/fdata%2F4050928%2Favatar-blog-1185148458-tmpphpuUHhTq.jpeg){kind=avatar}
/image%2F0942771%2F20210911%2Fob_22f220_publication-des-candidats-au-niveau-de.jpg)
/image%2F0942771%2F20210911%2Fob_c6d7dc_publication-des-candidats-au-niveau-de.jpg)
/image%2F0942771%2F20210911%2Fob_56ce60_publication-des-candidats-au-niveau-de.jpg)
/image%2F0942771%2F20210911%2Fob_ddd62f_services-proposes-par-le-comite-des.jpg)
Press release of the Committee of Cameroonians Abroad following the death of the journalist and television producer AMOBE MEVEGUE
/image%2F0942771%2F20210909%2Fob_777909_amobe-mevengue.jpg)
Amobe Mevegue Tv producer and Journalist
A worthy son of Cameroon and Africa has just left us today at the prime of his life, 53, ambassador of Cameroonian and African culture throughout the world. His name was AMOBE MEVEGUE.
Journalist and radio and television host since the 1980s. He left his mark on his time, his generation and his discipline.
AMOBE and I have known each other since Radio Tabala in the 80s, his love for Cameroon was unwavering and his simplicity legendary.
Whenever we asked for him for Cameroon, he always responded.
I still remember the launch of the UBIZNEWS news channel, an original idea that combined news and entertainment.
On behalf of the Committee of Cameroonians Abroad and on my own behalf as a long-time friend, I send our most saddened condolences to all of his family. May the land of our ancestors that he cherished so much be light to him.
AMOBE leaves, you fought the good fight. We will never forget you !!!!!
To great men the nation forever grateful.
Paris on September 08, 2021
Luc B. Banemeck
President
Communiqué de presse du Comité des Camerounais de l’Extérieur suite au décès du journaliste et Producteur de télévision AMOBE MEVEGUE
/image%2F0942771%2F20210909%2Fob_2bdb5f_amobe-mevengue.jpg)
AMOBE MEVEGUE Journaliste et producteur de télévision
Un digne fils du Cameroun et de l’Afrique vient de nous quitter ce jour à la fleur de l’âge 53 ans, ambassadeur de la culture camerounaise et africaine dans le monde entier. Il s’appelait AMOBE MEVEGUE.
Journaliste et animateur de radio et télévision depuis les années 80. Il aura marqué son époque, sa génération et sa discipline.
Amobe et moi nous nous connaissons depuis Radio Tabala dans les années 80, son amour pour le Cameroun était inébranlable et sa simplicité légendaire.
Chaque fois que nous l’avons sollicité pour le Cameroun, il a toujours répondu présent.
Je me souviens encore du lancement de la télévision UBIZNEWS la chaîne d’infomusement , une idée originale qui alliait les news et le divertissement.
Au nom du comité des camerounais de l’extérieur et en mon nom personnel en tant qu’ami de longue date, j’envoie nos condoléances les plus attristées à toute sa famille. Que la terre de nos ancêtres qu’il chérissait tant lui soit légère.
AMOBE part, tu as combattu le bon combat. Nous ne t’oublierons jamais !!!!!
Aux grands hommes la nation reconnaissante pour toujours.
Fait à Paris le 08 septembre 2021
Président
Luc B Banemeck
Rencontre au sommet entre le Secrétaire général du CEE et le Président du MPDR et COMICODI
/image%2F0942771%2F20210908%2Fob_970b12_serge-onguene-jean-clqude-shanda-ton.jpg)
De gauche à droite : Mr Serge Angoni Onguene Secrétaire général du CCE et Mr Jean Claude Shanda Tonme Président des organisation MPDR et COMICODI
Une rencontre au sommet :
Le mercredi 8 septembre 2021 a eu lieu à Yaoundé une rencontre au sommet entre Monsieur Jean Claude Shanda Tonme président de deux importantes organisations le MPDR (Mouvement populaire pour le Dialogue et la Réconciliation) et COMICODI (Commission indépendante contre la corruption et la discrimination) avec le Secrétaire général du CCE (Comité des Camerounais de l’Extérieur) voir photo.
Les discussions ont portées sur les préoccupations des deux organisations sur le cadre du dialogue à mettre en place dans la diaspora afin que le Cameroun puisse bénéficier des compétences de ses enfants de l’extérieur et afin que les institutions du Cameroun soit le ciment de l’unité de la nation.
A suivre
Par Paul Iya
FINANCES:La crypto-monnaie devient la monnaie officielle du Salvador aux cotés du dollar américain. - The cryptocurrency becomes the official currency of El Salvador alongside the US dollar.
/image%2F0942771%2F20210908%2Fob_23e382_bitcoin-salvadorien1.jpeg)
Le Salvador est depuis le mois de juin 2021 le premier pays du monde à considérer le bitcoin comme monnaie officielle, aux côtés de la devise déjà en cours, le dollar américain.
Cryptomonnaie est une monnaie numérique, indépendante des réseaux bancaires et liée à un système de cryptage Exemple : Le Bitcoin est une cryptomonnaie
Comment marche la crypto monnaie ?
Une cryptomonnaie est une monnaie virtuelle ou numérique qui opère indépendamment des banques et des gouvernements. Elle peut être échangée et négociée, comme n'importe quelle devise physique (ou monnaie fiduciaire). Il existe un grand nombre de cryptomonnaies disponibles, chacune ayant ses propres caractéristiques et applications.
Pourquoi les cryptomonnaies ?
Les marchés d’échange sont devenus très volatiles et pour réduire ce risque a vu le jour la cryptomonnaie. Il en existe plusieurs sur le marché et leur but est de répliquer la valeur d'un actif, du dollar, de l'or ou de l'euro. L'objectif étant de ne pas être soumis à la volatilité du marché.
Le discours officiel tenu quant à l’adoption du bitcoin par le président Salvadorien est que cette cryptomonnaie va redynamiser l’économie du pays en attirant des capitaux étrangers et en facilitant l’envoi d’argent de la diaspora salvadorienne.
150 millions de dollars de garantie
Concrètement, le bitcoin aura cours légal, aux côtés du dollar, dans tous les commerces et auprès des institutions financières du pays. Les habitants pourront l’utiliser grâce à une application depuis leur téléphone mobile. Des distributeurs automatiques seront à leur disposition pour retirer des dollars à partir de leurs comptes en bitcoins.
Le Parlement vient d’approuver la création d’un fonds de 150 millions de dollars pour garantir la convertibilité de la cryptomonnaie.
L’expérience du Salvador s’il n’est pas torpillé inspirera certainement d’autres pays qui recherche des alternatives au système monétaire esclavagiste de Bretton woods.
Par Paul Iya
El Salvador is since June 2021 the first country in the world to consider bitcoin as an official currency, alongside the currency already in use, the US dollar.
1. Cryptocurrency: Digital currency, independent of banking networks and linked to an encryption system.
Example: Bitcoin is a cryptocurrency.
How does cryptocurrency work?
A cryptocurrency is a virtual or digital currency that operates independently of banks and governments. It can be traded and traded just like any physical currency (or fiat currency). There are a large number of cryptocurrencies available, each with its own unique characteristics and applications.
Why cryptocurrencies?
The trading markets have become very volatile and to reduce risk cryptocurrency has emerged. There are several on the market and their purpose is to replicate the value of an asset, the dollar, gold or the euro. The objective is not to be subject to market volatility.
The official rhetoric about President Salvador’s adoption of bitcoin is that this cryptocurrency will revitalize the country's economy by attracting foreign capital and making it easier to send money from the Salvadoran diaspora.
$ 150 million guarantee
Concretely, bitcoin will be legal tender, alongside the dollar, in all businesses and with financial institutions in the country. Residents will be able to use it through an application from their mobile phones. ATMs will be available to them to withdraw dollars from their bitcoin accounts.
Parliament has just approved the creation of a fund of 150 million dollars to guarantee the convertibility of the cryptocurrency.
El Salvador's experience if not torpedoed will certainly inspire other countries looking for alternatives to the slave monetary system of Bretton Woods.
By Paul Iya
ANNONCE URGENTE : PRENEZ DES PHOTOS DE VOS SACS DE VOYAGE AVANT DE VOYAGER.- URGENT ANNOUNCEMENT: TAKE PICTURES OF YOUR TRAVELING BAGS BEFORE TRAVELING.
/image%2F0942771%2F20210908%2Fob_4769b3_sac-voyage-1m-sans-roulette.jpg)
If you have family members who are traveling abroad please tell them to take complete and very clear pictures of their travelling bags and luggage, before leaving their bases. They must take their pictures with all of their bags and save these on their phones. Reports reaching us confirm that some airport agents are now removing tags from bags containing hard drugs and transferring the tags to other people's bags. This is a strategy to help their agents smuggle drugs into other countries. You will pick up your bag thinking its your bag because your name is tagged to the bag, and then you will be accosted, accused & arrested for having hard drugs in your bag. And sometimes, they will allow you to check out and take your bag home, only for their agents to visit you at home to kill you before collecting their bags. A lot of innocent people from America, UK etc are in jail now who know nothing about hard drugs but were picked up at airports for bringing hard drugs into the country.
Please circulate this message to as many people as possible.
Si vous avez des membres de votre famille qui voyagent à l'étranger, veuillez leur dire de prendre des photos complètes et très claires de leurs sacs de voyage et bagages, avant de quitter leur domicile ou le lieu de vacances. Ils doivent prendre les photos du contenu de leurs sacs et les enregistrer sur leurs téléphones. Les rapports qui nous parviennent confirment que certains agents de l'aéroport retirent maintenant les étiquettes des sacs contenant des drogues dures et transfèrent les étiquettes dans les sacs d'autres personnes. Il s'agit d'une stratégie pour aider leurs agents à faire passer de la drogue dans d'autres pays. Vous récupérerez votre sac en pensant que c'est votre sac parce que votre nom est marqué sur le sac, puis vous serez accosté, accusé et arrêté pour avoir des drogues dures dans votre sac. Et parfois, ils vous permettront de de ramener votre sac à la maison, uniquement pour que leurs agents vous rendent visite à la maison pour vous tuer avant de récupérer leurs sacs. Beaucoup d'innocents d'Amérique, du Royaume-Uni, etc. sont maintenant en prison et ne connaissent rien aux drogues dures, mais ont été arrêtés dans les aéroports pour avoir introduit des drogues dures dans le pays.
Merci de diffuser ce message au plus grand nombre.
OPINIONS : Au Cameroun, les communautés vivent en paix entre elles. Ce sont les "élites" qui se battent pour des prébendes issues du pouvoir central - : In Cameroon, the communities live in peace among themselves. These are the "elites" who fight for prebends from the central power
/image%2F0942771%2F20210908%2Fob_90583b_djeukam-tchameni.jpg)
In Cameroon, the communities live in peace among themselves. These are the "elites" who fight for prebends from the central power. They try without much success, moreover, to instrumentalize the popular masses in battles, without any stake for them.
Apart from the isolated cases orchestrated in the central and southern regions by the pundits of power, tell me where the small people attack the small people in Cameroon
Even your secessionist friends have tried unsuccessfully to create hatred between the French-speaking and English-speaking masses. It did not work.
The proof is that the population of NWSW is not going to take refuge in big number in Nigeria. 95% flee areas under Ambazonian control and, settle in French-speaking areas, why? Because they are received there with open arms by all the other communities.
There is no hatred at the popular mass level in Cameroon. These are the elites who struggle and try without too much success to draw their communities into it.
By Djeukam Tchameni
/image%2F0942771%2F20210908%2Fob_7c9631_djeukam-tchameni.jpg)
Au Cameroun, les communautés vivent en paix entre elles. Ce sont les "élites" qui se battent pour des prébendes issues du pouvoir central. Elles essaient sans grand succès d'ailleurs d'instrumentaliser les masses dans des batailles, sans enjeu pour ces dernières.
En dehors des cas isolés orchestrés dans les régions du centre et du sud par les pontes du pouvoir, dites-moi où le petit peuple s’attaque au petit peuple au Cameroun
Même vos amis sécessionnistes ont tenté sans aucun succès à créer la haine entre les masses francophones et anglophones. Cela n'a pas marché.
La preuve est que la population du NOSO ne va pas se réfugier en masse au Nigeria. 95% fuient les zones sous contrôle ambazonien et s'installent en zone francophone, pourquoi ? Parce qu'elles y sont est reçues à bras ouverts par toutes les autres communautés.
Il n'existe pas au Cameroun de haine au niveau des masses. Ce sont les élites qui luttent et tentent sans trop de succès à y entraîner leurs communautés
Par Djeukam Tchameni
OPINION : ON PEUT DIVISER POUR SE MAINTENIR AU POUVOIR, MAIS POUR Y ACCÉDER IL FAUT PLUTÔT UNIFIER --- WE CAN DIVIDE IN ORDER TO KEEP THE POWER, BUT TO GET THERE IT IS NECESSARY TO UNIFY
/image%2F0942771%2F20210905%2Fob_433dc6_djeukam-tchameni.jpg)
ON PEUT DIVISER POUR SE MAINTENIR AU POUVOIR, MAIS POUR Y ACCÉDER IL FAUT PLUTÔT UNIFIER
De 1990 au milieu de 1991, le débat était relativement sain. Si des intellectuels de bas étage comme Mono Dzana tente d'introduire la notion farfelue d'ethnofascisme, celle ci ne mord pas au niveau des masses populaires. Le rdpc est en reculade dans toutes les régions du pays. Les populations de tout le pays veulent le changement. Pour ne prendre que l'exemple de Cap Liberté, une de ses plus grandes sections se trouvait à Sangmelima sous la direction de notre vice présidente, la regrettée Élisabeth Mendomo.
Un jour, mal inspiré, Benjamin Zebaze de Challenge Hebdo met à la Une de son journal le titre "Les Betis et la Betisation". Joseph Owona et quelques autres pontes du régime utilisent à leur profit cette gaffe monumentale. Ils sillonnent les provinces du centre et du sud avec des copies du journal et manipulent le sentiment ethnique en faveur du rdpc. Ils font croire aux populations locales que le vent du changement est une conspiration directe contre elles. Sous leurs instigations, les commerces de certains résidents sont brûlés et leurs propriétaires attaqués par des voyous commandités par les pontes du rdpc.
La gaffe de Zebaze est malheureusement répétée par Kamto à la cour constitutionnelle en novembre 2018. À l'intérieur d'un brillant plaidoyer dont il a le secret et qui d'un point de vue du droit entrera dans les annales de l'histoire, le prof introduit malheureusement la notion déconcertante de "concours pour devenir bulu". Cette fois, c'est Owona Grégoire qui sonne la charge, à l'intérieur même de la Cour Constitutionnelle. Il est carrément jouissif. Kamto vient de leur donner le bâton qu'il vont utiliser pour le taper. En dépit des faits contraires, Le rdpc va désormais dépeindre le MRC comme un projet ethnique.
Soyons clairs, ce ne sont ni Zebaze ni Kamto qui ont introduit le tribalisme en politique. Depuis Ahidjo le régime unc-rdpc manipule le sentiment ethnique pour se maintenir au pouvoir. Cependant ceux qui ne sont pas au pouvoir ne doivent jamais tomber dans le jeu. Car si on peut se maintenir au pouvoir en faisant la promotion de la division, on ne peut prendre le pouvoir qu'en promouvant l'unité transethique et transpartisane des forces du Changement.
Par Djeukam Tchameni
WE CAN DIVIDE IN ORDER TO KEEP THE POWER, BUT TO GET THERE IT IS NECESSARY TO UNIFY
From 1990 to mid-1991, the debate was relatively healthy. If low-level intellectuals like Mono Dzana try to introduce the eccentric notion of ethnofascism, it does not bite at the level of the popular masses. The CPDM is in decline in all regions of the country. People across the country want change. To take the example of Cap Liberté, one of its largest sections was in Sangmelima under the direction of our vice president, the late Elisabeth Mendomo.
One day, badly inspired, Benjamin Zebaze of Challenge Hebdo puts on the front page of his newspaper the title "Les Betis et la Betisation". Joseph Owona and some other pundits of the regime use this monumental blunder to their advantage. They crisscross the central and southern provinces with copies of the newspaper and manipulate ethnic sentiment in favor of the CPDM. They make local people believe that the wind of change is a direct conspiracy against them. Under their instigations, the businesses of some residents were burnt and their owners attacked by thugs sponsored by the pundits of the CPDM.
Zebaze's blunder was unfortunately repeated by Kamto at the constitutional court in November 2018. Within a brilliant plea of which he had the secret and which from a legal point of view would go down in the annals of history, the teacher unfortunately introduces the disconcerting notion of "competition to become bulu". This time, it is Owona Grégoire who rings the charge, within the Constitutional Court itself. It is downright enjoyable. Kamto has just given them the stick that they are going to use to hit it. In spite of the contrary facts, the CPDM will henceforth portray the CRM as an ethnic project.
Let's be clear, it was neither Zebaze nor Kamto who introduced tribalism to politics. Since Ahidjo the CNU-CPDM regime has manipulated ethnic sentiment to keep power. However, those who are not in power should never fall into the game. Therefore one’s can stay in power by promoting division, we can only take power by promoting the transethical and trans-advocate of unity of the forces of change.
By Djeukam Tchameni
/image%2F0942771%2F20210903%2Fob_167e91_le-palmares-samuel-eto-page-001.jpg)
/image%2F0942771%2F20210903%2Fob_566ac7_le-palmares-samuel-eto-page-002.jpg)
/image%2F0942771%2F20210903%2Fob_13adf9_le-palmares-samuel-eto-page-003.jpg)
