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Articles récents

Why Sierra Leone is going back to the path of enslavement

21 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

The Sierra Leone president speaking to ACP Conference


 

 

 

Yaoundé’s Conventions and, Lomé Convention and finally
the Cotonou Agreement, the rules established between Europe and the  
new states of Africa and the Caribbean in building, bound by history of colonization and slavery.
Originally, six European states and 18 countries in Africa and the Caribbean raised the foundations for this cooperation, now the Cotonou Agreement brings together 15 European and 78 ACP countries, rising in forty years of an essentially economic partnership, and political issues, an association scheme to contracting but this is recolonisation and enslavement or new submission. African Presidents ought to wake up
The Europeans wanted to maintain special relations with their former colonies which gave birth to the Commonwealth and the FranceAfrique. That  kind of cooperation have prevented countries like Sierra Leone to take the path of economic development. To hear the president, speaking during ACP’s conference, seems that the gentleman is once more selling out his country to European predators specially British.

 

ACP COUNTRIES

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CONVENTION TRESOR FRANÇAIS ET TRESOR IVOIRIEN.

21 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

           BCEAO-580x435 

 

             Convention relative aux relations entre le Trésor français et le Trésor de la République de Côte d’Ivoire ainsi qu’aux concours réciproques et à la coopération de la République de Côte d’Ivoire et de la République française pour l’organisation et le fonctionnement des services des Trésors.

                    Le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire et le Gouvernement de la République française, Considérant que, conformément à la constitution, la République de Côte d’Ivoire constitue, au sein de la Communauté un Etat autonome, gérant librement ses propres affaires ; Que cette autonomie a conduit la République de Côte d’Ivoire à créer son propre Trésor ; Qu’il appartient aux deux Gouvernements, chacun pour ce qui le concerne, de fixer les règles d’organisation et de fonctionnement des services administratifs chargés des opérations de leurs Trésors ;

Soucieux cependant, en vue de simplifier l’organisation et de faciliter le fonctionnement de ces services, de ses prêter, dans toute la mesure du possible, le concours des administrations dont ils disposent, dans des conditions qu’il importe de définit ;

Désireux enfin, dans l’esprit qui a présidé à l’institution de la communauté, de coopérer, chacun à la mesure de ses moyens, au bon fonctionnement des Services des Trésors des deux parties, notamment par la mise à la disposition ou la formation de personnes compétentes ; Ont convenu des dispositions qui suivent :

Titre I Des relations de trésorerie entre la République de Côte D’Ivoire et la République française.

Art 1 : L’ensemble des recettes et des dépenses de la République de Côte D’Ivoire sur son territoire ou à l’extérieur est centralisé au Trésor ivoirien. L’ensemble des recettes et des dépenses de la République française sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire est centralisé au Trésor français.

Art 2 : Les opérations susceptibles d’être effectuées par chaque Trésor pour le compte de l’autre sont exécutées et font l’objet d’un règlement dans les conditions prévues par la présente convention.

Art 3 : Les règlements postaux d’effectuent dans les conditions fixées par un accord spécial.

Art 4 : le Trésor de la République de Côte D’Ivoire peut recevoir des avances du Trésor de la

République française dans les conditions prévues l’article 158, de l’ordonnance n°58-1374 du

30 décembre 1958, portant loi de Finances pour 1959. Les disponibilités du Trésor de la République de Côte d’Ivoire peuvent être placées en dépôt au Trésor de la République française ; ces placements portent intérêt. Les conditions d’application du présent article seront précisées par un accord spécial.

Art 5 : Sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire, le Trésor français reçoit les dépôts de fonds réglementaires de toute personne physique ou morale créancière de l’Administration française ou liée à elle par une obligation3. Le Trésor français reçoit de même en dehors du territoire de la République de Côte d’Ivoire, et pour le compte de celle-ci, les dépôts de fonds

réglementaires de toute personne physique ou morale créancière de l’Administration de la République de Côte d’Ivoire ou liée à elle par une obligation.


Titre II De l’organisation des services des Trésors.

Art 6 : Le trésorier de la Côte d’Ivoire, nommé et contrôlé par le Gouvernement de la République de Côte d’Ivoire est chargé d’effectuer ou de faire effectuer les opérations du Trésor de la République de Côte D’Ivoire : – Sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire, par les comptables de celle-ci ; – Hors du territoire de la République de Côte d’Ivoire, par les soins du Trésor français

Art 7 : Le payeur de France en Côte d’Ivoire exécute les opérations du Trésor français sur le territoire de la République de Côte D’Ivoire. Ce comptable effectue lui-même lesdites opérations ou les fait effectuer par les soins du Trésor ivoirien.

Art 8 : Les opérations que les comptables publics ivoiriens et les comptables publics français sont appelées à effectuer les uns pour les autres, en qualité de mandataires réciproques, sont centralisés par le trésorier de la Côte d’Ivoire et par le payeur de France en Côte d’Ivoire à un compte de réglementer ouvert : – D’une part, dans les écritures du premier ; – D’autre part, dans les écritures du second.

Art 9 : Les opérations de paiement et d’encaissement correspondant à des titres délivrés par les autorités françaises compétentes et dont le règlement ou le recouvrement doit être opéré sur le territoire de la Côte d’Ivoire, sont centralisées par le payeur de France en Côte d’Ivoire vise les titres et les fait parvenir aux comptables ivoiriens compétents. Le règlement, sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire, des dépenses visées à l’alinéa précédent est

effectué, tant par le payeur de France que par les comptables ivoiriens, selon les modalités prévues par la législation et la réglementation applicable en Côte d’ivoire. Toutefois, les comptables ivoiriens doivent se conformer aux indications portées sur les titres de paiement par le comptable signataire, notamment en ce qui concerne les délais de validité du titre de paiement, ou lorsque le paiement est subordonné à la production de pièces qui doivent être

rattachées au titre. Le recouvrement, sur le territoire de la République de Côte d’Ivoire, des recettes visées au premier alinéa du présent article est assuré, à la demande du comptable français qui a pris le rôle ou le titre de perception en charge, par le payeur de France en Côte d’Ivoire ou par le comptable ivoirien du domicile ou de la résidence du redevable ou de la situation de ses biens. En cas de recouvrement forcé, les poursuites sont effectuées à la diligence des comptables ivoiriens compétents, suivant la législation et la réglementation applicables en Côte d’Ivoire pour le recouvrement des créances de même nature ; les créances à recouvrer bénéficient de même nature ; les créances à recouvrer bénéficient des mêmes garanties et privilèges qu les créances de même nature en Côte d’Ivoire.

Art 10 : Les opérations de recette ou de dépense du Trésor français effectué par les comptables ivoiriens sont centralisées dans les écritures du trésorier de la Côte d’ivoire qui inscrit le montant en recette ou en dépense au compte de règlement avec le Trésor français. Les pièces justificatives de ces opérations sont remises au payeur de France en Côte d’Ivoire. Dans la comptabilité du payeur de France en Côte d’Ivoire, il est constaté, au compte de règlement avec le Trésor ivoirien, un débit ou un crédit correspondant.

Art 11 : Les opérations de paiement et d’encaissement correspondant à des titres délivrés par les autorités ivoiriennes compétentes et dont le règlement ou le recouvrement doit être opéré hors du territoire de la République de Côte d’Ivoire sont centralisées par le trésorier de la Côte d’Ivoire qui confie l’exécution du Trésor français. Le payeur de France en Côte d’Ivoire vise les titres et les fait parvenir aux comptables compétents. Le règlement, hors du territoire de la République de Côte d’Ivoire, des dépenses visées à l’alinéa précédent, est effectué à la diligence du Trésor français selon les modalités prévues par la législation et la réglementation applicable rationne loci. Toutefois, le comptable payeur doit se conformer aux indications portées sur le titre de paiement par le comptable ivoirien assignataire, notamment en ce qui

concerne les délais de validité du titre de paiement, ou lorsque le paiement est subordonné à la production de pièces qui doivent être rattachées au titre. Le recouvrement, hors du territoire de la République de Côte d’Ivoire, des recettes visées au premier alinéa du présent article est assuré, à la demande du comptable ivoirien qui a pris le rôle ou le titre de perception en charge, à la diligence du Trésor français suivant la législation et la réglementation applicables ratione loci pour le recouvrement des créances de même nature ; Les créances à recouvrer bénéficient des mêmes garanties et privilèges que les créances françaises de même nature dans l’Etat ou dans le territoire où a lieu le recouvrement.

Art 12 : Les opérations de recette et de dépense du Trésor ivoirien effectué hors du territoire de la République de Côte d’Ivoire par les soins du Trésor français sont centralisées par le payeur de France en Côte d’Ivoire qui en inscrit le montant en recette ou en dépense au compte de règlement avec le Trésor ivoirien. Les pièces justificatives de ces opérations sont remises au trésorier de la Côte d’ivoire. Dans la comptabilité du trésorier de la Côte d’ivoire, il est constaté au compte de règlement avec le Trésor français, un débit ou un crédit

correspondant.

Art 13 : Les opérations effectuées par les comptables ivoiriens pour le compte du Trésor français et non admises par le Trésor français, d’une part, les opérations effectuées par les soins du Trésor français pour le compte du Trésor ivoirien et non admises par le Trésor ivoirien d’autre part, sont renvoyées, aux fins de régularisation, les premières au Trésor de la Côte d’Ivoire ; elles donnent lieu à une opération initiale constatée au compte de règlement entre les deux Trésors. En cas de désaccord persistant entre les deux Trésors sur la prise en charge d’une opération, le montant de cette opération est versé à un compte d’attente dans les écritures du trésor qui a effectué l’opération jusqu’à la décision de la commission spéciale d’arbitrage dont la composition est fixée par l’article 32 de la présente convention.

Art 14 : Toutes les opérations réciproques inscrites au compte règlement entre les deux trésors au cours de chaque période commençant le premier, le onze et le vingt et un du mois, et se terminant le dix, le vingt et le dernier jour du moins doivent être considérées comme ayant date de valeur le dix, le vingt et le dernier jour du mois. Le soir du dernier jour de chaque période décadaire, il est procédé à l’accord des soldes décomptes de règlement entre les deux trésors en ce qui concerne les opérations imputées à ces comptes du matin du premier jour au soir du denier jour de cette période. Lorsque le dix, le vingt ou le dernier jour du mois tombe un jour non ouvrable, l’accord a lieu le dernier jour ouvrable précédent, les opérations inscrites pendant la période considérée portent date dévaluer du jour de l’accord. Le règlement effectif du solde dégagé à la fin de chacune des périodes visées ci-dessus doit intervenir avant la date prévue pour l’accord suivant, l’Etat débiteur réglant l’Etat créancier dans la monnaie de ce dernier. Si, pendant trois mois consécutifs, la situation du compte de règlement entre les deux Trésors fait apparaître, à chaque arrêté périodique, un excédent débiteur supérieur à 50 millions de francs CFA au compte du même Etat, l’Etat créancier peut demander à l’Etat débiteur de lui verser une provision dont le montant est fixé d’un commun accord. Le montant de la provision peut, à tout moment, faire l’objet d’une révision.

Art 15 : Les dispositions du présent titre sont applicables à toutes les opérations de recette et de dépense en cours d’exécution de chacun des Trésors de la République de Côte d’ivoire ou de la République française pour le compte de l’autre au moment de la mise en application du présent titre.

 

Titre III Des personnels nécessaires au fonctionnement des services des Trésors en Côte d’Ivoire.

Art 16 : Dès notification de l’entrée en application des titres II à IV de la présente convention, les deux gouvernements arrêtent d’un commun accord, et pour une durée de deux ans, par nature et par catégorie d’emplois, les effectifs de fonctionnaires français nécessaires au bon fonctionnement du service du trésor de la République de Côte d’Ivoire. Le gouvernement français met à la disposition du gouvernement de la Côte d’Ivoire les effectifs en question, dans la mesure toutefois où il lui est possible de les prélever sur ses propres disponibilités.Dans le cas où le gouvernement français ne pourrait, faute de disponibilités suffisantes, fournir au gouvernement de la Côte d’Ivoire toute l’assistance en personnel reconnue nécessaire, le gouvernement français s’engage à rechercher avec le gouvernement de la Côte d’Ivoire, dans le cadre de l’article 17 ci-dessous, les moyens de remédier à cette situation.

Art 17 : Le gouvernement français se déclare prêt à apporter au gouvernement de la Côte d’Ivoire tout le concours que souhaiterait ce dernier en matière de formation professionnelle ou de perfectionnement professionnel des agents du service du trésor de la République de Côte d’Ivoire. Les modalités d’application du présent article feront l’objet d’accords particuliers.

Art 18 : En vue de pourvoir aux emplois prévus à l’article 16 ci-dessus, le gouvernement français soumet à celui de la Côte d’ivoire la liste, par catégorie, grade et classe, des personnels qu’il envisage de détacher auprès de lui ou de mettre à sa disposition. A partir de la réception de cette liste, le gouvernement de la Côte d’Ivoire dispose d’un délai de deux mois pour faire connaître les candidats qu’il agrée et ceux qu’il refuse. Passé ce délai, le gouvernement français reprend la libre disposition du personnel non admis. Dès réception de

l’agrément, le gouvernement français prend toutes dispositions pour l’acheminent des fonctionnaires agrées.

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Projet 2011-2012 de la Federation de travailleurs Africains..

21 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

FETATAF

Fédération des travailleurs d’Afrique en France                                                                                

Membre de l’OUSA OATUU                                                                                                                           

Membre observateur de l’Union Africaine_________________________________________________________

Tel/FAX : 0033 (0)1 60 79 28 49

 email : fetaf91@yahoo.fr

 

FETAF 2011/2012 dans la trajectoire de Combat pour la dignité,

Droits,  Dignité

 

Frantz Fanon : « Nous ne voulons rattraper personne. Mais nous voulons marcher tout le temps, en compagnie de l’Homme, de tous les hommes »

Paul Ricœur : «A l’époque du passage de la vision d’un monde fini à celle d’un monde fini qui fut aussi celui de la prise de conscience de la rotondité de la terre »

 

 

          L’année 2010 nous a valu beaucoup de mesures et autres déclarations anti-immigrés en général et Africain notamment. La vigilance la plus absolue nous incombe. Il nous faut continuer à anticiper et à décrypter les messages politiques qui vont, encore fuser de toutes parts. Des acteurs politiques, soit à ciel ouvert, soit honteusement par décrets ou mesures législatives sous le sceau de la légitimité et de la souveraineté vont continuer à faire du phénomène migratoire surtout Africain - un véritable « fonds de commerce ».

Le symbole récurrent du « bouc-émissaire » est encore présent. Mais une telle récurrence des effets nauséabonds de telle ou telle société,

 

confrontée aux effets dévastateurs d’une politique néolibérale -politique qui ne cesse de creuser l’écart entre les possédants et les démunis - est réducteur, si l’on s’en tient au seul aspect sociétal.

En effet, pour nous à la FETAF, à cette réalité duale des sociétés d’accueil - possédants/démunis- s’ajoutent les rapports inégalitaires NORD-SUD, voire néocoloniaux.

Le regard projeté sur l’immigré Africain est entaché du complexe intériorisé dominants/dominés. Le philosophe Régis Debray ne dit-il pas en substance (voir  « loués soient les seigneurs ») qu’on ne jette pas le même regard sur l’immigré issu du « tiers-monde » que sur l’immigré venu, par exemple, des USA ?

Evidemment, notre conviction est que tout cela peut changer et doit changer. Et c’est ici que la vigilance est de mise pour défendre les intérêts matériels et moraux de nos mandants.

Mais déjà, à l’aune du combat engagé ici, et à mesure qu’apparaisse lentement une nouvelle donne dans les pays Africains – longtemps assujettis aux anciennes puissances tutélaires-, la présence Africaine s’affirme et se montre, par endroits, conquérante pour combattre les préjugés.

Il émerge, petit à petit, une société multidimensionnelle, dynamique, diversifiée dans les sociétés d’accueil des immigrés, et cela au grand dam des oiseaux de mauvais augure.  Il reste seulement à souhaiter que ne surgisse, à la faveur des enjeux électoraux, une volonté de diaboliser l’intrus : l’immigré.

 

Seule une certaine cécité politique peut expliquer la non prise en compte d’un phénomène devenu mondial ; phénomène, qui va, de plus en plus, constituer un volant important de toute diplomatie contemporaine et moderne.

La réalité c’est que le monde bipolaire a cédé, par ailleurs, du terrain à la suite des coups de boutoirs des pays dits émergents et de bon nombre de pays solidaires de leurs peuples.

En ce qui nous concernes, immigrés africains, nous voyons s’instaurer un certain nationalisme diasporique de bon aloi ; sous-tendu qu’il est par un idéal panafricain. On peut affirmer, dès lors, que tous ces paramètres contribuent à affaiblir l’hégémonie politique, économique, voire culturel de tous gouvernement qui veut gommer toute la contribution que l’immigration Africaine d’hier (1) et d’aujourd’hui dans la défense de la France (1914-1918, 1939-1945) et à son développement.

Avec la création d’un Ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale, le gouvernement Français actuel est allé jusqu’au bout de sa vision idéologique en matière d’immigration : l’ennemi intérieur est une menace pour la préservation de l’identité française.

Evidemment, il s’agit là de la confirmation de l’idée émise depuis 1990 de la nécessité pour la France de prendre garde. Car, comme le disait le Ministre de l’intérieur de l’époque (1990) « La France a une véritable crise d’identité nationale sous la pression de l’immigration et de l’intégrisme ».

Ici, le lien est on ne peut plus explicite entre immigration et intégrisme musulman.

 

 

Dans le contexte mondial actuel - avec la surdétermination qui résulte des actes barbares, inhumains perpétués, à grande échelle, sous le prétexte fallacieux de la défense de l’Islam -, la phobie de l’Islam grandit comme en témoignent les récents sondages en France à propos de l’impact de cette religion dans les sociétés d’Europe.

Avec cette nouvelle stratégie d’attaques ciblées contre telle ou telle catégorie de la DIASPORA AFRICAINE en France et/ou en Europe, la FETAF veille au grain pour maintenir l’unité, et donner une riposte   collective de toutes les composantes de la Diaspora, aux tentatives de diabolisation.  

Notre histoire et les épreuves nous ont vaccines contre les manipulations : hier avec la mosaïque de décrets relatifs aux ressortissants des pays Africains dits du « pré-carre », n’avait-on pas tente de faire le distinguo entre immigre dit sahélien et immigre de l’Afrique dite utile ?

L’on sait ce qu’il en est aujourd’hui. La diversion n’a pas duré, nous voilà tous logés à la même enseigne et subissons la logique implacable des pays leaders de la communauté internationale

Quel est l’antidote pour la Diaspora Africaine consciente ?

Le paradigme de la Renaissance Africaine, voilà le nouveau moteur qui augure bien d’une « initiative Africaine » que les migrants Africains ont intérêt à prendre à bras le corps pour mieux contribuer au développement de leurs pays d’origine et continuer à assumer une bonne intégration dans leurs pays d’accueil.

Sans verser dans des comptes d’apothicaire, il est établi que le pays d’accueil a jusqu’ici, mieux bénéficié de l’immigration que ne l’a fait le pays de départ. Et cela en dépit des sommes colossales – sommes qui dépassent le plus souvent le montant de l’aide publique au développement – que les immigrés africains envoient dans leurs pays d’origine.

Il ressort de tout cela la constatation suivante : l’immigré africain, comme tous les autres immigrés, est un agent de développement, un facteur positif d’échange culturel.

Toute cette réalité vient invalider le concept du « choc des civilisations de Huntington dont la vision manichéenne de la lutte du bien contre le mal de Bush a fini de montrer le caractère dangereux».

Si on doit à partir de telles visions du monde, définir des politiques en matière d’immigration, on aboutirait à une impasse, à des situations de crispation et de méfiance. Toute chose contraire au mot d’ordre du « vivre ensemble » d’un monde globalisé.

En ce qui concerne le gouvernement Français par exemple, la FETAF a toujours condamné et continue à condamner la politique du «tri » qu’incarne le concept d’«immigration subie et non choisie » - Cela participe d’une volonté de stigmatisation et d’adoption de lois discriminatoires, voire répressives –

Le colloque (1990), organisé à l’UNESCO, a déjà abordé la problématique d’une immigration de seconde zone dans une Europe où les droits ne seraient plus les mêmes si on est immigré issu d’un pays membre de l’UE ou si on vient d’un pays tiers.

 

Une Europe forteresse est-elle compatible avec le discours ambiant relatif aux exigences de la mondialisation et surtout aux dures lois de la globalisation ? C’est ici, le lieu de dénoncer le fantasme d’une Europe assiégé menacé d’invasions massives par des jeunes africains. La réalité est tout autre les chiffres à ce sujet, parle d’eux-mêmes : l’immigration interafricaine dépasse de loin l’émigration vers l’Europe.

Les jeunes africains dans leurs grandes majorités ne fuient pas l’Afrique. Ici aussi les faits en attestent. Peuplée de presque un milliard d’individus, l’Afrique a la population la plus  jeune du Monde : environ 50% à 60% à entre 20 et 30 ans.

L’Europe envahit par les jeunes africains se verrait submergé par une masse critique d’au moins 400 à 500 millions de personnes. Cela ne nous empêche nullement le caractère débridé d’une immigration africaine avec son cortège de drames de catastrophes et d’humiliations. Tout cela est contraire aux dispositifs  de la Charte Universelle des Droits de l’Homme.  Sous ce rapport on ne peut que dénoncer la frilosité des gouvernements européens à régulariser des travailleurs immigrés africains « sans-papiers ».  « Sans-papiers », certes, mais qui cotisent, payent leurs impôts et contribuent ainsi au développement des pays d’accueil.

La Fetaf exprime, ici, toute sa solidarité à ce segment important de l’immigration en France et en Europe. 

Peut-on gommer du calendrier du G20-sorte de succédané d’un hypothétique gouvernement mondial – la question de l’immigration ?

Notre réponse à la FETAF, est non.

Notre prochain congrès s’y penchera.

Le thème retenu – que nous reproduisons ci-dessous en témoigne.

 

Thème : Evaluation du phénomène migratoire africain en France et en Europe : Etat des lieux et perspectives

Sous thèmes :

1)    Réévaluation et réorientation du transfert d’argent du migrant africain vers des programmes de recherche/développement dans les pays d’origine.

2)    Rôle des jeunes issus de l’immigration.

3)    Femmes et développement.

4)    Rôle de la FETAF et des membres dans le renforcement de la Confédération Générale des Partis politiques africains (COGEPPA)/Objectif la création des Etats-Unis d’Afrique.

Telles sont donc les grandes lignes de la trajectoire/FETAF de la période 2011-2011 – La FETAF entend continuer à jouer son rôle en tant que membre de la Diaspora africaine, érigée en une sixième région du continent sous le seau de la défense des intérêts matérielles et moraux des travailleurs immigrés africains.

Sous ce rapport, du reste, l’organisation de l’Unité syndicale africaine, OUSA (plus de 28 millions de membres), dont la FETAF est l’agence spécialisée en France et en Europe, va continuer à nous assurer  son soutien politique.

Bonne route pour la période 2011-2012. Et loin de nous toute idée de vouer au gémonies la France et l’Europe notre terre d’élection.

 

(1) soldats africains enrôler et envoyer au front sur les différentes zones d’opérations militaires de France et d’Europe. 

Sidi Tidiane Gueye

Président de la FETAF

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les résultats donnés par la CEI sont «non concluants» déclare..

20 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

ministre-des-affaire-etrangeres-sa.jpegMme Maite Nkoana-Mashabane, Ministre des affaires étrangères de l’Afrique du Sud

 

La Ministre des affaires étrangères de l’Afrique du Sud déclare je cite :  les resultats donnes par la CEI sont non concluants. Une déclaration qui laisse présager celle du panel des 5.


S'adressant aux journalistes, la ministre des Affaires étrangères de l'Afrique du sud, Maite Nkoana-Mashabane décrit les résultats donn
és par la CEI en Côte-d'Ivoire comme «non concluants». Une telle déclaration venant du ministère des affaires étrangères du gouvernement Zuma, donne de manière officielle la position de l'Afrique du sud sur la crise post-électorale que vit la Côte d'Ivoire. Une position qui dit clairement que l'Afrique du sud remet en cause la certification de Choi et les résultats proclamés hors délai par la CEI (commission électorale indépendante) et qui donne Alassane vainqueur.

Mme Maite Nkoana-Mashabane a fait remarquer toutefois, que l'Afrique du sud n'a pas de favoris. Elle ne fait que constater les faits.
"Ce n'est à nous d'amener la Côte d'ivoire en arrière, mais l'aider à aller de l'avant" a t-elle tenu à souligner.

Voici une position qui va énormément gêner la France et la CEDEAO, Jean Ping et toute la communauté internationale, dite la Nébuleuse.

On peut maintenant comprendre pourquoi la fermeture précipitée des banques, l’appel à l’insurrection de Sorro Guillaume dit le Bourreau de Bouaké, et le Silence de Ouattara donc on se pose toujours la question de son existence réel sur cette terre. En disant qu’ils ne veulent pas ramener la Côte d’Ivoire en arrière, diplomatiquement la Ministre veut signifier à la nébuleuse et ses soutiens Africains qu’ils veulent ramener la Côte d’Ivoire en arrière.

Faire une telle déclaration avant la réunion des chefs d’états, alors que son bateau de guerre mouille au large d’Abidjan avec celui des français et hollandais. L’Afrique du Sud  fait du Signalling. Une sorte de message qu’elle envoie aux différents protagonistes. Arrêtez de mettre de l’huile sur le feu. La Côte d’Ivoire est un pays souverain qui a des règles, agir comme vous le faite c’est ramener le pays dans les ténèbres de la Colonisation et de l’esclavage. En tout cas l’Afrique du sud a les moyens de sa politique. Cette déclaration marque un tournant dans la crise Ivoirienne et l’Afrique du Sud ici prend ses responsabilités en tant que puissance Africaine et du monde.

 A. Mujaltibusa

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Quelle voie A suivre après les réquisitions de la BNPCI et SGCI

19 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Luc Banemeck1 Luc Banemeck Strategic Planning Analyst, notre Analyste maison répond aux questions d’Afrohistorama sur les derniers événements en Côte d’ivoire.

 

Afrohistorama : Que pensez-vous de la fermeture en Côte d’Ivoire  de la BNP Paribas, Société générale, City group Standard Chartered) ?

LB : Je pense que cette mesure était prévisible en raison de l’éjection illégale de la Côte d’Ivoire de la BCEAO, le gouvernement n'est pas vraiment surpris.

Que je sache, les clients ivoiriens ne sont pas le gouvernement Ivoirien. Pour moi une telle mesure relève du gangstérisme bancaire pure et simple. C’est un avertissement aussi pour toute l’Afrique francophone (signalling). Cet acte doit réveiller ceux qui dormaient  ou rêvaient encore des lendemain CFArique meilleur.

Cet acte est  désespéré et augure peut-être du résultat du  panel des cinq chefs d’état dans quelques jours. A savoir la confirmation de la décision du conseil constitutionnel ivoirien. Alors pour éviter la risée, la nébuleuse et ses agents ont pris les devants. C’est un peu comme un poulet qu’on égorge, il réagit toujours avant de mourir définitivement

Cette fermeture est une preuve supplémentaire du non respect des lois de la C ôte d’Ivoire et le mépris de la clientèle Africaine. Alors que dans une société commerciale le client est roi. Sauf en Afrique ou le client est esclave en raison du monopole sans limite donc dispose ses sociétés Africanivore dans tous les domaines.

Un établissement bancaire ne doit pas fermer sans avertir ses clients, en tant que dépositaire du revenu de leur labeur, il leur doit respect. Car dans tous les états existent des lois  régissant l’activité bancaire, et la C ôte d’Ivoire n’est pas en reste. Ceci démontre une fois de plus que des qu’il s’agit des Noirs on ne respecte plus les lois.

Il ya autre chose qu’il faut relever dans cette décision de fermeture des banques, c’est la position de faiblesse et de lâcheté de ses commanditaires. Les citoyens Ivoiriens sauront faire la part des choses. Ce n’est pas Laurent Gbagbo qui a fermé  les banques, mais la Nébuleuse.


Afrohistorama : selon une déclaration à l’agence France presse  le gouvernement Français  dénonce la réquisition de ces banques « PARIS - La France a "condamné" vendredi l`annonce par le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo de "la nationalisation" de banques étrangères, dont les filiales des banques françaises BNP Paribas et Société Générale » ?

Que pensez-vous de cette déclaration ?


LB : Je pense que le gouvernement Français doit être content car il s’agit d’une réquisition et non d’une nationalisation, nuance importante. Ils ont à faire a un modéré, c’est leur chance pour l’instant car la réquisition pourrait permettre aux propriétaires de la banque de récupérer leur bien dans l’avenir. Donc pour l’instant ils ne doivent pas trop se plaindre.

Je pense que n’ayant point  reçu l’effet escompté, ils ont été amené certainement à faire une telle déclaration pour montrer qu’ils ne sont pas content, mais je suis certain au fond d’eux-mêmes ils doivent être content dans la mesure où ils ont  risqué  gros dans l’affaire.  La ou je trouve le gouvernement Gbagbo fin dans ces décisions même si parfois il devrait être énergiques, c’est toujours une possibilité de porte ouverte laissée  pour l’autre camp qui reste myope à ses initiatives. Il est vrai que le camp  de la Nébuleuse concentre une flopé d’illettrés qui ne comprennent rien à rien dans l’affaire. Se focalise bêtement sur la personne de Gbagbo.

Je suis très déçu par ceux qui conseillent  Monsieur Sarkozy aussi, on dirait qu’ils sont tous sans mémoire et ne se souviennent même pas de ce qui a eu lieu hier ou une heure avant.  Ils ne comprennent rien à la stratégie. Un stratège quelques semaines apres le débuts des évé  nements , vous  aurait dit toute suite qu’au vu de ce qui a déjà eu lieu jusqu'à présent une approche négociée serait souhaitable. Car c’est le gouvernement ivoirien qui est en position de force et non la nébuleuse.  Bien que timide dans les réactions, le gouvernement Ivoirien profite tres judicieusement des erreurs de la Nébuleuse,  Une nébuleuse complètement acculée et retranchée dans un réduit « cavique » et qui essaye d’agir comme des rats d’égout.


Afrohistorama : que pouvez-vous conseiller au gouvernement Ivoirien en la matière ?


LB : Avant de conseiller le gouvernement Ivoirien, je vais  lui rappeler les nationalisions qui eurent lieu en France depuis 1900 jusqu'en 1982.

16 Janvier  1945 La société anonyme des usines Renault Frères à Billancourt est dissoute sur ordonnance du Conseil National de la Résistance. Louis Renault, accusé d'avoir travaillé pendant la guerre pour les autorités allemandes, voit son usine saisie et liquidée. Tous les actionnaires recevront leur part sauf le fondateur. Ce dernier est mort en prison avant d'avoir pu présenter sa défense. La nouvelle entreprise prend le nom de "Régie nationale des usines Renault".

Sous François Mitterrand, la loi de nationalisation devient effective le 13 février 1982. La loi concerne les secteurs et entreprises suivantes :

Secteur industriel

·          

  •  
    • Thomson
    • Saint-Gobain
    • Rhône-Poulenc
    • Pechiney-Ugine-Kulmann ( Qui était propriétaire de l’Usine Alucam a Edéa Cameroun et du gisement de bauxite de la Guinée)
    • Usinor et Sacilor (fusionnent en 1986)
    • Suez
    • Compagnie générale d'électricité

 

Secteur bancaire
  • Les groupes bancaires et financiers :
    • Banque de Bretagne ;
    • Crédit commercial de France ;
    • Crédit industriel d'Alsace et de Lorraine (CIAL) ;
    • Crédit industriel et commercial (CIC) ;
    • Crédit industriel de Normandie ;
    • Crédit industriel de l'Ouest ;
    • Crédit du Nord ;
    • Hervet (Banque) ;
    • Rothschild (Banque) ;
    • Scalbert Dupont (Banque) ;
    • Société bordelaise de crédit industriel et commercial ;
    • Société centrale de banque ;
    • Société générale alsacienne de banque (Sogénal) ;
    • Société lyonnaise de dépôts et de crédit industriel ;
    • Société marseillaise de crédit ;
    • Société nancéienne de crédit industriel et Varin-Bernier ;
    • Société séquanaise de banque ;
    • Worms (Banque).
    • Banque centrale des coopératives et des mutuelles ;
    • Banque corporative du bâtiment et des travaux publics ;
    • Banque fédérative du crédit mutuel ;
    • Banque française de crédit coopératif ;
    • Banque de La Hénin ;
    • Banque de l'Indochine et de Suez (future Banque Indosuez ;
    • Banque industrielle et mobilière privée (BIMP) ;
    • Banque de Paris et des Pays-Bas ;
    • Banque parisienne de crédit au commerce et à l'industrie ;
    • Banque régionale de l'Ain ;
    • Banque régionale de l'Ouest ;
    • Banque de l'Union européenne ;
    • Chaix (Banque) ;
    • Crédit chimique ;
    • Laydernier (Banque) ;
    • Monod-Française de banque ;
    • Odier Bungener Courvoisier (Banque) ;
    • Sofinco La Hénin ;
    • Tarneaud (Banque) ;
    • Vernes et commerciale de Paris (Banque) ;
    • Union de banques à Paris.

De plus, l'État récupère le capital des entreprises qu'il ne détenait pas encore en totalité notamment :

– la Banque nationale de Paris ;

– Crédit lyonnais ;

– Société générale.

Holding financiers
  • Compagnie financière de Paris et des Pays-Bas
  • Compagnie financière de Suez

En 1983, un salarié sur quatre travaille dans le secteur public

Vous voyez donc  à chaque moment exceptionnel, le gouvernement d’un pays est appelé à prendre des mesures énergiques pour défendre les intérêts vitaux de la nation.

Ce que je conseille au gouvernement ivoirien, est simple, ce n’est pas de la réquisition qu’il faut faire, mais de la nationalisation pure et simple. En faisant passer une loi au niveau de l’assemblée nationale des élus du peuple.

Si François Mitterrand à nationalisé autant de sociétés  à  sa prise de pouvoir en 1982, c’est tout s’simplement parce qu’il y avait des risques d’évasion de capitaux sérieux, pouvant compromettre le développement économique de la France. Donc ce n’est pas une question de gentillesse ou de demi-mesure.


Afrohistorama : Qu’elle est la différence entre réquisition et nationalisation ?


Une réquisition est une procédure qui autorise l’administration à contraindre un particulier, une société  à lui céder un bien ou à effectuer une prestation,

 tandis qu’une nationalisation est un transfert à la collectivité de la propriété de certains moyens de production appartenant à des particuliers ou sociétés en vue soit de mieux servir l’intérêt public, soit d’assurer l’indépendance de l’Etat, soit de sanctionner les propriétaires pour leurs agissements.

Vous voyez donc que le gouvernement ivoirien n’est qu’à la première étape de la décision juste,

a-t-il bien agit ? Je pense que oui, car ici on est dans la première phase, qui consiste à effectuer une prestation qui a été suspendu pour des raisons bassement matérielles  par la Communauté internationale occidentale dite la Nébuleuse,et qui menace la paix sociale du pays. La deuxième phase consistera à mon avis de faire voter une loi programme au niveau de l’assemblée Nationale pour une nationalisation définitive de toutes ces banques aux fins de punir les agissements de leurs propriétaires.

Pour l’instant le gouvernement Ivoirien est à mon humble avis dans la bonne direction, en revanche c’est la nébuleuse qui est à cours d’arguments. Et c’est la raison pour laquelle les FDSCI (Forces Armée et de Sécurité de cote d’ivoire) doivent rentrer dans la phase d’alerte maximum, car la nébuleuse étant à cours de moyens de déstabilisation, risque de tenter les actions désespérées.

Etant dans un étau ou elle-même s’est enfermée, Elle est capable du pire il ne faut pas l'oublier. D’où la Vigilance.

 

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AFRIK UNIE

18 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

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Les confessions d'un évadé de l'Hotel du golf

18 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

hotel du golfHotel du Golf

Anaky Kobenan regrette pourquoi il s´est associé à la rébellion

 

Fatiguer de rester dans la rébellion, Anaky Kobenan regrette pourquoi il s´est associé
à la rébellion. Il demande Pardon au ivoirien et à  son excellence Laurent Gbagbo afin de retourner dans la vraie république, mais comment faire donc, pour cela il a adressé un mot au Président Laurent Gbagbo et aux Ivoiriens voir ci-dessous.

 

Mes frères et sœurs Compatriotes Ivoiriens et Ivoiriennes, Je vous demande Pardon!

 
je viens par ces mots afin de vous demander pardon de mon erreur, je croyais que tout allais bien se passer mais hélas face
à cette attente je ne peux résister encore et je veux regagner la république. Présentement si je vous le dis c´est que on a été trahi et ici au golf pas de liberté de pouvoir décider et quitter le golf, chaque jour que Dieu fait on reçois des menaces de Alasane et ces hommes, plus rien a faire Alasane et sa troupe ne savent plus quoi faire des secrets son garder ici. Bedie est fatiguer de cette situation, tous on croyais à un miracle un paradis mais domage. Alasane veux attaquer mais ne sait pas comment faire Leur plan est d´attaquer, soulever la population. Provoquer quelque chose qui declenchera cette  attaque et nous nous voulons plus combiner dans sa, alors on Demande à sortir de cette rébellion. L´ONU est impliqué dans cette affaire
la force licorne, mercenaire burkinabé , maliens sénégalais , son sur Bouaké pres
à combattre pour Alasane .
Des produits sont déverser par l´ONU et la licorne du 43em birma dans la lagune afin de polluer l´eau et provoquer le chol
éra les preuves sont énorme mes frères pour aussi donner ma par de lutte je souhaite que le Président Laurent Gbagbo Prennent des mesures Face à cela.

    VIVE LA COTE D´IVOIRE.

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LA PRISE DE CONSCIENCE EST-ELLE UNIVERSELLE?

17 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

UN SOLDAT AMERICAIN PARLE DE LA GUERRE QU'IL VECU EN IRAK.

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE COLLECTIF DES CONGOLAIS

17 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

DÉCLARATION DU COLLECTIF DES CONGOLAIS DE L'EXTÉRIEUR SUR LA CRISE IVOIRIENNE

 

 

                 La Côte d'Ivoire est un Etat souverain, depuis maintenant deux mois, le peuple ivoirien réclament le respect de la décision du « conseil constitutionnel » et de sa « constitution » aux soutiens étrangers d'Alassane Ouattarra. Il n'arrête pas d'expliquer, que cette décision est liée à la « constitution » et, cette institution a donné cette décision en respectant ses dispositions. Elle n'a fait que respecter et utiliser la « constitution ». 

            Nous, « collectif des congolais (Brazzaville) » de l'extérieur, composante de la diaspora africaine de France défendant la souveraineté et Laurent Gbagbo, le président élu proclamé par le « conseil constitutionnel » ivorien ; déclarons ce qui suit ce samedi 12 février 2011 en « session extraordinaire » pour apporter notre soutien à ce peuple qui se bat courageusement et dignement :

             En effet, nous rappelons qu'il y a quelques années, pour justifier son intervention militaire et pour mettre la main sur le pétrole irakien ; l'Amérique de W. Bush avait fabiqué les preuves d'existence d'armes des destructions massives contre Saddam Hussein. Après la chute de Bagdad et la découverte de cette vérité, les coeurs de ceux, qui soutenaient aveuglement l'intervention militaire étaient rongés par le remords éternel. Si la première puissance du monde arrive à fabriquer les preuves sans gêne pour mettre la main sur le petrole irakien, qu'est-ce qui empêchera la france de fabriquer de toute pièce les resultats des présidentielles ivoiriennes pour mettre la main sur les gisements pétroliers ivoiriens ?

          En raison de la mondialisation et à cause de ses matières premières énergetiques et agricole, notre continent est confronté à une grande insécurité provoquée volontairement par les lobbys industriels et financiers au service des grandes puissances occidentales. Comme nous le savons tous, les multinationales occidentales qui utilsent les matières premières africaines sont en concurrence avec celles des pays émergents.

D'autre part, la reconnaissance prématurée d'Alassane Ouattarra, alors que les éléments objectifs justifiant cet acte n'ont aucun fondement constitutionnel, est la preuve que l'objectif recherché est d'imposer un candidat pour créer à son profit une dynamique des contrats et des accords économiques.Comment pouvez-vous comprendre, que l'Afrique qualifiée de continent à la dérive et que la France n'a plus qu'à y perdre qu'à y gagner que Nicolas Sarkozy déformait l'image négatif du risque migratoire, est devenue son centre d'intérêt actuellement ?

            C'est pourquoi, il faut la recherche de la vérité sortie des urnes ivoiriennes pour tordre le cou à l'imposture, enlever cette corde que l'on nous impose de mettre dans notre cou, rendre le peuple ivoirien maître de son destin et l'Afrique libre. Sans cette vérité, aujourd'hui c'est la Côte d'Ivoire mais demain à qui le tour.

Par ailleurs, nous saluons avec brio le courage des chefs d'Etats africains non francophones, qui ont imposé la resolution par la voie pacifique et diplomatique au dernier sommet de l'« Union Africaine », mal gré les pressions tous azimuts d'une intervention militaire des soutiens étrangers du mauvais perdant, Alassane Ouattarra. Par ce geste, l'« Union Africaine » a fait perdre la fraicheur et la crédibilité des propagandes d'une intervention militaire de la « CEDEAO » orchestrée par la France, l'« UE » et l'« ONU » et, vient de montrer au monde entier qu'elle joue désormais un rôle clé sur le continent.

          Oui, il faut la recherche de la vérité sortie des urnes ivoiriennes au nord pour que plus personne ne se cache derrière les non-dits. La vérité sur ce qui s'est réellement passé dans cette partie de la Côte d'Ivoire au deuxième tour des présidentielle et, qui survit encore, ne doit plus être gardée secrète par une seule poignée d'individus. Il incombe donc au pannel des chefs d'Etats mandatés par l'« UA » de demander à la certification de l'« ONU », à la « CEI » et au « conseil constitutionnel » de prouver conformement à la « constitution » ivoirienne leur faits, leur prétentions et les résultats en leur possession.

      Toutefois, nous rappelons à l'endroi des chefs d'Etats formant ce pannel, que l'élection présidentielle ivorienne est un contrat conclu entre le peuple ivorien et un homme (le candidat vainqueur), suivant lequel la volonté populaire exprimée par ladite élection donne le droit à ce dernier d'exercer le pouvoir en son nom et cette volonté n'engage le peuple ivoirien que parce que la « loi ivoirienne » l'a prevu et, quand elle existe ; son acceptation est soumise à l'absence de fraude, de violence et d'erreur de nature à fausser le resultat du vote.

Et, nous sommes d'une part surpris que le secretaire général de l'« ONU », premier artisan de la paix dans le monde puisse declarer : «... le recomptage des voix en Côte d'Ivoire serait une injustice... » et, d'autre part convaincus, que c'est dans le but d'empêcher et peut-être de supprimer cette vérité à la connaissance des ivoiriens, des africains et du monde entier, que l'on cherche désesperement à pousser ce peule à la guerre civile pour justifier une intervention militaire legitime.

        Enfin, le destin de l'Afrique se joue en Côte d'Ivoire. Si dans notre vie de congolais, il y a des heures où l'intérêt africain devient le plus sacré de devoir, ce moment est arrivé et cette cause est la souverainté de la Côte d'Ivoire et, face au silence complice de nos chefs d'Etats, nous, resortissants d'Afrique francophones, nous ne devons qu' obéir plus qu'à notre conscience et non à nos dirigeants sur la conduite à tenir sur ladite crise.


  Fait à Paris, le 12 fevrier 2011

Le président du collectif
 Brice Sylvestre Kéoua

Contact :
06-22-53-84-20
bricesylvestre@yahoo.fr

 

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DECLARATION No LPAN02 DE LA LEGION PANAFRICAINE

16 Février 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

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Déclaration de la Légion panafricaine N°LPAN02

Le  Général Fofana s’en prend à Nicolas Sarkozy et égratigne L. Gbagbo à propos de la Crise ivoirienne.

Le commandant en chef de la Légion panafricaine, le général Fofana, a déploré le silence coupable des pouvoirs africains face aux propos méprisants  des autorités occidentales à l’égard de leurs homologues africains.

Il faisait ainsi allusion aux propos méprisants du « nain de l’Elysée (N. Sarkozy) », comme il l’a qualifié,  quand ce dernier a affirmé : « Je donne 48h à L. Gbagbo pour quitter le pouvoir ».

Nicolas Sarkozy, ce minable personnage politique français ne manque aucune occasion pour montrer au monde entier son éducation approximative qui partout ailleurs ne lui aurait pas permis la carrière politique qui est la sienne en France.

Il s’adresse aux autorités africaines comme s’il s’adressait à sa cour, oubliant que l’époque coloniale est révolue ; et c’est ce grossier personnage qui dit que l’Afrique n’est pas entrée dans l’histoire.

Le Général  reproche  également à L. Gbagbo sa timidité vis-à-vis des Occidentaux  et ses hésitations dans ses prises de décision.

Il ne fait pas de doute que la légion panafricaine nuance son soutien au régime de Gbagbo à qui elle reproche sa myopie quant à une perspective véritablement panafricaniste.

Dans un précédent communiqué, la Légion panafricaine mettait en doute la véritable  volonté de rupture de L. Gbagbo avec  la France colonialiste et l’Occident énergétivore.

La Légion panafricaine sera désormais présente partout en Afrique aux côtés de tous ceux qui défendent la souveraineté nationale et panafricaine sans  jamais se compromettre avec des pouvoirs corrompus.

En conclusion, la Légion panafricaine dit ne plus tolérer de telles déclarations ni de la part des dirigeants occidentaux ni de la part d’intellectuels africains soumis.

La Légion panafricaine se dit prête à intervenir dans le cadre de la mission qui lui a été fixée :

 - Détruire toutes les poches restantes de la Françafrique et du Commonwealth encore en service.

- Mettre en place une véritable armée panafricaine afin de sécuriser la  mise en place d’une monnaie panafricaine et promouvoir les langues africaines.

Fait à Takoradi, le 17/02/2011

Le Général Fofana

Chef du commandement suprême de la Légion panafricaine

 

Translation in English

 

The Pan-African Legion Army Statement No. LPAN02

 General Fofana blames Nicolas Sarkozy and scratches L. Gbagbo about the Ivorian crisis.
The commander of the Panafrican Legion Army, General Fofana, regretted the guilty silence of African governments face to the scornful of Western authorities in respect of their African counterparts.  He was referring to the derogatory remarks of the "dwarf of Elysée (N. Sarkozy)" as he called it, when the latter said: "I give 48 hours to Laurent Gbagbo to step down."
Nicolas Sarkozy, the French shabby politician misses no opportunity to show the world how approximate their education; elsewhere he would not have the political career that he has in France.

It targets African authorities as if addressing his own kids, forgetting that the colonial era is over, and this rude person who said that Africa has not entered into history.
The General Fofana also criticized L.
Gbagbo timidity vis-à-vis the West and its hesitation in taking its powerful decision.

There is no doubt that the Panafrican legion army shade his support for the regime of Gbagbo who it accuses its myopia regarding a truly pan-Africanist perspective.

In an earlier statement, the Pan-African Legion army questioned the true intention of fracture of L.
Gbagbo with France and West colonialist energy intensive.
Pan-African Legion army   from now will be present throughout Africa alongside all those who defend national sovereignty, without ever compromising with corrupt authorities.

In conclusion, the Legion said the Panafrican Legion army will no longer tolerate such statements nor the part of Western leaders nor the part of African intellectuals submitted.

The Panafrican Legion Army  is ready to intervene within the mission it was set:


 - Destroy all remaining pockets of FranceAfrique and Commonwealth in service.

- Establish a true pan-African army to secure the establishment of a pan-African currency and promote African languages.

At Takoradi on 17/02/2011

General Fofana

Supreme Commander of the Legion Pan

             Document recu le 17/02/2011. Afrohistorama n'est pas l'auteur de cette declaration et decline toute responsabilite.

 

 


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