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droits humains

Pourquoi la guerre ne sert à rien du tout !

12 Mai 2019 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains, #Droit de l'homme

Cette histoire est la votre.
Il faut la connaitre. 

ARCHIVES D'AFRIQUE | GUERRE DU BIAFRA 

 

2 millions de morts, 5 millions de déplacés  et plus de 3 millions de réfugiés! Pour rien !

 

Paris, Palais de l'Élysée un matin de 1966, Jacques Foccart sort du bureau du Général de Gaulle, la décision est prise! La France va soutenir le Biafra !

 

En effet, le Général Yakubu Gowon au pouvoir au Nigeria a déclaré  : " oil is for all Nigerians and for all the Nation"!

 

Le Pétrole de la région du Delta va donc échapper aux dignitaires Ibgos qui contrôlent les riches terres et qui traitent avec de grands groupes pétroliers !

 

Emeka Ojukwu, le Gouverneur de la région de l'Est, refuse alors de reconnaître l'autorité de Yakubu Gowon et déclare que tous les revenus du Pétrole de la Région seront réquisitionnés!

 

Les sociétés pétrolières décident de traiter directement avec le Biaffra !

 

Le 30 Mai 1967, Ojukwu proclame l'indépendance de la région, qui prend le nom de "République du Biaffra" avec Enugu pour capitale!

 

Le Biafra est aussitôt reconnu par la Tanzanie, la Zambie, Haiti, le Royaume-Uni, le Gabon et la Cote D'Ivoire.

 

Les Présidents Houphouët et Bongo soutiennent les opérations du Biaffra qui sont coordonnées par l'ambassadeur de France au Gabon, Maurice Delauney avec comme adjoint Jean Mauricheau-Beaupré, basé à Abidjan.

 

La France qui préfère attendre l'évolution des opérations pour reconnaître le Biafra, finance l'opération, fournit des armes via la Côte d'Ivoire et le Gabon; met les mercenaires de Bob Denard et les paras du 1er REP à la disposition de l'armée biafraise de Ojukwu qui compte alors environ 100 000 hommes!

 

Juillet 1967, les forces biafraises attaquent et prennent le contrôle des deux tiers des réserves de Pétrole du Nigeria!

 

Pendant quelques semaines, le Biafra semble avoir le contrôle et prévoient  progresser jusqu'à Lagos .

 

C'était mal connaître le Général Yakubu Gowon qui met en place un État Major tactique composé de : Murtala Mohammed, Benjamin Adekunle, Olusegun Obasanjo, Mohammed Shuwa, Musa Yaradua,Theophilus Danjuna, Ibrahim Haruna,Ipoola Alani,Ted Hamman, Muhamadu Buhari, Ibrahim Babangida, Isaac Boro et Idriss Garba.

 

Yukubu Gowon mobilise 120 000 soldats de la Nigerian Army composés de combattants venus de Zaria, Kano, Maiduguri, Sokoto, Jos, Ibadan, Kaduna et lance des contres offensives !

 

Les soldats du Biafra et les mercenaires de Bob Denard ne tiennent pas devant la puissance de feu des NAF! Les villes de Ogoja, Nsukka et l'île de Bonny tombent dès le 30 Mai 1967!

 

Entre temps, Yakubu Gowon reçoit un important appui de l'Égypte qui lui envoie des avions de chasse Mig 17 et des avions bombardiers Il-28!

 

Le 28 Septembre 1967, les Commandos de la Nigerian Army de Theophilus Danjuna mettent en déroute les paras du 1er REP français et prennent la ville Enugu, la capitale du Biaffra !

 

Voyant le rapport de force, la Grande Bretagne lâche le Biafra et apporte son soutien à Yakubu Gowon !

 

Yakubu Gowon ayant également reçu des appuis de Moscou ordonne à Murtala, Adekunle, Shuwa, Isaac et Idriss Garba de lancer des offensives sur la ville pétrolière stratégique de Port Harcourt qui tombe finalement le 24 Mai 1968

 

Malgré des renforts de Légionnaires français venus de Guyane, du Gabon et de Côte D'Ivoire, les Bataillons de Yaradua, Ipoola et Ted font tomber le QG de Ojukwu situé dans la ville de Umuahia le 22 Avril 1969 !

 

Les commandos de Obasanjo et Buhari prennent le contrôle de Owerri le 9 Janvier 1970!

 

Depuis Enugu, Murtala Mohammed appelle Yakubu Gowon et lui dit : Mister President, it is over ! We are on total control !"

 

Yakubu Gowon a gagné ! Son État Major a repris toutes les villes, tous les aéroports, des ports et de tous les secteurs pétroliers stratégiques !

 

Défait, Emeka Ojukwu se réfugie en Cote D'Ivoire !

 

Le Général de Gaulle est furieux !

Les Présidents Houphouët et Bongo accusent Jacques Foccart de les avoir mis "dans une fausse affaire!"

 

La guerre du Biafra à fait 2 millions de morts, près de 5 millions de déplacés  et plus de 3 millions de réfugiés! Pour rien !

 

Aujourd'hui, le vieux Général Yakubu Gowon vit une retraite paissible.....

 

Aujourd'hui, le Gabon est un partenaire important du Nigeria

 

Aujourd'hui le Nigeria est le 1er client de la Cote D'Ivoire !

 

Aujourd'hui le Nigeria est le 1er partenaire commercial de la France en Afrique Noire !

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ALERTE INFO:Une cinquantaine de femmes du parti d'Édith KAH WALLA, le CPP viennent d'être arrêtées à Yaoundé

9 Mars 2018 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

ALERTE INFO:Une cinquantaine de femmes du parti d'Édith KAH WALLA, le CPP viennent d'être arrêtées à Yaoundé

Urgent Une cinquantaine de femmes du parti de Édith KAH WALLA, le CPP viennent d'être arrêtées à Yaoundé au lieu dit #Hôtel #Duplateau non loin du siège du parti par la police alors qu'elles manifestaient pacifiquement pour demander au Président de la République d'arrêter les tueries en zone anglophone. Précisons que parmi ces femmes qui viennent de tous les coins du triangle national, une a un enfant en main. La Présidente KAH WALLA se bat actuellement pour savoir où on les conduit. Nous y reviendrons. LARGE DIFFUSION Paul CHOUTA (PC)/Le TGV de l'info

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Cameroun: Maître Akere Muna appelle les francophones à la solidarité

16 Août 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

Maître Akere Muna Avocat à la cours pénale internationale

Maître Akere Muna Avocat à la cours pénale internationale

Cameroun - Maître Akere Muna aux francophones: «Il est temps de proclamer l’indivisibilité de la liberté»

Dans ce qu’il a intitulé: «Deuxième lettre à mes frères francophones», Maitre Akere Muna appelle ses compatriotes francophones à « confondre et intriguer » tous ceux qui veulent diviser le Cameroun pour leurs intérêts personnels et égoïstes.

L’ancien bâtonnier de l’Ordre des avocats du Cameroun déplore la tournure que prend le procès contre les leaders anglophones au Tribunal militaire de même que le traitement infligé à Paul Ayah Abine, ancien avocat général près la Cour Suprême « injustement » incarcéré au Secrétariat d’Etat à la Défense (SED). « Lorsqu’alors mes éminents confrères m’ont relaté ce qui s’est passé lors de la dernière audience du Tribunal militaire de Yaoundé le 29 juillet 2017 dans l’affaire Agbor Bala, Dr Fontem, Mancho Bibixy et autres, j’en ai été profondément affligé et perturbé. Affligé et perturbé parce que cela aurait pu être vous ou moi, non pas parce que nous sommes anglophones ou francophones, mais parce que nous sommes tous censés être des citoyens d’un même pays.» Ecrit-il, rappelant qu’il « s’agit d’un procès dans lequel tous les accusés sont des anglophones et tous ceux qui les jugent sont des francophones ».

Selon Maitre Akere Muna, ces leaders anglophones qui auraient pu selon lui sur la base des déclarations des témoins clés lors de la dernière audience, le 29 juillet 2017 ont été arrêtés pour avoir revendiqué leurs droits, pour avoir marché pacifiquement, pour avoir demandé de meilleures conditions de travail dans leur corporation et un mieux être pour tous. « Ils l’ont fait en proclamant leur citoyenneté - citoyenneté qu’ils croyaient leur conférer le droit à la liberté d’expression, le droit à la protection et leur garantir une solution à leurs revendications. Au contraire, ils ont rencontré en face d’eux une répression sans précédent, des arrestations, des transferts et un procès qui a pris huit mois pour commencer. Et sans aucune issue en vue… » Regrette-t-il.

Il appelle ses compatriotes francophones épris de justice et partisan de la liberté d’expression à la solidarité.  « À mes sœurs et frères francophones, je dis ceci : il est temps de proclamer l’indivisibilité de la liberté. En tant que nation, nous sommes vous, et vous êtes nous. Je ne prendrais pas de détours pour dire que je suis francophone, si cela signifie s’identifier à ce qui est juste et qui contribue à la construction de notre société », demande-t-il. Il les invite à cet effet à relayer via leurs réseaux sociaux, ce message unificateur en ces temps de crise: « Je suis anglophone ».  « Ce message viendra confondre et intriguer tous ceux qui veulent nous diviser pour leurs intérêts personnels et égoïstes. Même en dehors des réseaux sociaux, faites-le savoir à vos voisins, à vos collègues, à vos camarades de classe, et à vos connaissances, que vous êtes tous ensemble pour lutter contre l’injustice, et que vous êtes déterminés à défendre leurs droits », note l’avocat camerounais.

 

Deuxième lettre à mes Sœurs et Frères et Francophones

Le caractère indivisible de la liberté

« La liberté est indivisible, et quand un seul homme est réduit en esclavage, aucun autre n’est libre. Quand tous seront libres, alors nous pourrons attendre le jour où cette ville ne sera plus divisée, le jour où ce pays divisé ne fera plus qu’un… ».

Tel est l’extrait du légendaire discours de Berlin du président John F. Kennedy dans lequel il fit cette déclaration qui avait secoué Berlin, et partant, le monde entier: « Ich been ein Berliner ». En fait, il disait que si une seule personne n’est libre, quelle que soit son origine, personne ne peut prétendre être libre. C’est un discours qui a inspiré le fameux mot-clic « #Je suis Charlie Hebdo », après le meurtre barbare perpétré par des terroristes au bureau du journal français Charlie Hebdo. En effet, le monde entier s’était montré solidaire face à la douleur et à l’indignation qui s’étaient emparées de Paris et des Français. Le président Kennedy s’était lui-même inspiré d’un recueil de discours prononcés par Cicéron en 70 avant JC. En déclarant simplement cette phrase latine « Civis rumanus sum », traduite par « Je suis un citoyen romain », on pouvait ainsi prétendre au même droit de protection qu’un citoyen romain.

Lorsqu’alors mes éminents confrères m’ont relaté ce qui s’est passé lors de la dernière audience du Tribunal militaire de Yaoundé le 29 juillet 2017 dans l’affaire Agbor Bala, Dr Fontem, Mancho Bibixy et autres, j’en ai été profondément affligé et perturbé. Affligé et perturbé parce que cela aurait pu être vous ou moi, non pas parce que nous sommes anglophones ou francophones, mais parce que nous sommes tous censés être des citoyens d’un même pays. Il s’agit d’un procès dans lequel tous les accusés sont des anglophones et tous ceux qui les jugent sont des francophones. Deux courageux haut gradés en tenue, sachant bien les éventuelles conséquences de ne pas se conformer, et faisant fi de toute menace qu’ils pourraient subir face au régime en place, ont dit la vérité en déclarant qu’ils n’avaient pas vu ces prévenus commettre les actes de violence qui auraient été perpétrés, et pour lesquels ces personnes étaient poursuivies. Ces nouvelles déclarations des témoins clés qui ont ouvert la célèbre affaire ont-elles pu faire libérer nos compatriotes ? Que non, ceux-ci croupissent encore dans les geôles.

Ils ont été arrêtés pour avoir revendiqué leurs droits, pour avoir marché pacifiquement, pour avoir demandé de meilleures conditions de travail dans leur corporation et un mieux être pour tous. Ils l’ont fait en proclamant leur citoyenneté - citoyenneté qu’ils croyaient leur conférer le droit à la liberté d’expression, le droit à la protection et leur garantir une solution à leurs revendications. Au contraire, ils ont rencontré en face d’eux une répression sans précédent, des arrestations, des transferts et un procès qui a pris huit mois pour commencer. Et sans aucune issue en vue…

Au lieu d’être les citoyens qu’ils se targuaient d’être, ils se font désormais appeler anglophones, terroristes et sécessionnistes. Tout autre Camerounais, qu’il soit francophone ou anglophone, aurait pu soulever la problème de l’injustice et de la mal gouvernance. C’est un mal qui prend de l’ampleur dans notre société. Si vous et moi sommes libres, c’est juste parce que nous nous sommes résignés à la situation actuelle. Nous en sommes arrivés à accepter et dire qu’il est normal que certains détournent les fonds publics sans être appelés à rendre des comptes, que certains abusent de leurs pouvoirs et pratiquent le népotisme à ciel ouvert, tout en donnant des leçons de patriotisme aux autres, cherchant ainsi à nous distraire de cette réalité, et de nous diviser par l’étiquetage et la stigmatisation. Même le Commissaire du Gouvernement du Tribunal militaire qui avait suivi cette affaire depuis le début a été affecté à Ebolowa. Est-ce parce qu’il avait refusé de s’opposer à la libération sous caution ? Est-ce parce qu’il s’était accroché au code de procédure ? Ce code qui garantit vos droits et les miens.

La liberté est indivisible. Nous ne pouvons pas prétendre jouir d’une quelconque liberté lorsque nos concitoyens sont incarcérés injustement. Le juge Ayah Paul, membre de la plus haute juridiction de notre pays, mon camarade de lycée, (que de façon tout à fait prémonitoire nous appelions « juge incorruptible» après une pièce de théâtre dans laquelle il jouait le rôle du juge- et n’étions alors âgés que de 16 ans) aura passé plus de 200 jours de détention. Nous ignorons encore pourquoi bon nombre de Camerounais anglophones comme francophones, des leaders respectables dans notre société, des responsables du Barreau de nombreux pays, des officiels des Nations Unies, de International Crisis Group, de l’Union Africaine et de plusieurs autres organisations ont plaidé pour la libération de ces victimes qui se battent pour notre liberté.

Lors de la messe de requiem en la mémoire Mgr Jean-Marie Benoit Bala (un autre cas mystérieux dans notre pays), un ministre de culte a déclaré dans son homélie : « Le vrai pouvoir n’est pas violent, le vrai pouvoir construit la paix, le vrai pouvoir construit le développement de la nature sacrée du genre humain ». Dans cette homélie poignante, le Révérend Père Joseph Akonga Essomba a poursuivi: « Dans cette vie, il y en a qui sont considérés comme des fous du fait qu’ils ne se soucient pas d’eux-mêmes, mais de l’importance de leur mission ici bas ». Est-ce pour cette raison que ceux qui se battent pour nos libertés et notre bien-être sont taxés de terroristes? Y a-t-il des personnes qui se sentent menacées et terrifiées par la vérité?

À mes sœurs et frères francophones, je dis ceci : il est temps de proclamer l’indivisibilité de la liberté. En tant que nation, nous sommes vous, et vous êtes nous. Je ne prendrais pas de détours pour dire que je suis francophone, si cela signifie s’identifier à ce qui est juste et qui contribue à la construction de notre société.

J’invite tous les francophones qui auront lu cet article à relayer via leurs réseaux sociaux, ce message unificateur en ces temps de crise: « Je suis anglophone ». Ce message viendra confondre et intriguer tous ceux qui veulent nous diviser pour leurs intérêts personnels et égoïstes. Même en dehors des réseaux sociaux, faites-le savoir à vos voisins, à vos collègues, à vos camarades de classe, et à vos connaissances, que vous êtes tous ensemble pour lutter contre l’injustice, et que vous êtes déterminés à défendre leurs droits.

Oui, vous devez le proclamer : «Je suis anglophone», et ce faisant, vous aurez donc, selon le Révérend Père Akonga, réfuté la réponse de Caïn de la Bible, à la voix qui lui avait demandé où était son frère Abel. En effet, Caïn avait répondu: « Suis-je le gardien de mon frère? ». Oui, nous le sommes, a affirmé avec véhémence le Révérend Père. «Nous sommes les gardiens de nos frères ». C’est pourquoi l’asservissement de l’un de nous équivaut à l’asservissement de nous tous. La liberté est en effet indivisible. Chacun de nous doit proclamer: «Je suis anglophone». Ainsi nous serons tous appelés terroristes, si c’est la rançon à payer pour le salut de notre nation. Épictète, le philosophe grec, a dit quelque chose sur lequel nous pourrions aussi réfléchir : « Aucun homme n’est libre s’il n’est maître de lui-même ». C’est ce dont les Camerounais ont besoin maintenant.

C’est-à-dire la liberté qui leur permet d’être eux-mêmes. Celle qui respecte leur diversité et en fait une richesse exceptionnelle. Celle qui leur accorde l’égalité des chances et l’égalité devant la loi. Celle qui récompense le mérite, le dur labeur et l’intégrité en refusant l’impunité. Celle qui les fera clamer avec fierté : « C’est le Cameroun, mon pays, ma chère patrie ! »

*Akere Muna*

 

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APPEL DE CLAUDY SIAR A L'ENDROIT DES RESPONSABLES POLITIQUES AFRICAINS

25 Mai 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

APPEL DE CLAUDY SIAR A L'ENDROIT DES RESPONSABLES POLITIQUES AFRICAINS

 

https://youtu.be/msMmuwuw1Jc

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L’Algérie dit non aux drones anti-immigration clandestine

27 Mai 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

L’Algérie dit non aux drones anti-immigration clandestine

 

L’Algérie dit non aux drones anti-immigration clandestine

 

 

L’Algérie a répondu par un niet catégorique à la demande de l'Union européenne d’installer sur son sol des drones anti-immigration clandestine. Pour l’Algerie la solution du problème de l’immigration clandestine ne relève pas d’une fiction technique mais d’une solution politique à la crise libyenne, et ces drones ne pourront que constituer un danger stratégique pour le Pays : l’espionnage !

L'Algérie a refusé une demande de l'Union européenne (UE) la sollicitant de mettre en place une plate-forme sur son sol qui servirait de base pour des drones chargés de repérer en mer toute tentative de migrants clandestins de traverser la Méditerranée, a indiqué dimanche à Xinhua une source diplomatique algérienne. L'UE a, selon cette même source, souhaité implanter cette base au niveau de la province côtière d'Ain Temouchent, située à 500 km à l'ouest d’Alger.
Cette demande formulée par l'UE s'inscrit dans le cadre d'un plan de lutte contre l'immigration clandestine qui consiste, selon la même source, à mettre en place des plates-formes pour drones dans des îles et des villes côtières des pays des deux rives de la Méditerranée occidentale. Même si la source n'a pas donné les raisons de ce refus, des observateurs estiment que l'Algérie craindrait que ce genre de système de surveillance soit utilisé pour de l'espionnage.
Pour l’Algérie la solution du problème de l’immigration clandestine ne relève pas d’une fiction technique, la crise tragique de l'immigration clandestine en Méditerranée ne pourra être résolue sans stabilisation de la situation en Libye. "La seule solution aujourd'hui est la paix (en Libye) et la stabilité des institutions", a vait confirmé la diplomatie algérienne durant toutes ses interventions devant les instances internationales.
Noton que, ce type de drones, le système, nommé VADER – pour “Vehicle And Dismount Exploitation Radar” – a d’abord été testé en Afghanistan, via un drone Predator utilisé pour suivre les mouvements des insurgés. D’abord employé contre les Talibans en Afghanistan, testé à la frontière américano-mexicaine ont permis de capturer près de la moitié des 4000 clandestins détectés,  mais 1962 autres clandestins ont pu s’échapper , ce qui soulève des questions sur le nombre de personnes qui parviennent chaque jour à passer sans être détectées et l'efficacité de cet appareil dont l'Union européenne veut l’essayer sur le sol algérien,  ce n’est que pour espionner l’Algérie.
Cependant avec la  guerre civile qui s’éternise en Libye, quelque 218.000 migrants avaient tenté de traverser la Méditerranée en 2014. Au moins 3.500 d'entre eux avaient trouvé la mort, selon le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.

 

Source: http://m.reflexiondz.net

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Burundi:Assassinat crapuleux de l'opposant Zedi Feruzi, jusqu'où iront Nkurunziza et ses chiens?

25 Mai 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

Burundi:Assassinat crapuleux de l'opposant Zedi Feruzi, jusqu'où iront Nkurunziza et ses chiens?

Burundi:Assassinat crapuleux de l'opposant Zedi Feruzi, jusqu'où iront Nkurunziza et ses chiens?

 

Des milliers de personnes se sont mobilisées le dimanche 24 mai 2015 pour accompagner l'opposant Zedi Feruzi à sa dernière demeure. Farouche opposant au troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, le chef de l'UPD, un parti de l'opposition a été froidement abattu par des hommes ayant pris la fuite et portant un temoin blessé, des uniformes de la garde présidentielle.

Après cet assassinat crapuleux, l'on se pose la question de savoir jusqu'où iront Pierre Nkurunziza et ses chiens tueurs? Et jusqu'a combien de victimes la communuaté internationale devra-t-elle comprendre la nécessité d'arrêter ces massacres inutiles juste parce qu'un homme et son clan voudraient rester longtemps au pouvoir.

Saluant la détermination et l'endurance du peuple burundais, le Noyau politique du MCCD lui rassure de son soutien. Il faut tenir bon. La victoire est certaine quelque soit la durée.

Source: La Voix du peuple libre

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Concernant le viol des enfants centrafricains : Mr Jean-Pierre Chevènement déclare : il faut laisser l'armée française au dessus de tout cela parce qu'elle rend beaucoup de services à l'Afrique.

5 Mai 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

Jean Pierre Chevenement ancien ministre français

Jean Pierre Chevenement ancien ministre français

Concernant le viol des enfants centrafricains : Mr Jean-Pierre Chevènement déclare : il faut laisser l'armée française au dessus de tout cela parce qu'elle rend beaucoup de services à l'Afrique.

 

      Invité de l'émission Europe 1 Dimanche soir d'hier 03 mai, Jean-Pierre Chevènement  ancien ministre français justifie le viol des enfants Centrafricains par le fait que les conditions de travail des militaires français sont très difficiles et ceux-ci sont confrontés à des populations malheureuses, abandonnées.

Pour lui : "Il est clair que le fait de se trouver au contact des populations malheureuses, abandonnées peut  favoriser les comportements de ce type''.

En gros, se retrouver face des populations malheureuses développe des instincts de violeurs.

Choquée par ce propos, la journaliste qui l'interviewe le recadre: " Quelque soit le contexte, pardonnez moi, aussi sombre soit-il et François Hollande l'a rappelé; il faut être implacable face à ce qui s'est passé". 

Pour Chevènement, il faut laisser l'armée française au dessus de tout cela parce qu'elle rend beaucoup de services à l'Afrique: " Surtout, laissons l'armée française au dessus de tout cela parce que l'armée française rend beaucoup de services; elle s'acquitte avec beaucoup de professionnalisme des tâches qui lui sont confiées".

Le viol des femmes et des enfants africains est un phénomène qui date de très longtemps et qui a connu son apogée avec l'esclavage et la colonisation.

Dès 1632, le peintre flamand,  Christiaen van Couwenbergh  (1604-1667), réalisa un tableau que l'on peut retrouver fièrement exposé en France au musée de Strasbourg. Dans cette toile intitulée « le rapt de la négresse » ou « le viol de la négresse » deux jeunes Européens, nus, s'apprêtent à violer une noire. 

L'actualité récente nous montre que l'habitude coloniale de violer des femmes et jeunes enfants africains est encore largement admise dans les mentalités françaises du XXIe siècle. Dans l'imaginaire de certains occidentaux, on peut encore violer la "négresse" en toute impunité. On comprend alors pourquoi Chevènement essaie de justifier le viol des enfants Centrafricains par les militaires français.

Ecoutez-plutôt : https://www.youtube.com/watch?v=MTPqx1qzMZ0

Wake Up africa

Source : Cameroonvoice

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Comment l’ONU a couvert la sodomisation de l’avenir de la Centrafrique.

3 Mai 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

Comment l’ONU a couvert la sodomisation de l’avenir de la Centrafrique.

Comment l’ONU a couvert la sodomisation de l’avenir de la Centrafrique.

Un rapport de l’ONU avance que des hommes de «Sangaris» auraient abusé d’enfants. Une enquête a été ouverte.

Un rapport des Nations unies, relayé par le quotidien britannique The Guardian, accuse des troupes internationales, et particulièrement les soldats français de l’opération «Sangaris», d’avoir commis des viols en 2014 sur de jeunes garçons en Centrafrique. La capitale, Bangui, était alors soumise à de terribles combats entre les miliciens chrétiens anti-balaka et les musulmans de la Séléka. Des milliers de civils avaient alors fui les quartiers de Bangui pour trouver refuge dans les environs de l’aéroport de M’Poko. C’est dans ce camp de réfugiés que les viols auraient été commis «courant juin 2014», selon une source jointe mercredi à Bangui. Le texte du rapport, révélé mercredi par The Guardian, avance que des soldats de Sangaris auraient abusé de jeunes enfants des rues, dont l’un n’aurait pas 9 ans.

 

Autres sujets sur le viol en Afrique impliquant l’ONU

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La révolution est en marche au Burundi…

3 Mai 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

La révolution est en marche au Burundi…

La révolution est en marche au Burundi…

 

Le 18 février 2015, le monde s’est réveillé devant un spectacle d’un Burundi nouveau. La marée humaine spontanée dans les rue de Bujumbura pour saluer la libération de Bob Rugurika a marqué les esprits. Désormais il y a un avant et un après 18 février! Depuis ce jour la peur a changé de camp, le ras-le bol est perceptible. La grande majorité de burundais ont souffert d’une décennie de misère, de  privations, de pleurs et de deuil. Le moment est venu de crier le « trop , c’est trop! »

 

Aujourd’hui à 17h30 devant le  Village Market, non loin de la banque BCB, une cohorte de policiers sont venus comme d’habitude dépouiller les pauvres commerçantes ambulantes; la réaction a été surprenante et immédiate: une pluie de jet de pierres qui fusait de partout a assailli les policiers. La camionnette qui venait de les déposer a pris le large laissant les pauvres policiers à leur propre sort. Ceux-ci ont quant à eux détalé. Il y a eu un policier blessé à la tête. Mais ces pauvres mamans commerçantes ont échappé à cette raquette d’aujourd’hui!

 

Il a raison, Nelson Mandela, lui qui déclare à cette brave population qui vient de secourir ces pauvres commerçantes ceci: « Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse ». Un autre auteur , Paulo Coelho, nous dévoile l’origine de cette force qui grandit depuis le 18 février dans ces termes: « La douleur d’hier est la force d’aujourd’hui ». C’est cette douleur qui dure depuis dix ans qui est le moteur de ce ras-le- bol, de cette révolution de mentalité. La roue du changement est en marche! La douleur a été grande, la force du changement sera conséquente!

Par Amandla…Ngawetu.

Source: http://mporeburundi.org/la-revolution-est-en-marche-au-burundi/

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Agression et vol sur le président de l’Addec

19 Février 2015 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains

Agression et vol sur le président de l’Addec

Agression et vol sur le président de l’Addec

 

L’Association pour la Défense des Droits des Etudiants du Cameroun (Addec) porte à la connaissance de la communauté estudiantine et universitaire  que le Président du Conseil Exécutif National BATOUM Thierry a été victime d’empoisonnement, agression et vol par un individu inconnu et jusqu’à présent non identifié.

En effet, c’est de son retour de la ville de Douala après une séance de travail avec une organisation de la société civile le mardi 10 février 2015, que le Président, soucieux d’honorer ses rendez-vous pour lejour suivant à Yaoundé, va prendre un ticket à l’agence FINEX pour un bus qui s’avèrera plein contrairement à ce qui était prétendu plus tôt.  Donc au lieu de 15h comme initialement espéré pour le départ, ce n’est que vers18h30 qu’il quittera l’agence à bord d’un autre bus immatriculé « LT 223 AZ » et c’est vers 20h30  que  celui-ci sortira de la ville. A bord, le Président se verra proposer au-delà du  péage de Mbankomo, un biscuit  d’un parquet à peine commencé par un individu à la place attenante à la sienne. C’est ce même individu de sexe masculin d’une trentaine années au ticket de numéro 26 quiavaitdéjà engagé avant l’embarcation une conversation avec le Président qui lui a le ticket de numéro 16, en sollicitant de ce dernier une réservation de place. Ce qu’il fera par affabilité.C’est également par affabilité qu’il goutera à ce biscuit proposé.

Ce chœur altruiste et bienveillant va s’avérer être inconvenant pour cet inconnu puisque le président va être groggy après avoir gouté ce biscuit. Celui-ci était en fait saupoudré de drogue. Ce malfaiteur sortira peu de  temps après avoir commis son forfait en emportant  le sac du Président contenant un laptot, des documents personnels et de l’association.C’est avecsursaut d’orgueil malgré son étatde léthargie qu’il va essayerde vérifier si son sac y est encore. Après avoir constaté la disparition de son sac,il va tenter d’avertir le chauffeur sur le geste de ce malfrat qui venait à peine de sortir du bus. Cette tentative  sera un échec désagréable puisque dans son élan il heurtera un objet d’intérieur, s’écroulera et perdra connaissance. Il ne rependra connaissance qu’à demi teint au petit matin à l’agence de FINEX Yaoundésur insistance d’un homme de bonne volonté -ne faisant pas partir de l’agence FINEX-. Le temps pour lui de fournir àce gentil homme un numéro d’assistance, il perdra à nouveau connaissance pour ne la reprendra qu’à l’hôpital d’Efoulan bien plus tard. Il ne sortira convalescent de cet hôpital quejeudi passé.Par ailleurs le frère du président a fait vite de porter au plainte contre X au Commissariat du 8éme arrondissement de Doualale mercredi 11 février 2015.

Dans cette semaine consacrée à la jeunesse et qui montre que celle-ci doit prendre son destin en main parce que les refrains réguliers ont montré leur limite et sont devenus assourdissant, ce geste irresponsable et répréhensible la déshonore. L’Addec exprime donc ses vives protestations et tient à rappeler que ce n’est pas la voie à suivre par les jeunes.

L’Addec est par ailleurs int0+-erloquée par le manque de collaboration de la direction de FINEX à Yaoundé tout comme l’attitude des agents de cette agence de voyage tout au longde la mésaventure de notre camarade.

                                                                                                          Le Secrétaire général

 

                                                                                                          TCHALEU Barthélémy

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