Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de afrohistorama.over-blog.com

Le peuple Burkinabé a délogé le dictateur et assassin Blaise Compaoré

30 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Blaise compaoré l'assassin de Thomas Sankara

Blaise compaoré l'assassin de Thomas Sankara

Le peuple Burkinabé a délogé le dictateur et assassin Blaise Compaoré le Dictateur de Ouagadougou.

 

Blaise Compaoré, l’assassin de Sankara doit nous dire qui a tué l'illustre Thomas Sankara.

 

Partout où il ira il trouvera sur son chemin un Africain qui lui demandera des comptes.

 

UN mandat d'arrêt international doit être lancé dès maintemant par le gouvernement d'union nationale.

La reconciliation de tous les Burkinabé aura lieu que si la justice pour thomas Sankara est règlée.

Un grand Bravo pour le peuple Burkinabé qui a balisé le chemin pour tous les autres peuples d'Afrique. Un bel exemple  de volonté populaire.

Afrohistorama communication

Lire la suite

Modification de l'article 37: La révolte s'intensifie contre Blaise Compaoré

28 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Thomas Sankara revient sur Ouaga a travers ses slogans. « La patrie ou la mort nous vaincrons »
Modification de l'article 37: La révolte s'intensifie  contre Blaise Compaoré
Lire la suite

Burkina Faso:Jusqu’où ira Blaise Compaoré l’assassin de Thomas Sankara ?

28 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Ouagadougou BURKINA FASO: Les spatules battent le macadam

Jusqu’où ira Blaise Compaoré l’assassin de Thomas Sankara ?

Lire la suite

L’obscurantisme religieux mauritanien enfin démasqué

28 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Biram Dah Président de IRA-Mauritanie

Biram Dah Président de IRA-Mauritanie

L’obscurantisme religieux mauritanien enfin démasqué

 

Note d’information d’alerte du Président Biram DAH ABEID

à l’endroit de la communauté nationale et internationale 

 

I. Le contexte

 

Vendredi, 24 octobre 2014, l'Imam de la grande mosquée de Nouakchott, consacrait son homélie, devant les fidèles, à l'appel au meurtre contre le président d'IRA, Biram Dah ABEID, prix de l'ONU pour la cause des droits de l'Homme en 2013 et prisonnier d'opinion récurrent, à cause de son combat contre l'esclavage et le racisme en Mauritanie.

 

L'Imam Ahmedou Ould Lemrabott Ould Habibourahman est un grand propriétaire d'esclaves et de domaines terriens ou triment des dizaines de familles esclaves au sud de Nouakchott, précisément à Ammara et Houbeira dans l'arrondissement de Lexeiba 2, département de R'Kiz, région du Trarza. Il est aussi le mufti attitré et officiel de la République Islamique de Mauritanie ; promoteur et dépositaire  de la Chaaria esclavagiste, l’imam est aussi un défenseur zélé des codes négriers qu’IRA-Mauritanie avait brûlés, de manière volontaire et symbolique, le 27 avril 2012 à Nouakchott. Ould Habirahman promeut et prétend contrôler la vie des gens dans le sens de la restriction et du fanatisme ; ses thèses obscurantistes, sa misogynie, sa xénophobie notoire, son racisme déguisé sous des dehors de puritanisme et sa loyauté à la dictature militaire le désignent à quelque outrage. Le susdit, s’est toujours dressé aux côtés du fort contre le faible, sans jamais oublier de se servir de son crédit acquis au nom de Dieu, pour s’enrichir à proximité du tyran.

 

Lors de l’évènement d’avril 2012, le « grand mufti des terres mauritaniennes » comme l’appelle la presse officielle, produisait une fatwa excommuniant, de l’Islam, Biram Dah Abeid et les militants abolitionnistes; selon lui, la loi de Dieu ordonne la mise à mort de ces personnes coupables de remettre en cause, de manière aussi osée, un pilier de la religion qu’est l’esclavage ; notre mufti joignait alors l’acte à la parole et organisait  une procession de la haine, dans les rues de Nouakchott, avec quelques centaines de ses disciples, depuis sa mosquée jusqu’aux grilles du Palais présidentiel.

 

Les marcheurs réclamaient, par des slogans et des pancartes, la peine de mort contre le leader et des membres d’IRA-Mauritanie. Le chef de l’Etat, Mohamed Ould Abdel Aziz les accueillait, par la promesse publique d’appliquer la peine capitale à Biram Dah Abeid et à ses compagnons. Or, après plusieurs mois d’incarcération, les détenus sont acquittés par la justice. Beaucoup d’hommes politiques et de notabilités arabo-berbères – toutes tendances confondues - mais surtout des soi-disant « érudits », comme le Mufti Imam de la grande mosquée de Nouakchott, continuent à rappeler, au chef de l’Etat Mauritanien, sa résolution non tenue.

 

Prêches et communiqués pressent l’Etat et les citoyens de tuer les « impies » membres d’IRA et leur dirigeant ; dès qu’IRA ou Biram Dah Abeid, remporte une bataille contre le système esclavagiste et raciste mauritanien, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays, la ligue de l’extrême droite conservatrice se réveille, resserre les rangs et tente de susciter des vocations au meurtre terroriste.

 

II. L’étincelle

 

En effet, le jeudi 23 octobre 2014, Biram Dah Abeid animait, à Nouakchott, une conférence de presse au cours de laquelle il diffusait une déclaration par les élus et associations citoyennes, de la ville de Chicago (USA), contre la persistance de l’esclavage en Mauritanie et la duplicité des autorités qui édictent ou ratifient des instruments protecteurs de la dignité et de la liberté mais persécutent, pourtant, les organisations et militants abolitionnistes.

 

En guise de réplique à l’appel de la ville de Chicago pour davantage de sévérité de la part de la communauté internationale contre l’impunité du crime raciste en Mauritanie, le mufti Ould Habibourahaman orienta son prône de ce vendredi 24 octobre contre IRA-Mauritanie et Biram Dah Abeid ; il les qualifia d’impies et d’apostats, de juifs à la solde du sionisme, d’ennemis de l’Islam et des musulmans et les accusa de vouloir mener le pays à l’implosion. Il appela - l’Etat Mauritanien et le Président de la république Mohamed Ould Abdel Aziz - à défendre l’Islam contre ses ennemis ; Ould Habibourahman réclame, des pouvoirs publics, une politique de coercition contre IRA et ses membres, qu’il  décrit comme la  cinquième colonne du judaïsme et de l’impiété en Mauritanie.

 

Parmi les fidèles dans la mosquée, Brahim Ould Jiddou, imam et grand militant au sein d’IRA-Mauritanie, se dressa, séance tenante, et cria, à la face du Mufti : « tu as menti, c’est toi le monstre, c’est toi l’impie, c’est toi l’esclavagiste, le criminel, point le président ni les membres d’IRA ».

Immédiatement, le mufti ordonna, aux disciples qui l’entourent, tous des arabo-berbères, d’attaquer son contradicteur et de le châtier ; ils se ruent alors sur le militant d’IRA pour le lyncher ; les autres fidèles Hratin s’interposent pour défendre Brahim Ould Jiddou ; s’ensuit d’abord une rixe puis une bataille rangée entre les deux groupes, à l’intérieur la mosquée ; la police intervient en grand nombre, vide l’oratoire et restaure l’ordre.

 

III. L’enjeu

 

Plus tard, dans la soirée, des membres de la Direction de la Sureté de l’Etat (Dse), viennent arrêter trois membres d’IRA, à leurs domiciles respectifs, dans la capitale : il s’agit de Brahim Ould Jiddou, auteur de la contradiction au mufti, Alioune Sow, activiste dynamique, courageux et souvent surveillé par les services de sécurité et Saloum Vall, militant d’une instance de base.

 

Tous sont retenus, depuis le 24 octobre, dans le commissariat de police de Tevragh Zeina à Nouakchott ; ils y subissent des interrogatoires sur les relations d’IRA avec les Ongs et la classe politique afro-américaine, voire de prétendues tentatives d’IRA de mener des actions de désobéissance civile à grande échelle en Mauritanie.

Aujourd’hui encore, 25 octobre 2014, les militants d’IRA qui observent un sit-in pacifique devant le commissariat de police ou sont gardés leurs amis, sont brusquement chargés à coup de bâtons et de bombes à gaz lacrymogènes par la police ; plusieurs personnes sont blessées ou se sont évanouies sous l’effet des gaz ; et deux militants d’IRA ont été en plus arrêtés : il s’agit de Baba Traoré et Yacoub Inalla, ce qui porte à cinq le nombre d’abolitionnistes arrêtés, alors que le mufti fauteurs de troubles et sa milice raciste, restent au dessus de la loi.

 

-       IRA-Mauritanie exhorte tous ses militants et sympathisants, en Mauritanie ou ailleurs, à se mobiliser largement pour soutenir les promoteurs de la liberté d’expression que sont Brahim Ould Jiddou et ses codétenus ;

-       Nous demandons, aux partenaires stratégiques de la Mauritanie, d’agir, à temps, pour prévenir la violence intercommunautaire ou le basculement du pays aux mains des partisans du fanatisme religieux, du racisme primaire ou de l’intolérance ; la protection et la défense des noirs de Mauritanie constituent le rempart le plus solide à la bokoharamisation, déjà très avancée, de la société et de l’Etat;

-       Nous exigeons, des autorités mauritaniennes, le devoir de sévir contre les orateurs de l’ordure qui exposent les mosquées à la sédition, par leurs discours de haine et d’incitation à tuer les défenseurs des droits fondamentaux de la personne.

 

De tels incidents relèvent des indices de la dissémination, dans notre sous-région, du modèle de Bokoharam et de l’Etat islamique qui sème la désolation et la barbarie au Moyen Orient et étend son influence en Afrique. Ould Habibourahman et ses disciples sont de la légion des précurseurs de ce modèle , sur le territoire de la Mauritanie.

 

                                                                                                                      Le 25 octobre  2014

 

                                                Par  Biram Dah ABEID

Dakar, République du Sénégal

 

Biram Dah ABEID

Président de l'Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste (IRA-Mauritanie)

President of the anti-slavery NGO IRA - Mauritania

 

Prix de l'ONU pour la cause des droits de l'homme, 2013
United Nations Human Rights Prize, 2013

Prix Front Line Defenders pour défenseurs des droits de l'homme en danger, 2013
Front Line Defenders Award, 2013
Prix de la ville de Weimar pour les droits de l'homme, 2011
Human Rights Prize of the city of Weimar, 2011

 

 

Lire la suite

Obama declenche la 3eme guerre mondiale

28 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Lire la suite

LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.

28 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.

SCOOP DE DERNIERE HEURE: LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE

(Voir document d'origine ci-dessous)

Le 12 Novembre 2012, fatigué d'attendre que le droit soit dit dans l'acharnement judiciaire dont il fait l'objet depuis Février 2008, Paul Eric Kingue (PEK) avait saisi le Groupe de Travail de L'ONU sur la détention arbitraire. Ce même Groupe, souvenez-vous, qui avait pris position dans les affaires Thierry Michel Atangana et Pierre Desiré Engo.

Il y'a quelques minutes seulement, Paul Eric Kingue (PEK) vient d'être notifié du fond de sa prison matériellement, de l'avis n° 38/2014 du groupe de travail des Nations Unies, adopté le 29 Aout 2014.

Cet avis qui tient lieu de décision après débats contradictoires entre l'Etat du Cameroun et Paul Eric Kingue reconnait explicitement l'arrestation et la détention de Paul Eric Kingue (PEK) comme arbitraire et enjoint l'Etat du Cameroun à mettre un terme à cette situation (détention) qui n'a que trop duré.

Par ailleurs, le Groupe de Travail des Nations Unies sur la détention arbitraire, demande à l'Etat du Cameroun de réparer les torts causés à ce détenu, du fait de cette longue détention.

Enfin, cet avis/recommandation des Nations Unies, vient mettre un terme sur les débats portant sur la détention arbitraire ou non de Paul Eric Kingue (PEK). En même temps, qu’il vient conforter les avis de toutes les organisations internationales (Amnesty International, Fédération Internationale des droits de l’Homme « FIDH », Transparency International, Commission National des droits de l’Homme et des Libertés « CNDHL ») sur cette détention incompréhensible, qui à jeté le discrédit sur la justice Camerounaise et contribué à ternir de manière irréversible l’image du Cameroun englué depuis plusieurs années, dans des violations barbares des droits de l’homme et piétinements ostentatoires de ses lois internes.

Avis donc à l’Etat du Cameroun dont les fonctionnaires zélés continuent à délabrer la petite image que peut encore porter ce pays.

A cette allure, il arrivera un temps où le budget du Cameroun ne sera destiné qu’à réparer les torts créés par une justice manipulée et très souvent rendue par des magistrats dont l’insuffisance professionnelle est caractérisée.

Le Cameroun ayant ratifié le pacte international sur les droits civils et politiques est tenu de respecter les décisions rendues par les Nations Unies et après cela, s’en prendre à lui-même du fait de l’impunité des ses magistrats qui vont dans tous les sens, foulant chaque jour du pied, les lois pourtant librement votées par les Députes à l’Assemblée Nationale et promulguées par le Président le République.

A titre de rappel, Paul Eric Kingue (PEK) a parallèlement à cette procédure dont la décision vient d’être rendue par l’ONU, saisi le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies pour la réparation des torts qui lui ont été créés dans la première affaire pour laquelle il était accusé d’avoir détourné la somme de CFA 1 400 000 frs, et au terme de laquelle il a été acquitté purement et simplement pour faits non établis. Pour les raisons de cet acquittement, sa plainte à l’ONU exige de l’Etat du Cameroun une réparation de 7 milliards de francs CFA.

A ce jour, la procédure dont décision vient d’être rendue par l’ONU est en instance à la Cour Suprême du Cameroun.

Le Cameroun prendra-t-il le risque de rendre à travers sa Cour Suprême une décision contraire à celle de L’ONU ? WAIT AND SEE…

LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
LA DECISION DE L'ONU DANS L'AFFAIRE PAUL ERIC KINGUE EST CONNUE.
Lire la suite

Disparition de nombreuses vidéos impliquant l’ONU dans le soutien à Daesh

26 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

DAESH=ETAT ISLAMIQUE

DAESH=ETAT ISLAMIQUE

Disparition de nombreuses vidéos impliquant l’ONU dans le soutien à Daesh

 

La journaliste Serena Chéhim avait annoncé monter un reportage incluant des vidéos montrant la responsabilité du Programme alimentaire mondial dans le transport des jihadistes de l’Émirat islamique (Daesh) entre la Turquie et la Syrie.

 

Cependant ce reportage ne sera jamais diffusé. La journaliste est décédée après que sa voiture ait été percutée par un poids lourd à la frontière syrienne, son caméraman a été grièvement blessé, et les bandes vidéos ont disparu.

Serena Chéhim avait la double nationalité, libano-états-unienne. Elle travaillait pour la chaîne d’information iranienne PressTV. [source]

La situation vue par L’Orient Le Jour :

Serena Chéhim, journaliste américano-libanaise travaillant pour la chaîne iranienne Press TV, a été tuée dimanche dans un accident de la route à la frontière syro-turque, rapporte son employeur. Pour la chaîne iranienne, l’accident semble suspect.

Mme Chéhim, âgée de 30 ans, couvrait depuis la Turquie les combats dans la ville frontalière de Kobané, Aïn el-Arab en langue arabe. Après avoir fait un reportage à Suruc (localité turque proche de la frontière syrienne qui accueille des milliers de réfugiés et qui est assiégée par l’État islamique), elle était en route pour son hôtel, lorsque son véhicule a percuté un poids lourd, précise Press TV. Le cameraman Judi July a été blessé et le chauffeur du poids lourd a été arrêté.

Press TV souligne que vendredi, Serena Chéhim lui avait exprimé sa peur d’être arrêtée par les services de renseignements turcs qui, selon ses propos, la suspectait d’être une espionne du fait de ses reportages sur la position des autorités turques à l’égard des jihadistes de l’EI.

Selon Press TV, Serena Chéhim avait indiqué avoir des informations sur des infiltrations de militants en Syrie via la frontière turque. Elle avait également indiqué avoir obtenu des images de ces militants traversant la frontière, dissimulés dans des camions d’ONG et du Programme alimentaire mondiale (Pam) de l’Onu.

Une affaire qui lui aurait couté la vie.

CIA ?

Dans un entretien avec Press TV, Rodney Martin, président de l’American Nationalist Association, a souligné que « Chéhim a été victime d’une opération secrète de l’Agence centrale de renseignements (CIA), très probablement avec la coopération de la Turquie qui avait accusé la journaliste d’espionnage parce qu’elle détenait des images démontrant l’aide des autorités turques à l’EI ».

La journaliste avait rejeté les accusations d’espionnage.

À ce propos et dans une vidéo postée sur le site de Press TV, Chéhim avait indiqué avant sa mort : « Je suis très surprise de cette accusation. J’ai même pensé à parler aux services de renseignements turcs pour dire que je n’ai rien à cacher et je n’ai fait que mon boulot. Cependant, je suis un peu inquiète parce que la Turquie est considérée par Reporters sans frontières comme une grande prison pour les journalistes, donc j’ai un peu peur. »

Le directeur des informations de Press TV, Hamid Reza Emadi, a déclaré hier : « Nous n’acceptons pas la version de l’accident. » « Nous pensons que le gouvernement turc doit être tenu responsable devant la communauté internationale. Il faut savoir exactement ce qui s’est passé », a-t-il ajouté.

La famille de la journaliste a également indiqué à Press TV ne pas croire la version de l’accident de la route. [source]

Note de la rédaction de Croah :

Le coup du camion, à la Coluche ! Et toutes les vidéos impliquant l’ONU dans le soutien à Daesh ont disparu… Volatilisées ! Envolées ! Aujourd’hui, ils ont tellement tous les pouvoirs et sont tellement sûrs de gagner qu’ils ne prennent même plus la peine de se cacher. Mais pas d’inquiétude, les complots n’existent pas, parait-il.

Source : Voltairenet.org

Lire la suite

Opération tous contre EBOLA

26 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 Fédération des Travailleurs Africains en France & en Europe (FETAFE)

Agence spécialisée de l’Organisation de l’Unité Syndicale Africaine  (OUSA)

Membre Observateur à l’Union Africaine (UA)

 

ORGANISE

Sous contrôle d’un Huissier

Opération 5 Euros

Par les membres de la Diaspora, érigée en une VI Région du Continent, et par d’autres bénévoles, pour lutter contre la Fièvre Ebola en Afrique. Venez participer activement.

 

TOUS  CONTRE  EBOLA

 Le  Comité de Pilotage     __________________________________________________________________________           10, Place des Sept Fontaines – 95150 Taverny / France Tél. 06 99 18 07 19 / 06 98 13 51 10  Mail : fetaf91@yahoo.fr

Le Comité de Pilotage __________________________________________________________________________ 10, Place des Sept Fontaines – 95150 Taverny / France Tél. 06 99 18 07 19 / 06 98 13 51 10 Mail : fetaf91@yahoo.fr

Lire la suite

5 ans de Boko-haramisation de l’Afrique en image ou Cinq Ans de Folie Meurtrière de Boko Haram en Photo.

26 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

5 ans de Boko-haramisation de l’Afrique en images

ou

5 Ans de Folie Meurtrière de Boko Haram en Photo.

Groupe Boko haram

Groupe Boko haram

Sur cette photo prise le lundi 13 octobre 2014, des  ex-otages Camerounais rencontrent le président  Paul Biya lors d'une réception à Yaoundé, au Cameroun. Paul Biya a reçu des 10 ex-otages Chinois et 17 Camerounais, qui ont été libérés de leur prison la semaine dernière après avoir été détenus quelques mois par des hommes armés supposés appartenir au groupe rebelle islamiste Boko Haram au Nigeria qui a multiplié des incursions au Cameroun. (AP Photo / Fabrice Ngon)

Sur cette photo prise le lundi 13 octobre 2014, des ex-otages Camerounais rencontrent le président Paul Biya lors d'une réception à Yaoundé, au Cameroun. Paul Biya a reçu des 10 ex-otages Chinois et 17 Camerounais, qui ont été libérés de leur prison la semaine dernière après avoir été détenus quelques mois par des hommes armés supposés appartenir au groupe rebelle islamiste Boko Haram au Nigeria qui a multiplié des incursions au Cameroun. (AP Photo / Fabrice Ngon)

Un agent non identifié montre des équipement brûlés à l'intérieur d'une prison de Bauchi, au Nigeria, le jeudi 9 septembre 2010, après que les membres de la secte musulmane radicale Boko Haram armés de fusils d'assaut ont lancé une attaque au coucher du soleil le mardi 7 septembre à la prison pour libérer plus de 100 de leurs adeptes détenus. L'assaut très organisé et coordonné a laissé la prison en ruines et a soulevé de nouvelles craintes d'un regain de violence au Nigeria, quelques mois avant les élections, et montre qu'ils ont accès à des armes sophistiquées. (AP Photo / Dimanche Alamba)

Un agent non identifié montre des équipement brûlés à l'intérieur d'une prison de Bauchi, au Nigeria, le jeudi 9 septembre 2010, après que les membres de la secte musulmane radicale Boko Haram armés de fusils d'assaut ont lancé une attaque au coucher du soleil le mardi 7 septembre à la prison pour libérer plus de 100 de leurs adeptes détenus. L'assaut très organisé et coordonné a laissé la prison en ruines et a soulevé de nouvelles craintes d'un regain de violence au Nigeria, quelques mois avant les élections, et montre qu'ils ont accès à des armes sophistiquées. (AP Photo / Dimanche Alamba)

Images d’archive prises le 25 décembre 2011 ; des spectateurs se rassemblent autour d'une voiture détruite près de l'église Catholique Sainte-Thérèse de Madalla, près de la capitale du Nigeria après une explosion pendant la messe de Noël dimanche, qui a tué des dizaines de personnes, selon les responsables. La secte musulmane radicale Boko Haram a revendiqué l'attaque et un autre attentat près d'une église dans la ville agitée de Jos, que les explosions ont également touchée dans le nord-est du pays. L'insurrection de Boko Haram a commencé avec des hommes en boubou à moto tuant leurs victimes les uns après les autres dans le nord-est poussiéreux et perdu, expédition qui s’est transformé en une lutte sectaire à l'échelle nationale. (AP Photo / Dimanche Aghaeze, File)

Images d’archive prises le 25 décembre 2011 ; des spectateurs se rassemblent autour d'une voiture détruite près de l'église Catholique Sainte-Thérèse de Madalla, près de la capitale du Nigeria après une explosion pendant la messe de Noël dimanche, qui a tué des dizaines de personnes, selon les responsables. La secte musulmane radicale Boko Haram a revendiqué l'attaque et un autre attentat près d'une église dans la ville agitée de Jos, que les explosions ont également touchée dans le nord-est du pays. L'insurrection de Boko Haram a commencé avec des hommes en boubou à moto tuant leurs victimes les uns après les autres dans le nord-est poussiéreux et perdu, expédition qui s’est transformé en une lutte sectaire à l'échelle nationale. (AP Photo / Dimanche Aghaeze, File)

Emir de Kano, Ado Bayaro, dans son palais de Kano, au Nigeria, le lundi 23 janvier 2012 L'émir de Kano et les politicien haut placés de l'Etat ont offert des prières lundi pour les plus de 150 personnes qui ont été tuées dans une série coordonnée d’attaques le vendredi par la secte islamiste radicale appelée Boko Haram, qui signifie «l'éducation occidentale est un sacrilège» en langue haoussa du nord du Nigeria. (AP Photo / Dimanche Alamba)

Emir de Kano, Ado Bayaro, dans son palais de Kano, au Nigeria, le lundi 23 janvier 2012 L'émir de Kano et les politicien haut placés de l'Etat ont offert des prières lundi pour les plus de 150 personnes qui ont été tuées dans une série coordonnée d’attaques le vendredi par la secte islamiste radicale appelée Boko Haram, qui signifie «l'éducation occidentale est un sacrilège» en langue haoussa du nord du Nigeria. (AP Photo / Dimanche Alamba)

Cette image tirée d'une vidéo postée le mercredi 10 janvier 2012 par des sympathisants de Boko Haram montre le chef de la secte islamiste radicale imam Abubakar Shekau. La vidéo de l'imam Abubakar Shekau confirme son leadership dans la secte connue sous le nom Boko Haram. Les analystes et des diplomates disent que la secte s’est scindée au fil du temps, avec un groupe responsable de la majorité des assassinats et des attentats à la bombe revendiquée par elle

Cette image tirée d'une vidéo postée le mercredi 10 janvier 2012 par des sympathisants de Boko Haram montre le chef de la secte islamiste radicale imam Abubakar Shekau. La vidéo de l'imam Abubakar Shekau confirme son leadership dans la secte connue sous le nom Boko Haram. Les analystes et des diplomates disent que la secte s’est scindée au fil du temps, avec un groupe responsable de la majorité des assassinats et des attentats à la bombe revendiquée par elle

Des femmes assistent au Nigeria, le mardi 6 mai 2014 à une manifestation devant le siège de la défense à Abuja, appelant le gouvernement à sauver les filles d’une école publique de Chibok prises en otage. Leur sort -- et l'échec de l'armée nigériane à les retrouver -- a attiré l'attention internationale sur l’escalade d’insurrection islamiste extrémiste qui a tué plus de 1.500 personnes jusqu'à présent cette année. Boko Haram, dont le nom signifie "l'éducation occidentale est un péché", a revendiqué cet enlèvement de masse et a menacé de vendre les filles. La demande a été faite dans une vidéo vue lundi. Les gouvernements britannique et américain ont exprimé leur inquiétude sur le sort des élèves disparues, et des manifestations ont éclaté dans les grandes villes du Nigeria et à New York. (AP Photo / Dimanche Alamba)

Des femmes assistent au Nigeria, le mardi 6 mai 2014 à une manifestation devant le siège de la défense à Abuja, appelant le gouvernement à sauver les filles d’une école publique de Chibok prises en otage. Leur sort -- et l'échec de l'armée nigériane à les retrouver -- a attiré l'attention internationale sur l’escalade d’insurrection islamiste extrémiste qui a tué plus de 1.500 personnes jusqu'à présent cette année. Boko Haram, dont le nom signifie "l'éducation occidentale est un péché", a revendiqué cet enlèvement de masse et a menacé de vendre les filles. La demande a été faite dans une vidéo vue lundi. Les gouvernements britannique et américain ont exprimé leur inquiétude sur le sort des élèves disparues, et des manifestations ont éclaté dans les grandes villes du Nigeria et à New York. (AP Photo / Dimanche Alamba)

5 ans de Boko-haramisation de l’Afrique en image ou Cinq Ans de Folie Meurtrière de Boko Haram en Photo.
En ce lundi 21 Avril, 2014 photo d'archives, quatre étudiantes de l'école secondaire publique Chibok, qui ont été enlevées par des hommes armés et on pu rejoindre leur famille marchent à à pied dans Chibok, Nigeria. Un groupe de la société civile a dit le mercredi 30 Avril 2014, que des villageois rapportent que des dizaines de filles et de jeunes femmes qui ont été récemment enlevées d'une école au Nigéria sont contraintes d’épouser des extrémistes islamiques. Un sénateur fédéral de la région, dans le nord du Nigeria presse le gouvernement d’obtenir une aide internationale pour sauver les plus de 200 filles manquantes enlevées par Boko Haram il y a deux semaines. (AP Photo / Haruna Umar, File))

En ce lundi 21 Avril, 2014 photo d'archives, quatre étudiantes de l'école secondaire publique Chibok, qui ont été enlevées par des hommes armés et on pu rejoindre leur famille marchent à à pied dans Chibok, Nigeria. Un groupe de la société civile a dit le mercredi 30 Avril 2014, que des villageois rapportent que des dizaines de filles et de jeunes femmes qui ont été récemment enlevées d'une école au Nigéria sont contraintes d’épouser des extrémistes islamiques. Un sénateur fédéral de la région, dans le nord du Nigeria presse le gouvernement d’obtenir une aide internationale pour sauver les plus de 200 filles manquantes enlevées par Boko Haram il y a deux semaines. (AP Photo / Haruna Umar, File))

Dans cette photo prise avec un iPad le vendredi 31 janvier 2013, des femmes et des enfants qui ont survécu à des attaques de Boko Haram sont réunis dans la cour de l'église catholique romaine de Saint-Paul, dans Wada Chakawa, Yola, au Nigeria. Auparavant, avant que le vigil finisse de donner l’alerte, les assaillants étaient dans l'église, verrouillant la porte principale, et faisant exploser des bombes artisanales et tirant dans la masses des fidèles. La fusillade a continué cependant que certains fidèle fuyaient par les fenêtres et la porte arrière de la sacristie. Certains ont été égorgés dans l'attaque de dimanche dernier dans l'église catholique romaine de Saint-Paul dans le village de Wada Chakawa dans le nord du Nigeria. (AP Photo / Ibrahim Abdulaziz)

Dans cette photo prise avec un iPad le vendredi 31 janvier 2013, des femmes et des enfants qui ont survécu à des attaques de Boko Haram sont réunis dans la cour de l'église catholique romaine de Saint-Paul, dans Wada Chakawa, Yola, au Nigeria. Auparavant, avant que le vigil finisse de donner l’alerte, les assaillants étaient dans l'église, verrouillant la porte principale, et faisant exploser des bombes artisanales et tirant dans la masses des fidèles. La fusillade a continué cependant que certains fidèle fuyaient par les fenêtres et la porte arrière de la sacristie. Certains ont été égorgés dans l'attaque de dimanche dernier dans l'église catholique romaine de Saint-Paul dans le village de Wada Chakawa dans le nord du Nigeria. (AP Photo / Ibrahim Abdulaziz)

Un homme passe devant un bâtiment brûlé à la suite d'une attaque de Boko Haram à Bama, au Nigeria, le jeudi, 20 février 2013 La dernière attaque par des extrémistes islamistes présumés dans le nord-est du Nigeria a laissé 115 morts, plus de 1.500 bâtiments rasés et quelques 400 véhicules détruits, selon des témoins jeudi, alors qu’un chef traditionnel accusé l'armée d'avoir peur d'affronter les insurgés. Assis au milieu des ruines fumantes de son palais, le shehu, ou roi de Bama, Kyari Ibn Elkanemi, a accusé le gouvernement de « manque de sérieux » dans sa volonté de mettre fin au soulèvement islamique dans une région couvrant un sixième du pays, et loin des puits de pétrole qui font du Nigeria le plus grand producteur de pétrole d’Afrique. (AP Photo / Jossy Ola)

Un homme passe devant un bâtiment brûlé à la suite d'une attaque de Boko Haram à Bama, au Nigeria, le jeudi, 20 février 2013 La dernière attaque par des extrémistes islamistes présumés dans le nord-est du Nigeria a laissé 115 morts, plus de 1.500 bâtiments rasés et quelques 400 véhicules détruits, selon des témoins jeudi, alors qu’un chef traditionnel accusé l'armée d'avoir peur d'affronter les insurgés. Assis au milieu des ruines fumantes de son palais, le shehu, ou roi de Bama, Kyari Ibn Elkanemi, a accusé le gouvernement de « manque de sérieux » dans sa volonté de mettre fin au soulèvement islamique dans une région couvrant un sixième du pays, et loin des puits de pétrole qui font du Nigeria le plus grand producteur de pétrole d’Afrique. (AP Photo / Jossy Ola)

Sur cette photo prise le lundi 28 octobre 2013, la police et les soldats se tiennent devant une caserne brûlée de l'armée suite à une attaque de Boko Haram à Damaturu au Nigeria. Les rapports militaires et hospitaliers nigérians indiquent que 5 longues heures de bataille entre les extrémistes et les troupes islamiques dans la capitale de l'Etat de Yobe de jeudi à vendredi dernier a tué au moins 90 militants, 23 soldats et huit policiers. (AP Photo)

Sur cette photo prise le lundi 28 octobre 2013, la police et les soldats se tiennent devant une caserne brûlée de l'armée suite à une attaque de Boko Haram à Damaturu au Nigeria. Les rapports militaires et hospitaliers nigérians indiquent que 5 longues heures de bataille entre les extrémistes et les troupes islamiques dans la capitale de l'Etat de Yobe de jeudi à vendredi dernier a tué au moins 90 militants, 23 soldats et huit policiers. (AP Photo)

Sur cette photo prise avec iPad on peut voir des douilles de cartouches utilisées par Boko Haram s’éparpiller sur le sol près d'une base de l'armée de l'air à Maiduguri, au Nigeria, le lundi 2 décembre 2013 . Selon des responsables et des témoins, des centaines de militants islamistes à bord de camions et un véhicule blindé volé ont attaqué un base de l'armée de l'air et l'aéroport international, à la périphérie d'une ville nigériane avant l'aube lundi, en laissant des dizaines de morts dans l'une des attaques les plus audacieuses du groupe d'insurgés. (AP Photo / Abdulkareem Haruna)

Sur cette photo prise avec iPad on peut voir des douilles de cartouches utilisées par Boko Haram s’éparpiller sur le sol près d'une base de l'armée de l'air à Maiduguri, au Nigeria, le lundi 2 décembre 2013 . Selon des responsables et des témoins, des centaines de militants islamistes à bord de camions et un véhicule blindé volé ont attaqué un base de l'armée de l'air et l'aéroport international, à la périphérie d'une ville nigériane avant l'aube lundi, en laissant des dizaines de morts dans l'une des attaques les plus audacieuses du groupe d'insurgés. (AP Photo / Abdulkareem Haruna)

L’ex-otage français Francis Collomp parle aux médias après une rencontre avec le président français François Hollande à l'Elysée à Paris, le vendredi 22 novembre 2013. Collomp a échappé à ses ravisseurs à Zaria, dans l'Etat nigérian de Kaduna et est arrivé à la station de police le plus proche, a déclaré le commissaire de police de l'Etat de Kaduna Olufemi Adenaike le 17 novembre, 2013. La police n’a identifié aucun suspect, mais le groupe dissident Boko Haram Ansaru avait revendiqué la responsabilité de son enlèvement. (AP Photo / Francois Mori). A SUIVRE....

L’ex-otage français Francis Collomp parle aux médias après une rencontre avec le président français François Hollande à l'Elysée à Paris, le vendredi 22 novembre 2013. Collomp a échappé à ses ravisseurs à Zaria, dans l'Etat nigérian de Kaduna et est arrivé à la station de police le plus proche, a déclaré le commissaire de police de l'Etat de Kaduna Olufemi Adenaike le 17 novembre, 2013. La police n’a identifié aucun suspect, mais le groupe dissident Boko Haram Ansaru avait revendiqué la responsabilité de son enlèvement. (AP Photo / Francois Mori). A SUIVRE....

Lire la suite

Cameroun : Comment organiser la Coupe d’Afrique des Nations lorsqu’acheter un avion nous dépasse

16 Octobre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : Comment organiser la Coupe d’Afrique des Nations lorsqu’acheter un avion nous dépasse

Cameroun : Comment organiser la Coupe d’Afrique des Nations lorsqu’acheter un avion nous dépasse

 

A mon Avis… Coupe d’Afrique 2019, le doute est permis sur la capacité du RDPC à organiser un tel évènement!. Incapable, d’organiser un congrès, incapable de réaliser ce qu’il a promis, incapable d’acheter un avion on se demande si notre pseudo gouvernement sera capable de construire, stades, routes, infrastructures hôtelières et de communication. Jusqu’à ce jour notre championnat d’élites se joue sur des champs de patates. Notre télévision nationale retransmet des rencontres sportives avec une caméra lorsque cela se fait avec une quarantaine de caméras ailleurs. Le public a fui les stades ou la pluie, le soleil, cognent dur ; pas de toilettes, les stades lieu de détente chez nous sont des endroits insalubres, incommodes.

Nos aéroports sont de qualité très moyenne. Il faut jouer sur pratiquement quatre stades. Les villes ont elle des aéroports viables ? Y a-t-il des routes pour relier nos villes ? Si déjà Douala et Yaoundé sont reliées par un axe ou dépasser un bus relève de l’exploit quid des autres routes ?L’eau, l’électricité seront-elles fournies de façon régulière et correcte ? On se pose la question à juste titre.


Nous sommes tous heureux d’organiser la CAN. Mais cinq ans c’est peu pour ce régime qui peine à assurer la sécurité de ceux qui sont censés assurer la notre. Si le boko haram n’est pas éradiqué dans les mois qui suivent, engager des travaux dans le grand nord pour accueillir des rencontres de la CAN comporte quelques risques. Et en ce cas, ou en cas de problèmes on envisagera une CAN sans une partie du territoire et du peuple camerounais.
Et dans les prochains mois, si Ebola ne s’est pas mêlé, si la sécurité n’est pas revenue, on envisagera de retirer cette organisation au Cameroun. Si on n’a pas payé des joueurs à temps, on peut construit des stades en retard.

De notre point de vue, il aurait fallu, s’occuper de notre développement d’abords et la CAN ensuite. Dans un pays ou tout est à refaire, organiser une manifestation de cette envergure n’est pas accueillir une dizaine de chef d’Etat !

Si pour nous aller sereinement à une compétition que d’autres organisent est un combat titanesque, comment en sera-t-il d’une compétition que nous organisons ? A ce jour tous les maux de notre football n’ont jamais été attaqués à la racine : que de décisions cosmétiques qui reviennent de façon cyclique.
En attendant de voir, acceptons ce cadeau de la CAF !

 

Par Kuissu Gérard
 

Source :ICICEMAC

Lire la suite
1 2 > >>