LE VERITABLE ROLE DE L'ONU
In Le Nouveau Courrier N°229 du 18 Mars 2011 Frank Toti
L’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) a décidé d’ajouter une autre corde à son arc de déstabilisation de la Côte d’Ivoire. Depuis quelques jours ses soldats sillonnent des quartiers favorables à Ouattara où ils distribuent des armes aux jeunes.
Après avoir transporté, armé et renseigné les rebelles-terroristes de Ouattara, l’Onuci a décidé d’aller plus loin ses basses manœuvres. A savoir, armer désormais les jeunes pro-Ouattara dans les quartiers favorables à leur mentor, notamment dans les communes d’Abobo, Koumassi, Adjamé et Attécoubé. Selon une information recoupée minutieusement auprès de résidents, dans la nuit du mercredi et très tôt hier matin, des soldats de l’Onuci à bord de chars ont distribué des kalachnikovs à des jeunes civils dans la commune d’Adjamé. Selon des témoignages, c’est environ une trentaine de kalachnikovs avec chargeurs et minutions qui sortaient des véhicules onusiens. Quelques jours auparavant, ce sont des convois similaires qui se sont retrouvés dans des quartiers de Koumassi et Abobo, où des rebelles encastrés dans la population, la terrorisent à l’aide de son arsenal de guerre. Si à Abobo et Koumassi, les hommes de Choi ont pu opérer en toute impunité, en distribuant du matériel militaire aux rebelles et jeunes pro-Ouattara, à Adjamé elle a été prise en flagrant délit. Aussitôt alertés par des riverains, les Fds ont installé un dispositif afin de neutraliser d’éventuelles attaques dans cette commune.
Et comme il fallait s’y attendre, hier matin ces jeunes gens, excités et vraisemblablement sous l’effet de la drogue, se sont mis à tirer dans tous les sens dans plusieurs quartiers d’Adjamé. Ils ont tenté d’attaquer le district de police sis en face du siège du quotidien pro-gouvernemental Fraternité Matin, le ministère de la Défense … Hier en début d’après midi, les locaux de Fraternité Matin ont été évacués par les Fds par mesure de prudence.
Pourquoi A. Ouattara ne peut être président de Côte d’Ivoire ?
Alassane Ouattara
30 raisons qui font qu’Alassane Ouattara ne peut pas être président de la Cote D’Ivoire :
1- Il a trahi son pays adoptif la Côte d’Ivoire ;
2- Il a bradé toutes les grandes entreprises Ivoirienne à 50 centimes symbolique aux intérêts ennemis de la Côte d’Ivoire ;
3- Il n’aime pas les Ivoiriens
4- Il tue avec l’aide des forces d’occupation, tous les Ivoiriens qui ne sont pas d’accord avec lui.
5- Il n’aime pas l’Afrique
6- Parce qu’il n’aime pas l’Afrique et le peuple Africain ne l’aime pas.
7- Il s’est ligué avec les ennemis de l’Afrique ;
8- Il nargue tous les Africains parce qu’il est soutenu par les forces armées barbares ;
9- Il est l’Africain le plus hait de la planète aujourd’hui par le peuple Africain ;
10- Il a semé la division entre le peuple Africain
11- Tous les Panafricanistes le considère comme un potentiel génocidaire et obstacle pour le développement du Continent ;
12- Il pille l’économie de la Côte d’Ivoire pour tuer le peuple Ivoirien et pour le pouvoir ;
13- C’est un malade fou aliéné ;
14- C’est un faux intellectuel Africain aux diplômes et connaissances douteuses ;
15- Il a fait un pacte avec le diable et Satan ;
16- C’est un faussaire notoire ;
17- Il a perdu les élections présidentielles
18- C’est un France africain ;
19- Ces hommes assassinent et sème la terreur avec le soutien des forces d’occupation ;
20- Il veut brader le sous-sol de la Côte d’Ivoire à ses maîtres de la Communauté Internationale
21- Il n’inspire aucune confiance ;
22- Il a des mauvaises fréquentations ;
23- Il a jurer de tuer la moitié des Ivoiriens s’il le faut pour arrivée au pouvoir ;
24- Il est le créateur et financier du terrorisme qui écume la Côte d’Ivoire
25- Il a fait violer les femmes et hommes pendant les élections présidentielles
26- Il méprise la Constitution Ivoirienne ;
27- Il a provoqué la guerre militaire, économique et financière de l’occident contre la Côte d’Ivoire pour le pouvoir;
28- Il a bradé toutes les entreprises de la Côte d’Ivoire pour 0,50€
29- Il est un instrument de guerre aux mains des ennemis de l’Afrique ;
30- Il mérite la condamnation pour haute trahison et 500 ans de prison équivalente aux années de souffrance que l’Afrique a connue à ce jour.
Par Mbombog Mpodol
Les auteurs des articles sont responsables de leur contenu. Et n’engage aucunement la responsabilité d’Afrohistorama.
1ere étape du grand secret révélé par la Libye
Invitation du Réseau ACRA
Le Réseau ACRA (Afrique-Cameroun-Réflexion-
En Collaboration avec
La COGEPPA (Confédération Générale des Partis Politiques Africains)
Vous invite le 19 mars de 13h-17h à
La Bourse du Travail de Paris 3 Rue du Château Paris 10e
Métro RÉPUBLIQUE
A un Meeting sur le Cameroun.
Les Intervenants sont les partis politiques Camerounais et membre de la société civile Camerounaise. A cette occasion le Réseau ACRA (link) présentera les revendications de la Diaspora Camerounaise aux différents partis. Vous pourrez poser vos questions.
C’est votre espace de discussion
VENEZ NOMBREUX
Video des terroristes et agents secrets fuyant la Libye....
Vidéo démontrant des terroristes et agents secret des pays ennemis fuyant la Libye vers l’Egypte et la Tunisie devant l’arrivée des forces armées libyennes.
Invitation du Réseau ACRA
Le Réseau ACRA (Afrique-Cameroun-Réflexion-
En Collaboration avec
La COGEPPA (Confédération Générale des Partis Politiques Africains)
Vous invite le 19 mars de 13h-17h à
La Bourse du Travail de Paris 3 Rue du Château Paris 10e
Métro RÉPUBLIQUE
A un Meeting sur le Cameroun.
Les Intervenants sont les partis politiques Camerounais et membre de la société civile Camerounaise. A cette occasion le Réseau ACRA (link) présentera les revendications de la Diaspora Camerounaise aux différents partis. Vous pourrez poser vos questions.
C’est votre espace de discussion
VENEZ NOMBREUX
Fraternalisme Panafricain Avec la Libye
Afrique : Fraternalisme Panafricain |
|
Suite à l’appel à une manifestation Panafricaine de la Fédération des Travailleurs Africains de France, le 16/03/11, c’est sous un ciel parisien ensoleillé et une atmosphère paisible et ambiance fortement revendicative, que fraterniseront de gaieté les partisans du Colonel Kadhafi, Guide moral de l’Etat de Libye, et nombres d’Africains et Noirs d’horizons divers.
Venu lancer un appel depuis le parvis des droits de l’Homme (Place Trocadéro), au respect des institutions représentatives africaines dans la résolution des crises internes à l’Afrique et au respect plus globalement de l’Africain dans ses choix et vœux, par les instances internationales.
Il est ainsi une fois de plus démontrer par ses vaillants soldats en veille et au courage digne d’illustres ancêtres de renom (Boganda, Nasser, Lumumba, Sankara, etc.) que l’honneur de l’Afrique se porte concrètement et d’action : premièrement des Africains en tous lieux et part tous temps.
Joseph TAPA
Suivre lien pour d'autres vidéos en relation d'avec la manifestation 16/03/11 : LIRE VIDEO
Understanding the Ivory Coast’scrisis origin in Images.
Part I
Part II
Part III
Part IV
A Nigerian diplomat Accuse BANKI Moon and Sarkozy
Banki Moon UN General Secretary
Sarkozy Nicolas French President
Choi (South Korean) UN representative in Ivory Coast
A Nigerian diplomat at the United Nations said in New York, it's Choi and Ban Ki Moon who staged the crisis in Côte d'Ivoire! For him, this crisis will only stop when UNCI leave Ivory Coast because it is on this account that the Ouattara team of terrorist run its slogans of the uprising.
"Ban Ki-Moon and
Sarkozy want to use our President
(Goodluck Jonathan) to hide their failure
in resolving the Ivorian crisis. We have identified
the “trick” and our position has changed. Therefore,
we now require a Green flag from UN before
going to wage a war against someone who is not a warlord as Africa and had to go and kill people who have obeyed the laws of their
countries. It would be a first time in world
history and we wonder how they will write the
resolution. "
He continued to say that "shame will lead Ban Ki-Moon to engulf this
country to say after is due to Gbagbo's refusal
to leave the power.
JACK SARKORACCHI TWN-New York - USA
APPEL DU CHEF DES CHEFS TRADITIONNELS AFRICAINS
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le Chef des chefs traditionnels Africains appelle tous les Africains à soutenir la Cote d’ivoire de Laurent Gbagbo et la Libye de Mouammar Kadhafi.
Reportage sur les armes de l’ONU saisie au Cameroun.
Convoi des Nations unies: La présence d'armes confirmée dans 17 conteneurs
La quarantaine de conteneurs issus du convoi à polémique des Nations unies est finalement passée au scanner. La certitude est admise par toutes les autorités en
charge de ce dossier. De sources concordantes, l’opération a pris en compte pas moins de 72 containers issus des 38 camions semi-remorques interceptés Aux environs de la localité de Bonis, non
loin du chef lieu de la région de l’Est. A en croire des sources proches des services de la douane camerounaise, “les images réflétées par le scanner laissent clairement entrevoir des armes et des munitions à l’image de référence.”
Un constat effectué sur 17 Conteneurs parmi la quarantaine de camion du convoi stationné au stade du Groupement mobile d’intervention (Gmi N° 2), à Douala. Du reste, des camions stationnés dans
cet espace, outre celui porteur d’un camion lance-eau et, un autre portant un groupe électrogène de haute capacité, l’essentiel des conteneurs “contiennent des équipements militaires.”
Une confirmation après près de deux semaines de supputation entretenue par le mutisme forcené des autorités. Autres certitudes émises par des sources proches du
dossier, le convoi est parti de la capitale tchadienne N’djamena en direction du Port autonome de Douala (Pad) où la cargaison devait être embarquée pour la Côte d’Ivoire. “ Nous n’avons pas besoin de savoir ce que contiennent les conteneurs que nous transportons.” Ce qui compte, à en
croire les chauffeurs des semi-remorques à problème que nous avons rencontrés, “c’est que notre client nous donne un
manifeste.” Toutefois, le manifeste fourni aux conducteurs des semi-remorques mentionne que lesdits conteneurs transportent du matériel logistique.
L’opération qui engage la responsabilité du ministère des Relations extérieures (Minrex), celle de l’administration territoriale (Minadt), de la Délégation
générale à la Sécurité nationale (Dgsn), de la gendarmerie nationale et de la direction générale des Renseignements extérieurs (Dgre) semble achopper sur la décision de la plus haute autorité de
l’Etat. Selon des sources proches du dossier, “nous attendons les instructions de la haute hiérarchie pour la suite
de cette affaire.”, confie une source introduite Une affaire fortement accrochée à l’opiniâtreté du chef de l’Etat camerounais qui, semble-t-il, veut avant tout se démarquer de la
surenchère autour de la crise ivoirienne.
Selon des sources généralement bien informées, “le problème des conteneurs de l’Onu
est beaucoup plus complexe que vous ne le pensez.” Une complexité qui résiderait sur la forme et les motivations de l’Organisation des nations unies tout au long de cette affaire.
“Il faut préciser que les Nations unies ont l’habitude de faire passer leurs matériels au Cameroun.
” Cette source sécuritaire précise par ailleurs que “dans ce cas, il appartient au Cameroun de
protéger ces convois.” Or, les sources proches des milieux sécuritaires et diplomatiques soutiennent que ledit convoi aurait été découvert dans le territoire camerounais. Un fait
aggravé par “la volonté des organisateurs de ce convoi à se démarquer des procédures
habituelles.”
Nouvelles révélations sur les containers suspects de l’Onu
L’enquête de notre envoyé spécial à l’Est.
Il y a désormais un certain plaisir à rallier la ville de Bertoua à Yaoundé. Grâce au bitumage à 85% de la Nationale n° 2, le voyage est moins stressant. Hormis le
mauvais tracé du tronçon Abong-Mbang- Doumé, avec ses nombreux tournants “ accidentogènes ”, et le
tronçon Doumé-Bonis encore en voie de bitumage, aller à “ Beyrouth ”, comme l’appellent les nombreux
citadins de la ville fondée par le grand chef chasseur Baya Mbartoua, est devenu plus aisé. Fini la poussière et les incongrues rencontres avec les grumiers et autres gros porteurs. De plus en
plus on effectue même le voyage dans des bus climatisés.
Déjà, le trafic s’en ressent, qui est déjà intense sur cette voie entre la capitale tchadienne et la capitale économique du Cameroun. C’est justement par
cette voie qu’entendait passer en toute discrétion le convoi des containers parti de N’djamena pour Douala et soupçonnés de contenir des armes en direction de la Côte d’ivoire.
“ Le Libanais responsable d’une des sociétés réquisitionnées pour convoyer ces containers au port de Douala après
interrogations, est passé aux aveux complets ”
Selon nos investigations à Bertoua, contrairement à ce que nous avons affirmé dans les colonnes du Messager il y a une semaine, c’est plutôt à Bertoua et non à
Garoua-Boulaï que le convoi de ces containers portant la mention Onu ont été interpellés et immobilisés par les éléments de la gendarmerie locale. Il est établi en tout cas que la première
alerte de la gendarmerie de l’Est a été donnée à partir de la ville frontalière de Garoua-Boulaï. Les gendarmes de cette bourgade avaient remarqué quelque chose de suspect lors du passage
de ce convoi, notamment le fait que les scellés des containers étaient retournés à l’intérieur. C’est ainsi qu’à la suite ont envoyé un message à leurs collègues de Bertoua.
Les pandores veillent au grain
Le convoi arrive donc la nuit tombante au poste de contrôle mixte gendarmerie-police de la localité de Manjou, arrondissement récemment créé et situé à 6 km de
Bertoua. Nous sommes le 3 mars 2011. C’est dans la localité de Manjou qu’est situé le pont bascule, qui permet de contrôler le tonnage des gros porteurs qui empruntent cette route nationale. Les
premiers camions du convoi sont donc invités à passer sur le pont pour le contrôle.
C’est à ce moment que les agents du ministère des Travaux publics en charge du pont bascule de Manjou attirent l’attention des gendarmes sur les surcharges des
camions du convoi. Ceux-ci déclarent tantôt ne pas savoir ce qu’il y a dans les containers, tantôt qu’il s’agirait des vêtements et du coton. Futée, la jeune sous officier, que ses collègues de
Bertoua disent très aguerrie aux techniques de sécurité, constate que les poids des containers sont anormaux. Avec l’appui de ses collègues, elle aurait ainsi accentué la pression sur les
chauffeurs tchadiens pour que ceux-ci puissent ouvrir un des containers. Refus des chauffeurs.
L’équipe de gendarmes demande à voir le manifeste du convoi, et le responsable de l’Onu qui le conduit et dont le camion qui se trouve en tête porte la mention
visible de Onuci-Bouaké Côte d’ivoire. Pas de manifeste ni de responsable de l’Onu. Le ton monte. A ce niveau, nos sources à Bertoua refusent de dire si l’un des camions a été ouvert pour des
besoins de contrôle, comme précédemment affirmé dans les colonnes de votre Journal. Mais il se dit aussi dans le voisinage de la légion de gendarmerie de l’Est que parmi les éléments du
Groupement mobile d’intervention (Gmi) de Bertoua le ton serait monté entre la maréchale de logis, Edith Tiakeuh et ses éléments et les chauffeurs, au point d’obliger ceux-ci à ouvrir l’un des
containers.
C’est alors que la découverte des lances roquettes, kalachnikov aurait été faite. Immédiatement l’alerte est donnée. Le gouverneur de la région de l’Est est saisi.
Lele Lafrique envoie un de ses collaborateurs, voir ce qui se passe au pont bascule de Manjou. Au fur et à mesure que les camions du convoi arrivent et sont immobilisés. On y une quarantaine, et
près de 76 containers. Tous sont escortés à Bertoua et garés respectivement à la légion de gendarmerie de l’Est et au Gmi de Bertoua. Commence alors une longue attente pour les chauffeurs, et la
mobilisation générale des autorités administratives et de sécurité. Les pourparlers s’ouvrent au sommet de l’Etat ; le ministre de la Défense est saisi et informe le chef de l’Etat.
Une affaire de haute sécurité
Malgré la discrétion des autorités locales qui considèrent cette affaire comme étant très sensible, de bouche à oreille, la nouvelle de la présence des containers
d’armes fait le tour de la ville. Dans les bars et autres gargotes, on susure des coups de fils se passent entre les hautes autorités de la République et celles de la région de l’Est. Les
émissaires du ministère de la Défense se rendent à Bertoua. Les chauffeurs sont exploités par les limiers des services de sécurité. On apprend que leurs sociétés ont été approchées à N’djamena
pour conduire cette cargaison à Douala. Mais la question que se posent les gendarmes est celle de savoir comment un convoi de l’Onu peut ainsi partir de N’djamena et traverser tout le
Cameroun sans responsable.
Mardi 16h, arrive à Bertoua un homme de nationalité libanaise qui se présente comme responsable de la société Transafrique, qui a été chargée de transporter vers
Douala les containers. Celui-ci contacte les autorités militaires de la légion de gendarmerie pour savoir pourquoi ses camions ont été retenus. Après avoir été édifié sur les mobiles de
l’immobilisation des camions, le libanais dit d’abord ne rien connaître du contenu des containers, son rôle se limitant à les décharger d’urgence au Port autonome de Douala. Mais après échanges
quelque peu houleux, il aurait avoué qu’il s’agit bien des containers de l’Onuci qui doivent arriver au plus vite au port de San Pedro. N’ayant pas pu convaincre les autorités, il s’en retournera
à Douala d’où il serait venu.
Mercredi matin, un message venu de Yaoundé annonce aux responsables de la légion de gendarmerie de l’Est que, compte tenu du fait que Bertoua n’est pas une
ville suffisamment sécurisée, les camions et leurs containers doivent impérativement être convoyés à Douala via Yaoundé. Surtout que comme les médias commencent à en il est possible que des
bandes armées et autres bandits de grands chemins puissent venir attaquer les convois. C’est ainsi que dans la nuit du mercredi 9 mars, camions garés au Gmi de Bertoua, prennent la route de
Yaoundé, puis de Douala, fortement escorté. Ils seront passés au scanner à Douala.. Au moment où nous quittions Bertoua, ce samedi 12 mars 2011, trois camions portant chacun deux containers
étaient encore garés à la légion de gendarmerie de l’Est. Reste à savoir ce que les autorités camerounaises vont faire de ces containers que beaucoup affirment à Bertoua contenir des
armes.
(*) Envoyé spécial à Bertoua