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Le blog de afrohistorama.over-blog.com

JOURNÉE D’INSCRIPTION SUR LES LISTES ÉLECTORALES À PARIS LE SAMEDI 22 JUILLET 2017 DE 11H A 16H !!

18 Juillet 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Politique

COMMUNIQUÉ

 

JOURNÉE D’INSCRIPTION SUR LES LISTES ÉLECTORALES À PARIS LE SAMEDI 22 JUILLET 2017 DE 11H A 15H !!

 

 

 

Le point focal ELECAM de Paris a donné son accord (voir courrier ci-joint). Ils seront présents samedi 22 juillet 2017 pour inscrire les camerounais sur les listes électorales et établir leur carte consulaire.

Les postulants pourront se faire établir la carte consulaire et la carte d’électeur en même temps.

 

Addresse: 73 Rue d'Auteuil, 75016 Paris, France

Tel: +33 1 46 51 89 00

 

Attention: les frais ne sont plus 10€ mais certainement 20€ pour la carte consulaires et des photocopie.

 

Pour le formulaire et les pièces à fournir, voir le lien ci-dessous:

 

http://www.congencamparis.com/dde_cc.html

 

Si possible, se vêtir en vert, rouge ou jaune.

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Infoline: 0626294329

EMAIL:oedc.info@gmail.com

 

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ZOGO CHRISTOPHE RENVOYE DE LA POLICE CAMEROUNAISE POUR ESCROQUERIE

16 Juillet 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

ZOGO JUNIOR CHRISTOPHE  RENVOYE DE LA POLICE CAMEROUNAISE  POUR ESCROQUERIE


Trois commissaires arrêtés pour escroquerie de deux journalistes françaises
Leur complice, un militaire, devrait être poursuivi par le ministère de la Défense.
Jules Romuald Nkonlak, Mutations 03/03/2006

Naturellement, la nouvelle de la suspension de trois commissaires de police, lue sur les antennes du poste national de la Cameroon Radio and Television (Crtv) mercredi dernier au cours du journal parlé de 20 heures n'est pas passée inaperçue. Dans le contexte marqué par les interpellations de fonctionnaires accusés de détournement de déniers publics, les arrêtés signés par le délégué général à la sûreté nationale, Edgard Alain Mebe Ngo, le 1er mars 2006, n'ont pas manqué de susciter plusieurs commentaires.

Albert Léopold Ebene, chef de service de la Recherche et du Suivi à la direction des Renseignements généraux, Didier Kergnine Kerbai, en service à la division spéciale de Contrôle des services et Junior Christophe Zogo, en service à la division de la Sécurité publique, sont suspendus pour une durée de trois mois, pour " indélicatesse grave et compromission portant atteinte à la considération de la police, négligence caractérisée et manquement aux consignes ". Cela, "sans préjudice des poursuites judiciaires devant être engagées à leur encontre ".

Les trois arrêtés du délégué ont été publiés alors que depuis la veille, le 28 février au soir, les concernés étaient gardés à vue au commissariat central n°1 de Yaoundé, où ils séjournent encore. Dans le corps de la police, les réactions n'ont pas manqué. Un cadre de la Dgsn nous a affirmé qu'il trouvait que la procédure était allée un peu trop vite, sans qu'on ne donne la possibilité aux trois commissaires de se défendre.

Ces derniers, d'après certaines informations, prétendent même que leurs problèmes sont nés du fait qu'ils ont tenté de démanteler un réseau d'homosexuels, et qu'on essaie de les en empêcher. Des déclarations que l'on considère comme des tentatives désespérées de se tirer d'affaire. Tout est parti de l'interpellation, quelques jours plus tôt, de deux dames de nationalité française, Céline Christianne Michelle Metzger et Christelle Cordeau, "en séjour d'étude au Cameroun", selon les termes employés par la police.

Il s'agit en fait de journalistes qui se sont rendues au Cameroun dans le but de réaliser un film documentaire sur l'homosexualité. "Certaines forces de l'ordre, dont trois commissaires de police, en service à la Dgsn et un militaire, les ont interpellé, leur ont arraché leur matériel et leur ont extorqué la somme d'un million de Fcfa", déclare une source à la Dgsn.

Militaire

On se rend compte que les arrêtés du Délégué général à la Sûreté nationale ne concernent que trois des individus impliqués dans l'affaire. Rien en ce qui concerne le militaire en question. A la police, on n'a appris qu'une action serait engagée par le ministère de la Défense. Selon les Françaises, ce militaire qui se faisait appeler "Commandant Ahmed" se passait pour un juge militaire. Toujours d'après elles, c'est de lui que serait parti toute l'affaire. Le militaire, dont on n’a aucune nouvelle à ce jour, est le premier à être entré en contact avec Céline Metzger et Christelle Cordeau. La première, arrivée au Cameroun le 3 février, a été accueillie à Yaoundé par deux personnes qui les ont mis en contact avec le militaire. Ce dernier, disposant d'un véhicule, était censé leur servir de guide. Ils ont été rejoints plus tard par le commissaire Kerbai.

Céline Metzger a besoin de prolonger son visa de séjour au Cameroun. Le commandant Ahmed lui indique le commissaire Kerbai comme l'homme de la situation. Ce dernier percevra, d'après la journaliste, de l'argent pour cela, mais ne recevra jamais le fameux visa. Mais, à ce moment-là, l'affaire n'ira pas plus loin. D'ailleurs, le soi-disant commandant Ahmed, qui serait en fait caporal, se montre même fort déçu de l'attitude de son ami.

C'est d'une descente à la prison centrale de Yaoundé, à Kondengui, que les problèmes vont véritablement commencer. Le 10 février, les deux Françaises rencontrent le régisseur de la prison qui leur donne un rendez-vous pour le mardi suivant, le 14 février. Ce jour-là, c'est plutôt l'adjoint qui les reçoit et leur donne l'autorisation de s'entretenir avec les 11 personnes détenues à la prison pour pratique de l'homosexualité. A peine se sont elles entretenues avec l'une de ces personnes que le régisseur surgit et demande de tout arrêter et de lui remettre la bande.

Quelques jours plus tard, après un séjour à Douala, les deux ressortissantes françaises reviennent à Yaoundé le 26 février. Le lendemain, lundi 27, elles ont rendez-vous avec leur "ami" le Commandant Ahmed dans un bar sis à "Titi Garage" à Yaoundé. Ce dernier se fait attendre et lorsqu'il arrive, il s'assied à une autre table. Juste après, le commissaire Ebene fait son entrée dans le bar en compagnie de quatre éléments et interpelle les deux Françaises ainsi que les quatre Camerounais qui les accompagnent. On leur reproche d'avoir fait des images d'un bâtiment public (la prison) sans autorisation. Interrogatoires, intimidation...

Un petit tour dans les toilettes et l'une des dames tombe sur Kerbai, qui dit être venu pour les aider. Il leur fait comprendre qu'il faut passer à la caisse. On leur demandera deux millions de Fcfa. Elles acceptent de verser la moitié ce jour-là et le reste plus tard. Mais, elles commencent aussi à se dire que cette affaire-là n'est pas bien claire.

Libérées, les deux dames vont alerter certaines de leurs connaissances au Cameroun et c'est de l'intervention de celles-ci que viendra l'interpellation, et plus tard, la suspension des trois commissaires de police. Hier encore, Céline et Christelle attendaient que leurs cassettes leur soient restituées. La veille, on leur avait déjà remis la somme d'argent qui leur avait extorquée auparavant et que leurs bourreaux s'étaient partagés. On a appris que l'un des quatre larrons s'en est tiré avec la somme de 325 000 Fcfa, tandis que les autres avaient un peu plus de 200 000 Fcfa chacun. On attend la suite de cette affaire qui semble loin d'être arrivée à son terme.

SOURCE : THE AFRICAN INDEPENDANT

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SAMEDI 15 JUILLET DE 11H à 16H VENEZ VOUS INSCRIRE à L'AMASSADE DU CAMEROUN à PARIS

13 Juillet 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Politique

 

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APPEL DE LA DIASPORA CAMEROUNAISE

13 Juillet 2017 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

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