du Cameroun met en garde sur la manipulation de l'opinion sur la question du mariage pour tous.

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L'Association des Juristes Catholiques du Cameroun (AJCC) a donné une conférence sur la question du mariage pour tous, samedi le 23 février 2013 à la Cathédrale de Douala.

 

La question du mariage pour tous est au cœur de l'actualité en ce moment. Des groupes d'individus tant sur le plan international que national exigent que soit légalisée l'homosexualité. Ce que dénonce avec la dernière énergie l'Association des Juristes Catholiques Camerounais (AJCC) présente samedi le 29 février 2019 à la salle des banquets de la Cathédrale des Saints Pierre et Paul de Douala. A l'occasion de la célébration de sa deuxième rentrée solennelle, l'AJCC composée de procureurs, avocats, juristes, conseillers fiscaux juridiques, conseillers spirituels et magistrats exerçant sur l'ensemble du territoire national, a tenu a échangé avec le public sur la question du «droit et de l'homosexualité». Tous ses membres tiennent à prévenir sur la manipulation de l'opinion. «Nous savons que lorsque l'on veut contrôler la société, on s'approprie la loi. John Locke disait à cet effet : «le plus fort ne sera pas toujours assez fort s'il ne transforme pas sa force en droit». C’est en cela que pour imposer sa loi, un groupe fût-il minoritaire, s’organise pour posséder l’opinion», explique Me Albert N. Dime, avocat au Barreau du Cameroun et un des panélistes. Pour lui, l'homosexualité n'existe pas dans sa langue maternelle. Autrement dit, il n'y a encore rien qui oblige les Camerounais à s'imposer cette orientation sexuelle. L'exposant pense qu'aux Etats-Unis, on fait beaucoup de tapage sur les questions liées à l'homosexualité, «c'est leur problème. En ce qui nous concerne ici chez nous, ce n'est pas un autre Etat qui va nous obliger à nous livrer à celte pratique».

Pour sa part, Me Jules César Binyom estime que les spécialistes de la théorie de l'influence apprennent que lorsqu'on veut manipuler l'opinion sur des questions sensibles, on procède par le scénario de la panique morale (gonflement et exagération des chiffres dans des pseudo sondages, par exemple pour le cas présent, dans le but de démontrer que la plupart des Camerounais sont pour le mariage pour tous ; anesthésie des consciences et lynchage de l'opinion), par les manipulations et abus de langage en vue du conditionnement idéologique. De l'avis de ces juristes engagés dans l'Eglise Catholique, l'homosexualité est une déviation qui na pas de placé «chez nous». Ils ont convaincu l'auditoire en ceci que la manipulation s'opère précisément vis-à-vis de l'opinion qui est bombardée des termes et expressions sans définitions précises ou éclaircissements. Notamment, «orientation sexuelle», «identité de genre», «homophobie», «attitudes homophobes», «stéréotypes négatifs», «attitudes discriminatoires», «discours haineux». Nous apprenons des panélistes qu'on retrouve dans le même registre des formules telles que «dépénalisation des relations sexuelles consenties entre personnes de même sexe», «législation anti-discrimination», «formation, sensibilisation publique et campagnes publiques de lutte contre l'homophobie», «reconnaissance des relations homosexuelles» y compris le mariage et l'adoption pour les personnes du même sexe. Sans oublier: «reconnaissance du genre», redéfinition du genre qui se réfère aux femmes ou hommes afin d'inclure les personnes transgenres.

Pour tous ces arguments qui risqueraient de plonger davantage le pays de Paul Biya dans le sous-développement moral, l'Archevêque Métropolitain Samuel Kleda, qui a procédé à l'ouverture des travaux, a adressé un message aux juristes catholiques camerounais : «En tant que juristes chrétiens, vous avez le devoir que la loi camerounaise interdisant le mariage entre deux personnes de même sexe reste inamovible pour que les coupables soient dûment punis Dans une société injuste et amorale, vous devez être vigilants pour ne pas vous laisser égarer. Vous êtes mieux équipés pour influencer le fonctionnement de l'application de notre système juridique». L'Archevêque indique que c'est un motif pour lui de prendre part à une rencontre comme celle organisée par des chrétiens engagés «qui n'ont pas peur de montrer publiquement leur foi et fidélité en l'Eglise Catholique. L'homosexualité est condamnée par la Bible qui la considère comme une abomination. Elle est en soit inféconde et pécheresse».

Par Linda Mbiapa

Source : Aurore Plus

 

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Affaire Gbagbo : la Cour pénale internationale sous le feu des critiques.

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

L'audience de confirmation des charges contre l'ex-président de Côte d'Ivoire se poursuit dans un contexte politique de plus en plus tendu.

 

Les haines se cristallisent autour de l'affaire Gbagbo, examinée devant la Cour pénale internationale (CPI). Mais curieusement, Laurent Gbagbo ne fait pas tant l'objet des attaques que la CPI elle-même. Les partisans de l'ancien président de Côte d'Ivoire, soupçonnés de crimes contre l'humanité, font un lobbying intense sur Twitter et commentent quotidiennement les audiences. Ils réclament, derrière le hashtag #FreeGbagbo, sa libération. Ils tournent en dérision une justice internationale "partiale", qui aurait fermé les yeux sur les exactions commises par le clan Ouattara.

Le journaliste Frédéric Taddeï s'en indigne également, en signant sur Newsring une tribune intitulée "Arrêtons les frais". "Ne devient-il pas urgent de mettre un terme à cette parodie de justice internationale qui agit comme un instrument de domination supplémentaire au service des pouvoirs en place ?", écrit-il. Enfin, le rapport d'Amnesty International, publié lundi et intitulé "Côte d'Ivoire - la loi des vainqueurs", jette de l'huile sur le feu. "La Côte d'Ivoire demeure le théâtre de violations graves des droits humains à l'encontre de partisans avérés ou supposés de l'ancien président Laurent Gbagbo", peut-on lire en introduction. 88 pages viennent étayer ces informations.

De la poudre aux yeux politique

Toutes ces critiques - qu'elles soient fondées ou non - nous en feraient presque oublier l'essentiel. Laurent Gbagbo n'est pas jugé pour les exactions commises par le clan Ouattara, mais pour ses propres crimes. "Dire que Ouattara devrait lui aussi comparaître devant la CPI, ça n'apporte rien à la défense de Gbagbo. C'est de la poudre aux yeux politique", assure Géraldine Mattioli, directrice de la division justice auprès de l'ONG Human Rights Watch (HRW). "C'est une technique classique. Déjà Milosevic, quand j'étais au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, tentait de faire la même chose : politiser le tribunal", confie pour sa part Bruno Cathala, président de tribunal et ancien greffier à la CPI.

"La Cour mène un vrai travail d'enquête et d'investigation. Elle va se demander si les éléments constitutifs des crimes reprochés à Gbagbo sont bien là. Elle sait très bien que d'autres exactions ont été commises en Côte d'Ivoire, mais cela n'a rien à voir dans le débat", insiste Bruno Cathala. La Défense, elle, continue à démontrer la vision "parcellaire" et "incomplète" des faits, tels que présentés par l'Accusation. Mais devant les pièces apportées par le procureur, Emmanuel Altit et ses confrères avocats sont contraints de passer à la vitesse supérieure.

Délégitimer le travail du procureur

L'Accusation évoque des comptes rendus du gouvernement et des rapports du chef d'État-major, plus ou moins accablants pour Gbagbo. Un e-mail est dévoilé. On y apprend qu'Anselme Seka, ex-garde du corps de Simone Gbagbo, s'inquiète auprès de Laurent Gbagbo des conditions de recrutement des mercenaires. En pleine période de crise post-électorale, des réunions quotidiennes avec les forces armées (FDS) ont eu lieu. Les jeunes miliciens ont quant à eux, affirme le bureau du procureur, été maîtrisés par le truchement de Charles Blé Goudé, ancien ministre de la Jeunesse. Bref, autant d'indices qui permettent à l'Accusation d'affirmer que Laurent Gbagbo était au courant de toutes les actions entreprises.

Alors, durant de longues heures, la Défense s'échine à pointer toutes les faiblesses de l'enquête, preuve par preuve. Le travail est long, fastidieux, mais remarquable. Tel rapport n'est pas assez documenté. Les auteurs de crimes ne peuvent pas être identifiés. Tel fait a été mal interprété. Les avocats de Laurent Gbagbo cherchent à délégitimer les "insiders", ces gens qui étaient dans l'entourage de Gbagbo et qui veulent se refaire une santé en témoignant contre lui. Leur récit est très dangereux pour Gbagbo. Il "faut nettoyer Abobo et en faire un cimetière", aurait par exemple dit l'ex-président de Côte d'Ivoire à l'un de ses proches, qui a depuis retourné sa veste.

Au stade de l'audience de confirmation des charges, les juges doivent juste vérifier que les preuves sont assez solides pour ouvrir un procès. Aucune des deux parties - Défense et Accusation - ne dévoilent donc totalement leur jeu. Mais si Laurent Gbagbo venait à être poursuivi, son procès dépassera largement ses seuls crimes. C'est l'implication de la France dans ce conflit qui sera passée au peigne fin.

Source : Le Point.fr

 

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Commémoration des massacres de février 2008 au Cameroun à Bruxelles : «Peut-on conduire le Cameroun vers la démocratie en ce 21ème siècle en évitant les massacres de Camerounais?"

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Commémoration des massacres de février 2008 au Cameroun à Bruxelles : «Peut-on conduire le Cameroun vers la démocratie en ce 21ème siècle en évitant les massacres de Camerounais?"

 

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Journée d'appel au Palais BOURBON pour les états généraux au Congo Brazzaville.

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Journée d'appel au Palais BOURBON pour les états généraux au Congo Brazzaville.

 

     Diaspora congolaise

 

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Cameroun : NI JOHN FRU NDI si le régime de Yaoundé persiste dans sa voie antidémocratique nous n’hésiterons pas à aiguiser nos machettes et à descendre dans la rue.

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : NI JOHN FRU NDI si le régime de Yaoundé persiste dans sa voie antidémocratique nous n’hésiterons pas à aiguiser nos machettes et à descendre dans la rue.

John Frudi

NI JOHN FRU NDI : «si le parti au pouvoir persiste dans cette voie, mes militants et moi-même n’hésiterons pas à aiguiser nos machettes et à descendre dans les rues pour le combattre». ATTENTION CHAIRMAN, NE VOUS FAITES PAS LES COMPLICES DES FOSSOYEURS DE NOTRE NATION.

« Cameroun, Convocation du collège électoral: John Fru Ndi appelle à un soulèvement de ses militants

«si le parti au pouvoir persiste dans cette voie, mes militants et moi-même n’hésiterons pas à aiguiser nos machettes et à descendre dans les rues pour le combattre». C’était au cours de la conférence de presse qu’il a donnée à sa résidence de Yaoundé hier après la lecture sur les antennes du poste national de la Crtv des textes convoquant le collège électoral pour les élections sénatoriales.
Par Florette MANEDONG                                                                        Source : Le Messager

 

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Cameroun. Des électeurs illégitimes pour voter les sénateurs

28 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun. Des électeurs illégitimes pour voter les sénateurs

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Paul Biya a convoqué hier, le collège électoral pour le 14 avril. Abanda Kpama, Jean M. Nintcheu, Alain Fogue… crient au banditisme politique John Fru Ndi invite ses militants à une rébellion  

Paul Biya ignore les menaces de Fru Ndi. Le leader du Social democratic Front  va –t-il gâter le pays comme promis ? 

Au moment où le président de la République convoquait hier le collège électoral essentiellement constitué des conseillers municipaux pour les sénatoriales prévues pour le 14 avril 2013, nous apprenions que le véhicule dans lequel se trouvait John Fru Ndi, en route pour Yaoundé a été victime d’un accident de circulation vers Obala. Rencontré, à l’imprimerie du Sdf où il officie comme gérant, Mochiggle Vanigansen, par ailleurs nouveau ministre de l’intérieur du gouvernement fantôme du parti du 26 mai 1990, confirme cette information « Je suis au courant de cet accident. C’est malheureux, nous souhaitons que l’âme de la femme qui est décédée sur le champ repose en paix».

S’il se réjouit que le Chairman s’en est tiré sans problème, il met en cause la responsabilité du conducteur de la moto taxi. Sur la question de la convocation du collège électoral dans le cadre des sénatoriales, le ministre de l’intérieur du Sdf nous dit qu’il apprend cette information du reporter du Messager. Et pour cause, très occupé en mi-journée d’hier, il n’a pas suivi le journal de 13h sur la Cameroon Radio and Television (Crtv). Néanmoins, il a son mot à dire sur cette convocation des sénatoriales pour le 14 avril 2013. 

« Vraiment je suis très étonné que le président Biya et son gouvernement puissent faire ça » laisse-t-il entendre. Il poursuit «  vous savez que les sénatoriales ont pour électeurs les conseillers municipaux. Non seulement le mandat des conseillers municipaux que nous avons actuellement a expiré mais aussi les élections municipales qui avaient conduit à l’élection de ces derniers étaient entâchées de beaucoup d’irrégularités que le président de la République lui-même avait relevées au cours d’un discours à la nation. L’Onel, organe de supervision de ces élections avait fait également mention de ces irrégularités à l’époque ». Pour lui, la convocation du collège électoral pour les sénatoriales faite hier par le président de la République « est une fuite en avant. Je ne sais pas pourquoi le  président Biya n’aime pas ce pays. Il ne cherche que l’embuscade pour régler les véritables problèmes de cette République; ce qui n’est pas bien.». Interpellé sur la position à tenir par le Social Democratic Front après cette convocation des sénatoriales, Mochiggle Vanigansen croit davantage que la hiérarchie du parti réagira en temps opportun, après concertation. 

Sénat aux couleurs du Rdpc 

Néanmoins, il précise « vous savez que le chairman au cours de sa récente descente sur le terrain (dans le Nord-Ouest Ndlr) avait fait remarquer que si les choses ne sont pas claires, le Sdf ne participera pas à ces sénatoriales. Surtout que ces élections ne concernent que le Sdf et le Rdpc, parce qu’en observant vous constaterez qu’il n’y a que le Sdf et le Rdpc qui sont représentés dans les communes et dans une moindre mesure l’Undp et l’Udc». Pour lui, si le Sdf refuse de prendre part à ces sénatoriales, cela traduirait qu’on va vers un Sénat entièrement dominé par le Rdpc « un sénat qui n’a pas le soutien populaire, et je ne sais pas si ce pays peut se développer sans le soutien populaire» tranche le ministre de l’intérieur du shadow cabinet du Sdf.

On se souvient que lors de sa tournée visant à booster les inscriptions biométriques dans la région du Nord-Ouest, Fru Ndi promettait aider le président de la République à « gâter le Cameroun » si «Mr Biya s’entête à organiser les sénatoriales avant les municipales». Le leader du principal parti de l’opposition projetait par la même occasion que « si les conseillers municipaux rechignent à aller voter si Mr Biya organise les sénatoriales avant les municipales, je vais envoyer les Bayam sellam les tabasser ». Maintenant que Paul Biya a ignoré ces menaces, l’homme « fort » de Ntarinkon va-t-il passer à l’acte ? Wait and see

  Par D.Soffo  

Source: Le Messager                                                                                                          

 

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Cameroun: Libom Li Likeng Minette le DG de la douane dans les mailles du filet du FBI américain et des services camerounais pour enrichissement douteux.

27 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun: Libom Li Likeng Minette le DG de la douane dans les mailles du filet du FBI américain et des services camerounais pour enrichissement douteux.

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Enrichissement illicite: Libom Li Likeng, Le Dg des Douanes, entendu à la PJ

 

L'audition de Libom Li Likeng Minette, mardi dernier, ferait suite à la découverte d'importantes sommes d'argent dans le compte de son fils. Lequel serait sans emploi aux États-Unis.

 

Mme le Directeur Général des Douanes a fait silence radio sur son passage à la Direction de la police judiciaire du centre (Dpj). Un fait qui contraste avec la nature de ce gestionnaire de crédit public dont l'exhibitionnisme médiatique à outrance se passe de commentaires. Surtout quand il s'agit pour elle de faire parier de ses «brillantes performances» ou encore de braquer les projecteurs sur ses tournées aussi banales que routinières.

Le 19 février, Libom Li Likeng s'est rendue sans tambour ni trompette à la Dpj, sise à Yaoundé au lieu dit EIig-Essono. Elle déferrait ainsi à une convocation, reçue quelques jours plus tôt, et portant sur la découverte d'une forte somme de Fcfa dans le compte de son fils aîné, Ézéchiel Dissack Delon. Certaines sources audacieuses parlent de 09 milliards. Ézéchiel Dissack Delon (enfant né du premier de ses trois mariages connus) résiderait dans une ville des Etats Unis rapporte une source bien renseignée. A la Dpj, l'information n'est pas officiellement confirmée. Mais sous anonymat, on certifie que la directrice des douanes y a fait l'objet, le mardi 19 février, d'un interrogatoire «de longue durée». Sans autre précision:


Fbi?

Avançant dans ses investigations, votre journal a découvert que c'est la police fédérale américaine (puis connue sous l'abréviation Fbi) qui aurait mis la puce à l'oreille de son homologue camerounaise. Ézéchiel Dissack Delon, 23 ans, aurait attiré sur lui l’attention du Fbi par ses dépenses extravagantes. Une enquête sur ses finances aurait pointé le décalage entre son occupation (il serait étudiant) et son volumineux compte bancaire.

L’on pourrait donc penser que c'est précédé du soupçon d'être la vraie propriétaire des 09 milliards que Mme Libom Li Likeng est arrivée à la Dpj. Cependant, le fait qu'elle en est repartie comme elle est venue traduit-il l'absence de lien entre elle et le compte bancaire dans lequel son fils puiserait à volonté? D'un autre côté, le Fbi dit-on, n’a-t-il pas alerté les autorités locales juste parce que la source des fonds bancaires est camerounaise? On imagine bien que la fortune du fils aîné de Mme Libom aurait été bâtie sur quelques délits commis en territoire américain que le Fbi l'eût interpellé, pour le présenter aussitôt à un Juge. Pour avoir réponse à nos questions, et surtout apporter a l'opinion une information équilibrée. La Météo a adressé la semaine dernière une lettre de recoupement d'information à Mme le Directeur des Douanes. Ce fut ahurissant.


Rebuffade.

Après le silence de mort réservé à notre premier fax, une équipe de votre journal s'est rendu au siège de la Douane (situé non loin de l'Ambassade de Chine à Yaoundé). Passées les présentations, la Secrétaire de la Dg se montrera d'une humeur particulièrement acariâtre contre les émissaires de La Météo. Sans raison valable d'un zèle pitoyable, ignorante de la déontologie de sa profession qui, sur ce point, lui fait obligation de réceptionner le courrier de sa hiérarchie directe et de le lui transmettre, cette Secrétaire dont l'amateurisme n'honore pas la Douane s'entêtera dans son refus de prendre et d'accuser réception de la correspondance de la Météo. Oubliant que l'appréciation revient exclusivement à sa patronne, et trahissant de ce fait éloquemment l'étendue de son incompétence, elle se fendra de cette affirmation sidérante, parce que sortant de la bouche dune Secrétaire, qui dans l'administration n'est assujettie qu'au seul devoir de courroie de transmission «votre information-là n'est même pas vrai...». Peut-on se prévaloir de sa propre turpitude?

Un deuxième fax, infructueusement, des heures plus tard sur le même sujet achèvera de convaincre la rédaction de votre journal que Mme Libom Li Likeng a opté pour le mutisme. Déjà, la semaine dernière. La Météo, citant des sources introduites, annonçait l'arrestation de la Dg des Douanes. Arrestation consécutive à des crimes économiques mis à jour par des enquêteurs méticuleux. Au moment où l'enfer des déchus tend à s'ouvrir devant elle, n'y a-t-il pas lieu de recommander à Mme Libom non pas un Avocat mais un pasteur exorciste. Et un vrai?

Par  Mamouda Labaran

Source : La Météo

 

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CAMEROUN : ELECAM repousse les inscriptions jusqu’au 29 mars 2013 parce que le système de fraude n’est pas encore au point.

27 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

CAMEROUN : ELECAM repousse les inscriptions  jusqu’au 29 mars 2013 parce que le système de fraude n’est pas encore au point.

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Inscriptions sur les listes Electorales: Le coup d’Etat biométrique d’Elecam

 

On n’arrête pas le progrès. Après le coup d’Etat constitutionnel d'avril 2008 légalisé par une Assemblée nationale aux ordres, voici le coup d’Etat biométrique de février 2013 signé par le tandem Mohaman Sani Tanimou- Fokam Azu’u.

 

On n’arrête pas le progrès. Après le coup d’Etat constitutionnel d'avril 2008 légalisé par une Assemblée nationale aux ordres, voici le coup d’Etat biométrique de février 2013 signé par le tandem Mohaman Sani Tanimou- Fokam Azu’u. Les Camerounais ne sont donc pas sortis de l’auberge. Malgré les condamnations d’Elecam et de ses méthodes par la classe politique et la société civile, les inscriptions sur les listes électorales vont se poursuivre jusqu’au 29 mars, c’est à dire au-delà des délais illégaux imposées par Elecam qui avait fixé le premier terme au 28 février 2013.

A tout moment dès le 29 mars donc, les électeurs peuvent être convoqués. Pour quelle crédibilité ? Il est vrai que le pouvoir n’est pas à une forfaiture près. En 5 mois, Elecam n’a pu réunir que 4 millions d’inscrits. Le forcing d’enfer qui se prépare pour le mois de mars pourra t-il convaincre les 5 millions d’hésitants à se « biometriser» ? Rien n’est moins sûr. Pourtant, estiment les observateurs, la loi ne donne pas à Elecam la possibilité de proroger la période d’inscription: « La compétence d’abréger la période d’inscription est exclusivement réservée au président de la République (article 74) qui peut l’exercer à travers la publication d’un décret de convocation du corps électoral». Membre de la société civile, Hilaire Kamga estime en effet que les inscriptions sur les listes électorales effectuées avant le mois de janvier 2013 étaient illégales et devraient être annulées. Souvenez-vous, c’est par décision signée le 27 septembre 2012 que Mohaman Sani Tanimou avait décidé de la refonte biométrique en cours. Cette opération avait commencé le 03 octobre dernier et devrait s’achever selon les délais légaux qui courent jusqu’au 31 août, bien avant la convocation du corps électoral.

Il faudrait, estiment certains, «statuer d’abord sur le sort des inscriptions illégales effectuées entre le 03 octobre 2012 et le 31 décembre 2012 ; celles-ci ayant été opérées en dehors de la période légale d’inscription». Pour Hilaire Kamga, « la loi électorale en ses articles 74 et 75 est suffisamment claire sur les périodes d’inscription sur les listes électorales, que ce soit en période de révision ou de refonte et que cette période ne saurait se situer en dehors de l’intervalle allant du 01 janvier au 31 août de chaque année». A travers Elecam le pouvoir fait ainsi contre mauvaise fortune, bon cœur en laissant couler les inscriptions afin de tenter d’atteindre au moins 4 millions d’inscrits. Commencé depuis octobre 2012, ces opérations ont difficilement franchi la barre de 3 millions, soit 5 mois après le lancement de la refonte biométrique. Depuis quelques mois, le débat faisait rage sur le bien-fondé de ces inscriptions avant terme qui sont appelées à s’arrêter… avant terme, si l’on en croit le chronogramme d’Elecam qui vient de les proroger pour fin mars.

Mais l’agenda électoral du chef de l’Etat demeure une grande nébuleuse. Succès de la refonte biométrique en cours ou non, le président de la République peut tout aussi bien convoquer le corps électoral à sa guise, entre les sénatoriales et les législatives ou encore les municipales, à moins que ce ne soient les régionales. Nous sommes, depuis la fin des mandats des députés et des conseillers municipaux en 2012, entrés en année électorale… en accordéon. Selon le bureau du comité directeur de l’Union des populations du Cameroun réunis en session plénière mensuelle à Douala le 9 février dernier, Elecam n’atteindra pas les 8,5 millions d’inscrits espérés par son président Samuel Fonkam Azu’u. Fallait-il être sorcier pour le prévoir ? Que va faire le pouvoir ? Il se « trouverait dans la position d’avoir à repousser la date finale des inscriptions, ou bien d’annoncer le miracle d’avoir inscrit 5,5 millions de personnes en un mois ! » s’indigne l’Upc.


Corps électoral

En attendant, des voix s’élèvent déjà pour exiger la légalisation du vote. Selon Charly Gabriel Mbock, certains pays du monde ont rendu le vote obligatoire pour des raisons qui leur sont propres. Au Cameroun, la légalisation de l'obligation de vote obligerait déjà l'Etat partisan à limiter ses manœuvres de vénalité électorale et d'abrutissement des populations : «Obliger légalement un citoyen à assumer pleinement sa citoyenneté, son identité, s'inscrit sans contradiction dans le registre des devoirs de tout Etat à défendre et à protéger les droits de la personne humaine, au besoin contre toute personne mal outillée pour s'approprier ses propres droits. Avec une légalisation de l'obligation de vote, l'on ne se limiterait sans doute plus à biométriser les seules inscriptions. Ce sont les élections mêmes qui, sans autre délai trentenaire, deviendraient biométriques».

Nous n’en sommes pas encore là. Légaliser ouvrirait une boîte de pandore où les ‘mange-mille’ feraient royalement leur entrée, comme au bon vieux temps des lois d’exception où la carte du vote était plus ou moins exigée sans droit. Ce serait aussi faire le constat que le pouvoir a échoué dans sa volonté de rassurer le citoyen sur sa bonne foi. Quant à la classe politique, elle a perdu toute crédibilité. Pour l’heure, la question lancinante est la suivante : la convocation du maigre corps électoral est-il au bout de la prorogation? Le pouvoir a-t-il un plan ‘b’ pour sortir du piège d’Elecam ? Va-t-il prendre le risque de faire l’impasse sur les millions d’électeurs à séduire qui de toutes les façons, quelle que soit l’alchimie, ne seraient pas au rendez-vous du 29 mars ?

 

Par Edouard Kingue

 Source : Le Messager

 

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Quelques accusations mensongères, faux et usage de faux des procureurs de la CPI. Un vrai scandale de la justice internationale.

27 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Quelques  accusations mensongères, faux et usage de faux   des procureurs de la CPI. Un vrai scandale de la justice internationale.

Sogona BAMBA ment sur France 24


1ere accusation mensongère et usage de faux :

La vidéo montrant le massacre de Yopougon (Abidjan) alors que la vidéo a été tournée au Kenya.

2eme accusation mensongère et usage de faux 

La marche sur la RTI (Radio télévision Ivoirienne). Les procureurs des illuminatis accusent le président Laurent Gbagbo d’être le responsable de cette attaque qui a couté la vie aux journalistes et techniciens et causée des dégâts importants.

Les avocats de la défense ont pu prouver et tout le monde se souvient Guillaume Soro en sa qualité de chef de guerre donnant l’ordre à  ses troupes  depuis l’hotel du Golf de marcher sur la Radio et tout le monde se souvient des résultats.

 

3eme accusation mensongère et usage de faux 

Laurent  Gbagbo n’a pas reconnu le résultat des urnes. Faux.

C’est Ouattara qui n’a pas reconnu les résultats des urnes dans la mesure où  le conseil constitutionnel après vérification a déclaré Laurent Gbagbo vainqueur.

4eme accusation mensongère et usage de faux 

Ce sont les forces loyale a la Cote d’ivoire qui étaient le commando invisible qui attaquant les commissariats. Faux

Alors que les preuves de la défense et le monde entier a pu observer les hommes de Ibrahim Coulibaly alias IB semer la terreur au sein de la population d’Abidjan pendant la période post électorale.

Duekue14

5eme  accusation mensongère et usage de faux 

Laurent Gbagbo ne voulait pas négocier. Faux.

La réponse vient du président de l’Union Africaine d’alors  Obiang Guema qui vient de faire une déclaration en rappelant aux esprits tordus qu’il avait convaincu le président Gbagbo de laisser le pouvoir et que celui-ci avait accepté bien qu’ayant remporté les élections, mais c’est Alassane Ouattara et sa communauté internationale qui n’en voulait.

La liste de ces mensonges est infinie. D’où la question suivante :

La CPI est-elle une cours de justice ou une cour d’injustice ?

Que feront les Africains si malgré le tas de mensonges des procureurs Le président Laurent Gbagbo n’est pas remis en liberté  voire condamné sur une base mensongère?

En tout cas une chose est maintenant certaine, les accusations des procureurs ne peuvent pas constituer des charges devant une cour de justice respectable.

Cette audience de confirmation ou d’infirmation des charges a été une occasion de dire au monde entier ce qui s’est réellement passé en Cote d’Ivoire.

Ces audiences sont le procès des medias d’intox et de la communauté dite internationale et ses supplétifs Africains et non celles du président Laurent Gbagbo.

Quelque soit la suite qui sera donné aux multiples audiences de la CPI. Le président Laurent sort de la crise post électorale la tête haute. Indirectement on reconnait a travers les mensonges de la CPI et les preuves de la défense qu’il est celui qui a été élu et qu’il reste le seul capable d’apporter la paix dans LE PAYS D’EBURNIE.

Par Mbombog Ntohol

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GLÔGLÔ de PANAME n°3 -

27 Février 2013 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

GLÔGLÔ de PANAME n°3 -

Rubrique des bons plans, présentée par la ravissante Salome DICKA : 

 

 

                              


 

Cliquer ci-dessous en cas de probleme.

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=QJ0Hs_XWW3c&feature=youtu.be

 

 

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