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MALI : LES FRANCS-MAÇONS DE LA CEDEAO VOLENT AU SECOURS DE LEUR FRÈRE ATT.

31 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

ARTICLE SUPRIME

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Côte d’Ivoire : Ils ont tué « Gorge profonde » ! Celui qui avait incriminé des proches de Ouattara dans l’affaire Kieffer.

31 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Côte d’Ivoire : Ils ont tué « Gorge profonde » ! Celui qui avait incriminé des proches de Ouattara dans l’affaire Kieffer.

 

                     Crime1

Gorge Profonde» (surnommé ainsi par Le Nouveau Courrier pour des raisons de sécurité), celui qui avait fait «ressusciter» l’affaire Kieffer par ses révélations, de son vrai nom Adama Koné, est mort hier au Ghana. Où il avait trouvé refuge, suite aux graves menaces qui pesaient sur sa vie. Les conditions de son décès portent à croire qu’il s’agit d’un acte criminel. 

‘‘Gorge Profonde’’ avait trouvé refuge au Ghana voisin, suites aux nombreuses menaces qu’il a reçues, après ses révélations sur la disparition du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer. Même dans ce pays, il n’était pas en sécurité, parce que selon ses dires, il sentait que ses mouvements étaient suivis. C’est au camp de réfugié Ivoiriens de Elubo qu’il s’était établi vers fin janvier, en attendant de partir pour une autre destination. Et ce, après avoir échappé à un assassinat, alors qu’il avait rendez-vous avec le juge Patrick Ramaël qui avait effectué le déplacement d’Abidjan suite aux informations échangées avec lui. 

Adama Koné alias «Gorge Profonde» menait une vie tranquille dans ce camp, et préparait avec des avocats des éléments de preuves devant être reversées à la défense du président Laurent Gbagbo. Dans la nuit du mardi au mercredi dernier, après une causerie avec ses amis de fortune dans le camp, comme chaque soir, «Gorge profonde» regagne sa tente. Entre 2 heures et 3 heures du matin, c’est par des cris stridents qu’il alerte la communauté des réfugiés ivoiriens. Un incendie venait ainsi de se déclencher dans sa tente, alors qu’il dormait. Sérieusement brûlé, et Elubo ne disposant pas de centre de santé, Adama Koné sera transféré à Ekwé, une petite localité ghanéenne. Malheureusement, là-bas, il n’y a pas d’équipements adéquats pour les premiers soins. Le personnel médical va demander que le brûlé soit évacué sur Takoradi, à près de 200 Km de Ekwé. C’est à l’hôpital régional de Takoradi que «Gorge profonde» sera interné. Après 24 heures, les médecins vont suggérer une autre évacuation du grand brûlé, cette fois sur la capitale, Accra. Malheureusement, «GP» n’aura pas la chance d’être évacué sur Accra. Dans la nuit du mercredi à jeudi en effet, aux environs de 5h du matin, les médecins constateront qu’il a rendu l’âme. L’une de ses dernières volontés, sur son lit d’hôpital, était de voir sa sœur et son épouse (à Abidjan) à son chevet.  

Quelques jours avant l’acte criminel qui devrait lui coûter la vie, comme s’il sentait la fin de son combat, «Gorge Profonde» ne cessait de répéter son admiration pour le combat de Laurent Gbagbo, un homme qu’il avait combattu, alors qu’il était encore en 2002-2003 dans la rébellion. Mais une chose le peinait le plus, selon les confidences d’un de ses proches, c’était la trahison d’un homme, Jean-Yves Garnault. Qui pourtant l’avait bien mis en confiance, avant de le trahir et le livrer aux tueurs. Avec la complicité d’un confrère, qui dans une de ses parutions, livrait en pâture Adama Koné, photo en manchette et le titre Wanted. Le defunt avait accusé des membres des cercles très proches de Ouattara d’être les instigateurs de l’assassinat du journaliste franco-canadien Guy André Kieffer. Jean-Yves Garnault, ami de Guy-André Kieffer et homme clé dans cette affaire, ne s’était pas gêné pour dire qu’il n’en avait rien à cirer de ce qui pouvait arriver à «Gorge profonde» après l’avoir livré aux tueurs, en faisant publier sa photo. Adama Koné décède en emportant certainement avec lui des secrets.  

Source : le nouveaucourrier

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Aminata Traoré militante altermondialiste fustige la CEDEAO: Chacun de ces chefs d’Etats a des comptes à rendre à son peuple.

31 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Aminata Traoré militante altermondialiste fustige la CEDEAO : Chacun de ces chefs d’Etats a des comptes à rendre à son peuple.

Aminata-Traore.jpg

 


            Aminata Traoré, femme politique, écrivaine malienne et militante altermondialiste fustige la CEDEAO : "Cette organisation n’est autre qu’un allié subalterne du capitalisme et de la communauté internationale, au service de l’impérialisme (...) Chacun de ces chefs d’Etats a des comptes à rendre à son peuple. Car ils savent comment ils sont élus, et comment ils gouvernent leurs pays en suivant à la lettre les consignes venues d’ailleurs (...) Le Mali a une occasion rêvée de prendre son destin en main (...) Il vaut vieux que les chèvres s’entredéchirent que l’hyène vienne les séparer." 

 

 

 

               



http://www.youtube.com/watch?v=2Z9pu572S7w&noredirect=1

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Cameroun : Enoh Meyomesse, un homme face à l’injustice de la justice de son pays.

31 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : Enoh Meyomesse, un homme face à l’injustice de la justice de son pays.

Enoh1

 

"ENOH N’A RIEN A FAIRE DANS CE DOSSIER. IL FAUT QU’IL SORTE !"

L’établissement de son innocence est l’unique clef de la libération du prisonnier. Une seule question est importante ici: quelle est la responsabilité d’Enoh Meyomesse, écrivain incarcéré depuis le 19 novembre 2011, dans ce qui s’est passé dans la nuit du 11 au 12 novembre 2011 à Betaré Oya ? C’est que les accusations portées contre lui étaient plutôt graves au début. Et pas seulement celles écrites sur l’ardoise qu’il tenait en ses mains lors de sa présentation médiatisée au public, le 22 novembre 2011 : vol aggravé. Ecoutons Issa Tchiroma, ministre de la communication, dans un article de Rfi : "Ce Monsieur, il sait ce qu’il a fait. Il a commandité un braquage à l’occasion duquel on a arraché un kilo d’or dans l’Est. Comme il en était commanditaire, il a pris cet or. Il est parti 

à Singapour. Eh bien, à son arrivée, on a mis la main dessus. Et puis voilà. Aujourd’hui, il est entre les mains de nos tribunaux ! Est-ce qu’on a besoin de le torturer, dès lors que les faits sont évidents ? C’est un braquage qui a impliqué des armes à feu. Et dans ce cas, c’est le tribunal militaire, selon la loi, qui est habilité à juger de tels actes." C’était le 15 janvier 2012. Quelques semaines auparavant, Enoh avait révélé dans un texte dense et très informatif, "M. le Colonel, on ne me corrompt pas !", texte publié dans La Météo et puis repris dans Le Jour, la gravité de l’accusation qui avait été portée contre lui, tentative de coup d’Etat, et bientôt dans un autre texte publié dans Germinal et La Météo, "Comment j’ai vécu la torture dans la légion de gendarmerie de Bertoua, 30 jours durant",

l’horreur qu’il avait traversé dans le noir, entre les mains de ses tortionnaires.

Depuis le juge d’instruction du Tribunal militaire de Yaoundé qui a refait l’enquête pour constituer l’information du dossier de l’accusation portée contre lui a fait reculer la charge. Et comment ! Nous sommes passés de 1) tentative de coup d'Etat; braquage à main armée, dont l’arsenal avait été présenté aux medias sous surveillance vidéographique de la gendarmerie le 22 novembre 2011; association de malfaiteurs; vol aggravé ; trafic de minerais, car tel était l’accusation ce jour-là, à; 2) tentative de coup d'Etat; braquage; vol aggravé, accusation de janvier 2012, à ; 3) vol aggravé, recel

aggravé; trafic d'or, accusations qui étaient encore sur la table le jour de la rencontre avec le juge d’instruction, le 21 mars 2012, à maintenant; 4) complicité de vol de 78 grammes d'or et violation de la loi sur les minerais, laquelle loi n’est pas spécifiée. Oui, vous avez bien lu : contre Enoh Meyomesse, il ne reste plus que les accusations de complicité de vol et violation de la loi régissant l’exploitation des minerais au Cameroun ! J’écris ce texte le 29 mars 2012, et ne puis que constater une chose : nous sommes bien loin de l’évidence des faits portés contre l’écrivain, tel que formulés publiquement et internationalement par le ministre de la communication du Cameroun, Issa Tchiroma. Au contraire, les motifs d’accusation n’ont pas seulement dramatiquement changé de nature, ils ont rétréci comme peau de chagrin, au point de rendre cette affaire banale. Simplement banale !

Or, prenons les deux accusations restantes, et écoutons le conseil d’un avocat, Me. Joseph-Hilaire Woto qui a suivi cette affaire de bout en bout : "La complicité d'un vol simple. Est complice d'une infraction qualifiée crime ou délit: a) celui qui provoque de quelque manière que ce soit à l'infraction ou donne des instructions pour la commettre; b) celui qui aide ou facilite la préparation ou la consommation de l'infraction. La tentative de complicité est considérée comme la complicité elle-même. Dans le cas d'Enoh, l'accusation aura beaucoup de
difficultés à démontrer la complicité d'Enoh dans la commission du vol. Le premier alinéa de l'article 97 du Code pénal camerounais qui définit la complicité exclue la complicité en matière contraventionnelle. Or, comme la coaction, la complicité ne peut jamais exister sans intention. Enoh a-t-il facilité d'une manière quelconque la commission du vol sans le savoir, dans ce cas, il ne peut être responsable en application de l'article 74 du Code pénal. Néanmoins la complicité peut exister même si l'auteur de l'infraction bénéficie d'une cause d'impunité ou d'irresponsabilité (cas d'un enfant que l'on provoque à voler ou celui d'un aliéné que l'on provoque à tuer). Celui qui les provoque dans ces différents cas sera complice de vol ou de l'homicide, même si l'enfant ou l'aliéné n'en est pas responsable en vertu de l'article 98 du Code pénal. Mais si l'auteur principal de l'infraction ne peut être poursuivi ou a été acquitté pour défaut d'intention criminelle, il ne peut être poursuivi comme complice, car si l'infraction n'existe pas en la personne de l'auteur principal, elle ne peut servir de support à un acte de complicité. Il peut néanmoins être poursuivi comme auteur dès qu'il est démontré que le tiers utilisé n'était lui-même que le moyen utilisé pour commettre l'infraction."

Qu’en est-il de la seconde accusation, violation de la loi qui régit l’exploitation des minerais au Cameroun ? Il s’agit ici, précise bien Me. Joseph-Hilaire Woto, de la ‘violation de la loi et non d'un article du Code pénal camerounais.’ Cette précision est d’importance, car elle ne rend pas seulement inutile la poursuite de l’écrivain devant le Tribunal militaire, elle le libère de l’accusation vol de ‘un kilo d’or’ qui était portée contre lui, car il ne s’agit plus ici, il faut le préciser, que de 78 grammes d’or – la quantité avec laquelle l’on peut légalement traverser les frontières du Cameroun, quantité qu’Enoh avait sur lui lorsqu’il allait à Singapour. Nous savons aujourd’hui que l’accusation contre Enoh aura été bâtie sur des aveux obtenus sous les feux de la torture. A aucun moment, dit l’écrivain, les gendarmes à Bertoua, ne lui auront laissé l’occasion de donner sa version des faits. Epuisé et essoufflé, il aura accepté leur mise en scène (tentative de coup d’Etat, braquage, un kilo d’or, et bientôt 350 grammes, etc.), ce qui n’est pas surprenant, raison d’ailleurs pour laquelle les déclarations obtenues sous la torture ne sont pas admissibles au tribunal – le juge d’instruction a du refaire l’enquête d’information. Et pourtant voilà : Enoh, qui n’avait fait aucune transaction financière avec celui de ses co-accusés qui l’accable encore ; Enoh qui ne sera mis au courant de l’arrestation de ses co-accusés que lors de son séjour à Singapour, par un de ses amis sénégalais ; Enoh qui ne sera mis au courant d’un braquage à Betaré Oya qu’à son arrestation le 19 novembre 2011 ; Enoh qui mis au courant de l’arrestation de ses co-accusés ne prendra pourtant pas la fuite, mais retournera au Cameroun comme prévu par son voyage ; Enoh sur qui le récit concocté par la gendarmerie sera imposé par la torture sans qu’il puisse jamais contredire ses tortionnaires ; oui, Enoh Meyomesse, ‘sa responsabilité ne peut être engagée dans le dossier en tant que complice.’

Jamais innocence n’a été aussi facilement établie qu’ici où l’accusé, informé de l’arrestation de ses complices, avait bien la possibilité de prendre la fuite, mais ne l’a pas fait. Enoh était à Singapour, mon Dieu !, et nous savons tous que la police camerounaise ne l’aurait pas rattrapé, avait-il volé les 78 grammes d’or qu’il avait avec lui lors de son voyage – respectant ainsi la loi camerounaise – et qu’il avait bien pesés lors de son escale à Nairobi, au Kenya ; et avait-il choisi après avoir été informé de l’arrestation de ses soi-disant complices, de prendre la poudre d’escampettes. Non, Enoh a choisi plutôt de retourner dans son pays, la terre de ses ancêtres. Pourquoi ? Parce qu’il aime Kondengui ? Non, parce qu’il ne se reprochait rien. Il ne se reprochait rien parce qu’il est innocent de tout ce que ses co-accusés auraient pu avoir fait pour obtenir les 78 grammes d’or avec lesquels il avait voyagé. L’innocence d’Enoh étant établie dans les faits et devant la loi, la question qui se pose aujourd’hui est donc celle-ci : l’Etat camerounais qui, des gendarmes aux policiers, du gouverneur de la région de l’Est au colonel Ngalibou, de journalistes sous solde au ministre de la communication du Cameroun, se sera engagé pour condamner un innocent saura-t-il le plus rapidement reconnaître qu’il a commis une erreur ? Il n’est jamais trop tard pour se rattraper, et seuls les imbéciles n’admettent pas qu’ils se sont trompés devant l’évidence de leur faute. C’est une preuve de grandeur d’ailleurs de rattraper ses fautes, oui c’est une preuve de noblesse. Car c’est simple en effet: ‘Enoh n’a rien à faire dans ce dossier. Il faut qu’il sorte de prison !’

Par Patrice Nganang

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Cameroun : les députés réclament un mandat à vie.

31 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : les députés réclament un mandat à vie.

                     Assemblee-Nationale-du-Cameroun.jpg

 

Assemblée nationale: Des députés réclament deux ans de plus.

 

Ils l'ont demandé hier lors des débats de la commission des lois constitutionnelles qui siégeait sur la prorogation de leur mandat.

Les débats étaient houleux à l'Assemblée nationale hier autour de la question de la prorogation du mandat des députés.

Les membres de la commission des lois constitutionnelles discutaient du projet de loi visant à prolonger le mandat des députés de six mois. Ces débats auxquels participait le vice-Premier ministre, ministre chargé des Relations avec les Assemblées, Amadou Ali, ont duré plus de deux heures. La séance qui s'est déroulée à huis-clos a toutefois laissé transpirer quelques indiscrétions.

Ainsi, selon une source bien introduite, Emmanuel Mbiam, député Rdpc pour la Vallée du Ntem, a fait une proposition fracassante. Il souhaite le prolongement du mandat des députés pour une durée de deux ans. L'élu qui est avocat dans le civil, a même demandé que désormais la mandature des députés passe de cinq à sept ans «comme celle du chef de l'Etat». Quoique ces propositions ont reçu une grande adhésion de ses pairs, elle s'est heurtée à un problème. En effet, pour qu'il en soit selon les propositions de Me Emmanuel Mbiam, il faudrait que la Constitution soit révisée.

Pour autant les députés n'ont pas baissé les bras. Plutôt que d'accepter la proposition du chef de l'Etat, ils ont opté pour un amendement du texte. Au lieu d’une prorogation de six mois, ils souhaitent qu’elle soit d’un an, éventuellement renouvelable.

Le représentant du gouvernement, selon notre source, a pris acte des propositions des députés. Il va les soumettre à l'appréciation du chef de l'Etat, qui, une fois qu'il les aura relues, va donc rédiger un projet de loi qui sera soumis au vote des députés en séance plénière.

Par  Aziz Salatou

Source : Le Jour 

 

 

Mbombog NtoholCommentaires de Mbombog Ntohol

 

 

Depuis l’annonce de la refonte électorale et  l’introduction de la biométrie dans le processus électoral, les opposants camerounais ont tous criés victoire  à quelques exceptions près, comme si cela allait perturber le dispositif  mise en place par le régime allait changer. Il est vrai que cette annonce constitue une avancée qui reste encore une déclaration d‘intentions.

Parlons vrai. Pour mettre en marche un système électoral fiable et transparent, on ne commence pas par la biométrie et la refonte des lites électorales. Le faire, c’est un peut comme pour construire une maison, on commence par les murs ou l’électricité.

Pour mettre en place un système fiable et respecté par tous on commence par la fondation qui est le code électoral, qui définit comment les élections seront, dorénavant organisées.

 

Le problème en somme ici, n’est pas le régime qui lutte pour sa survie. Le véritable problème c’est l’opposition camerounaise qui est paresseuse. Elle ne suit que les initiatives du régime. Ce  manque d’initiative est très grave pour la démocratie camerounaise, dans la mesure où elle freine les progrès démocratiques et indirectement le développement économique du pays. Ceci décrit une probable incapacité de l’opposition  d’assurer l’alternance et renforce le régime dans ses intentions non démocratiques. Alors qu’elle recèle des hommes capables et fiables.

Le régime est entrain de préparer un coup fourré, j’en suis certain, compte tenu de son passé de démocrate d’apparence. A mon avis le régime voudrait mettre en scelle le Sénat  pour disqualifier l’assemblée nationale qui bientôt sera décriée en raison de son statuts de chambre des députés par décret. Ou bien qui n’aura pas beaucoup de pouvoir au cas où le régime organise réellement une élection transparente sous la pression des bailleurs de fonds internationaux.

 

Or en mettant sur pieds un Sénat avant les élections municipales et législatives, le régime s’assure de l’alternance à la façon d’Ahmadou Ahidjo le premier président du Cameroun. Une alternance constitutionnelle. L’avantage pour le régime est double.

Continuer à contrôler tous les leviers du pouvoir. Puisque contrôlant toutes les mairies (Environ 90%) et toutes les chefferies traditionnelles. Nommer le président de Sénat le remplaçant constitutionnel du président de la république. Ainsi le tour est joué.

Alors que si l’élection est transparente, avec la crise sociale, économique politique et culturelle du Cameroun, Je vois très mal les camerounais leur offrir une majorité même relative.

Il est vrai que le régime est passé maitre dans l’art de l’achat des consciences des politiciens véreux. Mais des que le vote deviendra transparent. Ces politiciens véreux seront sanctionnés par les électeurs qui savent qui est qui.

 

A mon humble avis, je crois que l’opposition Camerounaise doit réagir intelligemment face à ce régime de malins, qui ne dort pas et ne lésine pas  devant les moyens à utiliser pour conserver le pouvoir.

Sauf s’ils sont opposants alimentaires, les opposants camerounais doivent à l’unanimité poser une condition non négociable. Pas de sénatoriales avant les législatives et les municipales.

 

Ceci est un appel à la vigilance de l’opposition qui doit comprendre que le peuple camerounais joue son destin dans cette affaire.

Le régime est rusé, et possède un avantage certain, le soutien inconditionnel de la France qui agit sous-couvert. Souvenez vous que dans un premier temps la France avait conseillé au régime de Yaoundé avant la présidentielle de 2011 la création du poste de vice-président, cette idée n’ayant pas fait son chemin, elle a  par la suite proposée après l’élection présidentielle d’octobre 2011 la mise en place des institutions  de la constitution de 1996. Cet appel n’est pas exempt d’intentions. Ces proposition ne sont pas de nature a poser le problème d’une alternance démocratiques mais plutôt d’une alternance constitutionnelle.

A bon entendeur salut

Mbombo Ntohol

 

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Grande Marche de Soutien au CNRDRE Samedi 31 Mars 2012 à Paris

30 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

armee30
Grande Marche de Soutien au CNRDRE
Samedi 31 Mars 2012 à Paris
Départ à 13 heures de la Place de la République (10ème)
Arrivée au Consulat du Mali (64, rue Pelleport - Paris 20)
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Cameroun : Un préfet devient tortionnaire à Ebolowa. Il tabasse son chauffeur et le policier chargé de sa sécurité, et continu à narguer la république.

30 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : Un préfet devient tortionnaire à Ebolowa. Il tabasse son chauffeur et le policier  chargé de sa sécurité, et continu à narguer la république.

 Irene-ngong.JPG Le prefet Irene G. Ngong

 

 

EBOLOWA: LE PREFET AURAIT TABASSE SON CHAUFFEUR ET GARDE DU CORPS, POLICIER DE SON ETAT, HUMM
Irené Galim Ngong a roué de coups le gardien de la paix Symphorien Dieudonné Olouna, arrivé en retard au travail.

Le certificat médical signé lundi 26 mars 2012 par le Dr Mbango, commissaire divisionnaire, médecin légiste en service au centre médical de la police d'Ebolowa, indique que «le gardien de la paix Symphorien Dieudonné Olouna déclare avoir été agressé ce jour par l'autorité administrative sous laquelle il est placé pour emploi».

Dans la suite du document, il est mentionné que «le fonctionnaire en question présente une contusion des muscles du cou, un torticolis, ainsi qu'un important choc émotionnel». La victime bénéficie d'une incapacité temporaire de travail de sept jours, selon le certificat médical.

A la préfecture d’Ebolowa, plusieurs sources confirment l’incident entre le préfet et son garde du corps. Elles indiquent que l’affaire a même été rapportée au gouverneur de la région du Sud, Louis Marcellin Ndjaga. Dans son rapport adressé au délégué général à la Sûreté nationale, le gardien de la paix Olouna relate: «Irené Galim Ngong, préfet du département de la Mvila, auprès duquel j'ai été détaché pour protection rapprochée, m'a roué de coups de poing violents, cherchant à m'étrangler dans son véhicule. De ces coups, j'ai été transporté à l'hôpital de la Sûreté nationale pour les premiers soins». D’après le policier, la scène s'est déroulée lundi 26 mars 2012 vers 10h, au complexe sportif d'Ebolowa.

Ce jour, le garde du corps du préfet est arrivé en retard au travail, notamment à la résidence du préfet. Celui-ci, qui était attendu au complexe sportif où se tiennent les compétitions des jeux de la Fenasco ligue B, s’est déplacé sans son policier. Le garde du corps a tout de même rejoint son patron sur les lieux de l’événement, où il a retrouvé son patron dans son véhicule. «Bonjour M. le Délégué à la Sûreté nationale», lui a lancé le préfet. Symphorien Olouna n’a pas eu le temps d’expliquer que son retard était dû à son mauvais état de santé. Il raconte qu’à peine il a ouvert la bouche qu’il se faisait déjà tabasser. Le policier a encaissé ces coups sans riposter, a-t-il dit.

Le gardien de la paix révèle par ailleurs qu’«au mois de janvier, ce haut responsable de l'administration m'a soumis à une série de mauvais traitements, ramenant mes missions à des tâches domestiques. J’étais désormais chargé de faire la vaisselle à sa résidence, le curage des caniveaux, la cuisine aux enfants, etc. Lorsque je me suis opposé à subir de telles humiliations, il a promis de m'exterminer un jour». Rencontré hier soir, le préfet n’a pas souhaité faire de commentaires. Il a néanmoins déclaré ne pas se reconnaître dans les faits qui lui sont reprochés, s’étant contenté de demander au délégué régional à la Sûreté nationale du Sud de placer son garde de corps en cellule pour lui avoir manqué de respect.


Par Jérôme Essian                                                                                                                                    Source : Le Jour

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L’Europe au bord de l’explosion ethnique : Les Grecques aux Allemands. Payer d’abord vos dettes de guerre avant d’exiger quoi que ce soit de nous.

30 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

L’Europe au bord de l’explosion ethnique : Les Grecques  aux Allemands. Payer d’abord vos dettes de guerre avant d’exiger quoi que ce soit de nous.

 presence-Nazi-en-grece.jpg

« Que les Allemands paient d’abord leurs dettes de guerre à la Grèce avant d’exiger quoi que ce soit de nous. » Une demande qui se fait de plus en plus entendre en Grèce - et elle est justifiée.  

  

source : alterinfo Tasos Minas Iliadakis Τάσος Μηνάς Ηλιαδάκης 
Traduit par Michèle Mialane 

Tasos Minas Iliadakis

«  Que les Allemands paient d’abord leurs dettes de guerre à la Grèce avant d’exiger quoi que ce soit de nous. » Une demande qui se fait de plus en plus entendre en Grèce - et elle est justifiée. 

 


 

Au début des années 40 les nazis ont imposé à la Grèce occupée une énorme contribution financière pour financer l’occupation allemande ainsi que ses objectifs stratégiques et militaires dans les Balkans, la zone méditerranéenne et la Libye. En outre la production vivrière grecque a été affectée au ravitaillement des troupes allemandes sur le front libyen.

 

Les Allemands avaient jeté leur dévolu sur le pétrole libyen et proche-oriental ainsi que les minerais des Balkans: ces derniers couvraient 20% des besoins de l’industrie de l’armement en antimoine, 50% de ses besoins en pétrole, 60% de la bauxite et la totalité du nickel. Parallèlement la Grèce était la seule zone à partir de laquelle les Alliés pouvaient contrer les Allemands dans l’espace balkanique.

 

Pour cette raison, les exigences allemandes d’une participation grecque aux frais de guerre étaient raides et entraînèrent des réactions du régime collaborationniste de Georgios Tsolakoglou lui-même, qui menaça de se retirer. Même Mussolini et le plénipotentiaire du Reich en Grèce, Günther Altenburg, pressèrent Berlin de baisser les frais d’occupation imposés à la Grèce.

 

La réquisition de tous les biens par la Wehrmacht a encore aggravé les charges liées à l’occupation allemande. Il en résulta la famine qu’Altenburg avait redoutée. Durant l’hiver 41-42 le nonce apostolique Angelo Roncalli (futur pape Jean XXIII) rapporta que le nombre des personnes mortes de faim dans la zone d’Athènes-Le Pirée avait triplé. Dans son journal Goebbels notait : « La faim est devenue une maladie endémique. Dans les rues d’Athènes, les gens meurent d’épuisement par milliers.» Le gouvernement britannique aggrava encore la situation en coupant les vivres à la Grèce pour pousser la population à se révolter contre les occupants.

 

 

 

La triple occupation de la Grèce (par l’Allemagne, l’Italie et la Bulgarie) 

Les Allemands ne pouvaient ignorer plus longtemps l’aggravation de la famine, l’anarchie régnante et la sympathie croissante pour les Anglais. La famine induisit des révoltes populaires et attira de plus en plus de gens vers la résistance. À Rome, lors de la Conférence financière germano-italienne de janvier à mars 1962, le sujet figurait tout en haut de l’ordre du jour. Les Allemands ne voulaient pas renoncer à tirer de la Grèce des fonds substantiels et la Conférence s’acheva par une impasse. Alors le banquier italien d’Agostino, plénipotentiaire en Grèce pour l’économie, proposa un emprunt obligatoire : les fonds exigés par les Allemands au-delà des frais directs de l’occupation prendraient la forme d’un crédit accordé à l’Allemagne et à l’Italie.

 

 Un « accord de crédit » fut signé le 14 mars 1942 par Altenburg et Gidzi, respectivement plénipotentiaires allemand et italien pour la Grèce. La Grèce elle-même n’était pas présente, n’ayant pas été invitée. Selon cet accord

 

·         le gouvernement grec devait acquitter 1,5 milliards de drachmes par mois pour couvrir le frais d’occupation ;

·         les fonds exigés de la Banque nationale de Grèce au-delà de ce montant étaient considérés comme un emprunt à 0% accordé aux gouvernements italien et allemand, en drachmes;

·         l’emprunt serait remboursé plus tard;

·         cet accord était rétroactif jusqu’au 1er janvier 1942.

Aucune date n’a été fixée pour le début du remboursement. Le Ministre grec des finances a chargé le directeur de la Banque centrale d’exécuter cet accord.

 

À la suite de trois modifications, cet accord imposé a été transformé en emprunt normal, donc portant intérêt, et exprimé dans une devise stable.

 

Selon la Banque de Grèce, le montant de l’emprunt (sans les intérêts) s’élevait à 227.940.201 dollars US (valeur de 1944),  selon Altenburg à 400 millions de DM d’après-guerre. Avec les intérêts et au cours actuel, l’emprunt se monte à plusieurs dizaines de milliards d’euros.

 

L’emprunt grec est distinct de la question des réparations. Il ne tombe donc pas sous le coup de l’accord du 27 février 1953 sur les dettes extérieures allemandes, à Londres, qui exonère l’Allemagne de toutes réparations et compensations.

 

La Grèce a constamment fait valoir à toutes les Conférences internationales en rapport avec ce sujet que cet emprunt et la demande de réparations sont deux choses distinctes - notamment à la Conférence sur les réparations de 1945, à la Conférence de Paris en 1946 et à la Conférence des Ministres des Affaires étrangères à Londres en 1947. La Grèce a constamment réclamé la restitution des dettes d’occupation allemandes. En 1967, la partie allemande a fait état, à l’occasion d’un entretien germano-grec, d’un écrit de Constantin Caramanlis par lequel il aurait renoncé à au remboursement de l’emprunt. Plus tard cette affirmation a été corrigée: il s’agissait d’un renoncement verbal. Caramanlis a démenti cette affirmation. Dans une note diplomatique datée du 31 mars 1967, l’Allemagne a fini par reconnaître que Caramanlis n’avait jamais renoncé à cette exigence.

 

L’Allemagne l’a toujours rejetée au prétexte que cet emprunt tombait sous le coup de l’Accord sure les dettes allemandes de 1953 ; que Constantin Caramanlis y avait renoncé ; que de telles demandes sont prescrites au bout de 50 ans. (Or la Grèce la formule depuis 1945).

 

La position allemande ne repose sur aucune base légale. Depuis la chute du Mur, l’Allemagne ne peut même plus faire valoir qu’on ne peut pas adresser une telle demande à un pays coupé en deux. Elle doit désormais être satisfaite, le gouvernement grec peut le réclamer, ou la Banque de Grèce ainsi qu’un de ses actionnaires, ou encore le peuple grec par l’intermédiaire de ses institutions. Il existe des précédents, pour la Pologne et la Yougoslavie, que l’Allemagne nazie avait obligées à lui octroyer de tels emprunts, que l’Allemagne (de l’Ouest) a remboursés respectivement en 1956 et 1971. 

Merci à Πατρις 
Source: http://www.patris.gr/articles/173185?PHPSESSID=edfhahv48onr8cmhlfrblnb3a1 
Date de parution de l'article original: 25/01/2010 
URL de cette page: http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=7054 

 

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Sierra Leone just leased half mil Hectare of Land to China for 50 years.

30 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Sierra Leone just leased half mil Hectare of Land to China for 50 years.

 

              


 

         The election of Barack Obama as the 1st African American President of the United States in a context of global recession and crisis has led to a sense of hope for a better world with less wars and the advancement of human brotherhood. Son of an African married to an African-American, he has given a sense of pride, dignity, and hopefulness to people of African ancestry, and has also in a sense contributed to the renewal of panafricanism, as he has reconnected the broken bonds of continental Africans and Africans in the Diaspora. Some believed that his election would mark a moment of unique opportunity and would create an environment to live in more decent conditions for the global African community to negotiate a better future.

After three years in office, President Obama has failed to live up to his promise to deliver "change we can believe in" at home and abroad. He did not undertake any paradigm shift in the structure of the American economy and the American Africa foreign policy marked by hegemonic and imperialistic interests. Most Americans (99 percent) continue to plow under the yoke of greed, injustice, foreclosure, and unemployment, whereas at the helm, the 1 percent of the population representing the managers of big banks and corporations continuously receive fat bonuses. In such an environment, minorities namely African Americans are feeling the brunt of the economic downturn and have fared far worse than the rest of the country. According to the statistics from the 2010 US Census Bureau, the median white household wealth was about $113,000 , for black families about $5,700, and Latinos about $6,300. For African Americans unemployment hit 16.7% in August, its highest level since 1984, according to the Labor Department. The number of African Americans living under the poverty line -- which is $11,139 for an individual in 2010 -- rose to 10.7 million, up 1.6 %. In all, 27.4 % of African Americans are living in poverty.
On the foreign policy front, his achievements are from being glorious, namely vis-à-vis Africa. Obama supported the military intervention of NATO, France, and the UN in Africa "in the name of democracy", thus consolidating Western hegemony, replacing nationalistic African leaders with subservient proxies willing to perpetuate super-exploitative and neo-liberal policies, as it is epitomized in Libya and in Ivory Coast.
About Us: The Revival of Pan-Africanism Forum is the cradle of a new panafrican consciousness and helps rekindle the spirit of an African collective consciousness.


Contacts: Gnaka Lagoke (202) 725-0094; or send an email to panafrica.now@gmail.com.
Please visit the Revival of Panafricanism Forum's website at www.revivalofpanafricanism.org.


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Humiliation de la CEDEAO! L’avion qui convoyait les présidents Africains empêché d'atterrir à Bamako par le peuple malien.

30 Mars 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Humiliation de la CEDEAO! L’avion qui  convoyait les présidents Africains empêché d'atterrir à Bamako.  

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Selon Cheik Barro l’un des organisateurs de la manifestation de ce matin à l'aéroport de Bamako : «il n’est pas question que Ouattara viennent foutre sa merde au Mali, il ne descendra pas sur notre sol». Selon lui, le président ivoirien est mal placé pour parler de démocratie puisqu’il est lui-même parvenu au pouvoir par un coup d’état sanglant organisé par des rebelles qui ont attaqué le régime élu de Côte d’Ivoire, en violation de la constitution ivoirienne.

« Le président Ouattara a soutenu le coup d’état qui a chassé Bédié du Pouvoir en Côte d’Ivoire, en la qualifiant de révolution des œillets. Tant que les coups d’état l’arrange il les soutient et les organise même parfois, mais quand ce n’est pas lui qui est à l’initiative, il porte son manteau éphémère de démocrate de façade, pour tenter de les remettre en cause ».

Quant à Blaise compaoré, toute l’humanité sait comment il est parvenu au pouvoir en tuant son propre compagnon, le capitaine Thomas Sankara qui avait mis en route une révolution africaine. Ces deux individus ne sont pas les bienvenus au Mali. Qu’ils aillent se faire voir ailleurs !

Selon lui, « La preuve que Ouattara est le père des rebelles ivoiriens, c’est qu’il vient de récompenser l’un des chefs de cette rébellion, en le nommant président de l’assemblée nationale en violation des textes constitutionnels de son propre pays ». Selon lui, Ouattara n’est pas un exemple qui peut se réclamer être un démocrate pour les africains », ce n’est pas à lui de venir nous donner des leçons sur la démocratie au Mali, car au moment où lui Ouattara cherchait à accéder au pouvoir par les armes nous appliquions déjà la démocratie au Mali. Si on a chassé ATT, c’est parce que son régime était corrompu ».

« Que Ouattara s’occupe de la réconciliation dans son pays, car au moment où il veut parler de paix au Mali, tout le monde sait qu’il traque ses opposants dont certains sont gardés en prison. Si Ouattara aimait tant le peuple Malien pourquoi n’est-il pas aller chasser les rebelles Touaregs avec sa CEDEAO fantôche. Pourquoi Ouattara ne demande pas à Blaise Compaoré de quitter le pouvoir, alors qu’il sait que ce dernier a été élu en violant la constitution burkinabé, avec moins d’un millions de votant ?

Alfa Sidibé abonde dans le sens de monsieur Barro : selon ce dernier, « si la CEDEAO veut intervenir au Mali qu’elle aille d’abord intervenir au Nord du pays, pour chasser la rébellion Touareg et après on verra si on peut prendre on compte ses doléances. C’est à cette seule condition qu’on pourra la considérer comme une structure voulant le bien des maliens. Il faut que ces chefs d’état nous démontrent qu’ils sont attachés à l’intégrité territoriale du Mali, avant de venir nous parler de Démocratie ». 

Il affirme que : « la junte a proposé une constitution qui sera une véritable avancée démocratique pour le Mali, il n’est pas question de cracher sur ces acquis et avancées qui sont proposées à notre peuple en cherchant à installer une démocratie corrompue qui était de toutes les façons de son mandat ».

Source : David Konaté

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