Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de afrohistorama.over-blog.com
Articles récents

Paul Kagame dans une interview sur intox al jazzera reconnait implicitement ses liens étroits avec le CNDP, M23, et le gouvernement de Kabila.

25 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

RDC : Paul Kagame dans une interview sur intox al jazzera reconnait implicitement ses liens étroits avec le CNDP, M23, et le gouvernement de Kabila.

                



 

http://www.youtube.com/watch?v=Dyr-OS0kpo4&feature=player_embedded&noredirect=1#!

Lire la suite

Les Africains-américains déposent une plainte à la CPI pour génocide en Côte d’ivoire, Libye et RDC contre la France, la Grande Bretagne et les pays de l’OTAN.

25 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Les Africains-américains déposent une plainte à la CPI  pour génocide en Côte d’ivoire, Libye et RDC contre la France, la Grande Bretagne et les pays de l’OTAN.

 

                            


 

http://www.youtube.com/watch?v=y47t3X289KM&feature=player_embedded#!

 

Lire la suite

Le Journal de Syrie 23 Juillet 2012.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

 

 

                     


 

http://www.youtube.com/watch?v=UJQOTYGGimg&feature=player_embedded#!

 

Lire la suite

Tonye Bakot-les Bami et le bazar camerounais par Venant Mboua.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Tonye Bakot-les Bami et le bazar camerounais par Venant Mboua.

Venant-Mboua.jpg


Je déplore ce débat qui donne du tonus à tous ceux qui désignent les bami comme victimes de la persécution au Cameroun.
Cela me rappelle un fait qui a eu lieu en pleine crise étudiante en 1991, alors que les étudiants contestataires étaient persécutés au campus de ngoa ekellé. J’ai personnellement séjourné pendant une semaine à la PJ, sur instruction de Jean Tabi Manga, mon directeur à l’ÉNS à l’époque, en compagnie de mes camarades Ndam, Dongmo et Keumi.
Le fait : Un groupe de députés s’est rendu à la primature pour défendre les étudiants…originaires de l’ouest. Dans la délégation, il y avait 3 députés de la circonscription …du Wouri. Albert Nzongang, Koloko Levis et Françoise Foning qui s’étaient joints aux députés de toutes les circonscriptions de la province de l’ouest, moins le Noun.
Ces gens-là ont géré un problème national par l’émotion tribale. J’en étais choqué. Mes amis et moi, dont deux bami et Bamoun en étions choqués. Très peu d’articles de presse ont évoqué cette anomalie monstrueuse et dangereuse à l’époque.
Peut-être parce que le Cameroun n’est pas un pays normal
Il n’y a pas un seul espace qui échappe aux anomalies régnantes dans notre pays. La discrimination est un mode de gouvernement chez nous. Faut-il énumérer ici quelques cas de discriminations institutionnelles?
1- Sur le terrain politique, il y a deux catégories de citoyens : les militants et les opposants. Les militants sont ceux qui ne dénoncent pas et qui envoient des motions et des appuis de toutes sortes à son excellence le président à vie jusqu’à la mort. Eux, ce sont des citoyens, soucieux de la paix et du développement de leur pays
Les opposants sont ceux qui dénoncent le système. Ils ont un statut de natifs et résidents camerounais, mais ne sont pas vraiment des camerounais, puisqu’ils prônent le chaos (en français, chaos veut dire la fin du règne de Biya). Ils n’ont presque que pas de droit (puisqu’ils ne sont presque pas dans leur pays).
2- Les femmes ne sont presque pas des citoyennes compétentes, alors on leur fait la faveur de quelques nominations mais elles doivent quand même demeurer des animatrices de meetings politiques plutôt que des actrices politiques
3- Les jeunes sont des écervelés. D’ailleurs c’est quoi un jeune au Cameroun? De 0 50 ans, on n’est toujours pas mur pour les responsabilités. Regardez mon ami Ateba Eyene, bientôt 50 ans, jeune du Rdpc; Ama Tutu Muna, la jeune ministre de la Culture de Biya…Même les Atangana, Aba Aba, Marafa, Olanguena, Yves Michel Fotso ne sont-ils pas des enfants que les responsables comme Cavaye Yeguié, Hamadjoda, Jean Nkuete, Charles Doumba, Ferdinand Oyono, etc., ont admis au sein de la gouvernance? Les jeunes trouveront un emploi quand leur tour viendra!!!
4- Les camerounais de l’étrangers? De véritables zombies, ceux –là? Ils débarquent comme ça dans les affaires qui concernent le pays, alors qu’ils ont des passeports Américains, Canadiens, français, etc. Personne les a invités, personne ne veut d’eux, personne n’a besoin d’eux, personne ne les attend. Mais ils viennent quand même contribuer au chaos que préparent les opposants…
Ces discriminations sont plus graves que ce qu’on soupçonne à Ayene. Franchement, le nombre de réactions que je lis ici, je ne le lis pas quand il s’agit de tout ce que je viens d’énumérer qui englobe pourtant les bami, les wadjo, les bassa, tous les peuples du Mbam, les bakossi, et leurs cousins, etc.
À mon avis, si on veut rester dans le débat, ce qu’il faut dans cette affaire UCAC-Bami- Bakot-Lado et bazar, c’est une bonne enquête de journaliste (style Bobiokono) pour savoir : comment fonctionne cette faculté incriminée?, qu’est-ce qui a pu pousser l’université à évoquer une aussi laide question? Quelle est la réaction des étudiants et profs sur le campus? Que pensent les responsables de l’UCACA originaires d’autres pays ?
Excusez-moi d’écrire comme Serge Banyongen, mais tout ce que les gens disent les uns des autres ici m’a donné envie de vomir ce matin.

 

Lire la suite

La révolution islandaise une information taboue en Europe.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

La révolution islandaise une information taboue en Europe.

 


    

 

http://www.youtube.com/watch?v=9rGNF-C6Xek

 

Lire la suite

Côte d'Ivoire : La victoire aux mains nues.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Côte d'Ivoire : La victoire aux mains nues.

 

 

 


 

                                       


 

http://www.youtube.com/watch?v=f01NfTjJreI

Lire la suite

Syrie: l'opposition armée se dote d'armes chimiques.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Syrie: l'opposition armée se dote d'armes chimiques.

 Armes-chimiques.jpg

 

Des groupes terroristes qui s'opposent au gouvernement syrien se sont équipés d'armes chimiques en provenance de la Libye, annonce dimanche l'agence iranienne FARS se référant aux médias syriens.

Selon l'agence, des terroristes, se trouvant actuellement sur le territoire turc, s'entraînent à manier les gaz de combat. Leur objectif est de perpétrer une attaque contre la population civile et en accuser ensuite l'armée gouvernementale de la Syrie.

"Toute information publiée actuellement ou à l'avenir sur un éventuel recours à  l'arme chimique par l'armée gouvernementale syrienne ne signifiera que les terroristes ont recouru à cette arme contre la population (civile) pour en  faire porter la responsabilité à l'armée et au gouvernement syrien", annoncent les médias syriens cités par l'agence FARS.

Depuis plus d'un an, la Syrie est en proie à une vague de contestation du régime en place. Les affrontements ont déjà fait plus de 12.000 victimes parmi civils et militaires, selon l'Onu. Un cessez-le-feu a été décrété dans le pays en avril 2012, conformément au plan de sortie de crise proposé par l'émissaire des Nations unies et de la Ligue arabe Kofi Annan, mais les parties en conflit font régulièrement état de nouveaux affrontements et victimes.

Le 7 juin dernier, lors d'une réunion informelle de l'Assemblée générale de l'Onu, la Russie a proposé de convoquer d'urgence une conférence internationale sur la Syrie.

Source : RIA Novosti

Lire la suite

A 4 jours de la visite de Ouattara à l’Elysée Un document explosif envoyé à Hollande.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

A 4 jours de la visite de Ouattara à l’Elysée Un document explosif envoyé à Hollande.

Hollande-Vainqueur

Monsieur François Hollande Président de la République Palais de l’Elysée 55, rue du f a u b o u r g S a i n t – h o n o r é 75008 Paris France Objet : Lettre de protestation contre la réception à l’Elysée d’Alassane Dramane Ouattara Monsieur le Président, Je viens très respectueusement vous signifier mon mécontentement de ce que vous recevrez bientôt Alassane Dramane Ouattara qui fait office de président de la République de Côte d’Ivoire. Vous avez reçu récemment Monsieur Bongo du Gabon. Des informations glanées ça et là, nous font comprendre que l’Elysée ne serait pas tout à fait étranger à la réception de Guillaume Soro par Monsieur Claude Bartolone, Président de l’Assemblée Nationale française. Je suis surpris par la qualité des personnes que vous venez de recevoir ou que vous allez recevoir.

Je suis d’autant plus surpris que j’ai écouté ces derniers jours l’interview que vous aviez accordée à Jean Michel Aphatie le 22 décembre 2010 sur RTL : Au cours de cette interview, Monsieur le Président, vous vous êtes déclaré «intraitable et implacable depuis 2004 quand vous avez vu ce dont il (Monsieur Laurent Gbagbo) était capable». A la question du journaliste vous rappelant qu’en 2004, vous aviez déjà dit que Monsieur Gbagbo était infréquentable, vous n’avez pas démenti. Vous aviez déclaré aussi qu’il «fallait être d’une clarté parfaite et totale, sans compromission avec ceux qui utilisent la violence ». En faisant allusion à Monsieur Gbagbo, vous aviez aussi fustigé « ceux qui utilisent une élection de 2000 pour se maintenir au pouvoir depuis dix ans ». Vous aviez parlé aussi de dictature et d’escadron de la mort.

En vous écoutant, Monsieur le Président, on se rend bien compte de votre haine viscérale pour Monsieur Gbagbo mais aussi de votre parfaite méconnaissance des réalités ivoiriennes et africaines. Sinon, comment comprendre que vous prétendiez vous éloigner de la Françafrique alors que votre premier visiteur est Monsieur Ali Bongo, celui-là même qui a hérité du père. Aujourd’hui les diplomates anciens et nouveaux en poste au Gabon, les services de renseignements français ainsi que certains médias, sont tous unanimes pour dire que les résultats des dernières élections présidentielles gabonaises ont été tout simplement inversés pour permettre à Ali Bongo, ami de la France, de succéder à son défunt père, lui aussi grand ami de la France : Cette vidéo sur la Françafrique corrobore cette thèse. Monsieur le Président, vous refusez d’aller en Ukraine car un Premier ministre est injustement emprisonné. En Côte d’Ivoire, ce sont deux Premiers ministres qui sont en prison, Affi Nguessan et Aké Ngbo.

Vous voulez chasser le Président Hassad du pouvoir en Syrie parce qu’il tue son peuple ; en Côte d’Ivoire, on tue, on viole et ceux qui sont au pouvoir actuellement n’ont fait que ça avant, pendant et après les élections. Refuser de recevoir des dictateurs et accueillir Alassane Dramane Ouattara qui emprisonne son opposition, cela est difficile à comprendre. Monsieur le Président, le changement a été le thème central de votre campagne présidentielle. Ce changement, il requiert beaucoup de courage et beaucoup d’humilité. Ce changement, il se fait d’abord sur soi-même, en changeant le prisme par lequel vous voyez les autres et la réalité non pas tels qu’ils sont mais tels que vous voudriez qu’ils soient. Ensuite seulement, Monsieur le Président, vous pourrez prétendre changer la France et le reste du monde. Je vous le concède, Monsieur le Président, que le premier secrétaire du parti socialiste n’avait peut-être pas le même niveau d’information que le président de la République que vous êtes aujourd’hui. A ce stade de mon propos, permettez- moi de faire trois remarques : la première est qu’il me semble, qu’à vos yeux, la vie d’un Noir ne vaut rien, seule la vie d’un Blanc a de la valeur. Sinon, comment comprendre que depuis 2002, les Ivoiriens meurent par milliers sous les balles de ceux qui sont en passe de devenir vos nouveaux amis et que vous, vous n’avez jamais élevé une quelconque protestation.

Mais il a fallu la mort de neufs soldats français pour que vous vous indigniez tout à coup. Monsieur le Président, vous avez une indignation sélective. Deuxième remarque, des informations qui nous parviennent de l’instruction de cette malheureuse affaire de mort de neuf soldats français, il s’avère aujourd’hui que Monsieur Gbagbo soit complètement étranger à cette méprise inqualifiable ayant entrainé mort d’hommes. Troisième remarque, vous vous dites intraitable et implacable en parlant du Président Gbagbo comme s’il était tout simplement votre obligé. Devons-nous comprendre que, dans les relations entre la France et l’Afrique, même le premier secrétaire du parti socialiste est toujours supérieur à un chef d’Etat africain? Monsieur le Président, vous fustigiez ceux qui utilisent la violence alors que vous recevez Guillaume Soro, chef rebelle et chef de guerre, qui est susceptible de poursuites devant le Tribunal Pénal International. Vous fustigez la violence alors que vous vous apprêtez à recevoir Alassane Dramane Ouattara, père et seul bénéficiaire des coups d’Etat et rébellion qui ont eu cours en Côte d’Ivoire depuis 1999. Monsieur le Président, vous fustigez aussi «ceux qui utilisent une élection de 2000 pour se maintenir au pouvoir », allusion claire à Monsieur Gbagbo. Ce jugement définitif est aussi une autre preuve de votre méconnaissance profonde du dossier ivoirien. Au cas où cela vous aurait échappé, la Côte d’Ivoire est un pays souverain, dont la vie politique est rythmée, en principe, par les textes dont le peuple ivoirien s’est librement doté. Une des dispositions de la loi fondamentale ivoirienne stipule qu’aucune élection ne peut se tenir dans le pays si tout ou partie du territoire national est occupé. Et le Président Gbagbo a fait suffisamment de concessions pour que les rebelles déposent les armes mais c’était sans compter avec leur agenda secret et l’hypocrisie de la Communauté Internationale qui exigeait au Président Gbagbo d’organiser des élections sans jamais demander aux rebelles de désarmer. Monsieur le Président, comment pouvez-vous déclarer Monsieur Gbagbo infréquentable, alors même que vous déroulez le tapis rouge aux pires crapules de la région (…)

M. Soro vous a-t-il fait parvenir par le canal de Monsieur Bartolone un exemplaire de son livre intitulé « pourquoi je suis devenu rebelle» ? Cela vous aurait certainement permis de mieux connaitre le personnage. Ayant à peine fini sa deuxième année d’université, Soro Guillaume est le chef de la rébellion qui ensanglante la Côte d’Ivoire depuis le 19 septembre 2002. Monsieur le Président, au moment où la justice française lance un mandat d’arrêt international contre Teodoro Nguema Obiang pour biens mal acquis, vous recevez à l’Elysée Monsieur Bongo du Gabon. Il ne vous aura pas échappé non plus que le système Françafrique des valises d’argent vers l’Hexagone, c’est le Gabon. Pourquoi y a-t-il ceux que vous déclarez infréquentables à vie et ceux que vous tolérez? Monsieur le Président, celui que vous ne devriez pas fréquenter, c’est celui-là même à qui vous vous apprêteriez à ouvrir vos portes ce 26 juillet selon l’information dont nous disposons. J’espère seulement pour vous, Monsieur le Président, qu’une fois votre entretien terminé, vous prendrez bien soin de publier un communiqué de presse de sorte à annoncer clairement ce qui aura été dit et ce qui ne l’aura pas été pour éviter toute affabulation d’après visite car votre prochain invité est menteur, manipulateur et tricheur. Pour vous présenter Alassane Dramane Ouattara, je vais recourir à un premier document que je vous joindrai en annexe de mon courrier (document 1). C’est le discours prononcé par l’ancien Président Bédié pour justifier le mandat d’arrêt qu’il avait lancé contre Alassane Dramane Ouattara, son allié d’aujourd’hui, pour nationalité douteuse.

Ceci expliquant cela, Alassane Dramane Ouattara s’est résolu à recourir aux coups de force pour arriver à ses fins : la Côte d’Ivoire connait son premier coup d’Etat en 1999, s’ensuivent trois tentatives et le coup d’Etat du 19 septembre 2002 qui se transforme en une rébellion sanglante. Nous tenons de Koné Zakaria, chef de guerre et commandant de la zone de Bouaké la révélation qu’Alassane Ouattara est bien le père de la rébellion en Côte d’Ivoire. Dans cette vidéo réalisée lors d’un meeting qu’il tenait dans le nord du pays sous contrôle de la rébellion, Koné Zakaria demande aux populations de soutenir le MPCI (nom du mouvement rebelle, ndlr) non pas pour sa personne à lui, ni pour la personne de IB, mais bien pour Alassane Dramane Ouattara.qui leur a acheté les armes et qui, durant leur préparation au Burkina Faso, leur a fourni sacs de riz et 25 millions de francs par mois. Dans cette même vidéo, Koné Zakaria confesse aussi qu’il était chargé de recruter les gendarmes pour le compte de la rébellion. Cette débauche d’énergie lui vaut aujourd’hui d’être nommé directeur de la police militaire, bien qu’illettré. On comprend dès lors pourquoi la violence et l’insécurité ne baissent pas en Côte d’Ivoire, car ceux qui sont censés les combattre et protéger les personnes ne s’accommodent que très peu de subtilités en matière de droits de l’homme et des libertés publiques, parce qu’ils n’ont reçu aucune formation adéquate.

J’en veux pour preuve ce témoignage poignant de notre compatriote, Monsieur Dominique Paillé, dont les bras du fils d’un proche ont été coupés. Dans son témoignage, Monsieur Paillé cite nommément les FRCI d’Alassane Dramane Ouattara et se pose à haute voix la question de savoir si la France avait fait le bon choix en soutenant Alassane Dramane Ouattara. Tout cela se passe de commentaires. 1/ En effet, Alassane Dramane Ouattara n’a pas gagné les élections en Côte d’Ivoire, c’est le soutien de la France qui lui vaut d’occuper le fauteuil présidentiel ivoirien. Grace à l’intervention personnelle de Monsieur Sarkozy, les ambassadeurs de France et des Etats-Unis conduisent Monsieur Youssouf Bakayoko, président de la Commission Electorale Indépendante au quartier général du candidat Alassane Dramane Ouattara pour y annoncer des résultats de l’élection présidentielle de Côte d’Ivoire devant la presse internationale, alors que, depuis minuit la veille, cette Commission Electorale Indépendante que dirigeait Monsieur Youssouf Bakayoko était forclose pour n’avoir pas été capable de donner les résultats dans le délai de trois jours de la visite de Ouattara à l’Elysée Un document explosif envoyé à Hollande La réception de Ouattara à l’Elysée est contraire au changement annoncé par Hollande. jours qui lui était imparti, voire vidéo témoignage de France 24 . 2/ Les manipulations d’Alassane Dramane Ouattara qui ont conduit à l’intervention militaire de la communauté internationale. (…)

La seule chose qu’il a trouvée à faire a été de créer l’émotion populaire qui oblige la Communauté Internationale, au nom de la protection des civils, à intervenir militairement en Côte d’Ivoire. La première étape de son plan diabolique se déroule via son journal de propagande «le Patriote» qui barrait sa Une avec l’image d’un homme en feu. La légende qui accompagnait cette scène affreuse disait que c’est Laurent Gbagbo qui brûlait ses opposants (…). Quelques semaines plus tard cette même photo était brandie sur France 24 (Document 3 page 2), l’indignation populaire était immédiate. On apprendra plus tard que la scène de l’homme en feu a effectivement eu lieu, mais en Afrique du Sud avec l’intervention de policiers blancs pour sauver la victime (Document 3 pages 3-6). Le deuxième élément de cette mise en scène macabre, c’est le cas des femmes tuées d’Abobo, qui auraient été victimes des armes lourdes du Président Gbagbo. Le livreenquête de Leslie Varenne tend aujourd’hui à prouver le contraire (document 2).

Toujours est-il que les mensonges d’Alassane Dramane Ouattara ont suscité l’entrée en guerre de la Communauté Internationale en Côte d’Ivoire pour, selon elle, détruire les armes lourdes du Président Gbagbo, alors même que cette même Communauté Internationale continuait à armer, entrainer et à transporter les rebelles d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ou a t t a r a . T émo i g n a g e d’Odile Tobner, présidente de l’association Survie : Bien sûr, tous ces montages réalisés par les officines d’Alassan Dramane Ouattara ont été diffusés largement par les médias européens, ce qui a tout naturellement faussé la perception de la crise ivoirienne au sein de la société française. 3/Politique de discrimination et de «rattrapage». Depuis qu’Alassane Dramane Ouattara fait office de président en Côte d’Ivoire, il n’a cessé de discriminer les Ivoiriens. Interrogé à Paris par la presse, il expliquera lui-même cette politique de discrimination qu’il appelle d’ailleurs «politique de rattrapage ». Au nom de ce rattrapage, tout le monde est licencié de l’Hôtel Ivoire, de la Sotra (Société des Transports Abidjanais) ou même de la Télévision Ivoirienne et j’en passe, et tout cela serait pour des raisons économiques. Mais après ces vagues de renvois, ces mêmes entreprises enregistrent immédiatement de nouveaux entrants. Au nom de cette politique de rattrapage, toutes les hautes fonctions dans l’administration sont occupées par des hommes et des femmes aux patronymes du Nord du pays (voire document 4).

4/ Une politique de terreur. Alassane Dramane Ouattara gouverne par la peur et la terreur. Il a lâché ses dozos et autres repris de justice à travers tout le pays. Que ceux qui veulent plaider la thèse de bandes incontrôlées comprennent que les rôles sont astucieusement partagés. Aux bandes armées de tétaniser et de maintenir les populations dans la peur et à Alassane Dramane Ouattara de parcourir le monde pour cultiver sa respectabilité. Et puis comment feraient-elles autrement ces bandes armées, ces bons petits soldats qu’Alassane Dramane Ouattara n’a jamais payés, et qui ont gardé leurs kalachnikovs dont ils se servent pour cambrioler et tuer ? La nuit venue, certains d’entre ces soldats s’érigent en chefs de gangs. Mais ils tuent surtout les populations qu’ils pensent être favorables au P r é s i d e n t G b a g b o . L’arrestation du personnel de la présidence, des dignitaires du régime du Président Gbagbo, la justice-vengeance en quelque sorte (document 3 pages 7-15). Pourquoi les rebelles d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ouattara se gêneraient-ils, ils ont les soldats français avec eux. Ces soldats, au lieu de protéger les victimes, sympathisaient plutôt avec les bourreaux (document 3 page16) Que sont-ils devenus tous ces jeunes arrêtés par les milices d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ouattara (document 3 pages 17-42) Le rodéo meurtrier, la terreur dans la ville, des véhicules passant sur des êtres vivants, grand spectacle en plein jour (document 3 pages 43-49) Tortures et exécutions sommaires sont monnaie courante sous Alassane Dramane Ouattara (document 3 pages 50-54) Scènes de désolation au quotidien (document 3 page 55)

Tout cela ne se fait pas au hasard, on prend quand même soin de vérifier les pièces d’identité pour voir qui est-ce qu’on arrête. Ailleurs, on appelle cela «épuration ethnique» (document 3 pages 56-57), mais en Côte d’Ivoire, qui s’en préoccupe ? Les Ivoiriens sont bien livrés à leur propre sort. Les biens pensants de ce monde sélectionnent les sujets pour lesquels ils veulent bien s’indigner. 5/Les soldats Burkinabés ayant combattu pour Alassane Dramane Ouattara occupent aujourd’hui les terres de l’ouest de la Côte d’Ivoire. Ayant chassé les propriétaires Wê de leurs villages, les miliciens d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ouattara exploitent leurs plantations, kalachnikovs en bandoulière (document 3 pages 58-61). Cette partie de la Côte d’Ivoire est devenue une colonie de peuplement pour les civils Burkinabés qui viennent occuper non seulement les plantations mais aussi les forêts classées, voir documentaire de TV5 Afrique: Par ailleurs, règne sur cette partie du pays, Amadé Ouremi, un chef de guerre d’origine Burkinabé contre qui existent hélas une multitude de rapports de l’ONU, mais ce dernier continue de bénéficier de la protection d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ouattara et de ses soutiens internationaux.

Tous ces seigneurs de guerre bénéficient d’une impunité totale. Saviez-vous, Monsieur le Président, que les détenus de Korhogo, dans le nord du pays, sont tous aux mains du chef rebelle Fofié Kouakou, lui-même sous sanctions des Nations Unies ? Telle est la démocratie selon Alassane Dramane Ouattara. Saviezvous que les chefs de guerre qui détiennent les pro- Gbagbo à Katiola ne sont même pas répertoriés dans l’armée d’Alassane Dramane Ouattara ? Monsieur le Président, au lieu d’accabler Monsieur Gbagbo, et si organiser des élections présidentielles en Côte d’Ivoire était aussi vital pour votre propre survie, pourquoi n’avez-vous pas aidé à libérer le pays et alors le terrain aurait été plus propice à des élections sécurisées et transparentes ? Se montrer int rai tabl e , implacabl e , comme vous le dites, devant une victime déjà éprouvée par une rébellion injuste, c’est se donner bonne conscience à moindre frais. Le courage aurait voulu, Monsieur le Président, que vous affrontiez plutôt ceux qui sont indûment en armes et qui empêchent un retour à une vie politique normale. Monsieur Gbagbo n’a jamais refusé d’aller à des élections. La démocratie et le multipartisme se confondent en Côte d’Ivoire avec la personne de Monsieur Gbagbo et son parti, le Front Populaire Ivoirien. Vous ne le saviez peut-être pas, mais les Ivoiriens lui en savent gré de son combat pour les libertés et la démocratie en Côte d’Ivoire. Il se définit souvent lui-même comme un enfant des élections. En effet, le Président Gbagbo a passé 30 années de sa vie comme opposant politique. Il a connu plusieurs fois la prison et l’exil sous Houphouët Boigny. Laurent Gbagbo a échappé à un attentat le 18 février 1992 avant de connaitre à nouveau la prison, cette fois avec son épouse et son fils quand Alassane Dramane Ouattara était Premier Ministre. Malgré toutes ces brimades qui ont jalonné la politique de Monsieur Gbagbo, il n’a jamais prôné la violence comme mode d’accession au pouvoir d’Etat. Il a au contraire rédigé un programme de gouvernement, et sollicité le suffrage de ses concitoyens. Quand Laurent Gbagbo est élu pour la première fois en 2000, à l’issue d’une élection qu’il n’a pas organisée, son premier geste a été de nommer un cadre du PDCI comme directeur de cabinet. Ensuite, il a convoqué un forum national de réconciliation avant de mettre en place un gouvernement de large union. Monsieur le Président, Laurent Gbagbo est tout sauf un dictateur. Quand il accède au pouvoir, Monsieur Bédié était déjà en exil en France suite au coup d’Etat qui a emporté son régime en décembre 1999. Quant à Alassane Dramane Ouattara contre qui courait un mandat d’arrêt international lancé contre lui par Monsieur Bédié pour nationalité douteuse, il était aussi en exil en France. Monsieur Laurent Gbagbo a pris sur lui d’abroger ce mandat d’arrêt contre Alassane Dramane Ouattara et de le faire revenir au pays. Ensuite Monsieur Bédié et Alassane Dramane Ouattara ont été rétablis dans leur traitement d’ancien président de la République et d’ancien Premier ministre. Président, Monsieur Laurent Gbagbo a institué les conseils généraux non seulement pour partager la richesse nationale entre l’Etat et les collectivités locales mais aussi et surtout pour rapprocher l’administration des administrés. Sous la présidence de Laurent Gbagbo, le parlement a voté une loi de financement des partis politiques sur fonds publics.

Il convient de signaler ici que même le parti d’Alassane Dramane Ouattara qui n’était pas représenté au parlement a pu bénéficier de ce financement. Par ailleurs, sous le Président Laurent Gbagbo, aucun journaliste n’a été mis en prison pour délit de presse. Non seulement, le Président Gbagbo a abrogé le délit de presse, mais il a aussi et surtout doté le Fonds de Soutien à la Presse de moyens conséquents : 1.6 milliard en 2009 et 1.9 milliard en 2010. Mais les deux mesures phares de la présidence de Monsieur Gbagbo auront été l’instauration de l’école gratuite et l’assurance maladie universelle. M o n s i e u r G b a g b o infréquentable, quelle méprise, quelle mauvaise foi ! En Côte d’Ivoire, c’est Monsieur Ouattara, alors Premier ministre qui a institué la carte de séjour pour les étrangers.

En Côte d’Ivoire, c’est le PDCI de Monsieur Bédié qui a inventé le concept d’ivoirité, concept très éloigné de la tradition humaniste de Monsieur Gbagbo. C’est d’ailleurs Monsieur Gbagbo qui, en 2010, a abrogé la carte de séjour imposée aux étrangers. Monsieur le Président, Monsieur Gbagbo n’a pas tué les militaires français de Bouaké, du moins ce sont les rumeurs qui nous parviennent du côté de l’instruction de ce dossier à Paris. Le Président Gbagbo n’est pas non plus à l’origine de la disparition de Monsieur Kieffer. Sinon, Comment expliquezvous, Monsieur le Président, qu’une année après le départ de Monsieur Gbagbo du pouvoir, cette affaire ne soit toujours pas élucidée, comme si soudain plus personne n’y avait intérêt. Selon nos informations, il existerait des indices sérieux et concordants qui mèneraient vers le camp d’Alassane Dramane Ouattara dans la disparition de Monsieur Kieffer. Par ailleurs, les mots charniers et escadrons de la mort ne sont pas des réalités ivoiriennes, ce sont des inventions d ’ A l a s s a n e D r a m a n e Ouattara, ce ne sont pas des concepts connus en Côte d’Ivoires avant qu’il ne les popularise. Il a toujours une longueur d’avance en matière de manipulation de l’opinion. C’est pourquoi, Monsieur le Président, mon indignation est grande quant à la visite officielle d’Alassane Dramane Ouattara en France. Pendant votre campagne présidentielle, vous aviez dit que vous ne porteriez pas un chef d’Etat africain à bout de bras. De quoi allez-vous donc parler avec quelqu’un dont les Ivoiriens ne veulent même pas ? Sa dernière élection législative n’a rassemblé que 13% de la population. Voulezvous parler de coopération militaire ? Voulez-vous donner quelques armes et munitions à ces bandes armées qui n’en font pas toujours bon usage ? Le changement, est-il toujours maintenant? Je vous remercie Balié Topla, DBA Executive Director Côte d’Ivoire Coalition, Inc. Washington, DC 20006 Washington DC, le 20 juillet 2012 notrevoie / N°4188 du lundi 23 juillet 2012 P o l i t i q u e n a t i o n a l e 7 BôL’KotcH

Source : Notre Voie

 

Lire la suite

Cameroun : L’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite selon le journal L’anecdote.

24 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Cameroun : L’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite selon le journal L’anecdote.

 

Annecdote.jpg

Pratiques d’homosexualité : Les « hommes-femmes » de Marafa 


On s’étonnerait de l’enracinement de la satanique tendance au Cameroun, si on néglige le travail de sape abattu par l’ex Sg/pr et Minatd qui fait de manière éhontée un buzz politique actuellement du fond de son cachot.

Les hommes « femmes » du fils de Bibémi, à Garoua, ou les adeptes des pratiques d’homosexualité ont désormais envahi toutes les sphères de la République. Ils sont ministres, Dg de sociétés étatiques ou privées, encore en poste ou non, préfets ou encore élus municipaux. La gent féminine quadrille également le terrain dans cette odieuse pratique des relations sexuelles entre personnes de même sexe. Marafa Hamidou Yaya s’est même permis l’autre jour de se mettre nu devant Pascal Magnaguemabe, un mâle comme lui, par ailleurs juge d’instruction, au Sed. Comme promis à nos nombreux lecteurs, voyage au cœur de la Maraf’anustocratie », acte 1


Jean Emmanuel Pondi, un derrière intelligent !

Derrière les lunettes d’intellectuel chevronné, statut qui peut d’ailleurs se vérifier de par le monde, ses publications et son bagage académique sortant de l’ordinaire, des sources disent Jean Emmanuel Pondi au sommet des strates des pratiques d’homosexualité. L’agrégé de Droit, de spécialité internationaliste semble également avoir obtenu l’agrégation en sodomie, au regard de l’entrain avec lequel le fils de Paul Pondi se donne dans ces pratiques que la culture et la société africaine réfutent. Le secrétaire général de l’Université de Yaoundé I (mon Dieu, une institution chargée de former le fer de lance de la nation !), comme l’anustocrate Sade, homosexuel et débridé moral inqualifiable, des sources, apprécierait d’être sauvagement sodomisé. Des langues avouent que, pour ceux des étudiants qui aimeraient pousser un peu plus loin leurs études supérieures, dans le domaine de compétence du Pr Emmanuel Pondi, la condition est incontournable : offrir son arrière train au Professeur. C’est ainsi que la loi de « l’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite. A la volonté de Paul Biya de laisser une République irréprochable, Jean Emmanuel Pondi et les autres opposent la République du « tout pourri ».


Sibama Bichock, un homme de main à la préfectorale

L’autorité administrative en chef du département de la Mefou-et-Afamba a désormais la santé approximative. Si l’âge avancé de Sibama Bichock pourrait expliquer en partie cet état de choses, des confidences lâchent que ce serait son entrain aux pratiques d’homosexualité, comme son mentor Marafa Hamidou Yaya, qui a considérablement amorti M. le Préfet. Lui dont des sources qualifient la promotion de « canapé » à ce niveau de l’administration territoriale. Sibama Bichock ferait partie du cercle des hommes « femmes » de l’ex Minatd sur qui le peuhl comptait énormément dans son ambition présidentielle. On se souvient, qu’il y a des mois, une histoire de cargaison d’armes du côté de Mfou avait ébranlé l’opinion publique dans cette unité administrative et politique. Des informations font état de ce que le préfet de la Mefou-et Afamba était chargé de sécuriser les armes de son mentor Marafa. Pour quelles fins ? Nous ne tarderons pas à vous le révéler. A Mfou, les populations ne savent plus à quel saint se vouer. Tant la zizanie que sème M. le préfet, son 1er adjoint…, le commandant de compagnie de gendarmerie de Mfou, Voundi et bien d’autres cadres de l’administration départementale n’a plus son pareil.

Yaou Aïssatou, condition féminine !

Où va la gent féminine, socle de toute société ? Yaou Aïssatou, actuel Directeur général de la Société nationale des investissements (Sni), la toute première à conduire un ministère destiné à la condition de la femme au Cameroun aurait certainement du mal à répondre à cette préoccupation. Elle qui, malgré son âge suffisamment avancé continue à s’adonner de manière soutenue à des relations sexuelles avec ses semblables de même sexe. La présidente du bureau national de l’Ofrdpc n’a jamais caché ses accointances avec Marafa Hamidou Yaya, accusé d’un dérèglement d’imagination sur les mœurs inqualifiables, originaire du département de la Benoué comme elle. Des informations laissent entendre que pour les femmes avides de promotions au sein de l’administration publique ou au Rdpc, mieux vaut se faire entretenir sexuellement par dame Yaou Aïssatou…….


Ousmanou Moussa, l’électrificateur satanique

C’est par les réseaux de l’ex toute puissante ministre de l’Education de base, Haman Adama que Ousmanou Moussa avait commencé à se frayer les chemins de la haute administration. Avant que ses préférences sexuelles inhumaines et hors normes ne le conduisent vers Marafa Hamidou, le débauché sexuel et ennemi de l’ex dame imposante de Garoua, actuellement à la prison centrale de Kondengui. Ce dernier actionnera pour qu’Ousmanou Moussa soit bombardé à la direction générale de l’Agence d’électrification rurale (Aer). Depuis lors, le grand amour entre le chantre des pratiques d’homosexualité et cette autre conquête battait son plein. Du côté de l’Aer, des recoupements confient que depuis l’arrestation de Marafa Hamidou, l’ambiance est berne dans la structure. Certains disent même que le cœur et l’arrière-train du Dg de l’institution ne vibreraient plus à la même cadence.

Jean Jacques Ndoudoumou, le «blanc» au goût débridé

Jean Jacques Ndoudoumou, Dg de l’Armp est le major de tous les administrateurs civils que l’Ecole nationale d’administration et de magistrature-Enam- (il aurait eu une moyenne de 18/20 à la sortie) a jusque là formés. Performance exceptionnelle ! Mais, le blanc de Zoetélé comme aime se faire appeler Jean Jacques Ndoudoumou semble avoir confié son âme au diable. Des informations faisant état de ce que cet homme serait un homosexuel patenté. La solidarité étant le maître mot dans le monde des homosexuels, J.J Ndoudoumou confierait au sujet de l’arrestation de Marafa Hamidou Yaya, à ses proches que « ce n’est pas bien ce que Paul Biya est en train de faire ». Des proches du Directeur général de l’Agence de régulation des marchés publics laissent échapper que J. J préférait tellement les relations intenses avec ses semblables de même sexe et non protégées qu’il aurait contacté la maladie des quatre lettres qui bat son plein de par le monde. Pour calmer la plupart de ses pseudos copines à qui il aurait selon eux transmis la maladie du siècle, l’homme les bombarderait à coup de millions de fcfa. Certaines d’entre elles se sont lancées dans l’import-export entre Dubaï et Yaoundé. On se souvient que récemment, les jeunes de Zoetélé qui sont également ses sujets et ses fidèles en ses qualités d’autorité traditionnelle et d’homme d’église s’étaient vus obliger de barrer la route au cortège présidentiel. Pour transmettre à Paul Biya un mémorandum appelant au limogeage immédiat de J.J N. sous le motif que le blanc de Zoetélé ne s’occupe des problèmes ni de la jeunesse ni même des autres. De ce côté, le Dg de l’Armp est réputé pingre. Une attitude liée à son statut d’homosexuel, lance-t-on. Le chef de l’Etat semble prêter une oreille attentive à cette doléance de ces jeunes. Le Contrôle supérieur de l’Etat fouille désormais avec minutie la gestion du Dg de l’Armp que certains qualifient d’alambiquée. On lâche aussi que l’homme à l’absence de mélanine sur la peau, dans ses habitudes d’agression des fonds publics fait dorénavant partie du club très fermé des camerounais très riches.

Christian Penda Ekoka, l’autre « anustocrate »

Dans la « Maraf’anustocratie », des sources martèlent que Christian Penda Ekoka, originaire de la région du Littoral, conseiller au cabinet civil de la présidence de la République, institution dans laquelle il a la tâche d’enraciner les pratiques d’homosexualité, cadre du groupement dont la logique est le « pouvoir de l’anus par l’anus et pour l’anus » dirigée par l’ex Sg/prc et Minatd. A la présidence de la République, des sources disent que c’est avec appétit que le « Douala » comme Penda Ekoka aime se faire appeler, qu’il observe l’arrière-train des nouveaux arrivants à la présidence. Tellement plongé dans la pratique des mœurs débridées, Penda Ekoka ne cacherait plus son statut de gay. Des langues ont vu, à l’époque où Marafa Hamidou Yaya était encore ministre d’Etat, Minatd des relations très étroites entre les deux hommes.

Koah Songo, honorable déshonoré !

Sa première épouse n’aurait pas pu supporter la situation à la suite de la découverte que son époux serait un adepte des pratiques. Madame Koah Songo, élu Rdpc Lekié-Sud à l’Assemblée nationale était pourtant une femme en tenue, souvent réputée avoir un moral d’acier pour supporter les situations compliquées. Des informations, l’honorable a des stratégies bien huilées pour se taper des jeunes garçons. Quand il n’est pas lui-même « sodomisé » par Marafa et d’autres débridés de mœurs, le représentant du peuple surfe royalement sur le problème de chômage qui hante la plupart des jeunes. Si un jeune garçon de sa circonscription politique voudrait entrer à l’Ecole nationale supérieure de police (Ensp) ou à l’Ecole nationale supérieure (Ens) ou bien l’Enam, Koah Songo exige l’arrière train. Bon nombre ont à ce jour rempli la condition et ont pu accéder à ces institutions et donc directement à la fonction publique par le biais des connections maffieuses avec les dirigeants de ces structures. Multimillionnaire, l’honorable gaverait de billets tous les jeunes garçons qu’il sodomise et qu’il positionne dans les sections Ojrdpc et dans les conseils municipaux. Des confidences y voient également des rapports étroits entre l’ex Sg/prc et Minatd et le député. C’est ce qu’on pourrait qualifier d’honorable déshonorable.

Yves Michel Fotso et Juimo Monthé, enfants chéris !

Leur bombardement par Marafa Hamidou Yaya, alors secrétaire général de la présidence de la République, à la tête d’institutions étatiques « juteuses », notamment l’ancienne compagnie aérienne nationale –Camair- et la Chambre de Commerce, d’Industrie, Mines et Artisanat était déjà une indication des relations préférentielles qui existaient déjà entre Marafa Hamidou Yaya, Yves Michel Fotso et Juimo Monthé, eux qui n’étaient à ce moment que des vulgaires opérateurs économiques comme bien d’autres. Des anecdotes, pour raconter les ébats sexuels ou les partouzes de Marafa Hamidou Yaya et ses « dulcinées » pleuvent dans les métropoles économiques et politiques du Cameroun. Des sources confient Yves Michel Fotso très « enthousiasmé » le 17 mai dernier, de l’arrivée de son « chéri » Marafa à la prison centrale de Kondengui, où se trouvait son cachot. Des langues affirment que le mariage, il y a quelques mois du fils du milliardaire de Bandjoun à la prison centrale de Kondengui avec la belle « italienne » avait d’autres objectifs que celui de la procréation ou le besoin d’une épouse. Il était question pour Michel, de ces recoupements d’avoir à l’extérieur de la prison quelqu’un qui allait suivre ses business ainsi que ses conflits familiaux. L’homme ayant engagé un bras de fer avec son géniteur Victor Fotso dans bon nombre de sujets.


Adoum Garoua, le «géantosaure» débauché

S’il est connu dans l’opinion nationale comme le membre de l’équipe Yang Philémon, le plus grand de taille et l’un de ses piètres ministres, tant Adoum Garoua n’a rien apporté comme solutions à la ribambelle de problèmes qui mine le sport camerounais ; dans le sérail, l’originaire du département du Mayo Danaï, dans la région de l’Extrême-nord a la réputation d’être un invétéré homosexuel. Des sources évoquent ses séances de partouze dont Marafa Hamidou Yaya était le maître de l’évènement. Des langues y voient son maintien à son ancien poste de ministre de la Jeunesse malgré son incompétence notoire, à son appartenance au réseau des adeptes des pratiques d’homosexualité. En sus de son choix de membre de la pratique immorale et amorale, des recoupements disent Adoum Garoua menteur hors pair. Il aurait écrit au Chef de l’Etat, il y a quelques années, pour raconter qu’il s’occupe d’une veuve et la famille d’un homme en tenue, victime des évènements malheureux de juin 1983. Paul Biya, habité par un esprit de reconnaissance et autre magnanimité aurait décidé de faire de lui, fonctionnaire anonyme qu’il était à l’époque, un ministre de la République. Des confidences affirment qu’Adoum Garoua fait partie du réseau qui finance la propagande actuelle de son « époux » Marafa Hamidou Yaya. La débauche et Adoum Garoua : une histoire d’amour !

Jean Claude Adjessa Melingui, le maire dévergondé

Son nom n’est pas nouveau dans les cercles de ces hommes qui aiment à s’entre-tripoter le popotin. Lorsqu’il arrive à la tête de la mairie de Yaoundé VI, c’est un peu sur un coup du sort. Nous sommes à mi-mandat et son prédécesseur, Robert Atangana en presque trois ans de séjour à la mairie avait déjà convaincu ses populations et même l’immense majorité de la classe politique du département du Mfoundi de ce qu’il était l’une des rares élites politiques pouvant contribuer grandement à changer le vécu quotidien des citoyens relevant de sa circonscription. A titre d’illustration, il avait acquis une vaste parcelle de terrain de plus de 2000 mètres carrés du coté d’Etoug Ebe pour y ériger une bâtisse devant servir de siège à cette mairie. Les travaux de construction de ce siège avaient même déjà été lancés et réalisés en grande partie lorsque Marafa décida d’en découdre avec lui et de laisser son poulain lui succéder. Pour une histoire de pratiques magiques qui impliquaient l’épouse de ce membre du gouvernement. Dame Marafa aurait été surprise en tenue d’Eve dans une rivière, se faisant abreuver de mixtures par un marabout.

La rocambolesque histoire qui fait partir Robert Atangana du Cameroun en catimini tient aux démêlés qu’il a eu des jours avant avec le ministre d’Etat en charge de l’Administration territoriale, Marafa Hamidou Yaya. Selon des sources introduites, il aurait nuitamment surpris un groupe de personnes plongées dans une séance d’incantation. Le théâtre choisi était la traversée de rivière Mefou sur la route Yaoundé-Douala non loin de la barrière de police et de la scierie dont Robert Atangana était le promoteur. Parmi les personnes composant ce groupe on comptait la compagne de Marafa, son ministre de tutelle.

L’épouse, visiblement en mission commandée, verra d’un mauvais œil que le maire ait tenu à identifier ces présences peu ordinaires en ces lieux et qu’il ait voulu en savoir plus sur cette scène. Elle s’en ouvrira à son époux. Robert Atangana qui se trouvait dès lors en danger de mort trouvera refuge au Canada.

Fort de ses soutiens tant auprès de Marafa que d’autres élites du Mfoundi souvent citées dans les milieux homosexuels, Adzessa prendra le dessus sur Tolo pour terminer le mandat du maire partant. Les deux hommes seront encore aux prises deux ans plus tard pour se disputer le mandat qui continue de courir.

Durant ses sept ans de premier magistrat municipal, Adzessa dont le physique frêle et la gestuelle trahissent ses orientations sexuelles, a su se faire entourer tant pour spolier les ressources de la commune. L’un de ses maîtres à penser est un confrère aujourd’hui employé du quotidien national, Cameroon tribune. Ils sont proches même morphologiquement. Les conseillers municipaux ont découvert tout récemment qu’il avait distrait tout un bus d’une valeur de plus de 30 millions de Fcfa. C’était un don de la mairie de Richelieu en Alsace en France. La Conac a enquêté sur ce rapt il y a quelques mois seulement et le maire a promis de rembourser. Même le terrain acquis par son prédécesseur pour abriter le siège de sa mairie est déjà sur plus de la moitié cédé aux privés. Une école y est par exemple en cours de construction. Lorsque ses collègues du conseil municipal ont commencé à en parler, il a cru les narguer en se lançant dans des dépenses ostentatoires comme ces véhicules achetées aux siens telles que son épouse.

Les dénonciations de cette gestion cafouilleuse ont convaincu ses soutiens de se désolidariser. L’un d’eux préparait déjà une certaine madame native de la commune mais épouse d’un fils de l’Ouest du pays. La déchéance Marafa est venue sonner le glas de cette descente inéluctable aux enfers.

J.L Beh Mengue, un disciple de Sade à l’Art

Jean Louis Beh Mengue, le Dg de l’Agence de régulation des télécommunications (Art) peut se targuer, en sa qualité de disciple de Sade, cet aristocrate français des siècles derniers, d’un dérèglement de mœurs hors paire, de tenir avec maestria l’une de ses missions. Qui consiste à implanter fortement les pratiques d’homosexualité au sein de la structure à sa charge. Des recoupements, en dehors de la boulimie financière qui conduit le patron de l’Art aux détournements de fonds publics et autres pratiques peu orthodoxes, les promotions du ressort de cet homme fervent adepte de la pratique satanique ont une senteur d’appartenance au monde des gays. Ces sources livreraient quelques liens avec Marafa Hamidou Yaya, le dépravé qui a tenté d’imposer les pratiques d’homosexualité à la tête de l’Etat, du temps où l’actuel pensionnaire des cellules du Sed présidait aux destinées du secrétariat général de la présidence de la République. On s’en souvient qu’à l’époque, c’est Marafa qui avait désigné le Dg de l’Art par message porté et intimé l’ordre à Isaac Njiemoun, alors Minpt, de lui débloquer la somme de 300 millions de fcfa pour la mise en place de l’Art. Une somme que personne n’a jamais vu les traces du côté de l’Art. Il y a quelques semaines, l’Anecdote révélait que Jean Louis Beh Mengue s’est offert près de 2 milliards de Fcfa de commission, dans l’attribution du marché de construction de l’immeuble siège de l’Art à l’entreprise « Groupement Bati ». Des dénonciations de cet autre détournement de l’argent du contribuable venaient de l’intérieur de la commission de passation de marchés de l’Art. Votre hebdomadaire appelait par cette révélation à l’arbitrage de l’autorité des marchés publics au Cameroun-le premier ministre- dans une stratégie de corruption de la presse empreinte d’une volonté de narguer Yang Philémon, Jean Louis Beh Mengue avant entrepris d’inonder les médias de « messages »annonçant l’éminence des travaux du building. Des sources affirment que cette opération de communication d’une institution réputée fermée à la presse aurait avalé plusieurs dizaines de millions de Fcfa. A l’Art, les mauvaises ( ?) langues révèlent qu’il y a quelques mois, une parenté du Dg avait réussi de manière incroyable à vider le coffre-fort du boss de la structure de la sueur du contribuable, estimé à plusieurs millions de Fcfa. Pour se refugier pour quelques semaines du côté du Gabon. Avant à revenir sur Yaoundé et se lancer dans les affaires avec les deniers publics sans être inquiétée par la direction de l’Art. Drôle de cambriolage !


Amadou Sali, l’arrière-train

L’honorable Amadou Sali, élu de l’Assemblée nationale pour le compte du Rdpc fait partie des hommes clef de la planète Marafa, dans son rêve d’un destin présidentiel. A ce titre, le Pca de la Camrail se vante d’être parmi les « épouses » préférées du célèbre prisonnier des pamphlets. Des langues racontent que les ébats sexuels sataniques entre l’ex Sg/pr et Minatd et l’honorable se passaient souvent à Paris, à la place Porte Maillots du 17ème arrondissement. Ces confidences font aussi état de ce que ce sont les coups de reins formidables d’Amadou Sali qui font de lui la dulcinée caissière du dépravé en chef. C’est pourquoi Le président du conseil d’administration de la Camrail, une structure sur laquelle Vincent Bolloré l’ami de l’ex Sg/prc et Minatd a fait main basse, était chargé de veiller sur les intérêts de son « chéri ». Amadou Sali n’a jamais caché son admiration, d’après les confidences à ses proches, de la personnalité de son mentor de Garoua.

Jules Doret Ndongo, le kribien félon

Derrière les apparences de saint, Jules Doret Ndongo, ministre délégué auprès du Minatd, des informations présentent l’ex secrétaire général des services du premier ministre comme un homme trempé dans ces affaires qui ébranlent la république en relation avec l’opération épervier. De ces confidences le membre du gouvernement, le plus petit de taille comme le qualifient certains, est aussi accablé de l’homme aux mœurs débridées à cause de ses préférences. On le dit opportuniste de la 1ère heure, celui qui était chargé de recruter les membres du G11, jadis très proche de Atangana Mebara, auraient selon certains de ses proches tôt fait de replier sur Marafa Hamidou Yaya quand les problèmes de celui-ci avaient commencé. Nos informateurs disent que le passeport du Mindel, aurait déjà été retiré du fait de son implication présumée dans la gestion scandaleuse de Messengue Avom au ministère des travaux publics. Parce que Jules Doret Ndongo, originaire de Kribi, chef lieu du département de l’Océan, qui s’est mis à dos tous les patriarches et certains responsables politiques à la base, est surtout celui qui visait, au nom du Pm, les marchés de gré à gré!

Youssouf Alim Adjidja, l’alliée contre nature

Nous n’avons pas encore des précisions sur les tendances sexuelles de la ministre en charge de l’éducation de base. Mais, des informations en notre possession disent le cœur de Youssouf Alim Adjidja battre pour Marafa Hamidou Yaya, le présumé détourneur de deniers publics dans l’affaire Albatros, dans son ambition présidentielle. La ministre de l’éducation de base (Minedub) malgré son bombardement au gouvernement par Paul Biya, elle qui était jusqu’au 09 décembre 2011, une ordinaire citoyenne dont seules les membres de sa famille maîtriseraient le nom voue une haine contre Paul Biya d’après ses proches. Cette femme du Grand Nord confie de ne pas être capable de pardonner au Chef de l’Etat d’avoir instruit le jugement et l’exécution, pour sa participation dans la tentative de coup d’Etat le 06 avril 1984, de son parent Issa Adoum, ancien Dg du Fonds national de développement rural (Fonader). La femme presque toujours voilée du gouvernement lâcherait parfois sans scrupules à certains de ses invités que « Paul Biya récoltera ce qu’il a semé quoi qu’il arrive ». On est tenté de conclure malgré la confiance que lui a accordée Biya à une alliance contre nature entre Marafa et Youssouf Alim Adidja.

Source: L´anecdote

Lire la suite

La fausse menace d'al Qaeda au Mali.

23 Juillet 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

La fausse menace d'al Qaeda dont les USA  et ses alliés européens et monarques du golfe ont besoin pour militariser leur présence en Afrique.

 

           



 

http://www.youtube.com/watch?v=pav4qG274Hc&feature=player_embedded#!

Lire la suite