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30 Septembre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Science

Ebola Virus
Ebola Virus

Ebola Virus

Dr Guy Kodzo ALOVOR, Médecin et Dr Yves Ekoué AMAÏZO, Directeur Afrocentricity Think Tank

 

Afin de permettre une meilleure compréhension du phénomène et d’apporter des éclaircissements sur le débat concernant l’origine du virus Ebola et sa paternité supposée africaine, Afrocentricity Think Tank s’est attelé à lever quelques ambiguïtés et rappeler que de part et d’autre, les causes avancées sans la participation d’experts africains indépendants restent de simples hypothèses dont la crédibilité commence à échapper à l’analyse scientifique par les experts africains de la Diaspora. Des informations circulent ici et là.

Il est important que les Africains et Africaines directement concernés puissent avoir un point de vue afrocentrique en attendant que les dirigeants africains financent l’étude sur l’origine du virus Ebola demandée par une équipe d’experts de la Diaspora.

Il faut pourtant clarifier le débat. Les Africains ne peuvent être responsables de ce qu’ils n’ont pas créé et diffusé.

1. Le virus Ebola n’a pas été « créé », ni « nommé » par les Africains

C’est le nom d’un fleuve de la République Démocratique du Congo que les Occidentaux ont choisi unilatéralement pour donner à un virus créé dans leurs laboratoires lesquels poursuivent des objectifs militaires et de créations de maladies émergentes avec des solutions pour le moins mitigées.

A la différence des agents biologiques pathogènes classés par ordre de dangerosité comme la rougeole, la poliomyélite, la varicelle, la rage et la variole, le virus Ebola comme au demeurant et par ordre de dangerosité, l’hépatite C, le HIV-Sida, l’Antrax (qui est une bactérie) sont des agents pathogènes créés dans des laboratoires non Africains 1. Les motivations à l’origine de la création de ces agents pathogènes ne sont pas nécessairement pacifiques.

Le virus Ebola est un filoviridae dont l’origine remonte au mois d’août 1967, dans la ville de Marburg en République Fédérale d’Allemagne. L’apparition originelle et inaugurale s’est faite dans un des laboratoires de la ville travaillant indifféremment pour des objectifs civils et militaires. Officiellement, lors des travaux de recherche pour fabriquer des vaccins, au moins 35 laborantins ont été contaminés dont 7 ont trouvé la mort malgré les soins intensifs prodigués. L’origine du virus Ebola n’est pas en Afrique.

2. Le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel en Afrique

Les analyses et recherches de médecins africains commencent à mettre en évidence le fait que le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel. Il est donc évident que sans réservoir naturel, l’hypothèse selon laquelle l’origine d’une des six souches proviendrait de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) demeure une simple hypothèse qui reste à vérifier. L’hypothèse de l’inoculation, voire de la transplantation par tous les moyens possibles et inimaginables en Afrique ne peut être écartée. Une étude portant sur l’origine de certains  agents pathogènes (virus et bactéries) par des experts indépendants africains y compris la Diaspora permettrait d’en avoir le cœur net.

3. Les animaux africains ne sont pas à l’origine du virus Ebola

Les gorilles, les chimpanzés et les antilopes ne sont pas des vecteurs du virus contrairement aux affirmations sans preuves avancées jusque-là car ces animaux n’ont pas de réservoir du virus Ebola.

La chauve-souris n’est pas un hôte naturel du virus car jamais le virus n’a été isolé sur elle. Mieux encore, lorsqu’on lui inocule expérimentalement en laboratoire le virus, cet animal l’élimine rapidement sans le conserver dans son organisme.

De même, les arthropodes ne sont pas des vecteurs car lorsqu’on inocule le virus Ebola à ces derniers, aucune réplication virale n’est observée.

Puisque l’on sait aujourd’hui le point de vue des Africains et que le virus n’a jamais été isolé chez ces animaux malgré toutes les recherches menées dans ce sens, il faut donc bien convenir qu’il faudra aller rechercher le réservoir du virus ailleurs que dans la faune africaine, ailleurs qu’au sein des populations africaines rurales ou urbaines.

4. Les laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers sont à l’origine du virus Ebola

Avec la liste des laboratoires militaires connus et tous ceux civils non connus (voir annexe 1), il n’est plus possible de nier l’évidence, à savoir qu’un grand stock de virus divers dont l’Ebola sont disponibles dans les laboratoires biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé). La France est présente en Afrique au Gabon, à Franceville (pour ce qui échappe au « secret défense »).

Comment croire que ces stocks sont destinés à l’amélioration de la santé publique en Occident ? Comment ne pas se poser la question de savoir comment s’opèrent les tests ? Une fois les animaux infectés, est-ce que ces derniers n’ont pas été transportés dans des zones rurales et urbaines africaines pour faciliter la confirmation de certaines hypothèses sur les animaux ? Puis, quelles sont les limites éthiques de telles expérimentations secrètes, parfois avec l’aval des autorités africaines, alors que les tests sur des humains africains dits « volontaires » ont commencé à se vulgariser notamment au Libéria et en Sierra Leone.

Rien ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle les virus créés dans des laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers en Afrique ne sont pas justement créés pour soutenir des activités civiles de santé publique. L’hypothèse de virus créé pour des opérations militaires futures ne peut être écartée de l’analyse et donc de l’étude à venir. Il s’agirait alors purement et simplement d’armes virologiques de destruction massive. Les signes avant-coureurs ont été révélés dans le livre de Leonard G. Horowitz 2 dès 1996 où ce dernier s’interrogeait sur la nature des virus émergents comme le VIH-Sida et l’Ebola. Il avait déjà écarté l’origine naturelle de ces deux virus et ne croyait pas à l’accident, ni au dysfonctionnement des laboratoires occidentaux. Les objectifs dits « intentionnels » sont légions dans les exemples nombreux qu’il partage avec le public.

De toutes les manières, Leonard G. Horowitz n’a jamais cité l’Afrique comme un centre de production en série de virus Ebola pour une destruction massive et sélective des humains.

5. Le Gouvernement de Sierra Leone a reconnu que des essais d’armes biologiques américaines se pratiquaient sur son sol à Kenema.

C’est officiellement sur la page « Facebook  3» du Ministère de la santé et de l’Assainissement du Gouvernement de Sierra Leone que ce pays a reconnu indirectement qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques américaines sur son sol notamment à Kenema. En effet, il fut décidé d’arrêter les essais d’armes biologiques notamment du virus Ebola dans le laboratoire américain de Kenama et dans l’Université de Tulane.

Le laboratoire américain de recherches d’armes biologiques basé en Sierra Leone à Kenema est le seul centre de dépistage de la fièvre hémorragique liée au virus Ebola dans ce pays et détenait en juillet 2014 le plus grand nombre de victimes. Il faut aussi savoir que l’Université de Tulane menait des recherches d’armes biologiques au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

La décision du Gouvernement de Sierra Leone de fermer les centres d’essais d’armes biologiques n’a pas été spontanée. Cette décision est intervenue suite à des dysfonctionnements graves et un mouvement de protestation des infirmières de l’Hôpital de Kenema qui ont choisi la grève illimitée pour se faire entendre suite à la mort de trois de leurs collègues 4 suspectées d’avoir été contaminées par le virus Ebola. Les 20 dollars des Etats-Unis de prime de risques qui leur avaient été promis n’ont jamais été payés.

6. Il ne faudrait pas favoriser une discrimination dans l’administration du vaccin expérimental entre les « Noirs » et les « Blancs » ? 

Faut-il craindre une gestion raciste de l’administration du vaccin expérimental contre le virus Ebola ? La question n’a pas véritablement été évoquée jusqu’au jour où des informations attribuant au personnel du Centre de contrôle des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) basé à Atlanta aux Etats-Unis que le vaccin expérimental pour le virus Ebola ne fonctionnera que sur ceux à la peau blanche. Au-delà de la provocation, il faut néanmoins prendre au sérieux cette possibilité. Cet organisme gouvernemental américain aurait déclaré ceci le 19 septembre 2014 : «Les premiers tests d’un médicament expérimental, qui aurait pour effet de lutter contre la propagation du virus Ebola, n’ont fait leurs preuves que sur ceux qui ont la peau blanche. Nous travaillons avec diligence pour améliorer l’échantillon afin de pouvoir aider tous ceux qui sont dans le besoin 5 ».

Il faut espérer que le Gouvernement américain ne cacherait pas au monde le fait que le vaccin expérimental, qui n’a pas encore subi tous les tests d’usage, soit déjà opérationnel. De même, il ne faudrait pas que des stratégies ne soient mises en place pour n’administrer que très tardivement aux Africains et aux noirs victimes d’expérimentation hasardeuses des laboratoires occidentaux, ce vaccin s’il s’avère réellement efficace. Au demeurant, il ne faut pas écarter du débat le fait que certains « fournisseurs » du futur vaccin hypothétique contre le virus Ebola cherchent à préparer l’opinion occidentale qu’il ne sert à rien de distribuer le vaccin aux Africains noirs en jouant sur des retards dits « diplomatiques »…. cette discrimination potentielle doit faire partie de l’étude que les autorités africaines doivent entreprendre de manière indépendante.

7. La lutte contre le virus Ebola passe par l’apport de l’expertise de la Diaspora africaine

Avec la défaillance des autorités africaines tant dans l’information sur leurs accords secrets avec des Etats producteurs ou testeurs en série d’agents biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé) sur le sol africain, la responsabilité du désastre actuel tant médical que socio-économique est aussi africaine.

Seule une étude approfondie effectuée par des experts indépendants d’Afrique et d’ailleurs pourra permettre de faire taire certaines affirmations selon lesquelles Le virus Ebola:

7.1 a aussi été transmis par inoculation. Cela suppose que le vaccin dont il est question pourrait ne pas résoudre le problème mais l’aggraver ;

7.2 ne contamine pas systématiquement. Certains sujets africains noirs sont sortis « indemnes » du processus de contamination. C’est le cas d’un jeune Guinéen, guéri au Sénégal, qui s’est résolument engagé à promouvoir la prévention auprès de ses compatriotes 6. Ces malades guéries sont l’objet d’une appétence nouvelle des mêmes laboratoires non-africains responsables de la création du virus Ebola. En effet, le sang des malades guéries est vendu à prix d’or et sert à de multiples analyses pour comprendre la capacité de résistance et de résilience de certains Africains noirs. Des cas de résilience similaires ont été identifiés au Kenya au sein d’une population à risque.

Aussi, la Diaspora africaine éclairée a choisi d’identifier des équipements, des services, et des techniques et savoir-faire disponibles si possible dans des pays n’ayant pas d’antécédents coloniaux ou des velléités d’impérialisme militaro-sanitaires sur l’Afrique. Il est donc recommandé aux dirigeants africains de se rapprocher de leurs Diaspora respectives afin d’identifier les ressources humaines et techniques permettant de contenir cette épidémie tout en fournissant des équipements de protection, de décontamination, de diagnostic et de traitement.

Le financement africain est le seul moyen pour les dirigeants africains de lever l’ambiguïté sur leur responsabilité dans ce dossier, en permettant la réalisation de l’étude approfondie sur l’origine du virus Ebola, avec une ouverture sur les maladies émergentes et les effets collatéraux pour les populations africaines.

Dr Guy Kodzo Alovor et Dr Yves Ekoué AMAÏZO

Contact: info@afrocentricity.info

© Afrocentricity Think Tank, septembre 2014.

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Ebola, biological warfare against Africa?

28 Septembre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Science

Virus EBOLA

Virus EBOLA

Ebola, biological warfare against Africa?

 

A team of eight experts and journalists visiting the southern region of the West African state of Guinea were found dead in the town of Nzerekore on Sept. 20. Reports indicate that they were there to educate people about the nature of the disease for the purpose of its prevention.

Reports from Guinea say that the delegation had met with elders in the community but were later attacked by youths. Investigations into the details of the killings are ongoing.

There is tremendous mistrust surrounding the spread of the Ebola virus disease in some West African states where the epidemic has had an impact. Doctors Without Borders reported in April that their teams were forced to withdraw from Macenta in Guinea after being stoned by youths who said they were there to spread the disease.

Newspaper articles and rumors have circulated that the outbreak is a direct result of biological warfare being waged by imperialist countries against the African continent.

Although no one knows what the motivations were of those who carried out the killings in Guinea, obviously there are many people who mistrust the motivations of foreign aid workers responding to the crisis. Guinea is the first country that was identified in the latest spread of the disease, which has periodically struck in Central and West Africa over the last three decades.

Biological warfare and economic underdevelopment

The most widely discussed and controversial article related to the spread of the Ebola virus disease was published by the leading newspaper in Liberia, The Observer. Dr. Cyril Broderick, a former professor of plant pathology at the University there, asserted that the spread of the disease is a direct result of US Department of Defense bio-warfare against Africa.

Broderick’s article was published on Sept. 9 and stated that “Africa must not relegate the Continent to become the locality for disposal and the deposition of hazardous chemicals, dangerous drugs, and chemical or biological agents of emerging diseases. There is urgent need for affirmative action in protecting the less affluent of poorer countries, especially African citizens, whose countries are not as scientifically and industrially endowed as the United States and most Western countries, sources of most viral or bacterial GMOs that are strategically designed as biological weapons. It is most disturbing that the US Government has been operating a viral hemorrhagic fever bioterrorism research laboratory in Sierra Leone.”

This same author goes on to ask “Are there others? Wherever they exist, it is time to terminate them. If any other sites exist, it is advisable to follow the delayed but essential step: Sierra Leone closed the US bioweapons lab and stopped Tulane University for further testing.” (Sept. 9)

Broderick has been attacked for publishing the article, and according to Health Impact News “The western pro-pharma media has chided Dr. Broderick, saying that such an inflammatory piece of writing is ‘irresponsible’ since so many Africans are already distrustful of western medicine. They see western medicine as the answer to Africa’s deadly diseases such as Ebola, while Dr. Broderick sees it as the cause. Dr. Broderick states ‘African people are not ignorant and gullible, as is being implicated.’” (healthimpactnews.com, Sept. 21)

Following the publication of this article, President Barack Obama announced on Sept. 16 that the US would deploy 3,000 troops to the affected West African states as a means to combat the disease. Obama said in a press release that “The United States will leverage the unique capabilities of the US military and broader uniformed services to help bring the epidemic under control. These efforts will entail command and control, logistics expertise, training, and engineering support.” (White House press statement)

Washington is already heavily involved militarily in Africa. Several thousand Pentagon troops, Central Intelligence Agency (CIA) operatives and State Department functionaries are on the continent as part of the US Africa Command (AFRICOM). This intervention since 2008 has created more instability and underdevelopment in Africa as represented by the events in Egypt, Mali, Libya, Somalia, South Sudan and Nigeria, where the ostensible partnerships aimed at curbing “terrorism” has prompted the intensification of conflict, dislocation and in the case of the Horn of Africa, famine.

Pentagon and CIA drone operations have carried out numerous targeted assassinations in Somalia. In Mali, a US-trained military officer returned to this former French colony and staged a coup providing a rationale for internal destabilization as well as an ongoing occupation by Paris.

Cuba offers medical solidarity

Meanwhile the revolutionary nation of Cuba pledged to send medical personnel in the fight against the disease. Cuba has a profound history in providing unconditional solidarity with the African continent.

In an address on Sept. 18 before the United Nations Security Council emergency session on Ebola, Vice Minister of Foreign Relations Abelardo Moreno told the participants that, “Cuba’s response is part of our solidarity with Africa, Asia and Latin America and the Caribbean. Over the last 55 years, we have collaborated in more than 158 countries, with the participation of 325,710 health workers. Some 76,744 collaborators have worked in 39 African countries. Today, in this sector, 4,048 Cubans are serving in 32 African nations, 2,269 of whom are doctors.” (granma.cu, Sept. 19)

Moreno went on the report that, “The medical brigades which will be sent to Africa to fight against Ebola form part of the ‘Henry Reeve International Contingent’ - created in 2005 - composed of doctors specializing in combating disasters and large-scale epidemics. Cuba’s response confirms the values of solidarity which have guided the Cuban Revolution: not to give what we can spare, but to share what we have.”

This approach contrasts sharply with that of the White House and Pentagon. Cuba has built up considerable trust in Africa due to its consistent policy of international solidarity.

At least three countries that have reported Ebola cases are reporting improvements in fighting the disease and its proliferation. In Nigeria, the Federal Government announced that schools would be re-opened on Sept. 22 despite opposition from the sections of the Nigerian Union of Teachers (NUT).

In Sierra Leone, there was a state of emergency declared restricting movements for three days. The government announced on Sept. 22 that the situation was now under control. Similar announcements have been made in reference to developments in Senegal, where at least one case has been reported.

Nonetheless, there have been nearly 3,000 deaths reported from the disease. In addition, there are still numerous questions related to the conditions under which the disease is spread and the most effective means to treat and eradicate the epidemic. (WHO Update, Sept. 22)

This outbreak does draw attention to the need for genuine independence and development on the African continent. The training of medical personnel and scientific researchers would contribute immensely to preventing future healthcare crises.

Cuban revolutionary foreign policy provides an example of how underdeveloped states, which have a legacy of slavery, colonialism and neo-colonialism, can transform through a process of class struggle and self-reliance. With over five decades of hostility from the US, Cuba has been able to make significant contributions to African liberation whether in the fight against settler-colonialism in Southern Africa in the years past or through the contemporary challenges related to the Ebola outbreak, the training of African medical personnel and other healthcare issues.

 

By Abayomi Azikiwe

 

AA/HJL/HRB

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CNN révèle la fraude du CDC – L’autisme est bien causé par les vaccins.

23 Septembre 2014 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Science

CNN révèle la fraude du CDC – L’autisme est bien causé par les vaccins.

 

 

CNN révèle la fraude du CDC: ils ont dissimulé au public 340% de risque d’autisme lié aux vaccins

Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.

Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.

Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)

Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie  a confirmé que :

« Depuis les débuts de 2003, le CDC était au courant de la relation qui existait entre l’incidence de l’autisme et l’âge auquel le premier vaccin ROR était administré chez les garçons Afro-Américains, mais a choisi de dissimuler la chose. »

Il a fait remarquer :

«  Nous avons perdu dix années de recherche parce que le CDC est actuellement tellement paralysé par tout ce qui touche à l’autisme. Ils ne font pas ce qu’ils devraient faire parce qu’ils ont peur des conclusions qui pourraient être tirées. »

Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.

Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».

Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.

Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatrics qui fut publié en 2004.

 

Une note de service de 2004 dans laquelle le Dr Thompson exprimait déjà au Dr Gerberding (chef du CDC à l’époque) ses inquiétudes sur cette étude problématique, a été récemment publiée. Cette étude a bouleversé les citoyens. Cela signifierait-il que le Dr Gerberding aurait commis un parjure au cours d’une audition au Congrès? Un examen plus approfondi sera nécessaire pour le savoir.

Lire ici la copie de la lettre obtenue grâce à la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA)

Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle  aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.

Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.

Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :

«  Les résultats des recherches ont révélé qu’entre 24 et 36 mois, la vaccination était légèrement plus fréquente chez les enfants atteints d’autisme, et que cette association était la plus forte chez les enfants de 3 à 5 ans. »

Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.

« La chose la plus probable est que tout résulte des exigences de vaccinations préscolaires »

Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme

Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfants qui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).

 

Le CDC indique également que :

« Des études complémentaires, ainsi qu’un examen rigoureux plus récent de l’Institut de Médecine ont établi que le vaccin ROR ne pouvait pas augmenter le risque d’autisme. »

Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.

* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)

* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.

* La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.

La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.

Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMed permet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.

La déclaration complète du CDC peut être lue ici.

La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté  d’empêcher la divulgation de cette information ?

L’information divulguée par NaturalNews peut être consultée ici.

Source: CNN

Voir aussi:  Les aveux, déjà en 2008 sur CBS, du Dr Bernadine Healy, ancienne Directrice du National Institute of Health (NIH). La question du lien entre autisme et vaccins n’est pas tranchée disait-elle, il existe des inquiétudes et le refus par les autorités d’appliquer une vraie Science amène à sacrifier des enfants qui vont être rendus inutilement autistes alors qu’on aurait pu les dépister…

Qu’est-ce que l’autisme? Est-ce si grave et si coûteux? Rendez-vous compte par vous-même en regardant ci-dessous du temps 3.28 à 4.08  (Pour info, en Belgique, il y a plus de 100 000 autistes dont une majorité de cas d’autisme régressif, soit le type d’autisme qui survient après des vaccins et qui se caractérise par un développement parfaitement normal au départ suivi d’une sorte de « cassure » dans le développement qui correspond au déploiement dans le temps des effets neurologiques des vaccins) :

http://www.youtube.com/watch?v=ymhVI_SQwU0

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