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Alpha Condé président de Guinée parle de Paul Biya comme travailleur acharné

30 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Alpha Condé président de Guinée parle de Paul Biya comme travailleur acharné

 

 

 

               


 

http://www.youtube.com/watch?v=ykBMBcYeO40

 

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Cameroun : Que veulent les militaires rebelles du 29 septembre?

30 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun :Que veulent les militaires rebelles  du 29 septembre?

Corruption-au-Cameroun.jpg

 

Jeudi  29 septembre 2011 a eu lieu une rebellion au sein de l’armée Camerounaise, cette rébellion d’un groupe de militaires est-il un signe avant coureur des jours avenir?

Au Cameroun règne une tension immense depuis que le système politique est devenu éthnique et tribaliste. Le Cameroun qui était autrefois un pays sans problème, un havre de paix, rencontre de nombreux problèmes aujourd’hui qui sont de la responsabilité des camerounais et en premier lieu son président Paul Biya. Le Cameroun est une véritable cocotte minute qui est prête à exploser à tout moment, tant la frustration est grande.

Le Cameroun est devenu un pays ou il ne fait pas bon d’être jeune. Plus de 80% de jeunes de moins de 30 ans sont au chômage, il y a quelques mois le président leur avait miroité un recrutement de 25000 d’entre eux au sein de l’administration. Cette promesse qui a suscitée beaucoup d’espoir dans leur rang a été renvoyée aux calendes grecques c'est-à-dire à une date ultérieure. Aucune raison n’a été donnée. Or tout le monde  savait que le Cameroun ne pouvait pas en l’état actuel de ses finances mené une telle action.

 L’administration camerounaise est l’une des plus corrompue au monde selon Transparency international. Tous les investisseurs sérieux ont tournés le dos au Cameroun, Excepté les investissements d’état comme la Chine, la France et autres pays colons qui exploitent les richesses du Cameroun au nez et à la barbe des Camerounais pendant que ces derniers se paupérisent  à une vitesse grand "V". Le choléra, une maladie de la misère a refait surface dans les foyers Camerounais, plus de 2000 en sont déjà morts depuis le début de l’année 2011.

Les militaires qui ont pris les armes aujourd’hui sont l’expression de cette amertume qui habite tous les camerounais depuis au moins 20 ans.

Que veulent les militaires rebelles  du 29 septembre?

Ils veulent que l’institution militaire redevienne républicaine et non éthnique clientéliste.

Ils veulent que les lois de la république soient respectées, que la méritocratie remplace la médiocratie.

Il reproche au gouvernement de Paul Biya de faire du tribalisme au sein de l’armée et de l’administration Camerounaise.

Ce grand malaise est une réalité dans l’armée, ou certains militaires deviennent Colonel après 2 ans de service. Les nominations sont ethniques  et clientélistes. Prenons le cas des 6 grands commandements de l’armée camerounaise plus de la moitié proviennent de l’ethnie du chef de l’état.

L’armée camerounaise est mal équipée par rapport à la garde prétorienne du Chef de l’état. Le BIR (Brigade d’intervention Rapide) une espèce de milice privée du président C'est la raison pour laquelle il demande le départ du president paul Biya.

Article Momo jean

 

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Cameroun : Quel rôle les colonialistes Américains et français ont-ils joué dans la convocation tardive du corps électoral ?

29 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : Quel rôle les colonialistes Américains et français ont-ils joué dans la convocation tardive du corps électoral ?

Paul-Biya.jpgPaul Biya président du Cameroun depuis 1982

Official_portrait_of_Barack_Obama.jpgBarack Obama Président des Etats-unis d'Amerique depuis 2008.

Nicolas Sarkozy a expliqué à Barack Obama qu’il y a risque d’un chaos au coût humain et matériel incalculable si Paul Biya était enlevé du pouvoir par la force en 2011, alors qu’il n’y a personne d’acceptable pour le remplacer. Ils ont conclu que Biya restera au pouvoir pour deux ans au maximum, et passera le pouvoir à quelqu’un d’autre… un Nordiste ?  

Nous révélons également ici une bagarre entre Frank et Chantal, que les services secrets de Paul Biya avaient étouffée… ainsi que le sort que Paul Biya réserva, sous le coup d’une jalousie injustifiée, aux anciens amants de Chantal Vigouroux au Cameroun. 

BALTIMORE 09/28/2011 – Ceux qui rêvaient du spectacle des hélicoptères Puma détruisant la garde présidentielle et l’infrastructure militaire, suivi du regard hagard devant les cameras d’un Paul Biya arrêté par les forces armées américaines et/ou françaises, vont devoir se mordre les doigts… pour un temps seulement on l’espère.

Tout porte en effet à croire que Paul Biya ne quittera pas le pouvoir en 2011, parce que Nicolas Sarkozy, le véritable dirigeant du Cameroun, en a décidé autrement.

Selon une source proche du Département d’Etat qui requiert l’anonymat, la position de Barack Obama était ferme au sujet du Cameroun, conforme à celle de Hillary Clinton, à savoir que Paul Biya ne devait pas briguer un autre mandat en 2011 parce qu’il doit quitter le pouvoir après 29 ans de règne.

Si besoin se faisait sentir, Barack était prêt à engager l’infrastructure armée américaine pour enlever Paul Biya du pouvoir par la force, au cas où ce dernier s’obstinait à défier les appels du Département d’Etat et de la Maison Blanche de partir du pouvoir, mais aussi au cas où la France hésitait à le faire.

Malheureusement, pendant la semaine du 28 août au 3 septembre 2011, Sarkozy a pu changer la position du Président noir américain.

Après quelques entretiens entre le parrain gaulois Sarkozy et son métayer du territoire français du Cameroun Paul Biya, les deux ennemis du Peuple camerounais sont tombés d’accord sur une proposition qui devait calmer Barack Obama. La proposition était en deux points.

Nicolas Sarkozy a expliqué à Barack Obama qu’il y a un risque d’un chaos au coût humain et matériel incalculable si Paul Biya était enlevé du pouvoir par la force en 2011 alors qu’il n’y a personne d’acceptable pour le remplacer.

Sarkozy a donc proposé que Paul Biya reste au pouvoir au-delà de 2011. Même si pour cela il utilisera les fraudes électorales, la France et les Etats-Unis devront fermer les yeux.

La seule condition, c’est que Paul Biya ne passera pas plus de deux ans au pouvoir. Car à l’échéance de fin 2013, il devra passer le pouvoir à quelqu’un d’autre.

Ce quelqu’un d’autre aura pour mission d’organiser de nouvelles élections présidentielles dans une atmosphère plus calme… et de les gagner.

Sarkozy a plaidé auprès de Barack Obama pour que ce successeur de Paul Biya soit son fils Frank Biya. Obama aurait rejeté sèchement cette proposition.

Nous n’avons pas les différentes raisons que Sarkozy a avancées pour soutenir une telle solution de succession de père en fils.

Mais il nous semble que la stratégie de Sarkozy-Biya était de jeter ce nom de Frank Biya à Obama comme un appât, afin qu’il dise non, mais qu’il accorde ensuite en guise de concession l’essentiel de la proposition de 2 ans maximum.

En effet, il savent que Frank Biya avait déjà rejeté par le passé les offres du pouvoir par son père, après avoir suivi pendant un temps la formation nécessaire. A cet effet, tout en rejetant la proposition de la place de président de la république du Cameroun, Frank Biya était même allé jusqu’à conseiller à son père de laisser tomber cette affaire de pouvoir et de prendre tranquillement sa retraite.

Etait-ce à cause des conflits entre lui et Chantal Biya que Frank exprimait un tel refus (lire le médaillon ci-dessus sur ce conflit) ou alors parce qu’il est tout simplement humble dans ses ambitions et trouve suffisante l’immense fortune qu’il amasse personnellement dans l’exploitation du bois camerounais et dans d’autres marchés d’Etat juteux ?

En fin de semaine du 3 septembre, Barack Obama a enfin donné son accord de deux ans supplémentaires de Paul Biya au pouvoir.

C’est le retard de la décision d’Obama qui explique que Paul Biya ait signé tardivement le décret de convocation du corps électoral le 4 septembre dernier.

Une analyse de ce deal présente tout de suite un couac important. Que deviendrait le deal si Barack Obama n’était pas réélu en 2012 ? La même question se posera avec la réélection ou pas de Nicolas Sarkozy.

La seule conclusion qu’on doit retenir c’est que Nicolas Sarkozy s’est opposé au départ de Paul Biya du pouvoir, un départ qu’ont pourtant demandé différents ambassadeurs des Etats-Unis au Cameroun, le Département d’Etat ayant suivi les avis de ces derniers dans les déclarations très peu diplomatiques de Hillary Clinton en mai dernier.

Deux ans de plus pour Paul Biya, afin que ce serviteur fidèle des intérêts français quitte plus tranquillement le pouvoir. Une période qui donnera à la France de Nicolas Sarkozy ou de tout successeur l’opportunité de remettre le pouvoir entre les mains d’un fidèle nordiste.

Pourvu la hiérarchie militaire sudiste accepte aussi le deal…

La bagarre qui opposa Frank Biya et Chantal Biya le jour du mariage 

Une source de la présidence de la république du Cameroun vient de nous conter une scène de bagarre, que le protocole et les services secrets de Paul Biya avaient tout fait pour étouffer et effacer.

Les faits s’étaient passés le jour du mariage de Frank Biya (avec Laure Terry) au second palais présidentiel de Mvomeka’a. La date du mariage ne nous a pas été donnée et l’entretien ne nous a pas laissé la possibilité de revenir facilement à cette source avec de nouvelles questions.

Quelqu’un avait informé Chantal Biya que, parmi les invités, il y’avait une ancienne copine de Paul Biya. Elle avait alors interdit tout accès au palais à cette femme qui reste une grande amie de Frank Biya.

Pendant que Paul Biya est déjà installé sur la table d’honneur, attendant les mariés, un informateur vient souffler à l’oreille de Chantal une scène se déroulant dehors où le protocole a stoppé la femme et le ton est entrain de s’élever.

Frank Biya essaie de convaincre le protocole, composé des éléments de la garde présidentielle, mais rien n’y fait.

Frank est très en colère et peste à tout bout de champs. Il rentre à l’intérieur afin de s’enquérir des raisons du l’expulsion de son invitée. Quand il rentre vers l’entrée, il ne sait pas que, derrière lui, Chantal Biya vient, toute aussi énervée.

Quand Frank demande encore une fois au protocole de laisser entrer son invitée, il constate seulement que tous les éléments du protocole ne bougent pas, et sont au garde-à-vous.

En se retournant, il se trouve nez à nez avec Chantal Biya, qui lui tonne sur la figure qu’elle ne veut pas voir cette femme dans son palais.

Frank Biya, tout aussi énervé, lui répond que c’est son mariage et il a le droit d’inviter qui il veut.

Sur ce, Chantal Biya pousse Frank Biya, qui titube. Frank revient et la pousse et elle tombe presque. En même temps tous les deux s’engueulent sauvagement, le protocole ne sachant pas qui de ces deux hautes personnalités ils peuvent oser arrêter pour les séparer.

A un moment, Chantal arme et inflige à Frank une bonne gifle.

Frank se courbe, avale le sang de la souffrance, se redresse et décoche une puissante gifle sur Chantal, qui titube et va s’écrouler.

Elle est relevée par le protocole, qui ceinture aussitôt les lieux.

Tous ceux qui se trouvaient à l’endroit ou avaient vu la bagarre sont immédiatement encerclés. Les éléments de la garde républicaine fouillent chaque invité pour retirer tous les appareils d’enregistrement, les téléphones cellulaires et autres caméras qu’ils trouvent et confisquent ou détruisent.

C’est de la sorte que le protocole de Paul Biya a pu effacer toute trace de cette ridicule bagarre entre individus mal élevés de la famille présidentielle.

Sorciers qu’ils sont dans la famille de Paul Biya, est-ce pour cet incident de mauvais augure, que Frank Biya a divorcé de Laure Terry quelques mois seulement plus tard, pour se marier à la femme de son cousin et ami Mvondo Assam Bonivan ? (voir articles ci-dessous).

Il est assez surprenant que Chantal Vigouroux Biya soit jalouse à ce point de son vieillard de mari. A moins que sa jalousie soit tout simplement une vengeance contre la violente jalousie que Paul Biya avait démontré depuis 1994 qu’il avait « pointé » cette fille de joie lors du mariage de son neveu Mvondo Assam Bonivan.

En effet, en même temps que contre l’auteur de ces lignes, qui avait publié en exclusivité la nouvelle relation amoureuse du « veuf », avec les commentaires caustiques nécessaires sur la légèreté de vie de Chantal Vigouroux, Paul Biya demanda aux milices auto-défense de me tuer, ce que les leaders de ces milices n’avaient pas fait, avant de demander ensuite que nous soyons arrêté et jeté en prison par deux fois, Paul Biya avait jeté les chiens de ses services de renseignements et de sa garde présidentielle dans les trousses des multiples anciens amants de Chantal au Cameroun.

C’est ainsi que le métisse qui gérait l’affaire « Moto George » de Yaoundé fut arrêté, torturé à la « balançoire » par les éléments de la garde présidentielle. Les pieds suspendus en l’air et battu à la machette, il criait comme un animal dans l’abattoir. C’est seulement quand il accepta de déclarer qu’il ne connaissait pas la nudité de Chantal que Moto George fut relâché.

Le père des jumeaux de Chantal Vigouroux, un libanais qui avait des propriétés à Kribi et ailleurs au Cameroun, avait connu un sort différent, mais semblable à tout point à celui réservé aujourd’hui par le même Biya aux prisonniers de l’« épervier ». Il fut tout simplement accusé de trafic des organes humains et poussé à quitter le pays.

Un autre amant de Chantal Vigouroux ne connut pas de tels tourments, parce qu’il était un français et attaché de l’ambassade de France à Yaoundé… Paul Biya ne pouvait pas oser le toucher. Il fut réaffecté.

Beaucoup d’anciennes relations de Chantal Biya raconteront un jour ce que Paul Biya leur avait fait souffrir… tout cela juste par une jalousie non justifiée.

Le fils du chef de l’Etat camerounais s’est marié vendredi aux Seychelles

Le discret fils aîné du président de la République, Franck Emmanuel Olivier Biya s’est marié vendredi dernier aux îles Seychelles, dans l’Océan indien. De sources bien informées, qui se sont abstenues de donner le nom de l’heureuse élue, précisent néanmoins qu’il s’agit d’une jeune camerounaise originaire d’Ebolowa, dans la région du Sud dont Franck Biya est également originaire.

Selon les mêmes sources, le mariage s’est déroulé, sans la publication des bans, comme le permet la législation de ce pays. Et pourtant, il y a quelques mois, Franck avait été aperçu maintes fois en très bonne compagnie avec l’une des filles du libano-camerounais Hadjal Massad.

Le fils de Paul Barthelemy Biya bi Mvondo et de Zanguena Pauline épouse Temgoua avait eu un précédent mariage avec Laure Terry. Toujours est-il que personne ne veut ébruiter la nouvelle du mariage de Franck Biya.

Le déshonneur du tout nouveau mariage de Franck BIYA aux Seychelles:

Scandale autour du nouveau mariage de Franck BIYA.

 

Après un précédent mariage avec Laure Terry, le fils aîné du président de la République du Cameroun, Franck Emmanuel Olivier BIYA s’est marié vendredi 27 novembre 2009 aux îles Seychelles, dans l’Océan indien. Le mariage s’est déroulé, sans la publication des bans, comme le permet la législation de ce pays, certainement parce que Frank ne voulait pas de bruits autour de ce qui allait s’avérer être un vrai scandale pour le fils aîné du Président de la République du Cameroun. En effet, de sources bien informées, l’heureuse élue n’est rien d’autre que sa propre belle-sœur, Virginie Baroux, épouse Mvondo Assam, l’ex-femme de son frère Bonivan.
L’on se demande pourquoi le fils du Président Camerounais, qui fait de belles rencontres au quotidien, a choisi de se remarier avec une femme qui a passé des années dans sa propre famille en qualité d’épouse. Comment se fait-il que Franck BIYA n’ait vu que celle-là, l’ancienne amie de sa première femme Laure Terry.
L’histoire remonte à très loin. En effet, la mère de Virginie Baroux, Témoin de Jéhovah tout comme sa fille, a très tôt préparé le terrain pour permettre à sa fille d’atteindre le cœur et la maison de Franck BIYA. La redoutable mère de la nouvelle épouse de Franck, originaire d’Ebolowa, exerce quantités de petits métiers mais surtout celui de grande marabouteuse. Elle serait d’ailleurs directement impliquée dans de faits assez graves :
- dans un premier temps, la nouvelle belle-mère de Franck BIYA serait impliquée dans le décès de la première épouse de Bonivan. Cela a facilité le mariage de sa fille avec ce dernier, abandonnant par la même occasion le fiancé indien qui avait pourtant déjà versé l’intégralité de la dot avec un terrain à Kribi. L’on se souvient d’ailleurs que cet indien avait curieusement été accusé par la suite de trafic d’organes humains ;
- dans un second temps, la redoutable sorcière, témoin de Jéhovah, serait impliquée dans l’échec du premier mariage de Franck. L’on sait d’ailleurs que la première femme de Franck, Laure Terry, n’a pas supporté les multiples infidélités de son mari avec la femme de Bonivan, parfois sous ses yeux.
Lorsque Bonivan décida de répudier cette femme pour infidélité, c’était sans compter qu’il ouvrait grandement la porte à Franck BIYA pour vivre au quotidien la tendresse illégitime. Au moment de son divorce, Bonivan n’avait pas intégralement payé le prix de l’appartement sis Avenue FOCH (Paris) ; Franck s’est empressé de payer le montant restant afin que sa nouvelle compagne reste en sécurité dans l’un des quartiers les plus chics de Paris.
La question qui se pose est celle de savoir pourquoi, avec toutes les femmes qu’il rencontre au quotidien, Franck BIYA a choisi de se marier avec la femme répudiée de Bonivan. C’est vrai que l’on peut trouver du bonheur au sein de la famille. Mais le fils du Président camerounais doit être un modèle pour la jeunesse qui peut, à un moment donné, le prendre pour repère.
Le problème est tout autre : Franck BIYA aime violer les interdits (prendre par exemple la femme de son frère ou de ses amis) ; il n’a pas de retenue pour ses concitoyens (il coupe par exemple le bois camerounais comme un pilleur); il aime l’extravagance ; Franck adore montrer qu’il est au-dessus, très au dessus des autres.
Pourtant, le premier fis de Paul BIYA vit entièrement aux frais du contribuable camerounais (frais d’entretien de la villa du lac, de l’appartement sis avenue Foch et de la villa de Monaco ; ce sont les militaires camerounais qui gardent la villa sise à Monaco ainsi que l’appartement de l’avenue Foch). Récemment, il s’est illustré auprès de son père Président en lui offrant une Bentley pour ses 70 ans.
On doit quand même se demander comment va se comporter aujourd’hui l’ex épouse de Bonivan nouvellement femme de Franck BIYA vis-à-vis de Chantal BIYA, la première dame du Cameroun. En tant que femme de Bonivan elle disait pires énormités sur la première dame du Cameroun. On espère qu’elle a changé de point de vue depuis qu’elle va en croisière de luxe sur les bateaux et voyage à la baule et aux states. Elle est obligée de changer pour assurer sa survie au sein de la famille présidentielle.
Selon nos sources, furieux par l’annonce de ce « mariage à problèmes », le Président BIYA n’aurait pas encore reçu le nouveau couple. Son entourage le dissuaderait d’ailleurs de le faire dans le contexte actuel de la préparation de sa réélection.
Le Président camerounais a tout à fait raison. Un commentaire publié sur internet au sujet de ce mariage illustre parfaitement cette gêne du Président de la République : « on s’en tape de tout ce tapage c’est SALE pour le fils d’un président, c’est SALE pour nos coutumes, on ne touche pas à la femme de son frère surtout si ce dernier l’a répudié. Il faut savoir tenir son rang lorsque l’on est fils de grand, pour qui les connaissent tout ce tapage ne leur dit rien car totalement amoraux et ne connaissant ni la honte, ni la gêne d’une telle situation. La belle-famille s’en vante et joue les grands dans le quartier de douala. Franck tu as bafoué l’honneur de ta famille, de notre Chef ton père et de maman Chantal en allant te marier avec cette gourgandine, on prie pour le Cameroun et tes enfants ».
En définitive, on ne peut pas vraiment pas dire que Franck BIYA ait tiré quelle que leçon de son précédent mariage ou pleuré longtemps sur son récent divorce. C’est comme si rien ne s’était passé. Alors, de deux chose l’une : ou c’est la peur de la solitude, ou c’est un manque véritable de maturité et de clairvoyance. « C’est trop tôt pour quelqu’un qui aurait eu le cœur brisé et c’est un peu simpliste de prendre la première venue » Des questions se posent : est-ce un mariage arrangé ? Est-ce un coup de foudre ? Était-ce le premier choix d’avant l’heure ?
Ce deuxième mariage de Franck BIYA jette la honte sur le Président de la République et sur tous les camerounais. Epouser la femme répudiée de son frère n’es pas de la tradition de nos ancêtres.
Franck BIYA a montré, par cet acte posé aux Seychelles, qu’il n’est définitivement plus avec les Camerounais. Et c’est dommage car la jeunesse aurait pu faire appel à lui dans bien de circonstances.

Décidément, “Le Cameroun c’est le Cameroun”.
© L. P. K. AMOUGOU, Yaoundé

Camerpress / Dimanche 29 novembre 2009 

Ndzana Seme

 

 

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Comment fonctionne les Media d’intox ou Media mensonges ?

29 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Comment fonctionne les Media d’intox ou Media mensonges ?

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Comment fonctionne les Media d’intox ou Media mensonges ?

Les règles de la propagande de guerre

Comment les médias occidentaux ont-ils couvert les diverses guerres qui ont suivi la première guerre du Golfe ? Peut-on dresser des constats communs ? Existe-t-il des règles incontournables de la « propagande de guerre » ? Oui.

1. Cacher les intérêts. Les gouvernements occidentaux  se battent pour les droits de l’homme, la paix ou quelque autre noble idéal. Ne jamais présenter la guerre comme un conflit entre des intérêts économiques et sociaux opposés.
2. Diaboliser. Pour obtenir le soutien de l’opinion, préparer chaque guerre par un grand médiamensonge spectaculaire[Lire] Puis continuer à diaboliser l’adversaire particulièrement en ressassant des images d’atrocités.
3. Pas d’Histoire ! Cacher l’histoire et la géographie de la région. Ce qui rend incompréhensibles les conflits locaux attisés, voire provoqués par les grandes puissances elles-mêmes.
4. Organiser l’amnésie. Eviter tout rappel sérieux des précédentes manipulations médiatiques. Cela rendrait le public trop méfiant.

Règle n° 1. Cacher les intérêts.
La règle la plus fondamentale de la propagande de guerre, c’est de cacher que ces guerres sont menées pour des intérêts économiques bien précis, ceux des multinationales. Qu’il s’agisse de contrôler les matières premières stratégiques ou les routes du pétrole et du gaz, qu’il s’agisse d’ouvrir les marchés et de briser les Etats trop indépendants, qu’il s’agisse de détruire tout pays pouvant représenter une alternative au système, les guerres sont toujours économiques en définitive. Jamais humanitaires. Pourtant, à chaque fois, c’est le contraire qu’on raconte à l’opinion.

La première guerre contre l’Irak a été présentée à l’époque comme une guerre pour faire respecter le droit international. Alors que les véritables objectifs, exprimés dans divers documents – même pas internes – du régime US étaient :

1. Abattre un régime qui appelait les pays arabes à s’unir pour résister à Israël et aux Etats-Unis.
2. Garder le contrôle sur l’ensemble du pétrole du Moyen-Orient.
3. Installer des bases militaires dans une Arabie saoudite déjà réticente. Il est très instructif, et cocasse, de relire aujourd’hui les nobles déclarations faites à l’époque par la presse européenne sur les nobles motivations de la première guerre du Golfe.
De tout cela, zéro bilan.

Les diverses guerres contre la Yougoslavie ont été présentées comme des guerres humanitaires. Alors que, selon leurs propres documents, que chacun pouvait consulter, les puissances occidentales avaient décidé d’abattre une économie trop indépendante face aux multinationales, avec d’importants droits sociaux pour les travailleurs. Le vrai but était de contrôler les routes stratégiques des Balkans (le Danube et les pipe-lines en projet), d’installer des bases militaires (donc de soumettre la forte armée yougoslave) et de coloniser économiquement ce pays. Actuellement, de nombreuses informations sur place confirment une colonisation éhontée par les multinationales dont US Steel, le pillage des richesses du pays, la misère croissante qui s’ensuit pour la population. Mais tout cela reste soigneusement caché à l’opinion internationale. Tout comme les souffrances des populations dans les divers autres pays recolonisés.

L’invasion de l’Afghanistan a été présentée comme une lutte anti-terroriste, puis comme une lutte d’émancipation démocratique et sociale. Alors que, là aussi, des documents US parfaitement consultables révélaient de quoi il s’agissait.

 1. Construire un pipe-line stratégique permettant de contrôler l’approvisionnement de tout le sud de l’Asie, continent décisif pour la guerre économique du 21ème siècle.

2. Etablir des bases militaires US au centre de l’Asie. 3. Affaiblir tous les « rivaux » possibles sur ce continent - la Russie, l’Iran et surtout la Chine - et les empêcher de s’allier.
On pourrait analyser pareillement comment on nous cache soigneusement les véritables enjeux économiques et stratégiques des guerres en cours ou à venir : Colombie, Congo, Cuba, Corée. Côte d’Ivoire, Libye.. : Bref, le tabou fondamental des médias, c’est l’interdiction de montrer que chaque guerre sert toujours des multinationales bien précises. Que la guerre est la conséquence d’un système économique qui impose littéralement aux multinationales de dominer le monde et de le piller pour empêcher ses rivaux de le faire.

Règle N°2. Diaboliser.
Chaque grande guerre commence par un grand médiamensonge qui sert à faire basculer l’opinion pour qu’elle se range derrière ses gouvernants.

- En 1965, les Etats-Unis déclenchent la guerre du Vietnam en inventant de toutes pièces une attaque vietnamienne contre deux de leurs navires (incident « de la baie du Tonkin »).

- Contre Grenade, en 83, ils inventent une menace terroriste (déjà !) qui viserait les USA.

- La première agression contre l’Irak, en 1991, est « justifiée » par un prétendu vol de couveuses dans une maternité de Koweït City. Médiamensonge fabriqué de toutes pièces par la firme US de relations publiques Hill & Knowlton.

- De même, l’intervention de l’Otan en Bosnie (95) sera « justifiée » par des récits truqués de « camps d’extermination » et des bombardements de civils à Sarajevo, attribués aux Serbes. Les enquêtes ultérieures (tenues secrètes) montreront pourtant que les auteurs étaient en fait les propres alliés de l’Otan.

- Début 99, l’attaque contre la Yougoslavie sera « justifiée » par une autre mise en scène : un prétendu « massacre de civils » à Racak (Kosovo). En réalité, un combat entre deux armées, provoqué par les séparatistes de l’UCK. Ceux que les responsables US qualifiaient de « terroristes » au début 98 et de « combattants de la liberté » quelques mois plus tard.

- La guerre contre l’Afghanistan ? Plus fort encore, avec les attentats du 11 septembre. Sur lesquels toute enquête sérieuse et indépendante sera étouffée, pendant que les faucons de l’administration Bush se précipiteront pour faire passer des plans d’agression, préparés depuis longtemps, contre l’Afghanistan, l’Irak et quelques autres.

- La guerre contre la Côte d’Ivoire ou l’on nous présente le président Laurent Gbagbo comme un dictateur qui a perdu les élections et ne veut pas laisser le pouvoir. L’ONU décide même d’interdire les armes lourdes soi-disant contre la population pendant qu’elle arme la rébellion qui a aboutit aux massacres de Duekue, Gagnoa, Daloa etc. les bombardements de la présidence ivoirienne, des cites universitaires et des hôpitaux comme si c’était des armes lourdes.

- La guerre en Libye ou la même ONU décide de protéger les bombardements civil qu’il appel no « fly zone », pour ensuite aller bombarder les populations civiles et les autorités Libyennes, dans le but de tuer le guide Libyen Mouammar Kadhafi. Le plus gros c’est qu’ils racontent que le Colonel Kadhafi a tue 10000 Libyens en quelques jours, on a jamais vu les images.



Chaque grande guerre commence par un médiamensonge de ce type : des images atroces prouvant que l’adversaire est un monstre et que nous devons intervenir pour une « juste cause ».
Pour qu’un tel médiamensonge fonctionne bien, plusieurs conditions sont nécessaires :

1. Des images épouvantables. Truquées si nécessaire.

2. Les marteler plusieurs jours, puis prolongé par des rappels fréquents.

3. Monopoliser les médias, exclure la version de l’autre camp. Par les cybers attaques comme ce fut le cas pour la Cote d’ivoire, le bombardement de la radio et télévision ou le retrait des satellites dans le cas Libyen.

4. Ecarter les critiques, en tout cas jusqu’au moment où il sera trop tard.

5. Qualifier de « complices », voire de « révisionnistes » ceux qui mettent en doute ces médiamensonges.

Règle N° 3. Pas d’Histoire !
Dans tous les grands conflits de ces dernières années, les médias occidentaux ont caché à l’opinion les données historiques et géographiques essentielles pour comprendre la situation des régions stratégiques concernées.

En 1990, on nous présente l’occupation du Koweït par l’Irak (qu’il ne s’agit pas ici de justifier ou d’analyser) comme une « invasion étrangère ». On « oublie » de dire que le Koweït avait toujours été une province de l’Irak, qu’il en a été séparé en 1916 seulement par les colonialistes britanniques dans le but explicite d’affaiblir l’Irak et de garder le contrôle de la région, qu’aucun pays arabe n’a jamais reconnu cette « indépendance », et enfin que le Koweït est juste une marionnette permettant aux Etats-Unis de confisquer les revenus du pétrole.

En 1991, en Yougoslavie, on nous présente comme de gentils démocrates « victimes » deux dirigeants extrémistes, racistes et provocateurs, que l’Allemagne a armés avant la guerre : le Croate Franjo Tudjman et le Bosniaque Alia Izetbegovic. En cachant qu’ils renouent avec le plus sinistre passé de la Yougoslavie : le génocide anti-serbe, anti-juif et anti-rom de 41-45. On présente aussi les populations serbes de Bosnie comme des envahisseurs alors qu’elles y vivaient depuis des siècles.

En 1993, on nous présente l’intervention occidentale en Somalie comme « humanitaire » en cachant soigneusement que des sociétés US ont acheté le sous-sol pétrolifère de ce pays. Et que Washington entend contrôler cette région stratégique de la « Corne de l’Afrique » ainsi que les routes de l’Océan Indien.

En 1994, on nous présente le génocide rwandais en faisant silence sur l’histoire de la colonisation belge et française. Laquelle avait délibérément organisé le racisme entre Hutus et Tutsis pour mieux les diviser.

En 1999, on nous présente le Kosovo comme une terre envahie par les Serbes. On nous parle de « 90% d’Albanais, 10% de Serbes ». Passant sous silence la forte diminution du nombre des Serbes lors du génocide commis dans cette province durant la Seconde Guerre mondiale, puis durant l’administration albanaise de la province (années 80). On escamote aussi l’existence au Kosovo de nombreuses minorités (Roms, Juifs, Turcs, Musulmans, Gorans, etc...). Minorités dont « nos amis » de l’UCK avaient programmé le nettoyage ethnique, qu’ils réalisent aujourd’hui sous les yeux et avec la bénédiction de l’Otan.

En 2001, on crie haro sur les talibans. Mais qui les a amenés au pouvoir ? Qui les a protégés des critiques des organisations des droits de l’homme afin de pouvoir construire avec eux un juteux pipeline transcontinental ? Et surtout, au départ, qui a utilisé le terrorisme de Ben Laden pour renverser le seul gouvernement progressiste qui avait émancipé la paysannerie et les femmes ? Qui a ainsi rétabli la pire terreur fanatique en Afghanistan ? Qui, sinon les Etats-Unis ? De tout ceci, le public ne sera guère informé. Ou trop tard.

La règle est simple. Occulter le passé permet d’empêcher le public de comprendre l’histoire des problèmes locaux. Et permet de diaboliser à sa guise un des protagonistes. Comme par hasard, toujours celui qui résiste aux visées néocoloniales des grandes puissances.

Règle N° 4. Organiser l’amnésie.

Lorsqu’une grande puissance occidentale prépare ou déclenche une guerre, ne serait-ce pas le moment de rappeler les grands médiamensonges des guerres précédentes ? D’apprendre à déchiffrer les informations transmises par des états-majors ô combien intéressés ? Cela s’est-il produit à l’occasion des diverses guerres des années 90 ? Jamais. A chaque fois, la nouvelle guerre devient la « guerre juste », plus blanche encore que les précédentes, et ce n’est pas le moment de semer le doute.

Les débats seront pour plus tard. Ou jamais ? Un cas flagrant : récemment, un super-menteur a été pris la main dans le sac, en flagrant délit de médiamensonge. Alastair Campbell, chef de la « communication » de Tony Blair, a dû démissionner quand la BBC a révélé qu’il avait truqué les informations sur les prétendues armes de destruction massive. Ceci a-t-il provoqué un débat sur les précédents exploits du dit Campbell ? N’aurait-il pas été intéressant d’expliquer que toute notre information sur le Kosovo avait été concoctée par ce même Campbell ? Que cela méritait certainement un bilan et une réévaluation de l’information donnée sur la guerre contre la Yougoslavie ? Il n’en a rien été.

Sources : michelcollon.info, grand mensonges des medias

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La Fin de l'état de droit (Faire la guerre « au nom » des victimes )

29 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

L’idéologie impériale 


La Fin de l'état de droit (Faire la guerre « au nom » des victimes ).

La « guerre humanitaire », telle que nous la voyons se développer du Kosovo à la Libye, s’accompagne d’une rhétorique toujours plus sophistiquée selon laquelle l’OTAN agirait au nom de victimes qui ne peuvent elles-mêmes agir. Selon les sociologues Jean-Claude Paye et Tülay Umay, ce discours correspond à une évolution profonde des mentalités européennes pour qui le culte de la souffrance l’emporte sur la compréhension de la réalité politique. Il en résulte une forme de droit, national ou international, qui ne cherche plus à stopper la spirale de la violence, mais qui au contraire la nourrit.

La structure impériale ne connaît aucun tiers. La guerre contre la Libye a reçu un mandat de l’ONU contre lequel, ni la Chine, ni la Russie n’ont opposé de veto. Aux États-Unis et en Europe, l’opposition à ce conflit est faible. La guerre déclenchée par les occidentaux s’est faite au nom de la défense des victimes, des populations sans défense qui ne pouvaient qu’être massacrées par Khadafi. L’image de la victime est unificatrice. Elle est un fétiche destiné à occuper et à supprimer la place du tiers. Elle réduit les victimes réelles à l’état d’infans, de personnes qui n’ont pas accès à la parole. Cette image est sans cesse capturée par le discours du pouvoir. Celui-ci occupe la place des victimes réelles et entre ainsi dans le sacré. Le politique et le symbolique sont confondus. C’est ce qui supprime tout cran d’arrêt à la violence. Celle-ci devient permanente, fondatrice. La structure impériale est ainsi déni du politique.

La guerre humanitaire : une guerre contre le langage

Le discours de nos gouvernants est un élément essentiel pour comprendre l’intervention militaire en Libye. S’il ne permet pas de saisir ce qui se passe sur le terrain, ni les enjeux matériels du conflit, il permet de voir que la « guerre humanitaire » est aussi une guerre contre le langage. Elle nous place dans l’image et supprime ainsi toute possibilité d’opposition. La tribune du 15 avril, de Barak Obama, Nicolas Sarkozy et de David Cameron, publiée conjointement par The Times, The International Herald Tribune, Al-Hayat et Le Figaro , nous communique qu’« Il ne s’agit pas d’évincer Kadhafi par la force. Mais il est impossible d’imaginer que la Libye ait un avenir avec Kadhafi » [1]. Cette déclaration met ensemble deux propositions contradictoires. Il ne s’agirait pas d’une action militaire contre Kadhafi, mais il est impensable que, suite à cette intervention, celui-ci reste au pouvoir.

Cette proposition s’inscrit parfaitement dans l’oxymore construit par la guerre humanitaire : deux termes qui s’excluent et qui ici sont fusionnés. Cette procédure a pour effet de renverser le sens de chaque notion. La guerre est la paix et la paix est la guerre. L’intervention militaire s’identifie à la paix puisqu’elle est déclenchée au nom de la sauvegarde des populations. Quant à l’intentionnalité humanitaire, elle exclut toute négociation et se réalise uniquement par des moyens militaires.

Le but humanitaire énoncé n’est pas mis en rapport avec les moyens militaires engagés et leurs conséquences sur les populations. Le déchiffrage du réel ne pourrait être qu’une entrave à la réalisation des objectifs de cette guerre : la protection de populations sans défense Ainsi, les faits ne sont pas refoulés, mais leur observation est, comme dans l’époché de la phénoménologie de Husserl [2], suspendue, afin de laisser la place au regard, au sens donné . Il s’agit de libérer celui-ci de l’observation des objets, afin de faire voir l’intériorité de la guerre humanitaire, sa pure intentionnalité : l’amour de la victime

La voix des victimes

La tribune nous confirme que c’est bien l’appel des victimes qui serait à la base de l’intervention militaire. Mais, en déclarant « qu’il est impensable que quelqu’un qui ait voulu massacrer son propre peuple joue un rôle dans un futur gouvernement libyen », elle ajoute un élément supplémentaire, celui de la capacité de nos gouvernants d’anticiper le cri des populations. Cette anticipation nous confirme qu’elle ne porte pas sur les victimes concrètes, mais sur leur image.

Ce n’est pas la matérialité des faits, la répression subie ou les massacres réalisés, qui permettent de désigner la victime, mais uniquement le regard pur, libéré de tout objet de perception, que le pouvoir porte sur les évènements. Les habitants de l’Émirat de Bahreïn, bien que réprimés violemment par leurs gouvernants avec l’appui de troupes d’une puissance étrangère, l’Arabie Saoudite, ne sont pas désignées comme des victimes. Au contraire, les populations libyennes ne peuvent qu’être massacrés par Kadhafi, bien qu’aucune preuve n’ait été avancée, à part les intentions proclamées par le dictateur lui-même.

La voix des populations pilonnées par Kadhafi est installation d’une image, d’un signifié originaire qui nous installe dans la psychose. Elle est création d’un nouveau réel, libéré de la fonction langagière et qui se saisit de nous. Ici aussi, la perception des faits doit être mise en parenthèses. La voix des victimes est le support d’une création ex-nihilo. Husserl parlerait d’une intuition originaire. Il s’agit de la procréation d’un nouveau réel, celui de la mise en place d’un nouvel ordre international, non plus structuré par des oppositions et des conflits d’intérêts, mais par l’amour envers les peuples victimes des tyrans.

Une structure psychotique

La voix, portée par l’image de la victime, nous appelle de l’extérieur, mais ne parle pas. Son action est silencieuse, mais dit la vérité. Elle se pose en tant que sens, en tant que signifié originaire. Elle est ce qui se met à la place de ce que Lacan, travaillant sur la structure psychotique, a désigné comme le signifiant originaire, le symboliquement réel, la part du réel qui est directement symbolisée [3]. Le logos, le symboliquement réel, en tant qu’il permet l’inscription du réel, est possibilité d’un devenir. L’image de la voix de la victime, quant à elle, annule toute inscription, toute capacité de symbolisation du réel. Elle supprime la fonction de la parole et ainsi toute possibilité d’opposition. Elle nous installe dans un silence traumatique.

La guerre humanitaire, ordonnée par l’image de la victime, nous introduit ainsi directement dans le sacré. Les massacres, empêchés par l’intervention militaire, existent grâce à l’image de la voix des victimes que les dirigeants occidentaux ont préventivement su entendre. La violence du dictateur, exposée dans le discours, apparaît sans objet. Elle a, comme René Girard l’a théorisé, dans La Violence et le sacré [4], un caractère originaire.

Elle prend aussi la forme de la vengeance, de deux violences mimétiques, l’une hors la loi, les massacres que Kadhafi ne peut que réaliser et l’autre, au delà de la loi, fondée sur le sacré, sur l’amour de la victime. Il n’y a plus de tiers, l’ONU est annulé. Son autorisation de procéder à la création d’un espace aérien, afin de protéger les populations, est non seulement immédiatement violée par l’engagement aux côtés des insurgés, mais aussi dénié par le discours, par la déclaration concomitante que Kadhafi doit partir. L’image de la victime nous place hors langage. Elle renverse ainsi la Loi et supprime tout cran d’arrêt à la violence.

La « guerre contre le terrorisme »

L’image de la victime n’est pas seulement le paradigme de la « guerre humanitaire », mais aussi celui de la « guerre contre le terrorisme » qui fusionne hostilité et acte criminel. La mise en avant de la victime dans la lutte antiterroriste s’inscrit dans une mutation globale du droit. L’ensemble de l’ordre juridique est réorganisé autour de cette image. La nécessité supposée de venger la victime renverse la fonction du droit qui était d’établir des gardes fous à la violence.

Le 11 mars, l’Union européenne et les États membres ont organisé une journée de commémoration des victimes du terrorisme. Le « Jour de la victime » s’inscrit dans le cadre de la lutte antiterroriste, mais aussi, plus globalement, dans la mutation du droit enregistrée depuis une dizaine d’années. Les représentants de l’UE ont également fait un lien direct entre cette commémoration et l’attention de l’Europe vis à vis des « révolutions » dans les pays arabes [5]. L’écoute particulière des institutions européennes vis à vis des peuples opprimés permettrait à celles-ci de donner des conseils de démocratie aux nouveaux gouvernements tunisien ou égyptien et de faire partager à ces derniers des « valeurs fondatrices » de l’UE. Les déclarations des institutionnels européens lors du Jour de la victime nous apprennent que c’est aussi le cri des victimes qui justifierait l’intervention militaire, sous direction états-unienne, des États membres en Libye, donnant à ceux-ci un droit d’ingérence.

Ces « voix » que nous devrions entendre, que ce soit en Libye, en Irak, en Afghanistan, en côte d’Ivoire, justifient les interventions par l’aide aux victimes des régimes combattus.

Un renversement de l’ordre juridique

Aujourd’hui, la victime est emblématique du discours étatique et est particulièrement mobilisée par le processus pénal. Cette réorganisation du droit est commune à l’ensemble des pays occidentaux. En Belgique, comme nous l’a déjà montré le petit Franchimont [6] en 1998, son invocation a servi de référence aux réformes de la Justice de ce pays, c’est à dire à l’affaiblissement du juge et à la concentration des pouvoirs dans les mains de l’exécutif [7]. En ce qui concerne le déchaînement de l’idéologie victimaire, la France n’est pas en reste. Ainsi, les juges d’application des peines doivent obligatoirement aviser les victimes des mises en liberté conditionnelle, aujourd’hui raréfiées au nom d’un principe de précaution perverti.

Instaurer une primauté de la victime sur la loi opère un bouleversement du système pénal. Aujourd’hui, de plus en plus de peines veulent répondre à l’éventuel souci de vengeance de la victime. Le rôle de la loi est déplacé. Sa fonction première était d’arrêter la violence. Actuellement, ce frein est remis en cause. Nous sommes entraînés dans un processus infini de punition et de victimisation. La victime ne peut non plus faire son deuil. Elle est un état permanent, une essence qui dénie le rôle normalement pacificateur du droit. La victime devient l’inscription iconique attestant de la protection et de l’amour du pouvoir à notre égard.

La solution juridique qui consiste à satisfaire les désirs supposés de la victime opère un déplacement de la responsabilité de l’acte vers la réparation des dommages. Elle procède ainsi à un renversement d’un système de droit, organisé autour des droits et devoirs du citoyen vis-à-vis de la communauté, en une pratique juridique centrée sur l’individu et les valeurs.

Le pouvoir victime du terrorisme

La lutte antiterroriste apporte une dimension supplémentaire. En dehors de toute analyse de la réalité, c’est la voix de la victime qui révèlerait la vraie nature des terroristes : des criminels qui « tuent et causent d’énormes souffrances. » Ainsi, le cri, l’invocation de la douleur crée une image. Elle pose l’acte en dehors de tout contexte politique ou social. Un ensemble d’attentats n’ayant aucun rapport entre eux : l’effondrement des tours du World Trade Center, les attaques contre les troupes d’occupation états-uniennes en Irak ou en Afganisthan, les attentats de Madrid du 11 mars 2004, sont considérés comme identiques. Tous ces actes résulteraient d’une violence sans objet, d’une violence pure. La lutte antiterroriste construit une image qui fait penser à la notion de violence originaire développée par René Girard dans sa théorie de la victime émissaire [8], une violence inexplicable, mais fondatrice de l’organisation sociale.

De même, la violence terroriste existerait pour elle-même, elle n’aurait pas de sens. En l’absence de sens, le langage régresse. Ce qui est dit donne simplement à voir, à entendre. Le langage devient bruit, cri, signifiant pur. Il est construction d’une image unificatrice et englobante : la voix de la victime. Celle-ci opère une fusion entre le spectateur et l’horreur exhibée. La représentation devient impossible. L’affect se substitue à l’analyse et à la raison.

Les incriminations punissant le terrorisme opèrent un deuxième déplacement. Ce n’est plus seulement au nom d’une quelconque victime que la lutte contre le terrorisme s’organise. Le pouvoir est non seulement le représentant de la victime, mais il occupe la place de celle-ci. En effet, ce qui spécifie un acte comme terroriste, n’est pas tant l’action elle-même que le fait qu’elle est accomplie avec l’intention de faire pression sur un gouvernement. L’incrimination du terrorisme permet au pouvoir de se poser lui-même en tant que victime.

Big Mother

La journée de commémoration du 11 mars s’inscrit dans ce schéma. L’initiative de l’Union européenne résulterait d’une responsabilité particulière des États membres à l’égard des victimes, car « les terroristes attaqueraient la société dans son ensemble ». Nous serions tous des victimes en puissance. La fétichisation de la victime réelle réalise une fusion entre celle-ci, les populations et le pouvoir .

La lutte antiterroriste organiserait la défense de tous contre cette violence aveugle. Pour ce faire, elle fusionne état de guerre et lutte contre la criminalité. Elle supprime toute distinction entre extérieur et intérieur, entre guerre et paix. L’État remet en cause l’Habeas corpus de ses citoyens et leur applique des mesures de surveillance, autrefois réservées aux ennemis du pays. L’état de guerre devient permanent, illimité contre un ennemi indéfini aux multiples visages qui peut recouvrir celui de tout un chacun, car les USA peuvent poursuivre toute personne simplement désignée comme terroriste, à savoir nommée comme « ennemi combattant illégal » par le pouvoir exécutif [9]. Déjà victimes, nous pouvons devenir terroristes. La fusion est donc complète entre la victime, le terroriste et le pouvoir.

Cet ordre politique psychotique, fondé sur l’amour de la victime, nous intime de nous abandonner et de renoncer à nos libertés constitutionnelles, afin d’être protégés de l’autre et de nous mêmes. Cette structure politique maternelle supprime toute séparation entre l’État et le citoyen. La loi française LOPPSI 2 , en transformant la vidéo-surveillance en vidéo-protection, opère une mutation sémantique caractéristique de l’attention que nous porte Big Mother.

En parlant au nom et en se positionnant comme victime, le pouvoir entre dans le sacré. Il fusionne ordre politique et ordre symbolique. Comme l’a déjà exprimé Georges W. Bush, dans sa guerre du Bien contre le Mal, le pouvoir occupe directement la place de l’ordre symbolique. Fondant sa légitimité sur l’icône de la victime, il nous place dans une violence sans fin. La lutte antiterroriste nous inscrit ainsi dans le tragique, tel qu’il a été mis en scène par la tragédie grecque. Elle nous place dans une violence infinie, toujours renouvelée, car il n’y a plus de principe protecteur de la vie, d’ordre symbolique articulé au pouvoir politique. La psychanalyse nous apprend que c’est justement ce phantasme de l’unification à la mère imaginaire, ici à l’État comme mère symbolique, qui est à la base de cette violence sans limite, soit disant sans objet, que la lutte antiterroriste prétend combattre.

Jean Claude Paye Sociologue

 

 

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Vidéo démontrant la Bagarre a l’ONU des agents de sécurité de l’ONU et ceux d’un génocidaire du peuple Libyen.

29 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

Vidéo démontrant la Bagarre à l’ONU entre des agents de sécurité de l’ONU et ceux d’un génocidaire du peuple Libyen.

avionONUCII

 

 

Vidéo démontrant que l’ONU est devenue un repère de voyous. Bagarres et malversations, crimes contre l’humanité sont devenus ses principales activités.

Ci-dessous la bagarre entre les agents de sécurité de l’ONU et les hommes de sécurité du premier ministre Turque l’un des génocidaires du peuple Libyen.

 

Cliquez ici

 

ou recopiez le lien ci-dessous.

http://video.uk.msn.com/watch/video/security-fight-caught-on-camera-inside-the-un-in-new-york/2gbfizki

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Alerte D'information : LE COMMANDANT WATTAO S’EST ENFUI DU PAYS

26 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

wattao.jpg

Une information que nous tenons d’un journal de la place : « Le Quotidien ».

Sans pour autant être en mesure de vous la confirmer, nous vous la livrons dans son intégralité, telle que rapportée dans ce journal.

 

« Au cours de la semaine écoulée, l’écheveau autour du commandant Wattao a commencé à se démêler. Aux dernières nouvelles, il a fuit le pays pour se refugier dans un pays voisin.

Secret de polichinelle. Le commandant Wattao et les nouveaux tenants du pouvoir n’étaient plus en symbiose depuis la chute du Président Gbagbo le 11 Avril. Pour cause, il lui est reproché d’être le principal acteur de la fuite du pays de Charles Blé Goudé, après la capture de Gbagbo, et de protéger les biens et domiciles des têtes dures de l’ancien régime. Notamment, Konaté Navigué et certains responsables de la galaxie patriotique. Dont les biens sont essentiellement à Marcory, où habitait aussi Blé Goudé. Il aurait été dénoncé auprès de la hiérarchie militaire des Frci par le commandant « le fou » de Treichville, qui espérait une nomination dans l’armée.

 

Il faut noter que depuis un bon moment déjà, la zone de Marcory était formellement interdite à ce commandant de Treichville. Wattao n’était pas d’accord avec Anne Ouloto qui a démoli son parking dont lui et Blé Goudé sont copropriétaires.  En effet, le commandant Wattao avait demandé à la ministre d’épargner son business sur le VGE. Mais la supplication de Wattao n’avait pas été entendue par « Maman Bulldozer ».

 

L’ex-chef d’Etat major adjoint des Forces nouvelles était interdit d’approcher Alassane Ouattara. Seul Chérif Ousmane avait le droit d’avoir directement accès au Président. Cela procéderait d’un antécédent très fâcheux entre le « Bravetchê » et son poulain d’hier. Ensuite, il est reproché à Issiaka Ouattara (dit Wattao) de détenir des documents compromettants sur Mangly qu’il refuserait de remettre au nouveau pouvoir qui pourrait les utiliser contre l’ancien DG des douanes, sous Gbagbo. Ce sont là, quelques faits qui, selon le pouvoir en place, relégueraient le Commandant Issiaka Ouattara au banc des traîtres.

 

Il est devenu un homme à abattre. Une affaire de soldats français arrêtés n’était étrangère au pourrissement des rapports entre le commandant et ses chefs, dont le président Alassane Ouattara. Ainsi la semaine dernière, l’homme s’est enfui du pays. Après une escale au Burkina Faso, il serait dans un autre pays d’où il se préparerait encore à partir plus loin.

 

C’est une situation qui trouble sérieusement le sommeil des tenants du pouvoir actuel qui s’attendent forcément à un retour du bâton, quand on sait qui est Wattao. Un chef de Guerre très craint dans le sérail du pouvoir actuel. Qui a des éléments à sa solde qui lui sont dévoués et qui sont très bien formés et armés. En plus, la quasi-totalité des Chefs de guerre de l’ouest sont des hommes forts de Wattao. Il s’agit entre autres du capitaine Eddy Medi, com-secteur de Danané et du Commandant Zulu, chef de guerre à Blolequin. Le pouvoir en place prend en ce moment même toutes les dispositions pour parer à toutes les éventualités qui découleront de cette situation inattendue ».

 

Olive Amezady

 

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Les Oulémas Mauritaniens sont en grande partie responsables de la situation chaotique et de faillite généralisée de la Mauritanie

26 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Les Oulémas Mauritaniens sont en grande partie responsables de la situation chaotique et de faillite généralisée de la Mauritanie

 

Réponse à la lettre de félicitation des Oulémas de la Mauritanie aux participants du dialogue national.

 

Chers Oulémas de la Mauritanie,

 

Au nom du droit de réponse, nous nous insurgeons ici pour apporter une contribution en ajoutant des éclaircissements sur le rapport que vous entretenez et le rôle que les citoyens épris de paix et de justice attendent de vous.

 

En ce qui concerne la formulation et la conception de ce scénario de dialogue dont vous faites allusion allant jusqu’à adresser une félicitation aux participants, tout  a été faussé depuis le début. En effet, la plupart des partis de la majorité  et de l’opposition n’ont  pas été concertés et  impliqués. Ces derniers n’ont pas été aussi invités officiellement à participer à cette énième farce gouvernementale.

 

Si cette rencontre a été organisée dans le seul souci de duper et d’abuser la communauté internationale comme naguère, l’opinion nationale elle ne saurait cautionner de telle pratique.

 

De même, certaines organisations connues pour leur indépendance d’esprit et leur engagement sincère à poser les questions de fond qui minent réellement la stabilité et la concorde nationale ont été tout simplement évitées.

 

Ainsi, il est pratiquement utopique, déplorable voir honteux de considérer un dialogue national se résumer par la rencontre du bureau exécutif de la majorité (composé de 5 à 6 partis politiques sur 32) et quatre partis de l’opposition seulement pour vouloir sceller le sort de toute une nation.

 

Mieux, ce sont des tiraillements et des batailles rangées qui animent les commissions au sein du palais des congrès qui n’a jamais été aussi désert pour des questions nationales.

 

La révélation de cette dernière commission d’appui (composée de 18 Personnes) mise sur place par les organisateurs de ce dialogue en est une parfaite illustration.

 

Les vrais oulémas, devant cette mascarade devraient avoir une autre attitude qui consiste à dénoncer ce genre de pratiques (mal) et recommander la concertation et la conciliation plutôt que de se réduire en une caisse de résonance.

 

Il est grand temps que les Oulémas Mauritaniens qui sont censés répandre les instructions divines prônées dans le coran, apprennent à prendre leur distance de l’exécutif et de certains politiciens véreux qui n’entretiennent que leurs intérêts égoïstes et personnels.

 

Les Oulémas Mauritaniens sont en grande partie responsable de la situation chaotique et de faillite généralisée qui prévaut dans le pays car sous couvert du manteau de l’Islam, ils encouragent (Esclavage, Epuration ethnique, Racisme entretenu, Ignorance, Complicité, complaisance, Corruption, Gabegie, Trafic humain, Endoctrinement, Escroquerie, Hypocrisie, détournement de l’Aumône étrangère et de tous les fonds destinés aux mahadras).

 

Ne devraient-ils pas être d’ailleurs audités ?

 

 Leur soumission sans scrupules à tous les régimes successifs pour la préservation de leurs avantages acquis au nom de l’Islam en font d’eux des suppôts de Satan, plutôt que de porteurs de bonnes paroles pouvant apporter contribution à la cohésion sociale et la stabilité. L’histoire de notre sainte religion nous enseigne que toutes les cités qui s’adonnaient à ces pratiques ont été détruites ou maudites à jamais.

 

Ce sont ces mêmes Oulémas qui ont contribué à l’établissement des relations entre la Mauritanie et l’Israël par une implication dans le discours favorable de Taya et la sensibilisation auprès des populations. Ils ont applaudi et tenté même d’expliquer les liens de cousinage entre les deux peuples.

 

Leur dernière prière de l’Istisghah organisée récemment implorant Allah le tout puissant pour de bonnes pluies n’a engendré que tempête de sable, poussière, canicule et conjonctivite. Ceci est plein d’enseignement.

 

Les oulémas n’ont jamais posé dans leurs quotbbas  les questions auxquelles les citoyens sont confrontés quotidiennement.  Alors qu’il est convenu que  ces moments forts  de communion dans les mosquées et principalement le vendredi doit être des instants pour interpeller et produire des conseils.

 

Devront ils rester Oulémas ceux qui cautionnent, acceptent et partagent tout sur leur passage?

 

Devrons-nous continuer de faire confiance à ces Oulémas dans cette Mauritanie d’aujourd’hui?

 

Réponse à la lettre de félicitation des Oulémas de la Mauritanie aux participants du dialogue national.

 

Chers Oulémas de la Mauritanie,

 

Au nom du droit de réponse, nous nous insurgeons ici pour apporter une contribution en ajoutant des éclaircissements sur le rapport que vous entretenez et le rôle que les citoyens épris de paix et de justice attendent de vous.

 

En ce qui concerne la formulation et la conception de ce scénario de dialogue dont vous faites allusion allant jusqu’à adresser une félicitation aux participants, tout  a été faussé depuis le début. En effet, la plupart des partis de la majorité  et de l’opposition n’ont  pas été concertés et  impliqués. Ces derniers n’ont pas été aussi invités officiellement à participer à cette énième farce gouvernementale.

 

Si cette rencontre a été organisée dans le seul souci de duper et d’abuser la communauté internationale comme naguère, l’opinion nationale elle ne saurait cautionner de telle pratique.

 

De même, certaines organisations connues pour leur indépendance d’esprit et leur engagement sincère à poser les questions de fond qui minent réellement la stabilité et la concorde nationale ont été tout simplement évitées.

 

Ainsi, il est pratiquement utopique, déplorable voir honteux de considérer un dialogue national se résumer par la rencontre du bureau exécutif de la majorité (composé de 5 à 6 partis politiques sur 32) et quatre partis de l’opposition seulement pour vouloir sceller le sort de toute une nation.

 

Mieux, ce sont des tiraillements et des batailles rangées qui animent les commissions au sein du palais des congrès qui n’a jamais été aussi désert pour des questions nationales.

 

La révélation de cette dernière commission d’appui (composée de 18 Personnes) mise sur place par les organisateurs de ce dialogue en est une parfaite illustration.

 

Les vrais oulémas, devant cette mascarade devraient avoir une autre attitude qui consiste à dénoncer ce genre de pratiques (mal) et recommander la concertation et la conciliation plutôt que de se réduire en une caisse de résonance.

 

Il est grand temps que les Oulémas Mauritaniens qui sont censés répandre les instructions divines prônées dans le coran, apprennent à prendre leur distance de l’exécutif et de certains politiciens véreux qui n’entretiennent que leurs intérêts égoïstes et personnels.

 

Les Oulémas Mauritaniens sont en grande partie responsable de la situation chaotique et de faillite généralisée qui prévaut dans le pays car sous couvert du manteau de l’Islam, ils encouragent (Esclavage, Epuration ethnique, Racisme entretenu, Ignorance, Complicité, complaisance, Corruption, Gabegie, Trafic humain, Endoctrinement, Escroquerie, Hypocrisie, détournement de l’Aumône étrangère et de tous les fonds destinés aux mahadras).

 

Ne devraient-ils pas être d’ailleurs audités ?

 

 Leur soumission sans scrupules à tous les régimes successifs pour la préservation de leurs avantages acquis au nom de l’Islam en font d’eux des suppôts de Satan, plutôt que de porteurs de bonnes paroles pouvant apporter contribution à la cohésion sociale et la stabilité. L’histoire de notre sainte religion nous enseigne que toutes les cités qui s’adonnaient à ces pratiques ont été détruites ou maudites à jamais.

 

Ce sont ces mêmes Oulémas qui ont contribué à l’établissement des relations entre la Mauritanie et l’Israël par une implication dans le discours favorable de Taya et la sensibilisation auprès des populations. Ils ont applaudi et tenté même d’expliquer les liens de cousinage entre les deux peuples.

 

Leur dernière prière de l’Istisghah organisée récemment implorant Allah le tout puissant pour de bonnes pluies n’a engendré que tempête de sable, poussière, canicule et conjonctivite. Ceci est plein d’enseignement.

 

Les oulémas n’ont jamais posé dans leurs quotbbas  les questions auxquelles les citoyens sont confrontés quotidiennement.  Alors qu’il est convenu que  ces moments forts  de communion dans les mosquées et principalement le vendredi doit être des instants pour interpeller et produire des conseils.

 

Devront ils rester Oulémas ceux qui cautionnent, acceptent et partagent tout sur leur passage?

 

Devrons-nous continuer de faire confiance à ces Oulémas dans cette Mauritanie d’aujourd’hui?

 

Mr El Hussein DIENG
Président de l'ONG Initiative Pour Tous

 

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Rosalie Kouamé «Roska»:Choisissons la voie de nos fétiches ou celle de Dieu, mais pas les deux à la fois!

26 Septembre 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Choisissons la voie de nos fétiches ou celle de Dieu, mais pas les deux à la fois!

 

Kouassi

Rosalie Kouamé «Roska»

Ingénieur en Management, Leadership & Strategy Development

Présidente Fondatrice - Fondation Roska


L’Afrique est un continent riche, mais pauvre ou alors un continent pauvre mais riche (tout dépend de l’angle sous lequel on choisit de l’observer). Ce continent riche mais pauvre ou pauvre mais riche, regorge beaucoup de «pauvres-riches» (des hommes et des femmes riches sans mérite ni gloire), et pour les "PAUVRES-RICHES" de notre continent, il n'y a pas lieu de se prendre la tête. De même, je dirai qu’il n’y a pas lieu non plus de «se prendre les fesses…» Voyons ensemble!

L'Afrique est à l'image de leurs richesses en question. Ou alors, leurs richesses en question sont à l'image de l'Afrique... C'est à dire RICHE mais très PAUVRE... Une richesse qui est la cause d'une pauvreté criarde de l'âme, pour une vie si éphémère! Et dire qu'ils sont même enviés par des gens, c'est à ce niveau qu'il faut avoir pitié…

Pour ce qui concerne la Côte d’Ivoire, prions plutôt pour que les NOMBREUX DEMONS que les «pauvres-riches» ont déversés ou invités dans notre pays retournent d'où ils sont venus pour que le sang cesse de couler et que la Paix revienne. Sinon, la richesse acquise et fondée sur les crimes contre l'humanité, le sang de ses semblables, est d'une vanité qui mérite même qu'on prie pour les coupables eux-mêmes (de tout bord politique sans exception), si on a la foi recommandée par la Bible... Suivez mon regard et vous comprendrez que TOUT n'est que vanité et rien que vanité comme le disait le Roi Salomon. Si on prend le soin d'écouter les gens à qui Dieu se révèle dans sa Miséricorde, on comprendra que la Richesse peut être une Pauvreté et la Pauvreté peut être une Richesse... Prions donc pour que les démons de la guerre, les démons de la violence, les démons qui éventrent les femmes enceintes, les démons de génocide, les démons qui poussent à manger la chair humaine et à  boire le sang humain pour se sentir fort, les démons capables de brûler des centaines de personnes en un jour, les démons de tout genre qui se sont acharnés sur notre pays depuis 1999 sortent... C'est ainsi que notre pays pourra être restauré...

J’adresse donc cette note Spéciale aux femmes de Côte d’Ivoire et d’Afrique:

Mes chères sœurs, mes chères tantes, mes chères mamans… La situation de la Côte d’Ivoire est plus profonde que ce que nous voyons. Les grands hommes de Dieu l’ont dit. Que vous soyez croyantes ou pas, cela ne change rien dans ce que notre pays traverse. Nous n’avons point la maîtrise de ce qui est arrivé à notre pays, alors cherchons à avoir au moins la maîtrise de notre contribution dans sa résolution.

Pendant que les hommes de Dieu, jeûnent, prient à longueur de journée, pendant que Dieu nous demande de jeûner et prier pour faire baisser l’énergie des démons et leur envie de faire couler le sang dans notre pays, on ne peut que se poser des questions sur le rôle du Kodjo et l’objectif visé par le kodjo. Maudire ou bénir?

1.     Si l’objectif du kodjo est de maudire: Maudire, c’est souhaiter que le malheur s’abatte sur autrui. La nature de l’homme veut que celui qui nous a fait du mal, paie ce mal par le mal. Et c’est la manifestation de cette nature qui nous pousse à maudire…

Ma question est de savoir: qui est-ce qui nous recommande cela? Notre Dieu? Notre fétiche? Nous-mêmes? Une chose est certaine, un cœur pur ne maudit pas et pourtant Dieu est pureté; Donc si nous maudissons, nous pouvons en déduire que ce n’est pas Dieu qui nous le demande. C’est soit notre fétiche, soit nous-mêmes.

 

Malheureusement, la situation de la Côte d’Ivoire est largement au-dessus de nos fétiches et de nous-mêmes. Nous le constatons, nous le vivons, nous le voyons et si nous ne le voyons pas, nous pouvons au moins le sentir. Les années sont passées et ce que nous croyons possible s’est avéré impossible et ce que nous croyons impossible s’est démontré possible. Malgré notre volonté, malgré celle de nos fétiches…

La voie qui nous reste est donc celle de Dieu et celle de Dieu nous demande de bénir nos ennemis…

La Côte d’Ivoire connaît une injustice historique, montée de toute pièce depuis 2002. Les grands hommes de Dieu tel le Prophète Kakou Sévérin nous ont averti des années avant… Dieu dans sa miséricorde a continué de nous avertir et continue même de le faire.

 

NB: Dieu n’est pas le supporteur d’un politicien ni d’un parti politique. Dieu est avec le peuple de Côte d’Ivoire et la Côte d’Ivoire en tant que Nation. 

 Malheureusement, la Côte d’Ivoire s’est plongée petit à petit dans l’abomination et les pratiques qui nous éloignent de lui et qui ont permis à toutes sortes de démons de venir s’installer dans notre pays. Toutes sortes de pratiques démoniaques qui produisent l’effusion de sang et le désarroi…

 

2.     Si donc le kodjo est le choix que nous avons fait pour maudire ceux qui sont à la base des malheurs de la Côte d’Ivoire, alors je dirai que nous sommes à côté du combat spirituel auquel le pays est confronté depuis 1999.  Pourquoi? Parce que la force de malédiction du kodjo (si jamais il en a une) agirait sur ceux à qui nous avons donné la vie ou ceux avec qui nous avons eu des rapports intimes, parce que ceux-ci sont d’une manière ou d’une autre reliés à notre kodjo. Mais la force maléfique du Kodjo ne dominera pas les démons de la franc-maçonnerie, les démons des chasseurs dozo, les démons des commandos invisibles comme ceux des commandos visibles, pour la simple raison que ce n’est pas nous qui avons accouché ces démons et j’ose croire que nous n’avons pas eu des rapports intimes avec eux. Du coup, notre kodjo ne peut pas agir sur eux. Même si c’est la femme qui enfante le monde, il faut reconnaitre que le cordon ombilical de chaque être humain est relié à une femme spécifique. De ce fait, le kodjo de la dame voisine n’a aucun effet sur mon enfant et mon kodjo n’a aucun effet sur l’enfant de la voisine. C’est aussi simple que cela.

 

Ce qui par contre peut vaincre l’énergie négative produite par la meute de démons précités, c’est bien l’énergie positive (moins contre plus ou alors plus contre moins). Cette énergie positive qui n’est autre que l’Esprit saint, seul capable de s’imposer aux esprits maléfiques ne vient à nous que par la prière et le respect de la parole de Dieu.  Or Dieu nous demande de ne point médire et de bénir même nos ennemis.

Prononcer des prières et des bénédictions pour nos ennemis est la CLE qui permet à Dieu de faire notre combat. Quand on a la force de faire son combat soi-même, on le fait… Quand on n’en a pas la force, alors on le confie à Dieu, à condition de RESPECTER ses consignes, même les plus difficiles...   

 

Le peuple de Côte d’Ivoire (pro-X ou pro-Y) a été soumis à des forces démoniaques internationales qui ont supplanté les démons locaux. Seule la Force de Dieu pourra les confondre si nous lui faisons appel SINCEREMENT. Certains me dirons, « mais on a trop prié…» Justement c’est parce qu’on a trop prié qu’on est là où on est et il faut continuer de prier car les «films» avec Dieu ne sont pas de simples «courts métrages». 

 

A la place de nos Kodjo, achetons-nous des Bibles ou alors sortons celles que nous procédons déjà. Retrouvons-nous sur les grandes places publiques pour prier et bénir la Côte d’Ivoire. Prier et bénir nos familles, nos compatriotes incarcérés ou en exil. Prier et bénir aussi les ennemis de la Côte d’Ivoire afin de donner la possibilité à Dieu de faire justice. La parole de Dieu dit que c’est à lui la vengeance et la rétribution. Alors battons-nous dans les marches de protestation, mobilisons-nous dans les sit-in, dénonçons l’injustice, l’oppression et le pillage de l’Afrique dans le respect de la Parole de Dieu…

 

Et réservons le kodjo dans l’intimité absolue qui honore la femme…

 

Ce n’est pas parce que ma grand-mère a fait quelque chose que je dois faire la même chose... Et si ma grand-mère était dans l’ignorance, dois-je moi aussi demeurer dans cette ignorance parce que ma grand-mère me l’a inculquée comme culture? Non, ne demeurons pas dans ces choses qui n’ont point aidé nos grand-mères, nos mères, nous-mêmes et qui n’aideront pas nos enfants.

Si nous prenons un temps soit peu de notre précieux temps pour écouter ce que Dieu a révélé et continue de révéler à certains de ses hommes et femmes sur notre pays, nous comprendrons que la situation de notre pays est au-delà des compétences du kodjo et pire, que le Kodjo empêche Dieu de nous venir au secours.

Puisque le Kodjo est très loin de faire partie des pratiques recommandées par Dieu. Et pourtant, Dieu veut se glorifier à travers notre pays, si le peuple sait s’adresser à lui.

Revoyons donc nos stratégies et rassurons-nous qu’elles ne sont pas à l’avantage du démon, de l’ennemi... Prions et bénissons comme Dieu nous le recommande dans le Livre de Mathieu au chapitre 5, du verset 44 au verset 48. Et cela, même dans le combat. Alors battons-nous la Bible à la main! Oui, battons-nous! La Bible et le combat ne sont pas contradictoires, mais plutôt complémentaires… Accompagnons donc nos actions de foi et notre foi d’action. Comme le soutien l’opinion générale, une fois sans action est une foi morte. De même, le Psaume 127 au verset 1 nous enseigne que «celui qui bâtit sans l’Eternel, bâtit en vain». Alors battons-nous la Bible à la main pour avoir Dieu de notre côté. La première ARME de DAVID est belle et bien la Bible et la Prière qui l’ont aidé à affronter et à vaincre Goliath!

Martin Luther King et les autres combattants de la Liberté ont combattu la Bible à la main pour vaincre relativement la ségrégation raciale aux Etats-Unis, afin que « I have a dream » devienne « Yes we can » 4 décennies plus tard… Et les églises des Africains-Americains ont servi à éveiller les consciences pour la Lutte des Droits civiques aux Etats-Unis.     

Allons donc à nos manifestations, la Bible à la main!

Allons au Meeting, la Bible à la main!

Allons au Sit-in, la Bible à la main!

Allons à nos marches, la Bible à la main!

Organisons-nous dans nos combats de sorte que nous puissions être à nos Cultes les Dimanches et pouvoir participer aux manifestations, pas pour maudire mais pour prier et bénir, la Bible à la main!

Dieu vous bénisse mes chères sœurs, mes chères tantes, mes chères mamans!

 

A tous:

Le combat et la prière ne doivent point être opposés, mais complémentaire!

L’Intellectualisme et la prière ne doivent point être opposés, mais complémentaire!

Les gens sont libres de continuer à  penser que nous n’avons pas besoin de prier Dieu en Côte d’Ivoire ou en Afrique pour obtenir ce dont nous avons besoin. C’est leur droit en tant qu’humain... Cela ne change en rien la guerre spirituelle qui ravage notre pays en particulier et l’Afrique en général. Ce n’est ni Dieu ni Jésus-Christ, ni la Bible qui sont les problèmes de l’Afrique… C’est plutôt l’entêtement des Africains eux-mêmes à refuser d’écouter ceux par qui Dieu passe pour nous parler.

Le 10 Avril 2010, j’ai apporté un message reçu en révélation par Dieu à toute la Nation ivoirienne à travers une conférence de presse à Cocody…

Le 10 Avril 2011, pendant que j’étais aux Etats Unis, la voix de Dieu me dit: «J’ai averti, ils n’avaient qu’à m’écouter(…)»

 Le problème ce n’est pas Dieu, mais nous-mêmes qui voyons aisément la folie chez ceux qui peuvent nous aider à guérir de nos folies…

Alors, prions, prions et prions sans cesse. Implorons Dieu, Dieu, Dieu et Dieu sans cesse car nos pratiques ténébreuses en Afrique sont aussi à la base de notre misère, sur laquelle nombre de nos pseudo Intellectuels Africains n’ont jamais su réfléchir. 

Chaque peuple a son temps de Lumière… Cette Lumière qui permet de savoir se battre pour se libérer de toutes formes d’oppression. Et l’Afrique ne saurait demeurer dans les ténèbres produites en grande partie par beaucoup de nos pratiques classées au rang de «Culture» ou de «tradition»…

 

Dieu bénisse la Côte d’Ivoire et l’Afrique!

 24 Septembre 2011

       Rosalie Kouamé «Roska»

Ingénieur en Management, Leadership & Strategy Development

Activiste de la Paix, des Droits de l'Homme, de l'Education, de la Culture, de Jésus et des lois Divines

Présidente Fondatrice - Fondation Roska


 

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