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Articles récents

QUESTIONNAIRE-TEST COVID-19- by -Comité des Camerounais de l'Extérieur

28 Mars 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Comment rejoindre

la Chaîne de Solidarité 237 COVID-19 DIASPORA

L’objectif général que poursuit ce projet est de soutenir d'une part nos compatriotes à l’intérieur comme à l’extérieur dans la bonne exécution des  mesures barrières et gouvernementales dans la lutte contre le Coronavirus, et d'autre part leur apporter un accompagnement solidaire surtout aux plus précaires.

Pour ce faire, nous aurons besoin plus que jamais de l’unité et la solidarité nationale pendant cette période exceptionnelle. Nous ne vaincrons cette pandémie  qu’en associant à cette lutte les éléments de notre culture profonde, basée sur la solidarité depuis la nuit des temps.

Tous pour un, un pour tous.

CONTACT

Email: cce.coronavirus@gmail.com 

Tel:0033778667836

 

 

 

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                                        GESTES BARRIÈRES 

 

NUMÉROS UTILES

 

 

LES CHIFFRES DU JOUR

27 MARS 2020

CONTACTEZ

cce.coronavirus@gmail.com

ou 

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Les organisations de la société civile réunies au sein de Cameroon Advocacy accusées de collusion avec l’intelligence ennemie par le Ministre de l’intérieur Paul Atanga Nji prennent la menace au sérieux et appellent au dialogue avec ce dernier.

21 Mars 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Les organisations de la société civile réunies au sein de Cameroon Advocacy accusées de collusion avec l’intelligence ennemie par le Ministre de l’intérieur Paul Atanga Nji prennent la menace au sérieux et appellent au dialogue avec ce dernier.

 

Mr Paul Atanga Nji Ministre de l'Administration territoriale du Cameroun

Ces Organisations de la société civile ( Osc ) ont manifesté cette volonté au cours d’une conférence de presse tenue le mardi 16 mars dernier à Douala.

«Nous ne sommes pas des bandits. Nous sommes des Camerounais honnêtes qui travaillent pour le bien-être et l’évolution de leur pays. Il faut que l’État nous considère comme des partenaires et non comme des ennemis». C’est en substance les propos tenus par  Me Agbor Balla au cours la conférence de presse de Cameroon Advocacy, une coalition des organisations de la société civile (Osc) à laquelle son Ong Chrda en fait partie.

 

La sortie médiatique de cette coalition survient une semaine après celle de Paul Atanga Nji. Le ministre de l’Administration du territoire tance certaines Osc de bénéficier des financements occultes intérieurs et extérieurs et d’être en intelligence avec les forces étrangères pour non seulement  déstabiliser les institutions de la République, mais aussi diffuser régulièrement des informations tronquées dans les réseaux sociaux et dans certains médias à leur  solde pour discréditer la gestion de la crise dans le NoSo par le gouvernement. Plusieurs de ces Ong et associations ont même été menacées de fermeture par le Minat s’ils persistaient dans leur démarche «complotistes».

 

Des accusations rejetées en bloc par Cameroon Advocacy. Dans sa déclaration de ce mardi 16 mars, cette coalition estime que la récente sortie du Minat n’est que «pure diversion» pour détourner l’attention de la crise humanitaire dans l’Extrême Nord et le Noso. «C’est une hérésie », soutient Philippe Nanga, Coordonnateur de le l’Ong Un Monde Avenir. Selon cet activiste de la société civile, les Osc ont toujours joués leur rôle en toute transparence et honnêteté. Philippe Nanga défie d’ailleurs quiconque «de démontrer qu’ils sont de connivence avec l’extérieur.»

 

Financements occultes

 

Sauf qu’il y a un hic. Ces Osc avouent publiquement recevoir des fonds des partenaires étrangers, et jamais du gouvernement camerounais. Est-il possible de travailler en toute indépendance sans subir la pression de ceux qui vous financent? Aucun responsable d’une association de défense de droits humains ne pourrait facilement nous apporter des arguments contraires à ce sujet. Sinon comment expliquer qu’avec tous les problèmes basiques que rencontrent les Camerounais (faim, accès à l’eau potable, santé, chômage, sous scolarisation…) que l’Adefo, une Ong dite camerounaise trouve plutôt comme centre d’intérêt, la défense des droits des homosexuels. Une pratique non seulement interdite par la loi, par les us et coutumes africaines mais aussi très éloignée des préoccupations quotidiennes de la majorité de nos compatriotes. Sauf que l’Union européenne, en gros financeur, défend cette pratique et finance les actions qui vont dans le sens de son expansion. La présidente de ladite association est d’ailleurs auréolée de récompenses.

 

Des exemples de ce genre sont légion, des Ong dont les motivations sont de détourner l’attention des Africains des vrais problèmes importants pour leur devenir en leur imposant des visions plutôt destructrices. L’histoire nous enseigne longuement sur les financements occultes dont bénéficient des  Ong à travers le monde. Cas de figure : Médecins Sans Frontières faisant semblant de faire de l’humanitaire mais qui s’est retrouvé en train de distribuer les armes aux rebelles pendant la guerre du Biafra au Nigeria qui s’est déroulée entre1967 et 1970. Les méthodes ont-elles changées ? Certainement pas. On peut citer d’autres cas récents comme le conflit en Syrie où l’Observatoire des droits de l’homme, une Ong syrienne basée au Liban financée par l’Europe et les États-Unis, est accusé d’être partie prenante de la guerre à travers ses rapports biaisés qui incriminent uniquement le gouvernement.

 

«Intérêt du Cameroun»

 

Aujourd’hui, on observe presque la même chose dans le cadre de la guerre qui se déroule dans le NoSo. L’Etat désapprouve le fait que des associations qui disent défendre les droits humains, dénoncent avec véhémence et massification les exactions qui seraient commises par les forces de défense, et ferment les yeux devant les massacres réclamées par les sécessionnistes. Une démarche suspecte qui pousse plus d’un à se demander pour qui roulent ces Ong ? Les accusations portées à l’endroit de ces organisations viennent quand même du ministre de l’Administration territoriale, de surcroît, patron des renseignements généraux, susceptibles d’avoir des éléments à charge en sa possession. Si non pourquoi certaine Ong comme le Redhac refuserait d’emblée de se soumettre aux exigences du Minat de présenter ses rapports d’activités ?

 

Avocat au barreau du Cameroun, Me Agbor Balla ne nie pas qu’il y ait des brebis galeuses parmi les Ong. Raison pour laquelle il suggère le dialogue avec le gouvernement dans un cadre convenable. «La télé n’est pas un cadre approprié pour s’adresser aux associations sérieuses comme les nôtres», s’indigne l’homme de lois. Il pense par ailleurs que cette façon de faire du ministre contribue plutôt à envenimer la situation. D’après Agbor Balla, une discussion peut être menée sans que des menaces soient proférées. «Nous agissons tous pour l’intérêt du Cameroun. Et si les preuves nous sont données qu’il y a parmi nous des associations qui œuvrent pour déstabiliser le pays, nous allons nous mêmes les dénoncer», a conclu Me Agbor Balla.

 

Par Félix Épée

Source : http://lavoixdukoat.com/menacees-fermeture-osc-appellent-dialogue-gouvernement/?fbclid=IwAR1z4QI_5Uccfys9uJIEnY2NYJsW2YU1XIHzqSOXFRY09VqxsexC4FS7zqY

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France – Confinement - Coronavirus: l'attestation que vous devez télécharger pour vous déplacer.

17 Mars 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #ACTUALITES

France – Confinement - Coronavirus: l'attestation que vous devez télécharger pour vous déplacer.

Coronavirus COVID-19 : Informations, recommandations & mesures sanitaires

 

Depuis janvier 2020, une épidémie de Coronavirus COVID-19 (ex 2019-nCoV) s’est propagée depuis la Chine.

Retrouvez toutes les réponses officielles aux questions que vous vous posez sur ce qu’est le Coronavirus COVID-19 et les recommandations pour votre santé sur la plateforme :

  gouvernement.fr/info-coronavirus external link

 

Le 16 mars 2020, le Président de la République a décidé de prendre des mesures pour réduire les contacts et déplacements au strict minimum sur l’ensemble du territoire à compter du mardi 17 mars à 12h00, pour quinze jours minimum.

 

Celles-ci seront autorisées sur attestation uniquement pour :

 

    Se déplacer de son domicile à son lieu de travail dès lors que le télétravail n’est pas possible

    Faire ses achats de première nécessité dans les commerces de proximité autorisés

    Se rendre auprès d’un professionnel de santé

    Se déplacer pour la garde de ses enfants et soutenir les personnes vulnérables à la stricte condition de respecter les gestes barrières

    Sortir ses animaux à proximité de votre domicile

    Faire de l’exercice physique uniquement à titre individuel, autour du domicile et sans aucun rassemblement

 

Toute infraction à ces règles sera sanctionnée.

 

Face au coronavirus, il existe des gestes simples pour préserver votre santé et celle de votre entourage :

 

    Je reste chez moi

    Se laver les mains régulièrement.

    Tousser ou éternuer dans son coude.

    Utiliser des mouchoirs à usage unique.

    Se saluer, ne pas se serrer la main et éviter les embrassades.

 

Un numéro vert répond en permanence à vos questions, 24h/24 et 7j/7 : 0 800 130 000

 

Attention, la plateforme téléphonique n’est pas habilitée à dispenser des conseils médicaux.

J’ai des symptômes (toux, fièvre) qui me font penser au Covid-19 : je reste à domicile, j’évite les contacts, j’appelle un médecin avant de me rendre à son cabinet ou j’appelle le numéro de permanence de soins de ma région. Je peux également bénéficier d’une téléconsultation. Si les symptômes s’aggravent avec des difficultés respiratoires et signes d’étouffement, j’appelle le SAMU- Centre 15.

Les informations officielles external link 

Actualités

 

    L'actu du Ministère

    Communiqués

    Dossiers

    Infos pratiques

    Le ministère de l'Intérieur se prépare au Brexit

    Police de sécurité du quotidien

    Information de la population en cas de danger

TELECHARGER

  L’Attestation  de déplacement dérogatoire

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Attestation-de-deplacement-derogatoire

 

Covid-19 : des images inédites du coronavirus Sras-CoV-2

Un laboratoire américain a réalisé des clichés du nouveau coronavirus, Sras-CoV-2, à l'origine de l'épidémie de Covid-19. 

n laboratoire de l'Institut national des maladies infectieuses américain (NIAID) a publié des images inédites du nouveau coronavirus, le Sras-CoV-2, à l'origine de l'épidémie de Covid-19. Les images ont été réalisées au microscope électronique à balayage à partir d'échantillons prélevés chez un patient américain et mis en culture en laboratoire. Chaque particule virale, ou virion, apparaît avec sa couronne de piques caractéristique de la grande famille des coronavirus. Sras-CoV-2 est la septième souche à pouvoir infecter l'humain : 4 provoquent chaque année des infections bénignes et 2 des formes sévères, le Sras-CoV de 2003 et le Mers-CoV de 2012.

 

Il s'agit d'un virus à ARN, une version en quelque sorte simplifiée de l'ADN, dont le génome comprend une dizaine de gènes. Les protéines de surface (S) qui couronnent l'enveloppe des particules virales sont celles qui permettent au virus de s'accrocher aux cellules pour les infecter. Une fois à l'intérieur de la cellule, le virion se sert de la machinerie génétique pour se reproduire. Les nouvelles particules virales émergent alors de la cellule pour poursuivre ce cycle de réplication sur d'autres cibles dans l'organisme. Pour créer un vaccin, il faut reproduire ces protéines S seules, dans une version non pathogène. Une fois injectées, ces protéines seront identifiées par le système immunitaire comme un corps étranger contre lequel il faut développer des anticorps spécifiques. De sorte que si une infection réelle survient, l'immunité disposera déjà de ces anticorps adaptés, capables d'éliminer les virions dès qu'ils entrent en contact avec l'organisme.

 

Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916

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Comment le Cameroun a mis en échec la méthode Human Right Watch.

17 Mars 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #ACTUALITES

Comment le Cameroun a mis en échec la méthode Human Right Watch.

 

Exclusivité Cameroun – Côte d’Ivoire : Les crimes cachés de Human Rights Watch dévoilés

 

(Agence de presse panafricaine) -Les récents incidents de Ngarbuh, dans le Département du Donga-Mantung, Région du Nord-Ouest du Cameroun, pose la question essentielle sur la méthodologie d’investigation de Human Rights Watch—HRW. Cet épisode dans l’activité terroriste des Ambazoniens interroge aussi sur l’agenda caché de cette Organisation humanitaire(?). Et met à nu l’aigreur-haineuse de Ilaria Allegrozzi qui croyait tenir sa revange sur le gouvernement qui l’avaient interdite l’entrée au Cameroun depuis Avril 2019. Raison? Défaut d’observateurs.

 

En effet le 14 Février 2020, un accrochage a eu lieu entre les terroristes-sécessionnistes et sept éléments des Forces de Défense et de Sécurité—FDS—en mission de reconnaissance à Ngarbuh, fief-tampon des terroristes. Au terme de cet échange de tirs, cinq civils, victimes collatérales dont 1 femme et 4 enfants, vont perdre la vie suite à l’explosion d’une citerne pleine d’essence de contrebande appartenant à ces terroristes. HRW va déplacer le récit. Gonfler le nombre de victimes.  Et crucifier l’armée Camerounaise.

 

Coupable désigné

 

Sans aucune vérification des faits, la secte HRW va attribuer les conséquences malheureuses de cet affrontement aux FDS. Le coupable ainsi désigné, les médias, l’ONU, le HCR, et les ONGs-appendices-locales, vont se faire le devoir de relayer cette agit-prop dans l’opinion publique. En chœur, ils accusent l’armée d’avoir massacré 22 civils. Vieille technique de communication-préparatoire à une guerre qui a marché en Irak, Lybie, Côte d’Ivoire, au Soudan, et ailleurs. Objectif? Flamber l’indignation et exiger une enquête des Nations Unie—D’ailleurs très souvent biaisée intentionnellement afin de donner les arguments pour une intervention militaire occidentale et faire main-basse sur les réserves naturelles de la nation-cible.

 

Detoh Letoh confond les experts de l’ONU alliés de HRW

                Le Général Detoh Letoh Des FDS Ivoirienne

 

HRW aime compter les morts. Le bombardement le 17 Mars 2011 du marché Siaka Koné à Abobo servira de prétexte à cette organisation et aux autres membres du gang des ONGs étrangères—Amnesty International, FIDH, pour construire le mécanisme de déstabilisation de la Côte d’Ivoire. Ces sectes-humanitaires-occidentales soutiendront que ce marché avait été bombardé à l’aide d’un canon 120 mn entraînant la mort d’au moins 25 civils et fait une quarantaine de blessés.

 

Suivant ainsi les pas des experts de l’ONU qui avaient non seulement divulguaient cette information, mais affirmaient que l’obus avait été tiré depuis le camp de gendarmerie d’Akouedo. Cette thèse sera émiettée à la CPI par le Général Detoh Letoh, ami de Alassane Ouattara, de Fatou Bensouda, et témoin à charge contre Gbagbo. Il démontra qu’un bombardement au mortier depuis le camp d’Akouedo sur ce marché était ‘techniquement impossible.’ Il expliqua. Vu ‘la portée de ce mortier et la proximité du marché avec le camp, la cible allait être ratée.’  Poursuivant le démantèlement de la construction mensongère de l’ONU, il dit. ‘Si des mortiers de 70mm devaient être tirés à partir du camp commando, ça n’aurait pas atteint son objectif. Parce que la distance qui sépare le camp du marché est au-delà de la portée du mortier.’

 

Mettant à mal l’expertise de l’ONU vendue par les ONGs, Letoh précisa que les immeubles dans les alentours constituaient un véritable obstacle à une telle manœuvre. En ce qui concerne l’impact-terrain, il éclaira la Cour que la furie des obus sur ‘ce marché l’aurait rasé.’ Ce qui n’avait pas été le cas. En plus, aucun impact physique comme des cratères, n’avait été constaté après ce fameux bombardement. Cette clarification du Général Detho mis à nu le rapport des enquêteurs des Nations unies qui affirmaient que six tirs auraient été initiés ‘à partir d’un camp militaire des Forces de Sécurité.’

 

Si ces obus avaient été tirés avec l’arme incriminée, on se serait attendu à voir des cadavres mutilés, des membres manquants ou éparpillés sur le sol, des victimes avec des têtes partiellement arrachées de leur corps, ou des membres encore attachées au corps par la peau seule, des cadavres d’enfants ou autres horreurs. Rien de tout cela n’a été visible. Pourtant, ce bombardement fut l’une des pièces maîtresses qui ont amené le Président Gbagbo à la CPI—Cette Cour pour Nègres insoumis.

 

 ‘

 

Le Monde’ perd contre Gbagbo. HRW se tait

 

 

 

Ce montage antiGbagbo n’était pas le premier. Au lendemain de la présidentielle de 2000, les media institutionnels, HRW et Cie avaient fait endosser au couple présidentiel Ivoirien la responsabilité du charnier de Yopougon. Au menu de leur acharnement contre les Gbagbo, ils accusent la Première Dame Simone Ehivet d’être la patronne des escadrons de la mort tuant les Musulmans-ouailles de Alassane Ouattara.

 

 

Le Monde—journal de référence Français—, marchand de malheur, embrassa cette ligne mensongère dans ses numéros des 8 et 20 Février 2003. L’un titra, ‘Côte d’Ivoire: enquête sur les escadrons de la mort.’ L’autre, ‘Le rôle-clef des gardes du corps du couple présidentiel. Légaliste, Gbagbo porte plainte en France pour diffamation. Par arrêt en date du 5 Avril 2006, la Cour d’Appel de Paris, 11è Chambre, condamne Jean-Marie Colombani, Directeur de publication du Le Monde et de sa version online lemonde.fr pour avoir publiquement diffamé Le Président Gbagbo et son épouse. Depuis lors la presse n’a plus jamais parlé d’Escadrons de la mort. Et HRW a ravalé ses vomissures.

 

 

Ngarbuh, Une fiction écrite depuis Nairobi

 

Cependant, HRW ne perd en rien son expertise dans la rédaction des rapports manipulés, truffés de contre-vérité et incitant aux conflits. La dernière en date est celui de Ilaria Allegrozzi. Un document à charge contre l’armée Camerounaise. Une fiction écrite depuis Nairobi. Sans investigation. Sa seule source d’information étant Ford Yacoubou. Un terroriste de l’Etat virtuel d’Ambazonie.

 

L’arrestation de ce dernier par les Forces de Sécurité est une aubaine pour les renseignements généraux. Son téléphone, un filon d’or.  L’exploitation de ses conversations via WhatsApp établisse un lien étroit entre Ilaria et ce tueur. Pour étoffer son roman qu’elle fait passer pour un rapport sur les violations des droits humains au Cameroun par l’armée, elle n’eut pas l’imagination fertile. Elle demanda simplement à Yacoubou de lui fournir toute information pouvant compromettre cette institution. Quitte à en fabriquer. C’était donc peu demander à cet expert-sécessionniste en manipulation des images et montage-vidéos.

 

Convaincue qu’elle avait assez d’ordures contre le Cameroun, elle publie sur son compte tweeter relayé sur le site de Human Rigths Watch, que ‘les meurtres de civils, y compris d’enfants commis dans des conditions horribles, sont des crimes odieux qui devraient faire l’objet d’enquêtes effectives et indépendantes et leurs responsables devraient être traduits en justice.’ Le communiqué du Ministère de la Défense du 17 Février 2020, réfutant preuve à l’appui l’argument du massacre soutenu sans élément probant par cette mauvaise romancière, la dézingue. Affolée, elle déclare. ‘Nier que ces crimes aient été commis ajoute encore au traumatisme subi par les survivants et ne fera qu’encourager les troupes gouvernementales à commettre d’autres atrocités.’ Son acharnement justifie une quête non-avouée d’une intervention impérialiste au nom de “l’humanitarisme.” Un moyen subtil pour déstabiliser ce pays-porte-d’entrée dans le Golfe de Guinée afin de satisfaire les pilleurs du Continent.

 

Mort subite d’un rapport à charge

 

Mais le rapport meurtrier sur lequel Iliari s’appuie, ne résiste pas au temps. Sa mise en miettes par les Camerounais quelques heures après sa publication oblige HRW à le retirer de sa plateforme. Puis silence! Incapable de produire les images satellites d’avant et après la fameuse ‘attaque’ dont elle se targuait de détenir. Sa technologie spatiale infaillible avait tout simplement craqué sous la pertinence des analyses déconstruisant ses preuves évidentes(?), accablantes(?), et irréfutables(?), mais inexistantes.

 

 

Crimes cachés de HRW

 

Les preuves presque jamais prouvées de HRW sont très souvent doublées de l’impasse qu’elle fait sur les crimes des terroristes et des rebelles. Le 16 Février 2020, deux jours après l’incident de Ngarbuh, les terroristes-Ambazoniens font irruption au petit matin à Mbui-Mbem, Arrondissement de Nwa, Département du Donga Mantung dans le Nord-Ouest du Cameroun. Puis Assassinent Yusufa Kafoi, ses fils Hassan Yusufa Kafoi, Issa Yusufa Kafoi, et Adamu Yaya Djibo. Hurera Abdu, Halima Yusufa et Muktaru Suie s’en sortent blessés.

 

Pour signer ce carnage, ils incendient 31 habitations. Mais HRW ne mentionne aucun mot de cette boucherie dans son rapport. Les organisations humanitaires(?)complices sont aussi muettes—Aucune condamnation ni indignation. Pas plus pour le massacre de Galim, Département des Bamboutos, Région de l’Ouest, lorsqu’une brigade de gendarmerie avait été attaquée le 8 Mars 2020 par des tueurs que certains attribuent au belliqueux Kamto. Inutile de s’étonner du silence de HRW et Cie. C’est leur rituel depuis l’implantation de Boko Haram au Cameroun.

 

Quelques années en arrière, ces ONGs habituées aux comptabilités macabres, ont fait un décompte partial en Côte d’Ivoire. Ils ont attribué au conflit Ivoirien 3 000 morts. Ce chiffre ‘a été évoqué pour la première fois par les organisations des droits de l’homme comme étant le nombre des victimes du génocide de Duékoué…et c’est France 24, par la suite, qui a réussi à faire passer ce chiffre comme étant celui de l’ensemble des victimes du putsch électoral et militaire de 2011.’ Révélait Tino Xada. Un observateur de l’échiquier politique Ivoirien. Puis l’AFP en a fait son mantra. ‘A l’analyse, ce chiffre de 3 000 morts de la crise post-électorale ne repose sur aucune réalité, voire sur aucune statistique rigoureusement établie. C’est un chiffre visiblement préétabli, donc artificiel et prémédité, sorti des officines des forces dominantes du monde pour justifier les interventions militaires Françaises et onusiennes programmées d’avance en Côte d’Ivoire comme il a été donné de le voir dans plusieurs autres contrées de notre planète.’ Ecrivait Lazare Koffi Koffi, ex-ministre Ivoirien.

 

Le rapport de la ‘Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation’ (CDVR) initiée par Ouattara, et présidée par l’ex-Premier ministre Charles Konan Banny, va bousculer les normes et donner raison à Koffi Koffi. Il révèle plus de 16 000 morts. Paniqué, Ouattara interdit que les résultats de l’enquête de la CDVR soient rendus public.

 

Il faudrait dans ce chiffre macabre compter les jeunes patriotes spontanément mobilisés dans les rues et à la présidence pour se constituer en bouclier humain entre le Président Gbagbo—vainqueur des présidentielles 2010—et les forces-criminelles Françaises de La Licorne et de l’ONU. HRW très engagée(?)dans les droits humains(?) n’a pas interrogé Ouattara sur ces atrocités. Ni questionner l’ONU et la France sur le massacre de ces patriotes. Pire, alors que plusieurs observateurs et analystes attribuaient à Ouattara le génocide Wé à Duékoué, HRW est sortie des rangs. Il a annoncé le chiffre de 500 morts sur une période de quatre mois, majoritairement imputables à ‘des forces fidèles au Président Gbagbo.’

 

A la CPI, Bensouda s’est accrochée au chiffre de 3000 morts. Au Président Gbagbo, elle a attribué 166 personnes qui auraient été assassinées pour se maintenir au pouvoir. Que sont devenus alors les 2834 restants? Bensouda est muette. HRW aussi. Cet accordéon de chiffres est intéressant parce qu’il montre la partialité des institutions judiciaires et des ONGs. Ils ont eu la meme attitude lorsque le rapport de la première Commission Nationale d’Enquête mise sur pied par Ouattara au lendemain de son sacre par ses amis impérialistes. Rendu public le 10 Août 2012 ce rapport comptabilisait 3 248 morts dont ‘1 452 morts imputées au camp Gbagbo, 727 au camp Ouattara et 1 069 non attribuées à un camp ou l’autre en raison de problèmes d’identification des victimes.’

 

A propos de ces morts oubliés ou du surplus non-attribué à Gbagbo, HRW ne s’interroge pas. Elle ne questionne pas Ouattara. Elle n’interpelle pas la France ni l’ONU qui ont bombardé à grande échelle ce pays. Et qui ont aussi héliporté et implanté des rebelles à Abobo pour attaquer l’Administration Gbagbo. Les questions intelligentes, HRW n’en a pas besoin. Son ennemi c’est Gbagbo. Le reste ne compte pas. Ils ont réussi à ‘sortir Gbagbo et installer Ouattara.’ Comme a dit Nicolas Sarkozy.

 

 

Pénurie de questions d’investigation

 

En fin de compte, lorsqu’on scrute attentivement les preuves documentaires et les enquêtes de terrain des attaques terroristes au Cameroun et rebelles en Côte d’Ivoire, et que l’on les compare aux allégations faites à travers les médias occidentaux et dans les rapports des ONGs comme HRW, les irrégularités troublantes émergent. D’une part, leurs affirmations sont fausses et exagérées. D’autre part, lorsque ces affirmations sont placées dans le contexte historique de ces conflits, elles intègrent un schéma clair de distorsion de la vérité et de désinformation. Ceci à des fins politiques.

 

HRW devrait fermer boutique

 

C’est pourquoi les images brutes prises sur les théâtres des opérations et les données chiffrées, contredisent de très loin certaines de leurs affirmations qui s’appuient sur des témoins fictifs et des ‘activistes’—un terme bidon en soi—anonymes.

 

C’est le cas avec l’armée Camerounaise. Accusée de barbarie par les ONGs humanitaires(?), elle récolte lauriers, félicitations et gloire à travers le monde. Lors de l’opération Flintlock 2020 organisée par les Etats Unis et rassemblant les meilleurs corps d’élites du monde, le Bataillon d’Intervention Rapide—BIR—a eu la reconnaissance mondiale. Au terme ‘des différents exercices, testé, mesuré et comparé,’ le BIR a été reconnu comme ‘le plus puissant, le plus fort, le plus rapide, le plus stratégique, le plus adapte dans les situations complexes…’  A ce titre, le BIR a été retenu comme le meilleur corps d’élites du monde malgré ses carences en équipements.

Emerveillé, le Président Tchadien, Idriss Deby Itno a déclaré. ‘Si tous mes militaires étaient seulement le BIR même les Etats unis d’Amérique je n’allais pas avoir peur d’eux pour les affronter.’ Venant d’un officier supérieur qui a fait sa cuirasse dans les guerres, même étant à la Présidence, ça devrait éclairer HRW et les ennemis de l’Armée Camerounaise dont le professionnalisme n’est plus à démontrer.

Professionnalisme reconnu dans sa mission de maintien de la paix en RCA par l’ONU, quand elle veut bien voir ce qui est juste et vrai. Le Secrétaire Général des Nations Unies a par l’entremise du Sénégalais Mankeur Ndiaye, son Représentant Spécial pour la RCA et Chef de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en RCA, félicité le professionnalisme d’une part, et salué de l’autre, le grand humanisme dont font preuve les soldats Camerounais pour sécuriser et redonner de l’espoir au peuple Centrafricain. HRW devrait à l’épreuves de ses mensonges toujours ruinés, fermer boutique. Mieux, les personnes qualifiées devraient l’aider dans ce sens pour éviter d’autres conflits et morts inutiles.

 

 

 

Par Feumba Samen (cp)

Agence de presse panafricaine

Source : https://agencedepressepanafricaine.com/exclusivite-cameroun-cote-divoire-les-crimes-caches-de-human-rights-watch-devoiles/?fbclid=IwAR2i0AOxIrjaxbrOEEeo5vhvhoQJKNRWwQrwELjthRd9K_xGx0wfx3BOn-c

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Human Rights Watch a pris de l'argent à un homme d'affaires saoudien responsable de violations des droits du travail.

4 Mars 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Human Rights Watch a pris de l'argent à un homme d'affaires saoudien complice de violations des droits du travail.

 

 

 

 

Human Rights Watch a accepté un don important d'un milliardaire saoudien peu de temps après que ses chercheurs aient documenté des abus au travail dans l'une des entreprises de l'homme, une violation potentielle des propres directives de collecte de fonds de l’ONG des droits de l’homme.

 

Human Rights Watch a récemment rendu le cadeau du magnat saoudien de l'immobilier Mohamed Bin Issa Al Jaber, qui est venu avec la mise en garde qu'il ne pouvait pas être utilisé pour soutenir le plaidoyer LGBT du groupe au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Le don controversé est au centre d'un débat interne controversé sur le jugement et le leadership du directeur exécutif de Human Rights Watch, Kenneth Roth.

 

Après que The Intercept a commencé à enquêter sur le don, le groupe de défense des droits de l’homme  a publié une déclaration sur son site Web disant qu'accepter le financement était une «décision profondément regrettable» qui «contrastait fortement avec nos valeurs fondamentales et notre engagement de longue date envers les droits des LGBT en tant que partie intégrante des droits de l'homme. "

 

La subvention de 2012 de la fondation caritative d'Al Jaber au Royaume-Uni s'élevait à 470 000 $, a déclaré Roth à The Intercept, ajoutant qu'un "versement final de la promesse de don n'a jamais été réalisé". La déclaration ne faisait pas référence à Al Jaber par son nom, mais deux employés de Human Rights Watch ont confirmé son identité à The Intercept.

 

"Nous regrettons également que la subvention ait été octroyée par le propriétaire d'une entreprise que Human Rights Watch avait précédemment identifiée comme complice de violations des droits du travail", a indiqué le communiqué du groupe. En 2012 et les années précédentes, Human Rights Watch a rendu compte en détail des violations du travail à Jadawel International, une entreprise de construction saoudienne fondée et détenue par Al Jaber.

 

Les responsables de Jadawel ont pris les passeports des travailleurs migrants non qualifiés et n'ont pas renouvelé leur permis de séjour saoudien, piégeant efficacement les travailleurs et les forçant à continuer de travailler en silence par peur d'être arrêtés, selon un rapport de 2010 de Human Rights Watch. Cet arrangement a permis aux gestionnaires de sous-payer le personnel; des travailleurs ont déclaré à Human Rights Watch que certains étaient partis des mois sans salaire.

 

Roth était lui-même impliqué dans la sollicitation du don, selon un e-mail interne de Human Rights Watch envoyé le mois dernier et obtenu par The Intercept. L'e-mail a été rédigé au nom du conseil d'administration international du groupe et signé par les coprésidents du conseil, Amy Rao et Neil Rimer.

 

En 2012, Roth a signé un protocole d'accord  avec Al Jaber contenant un libellé stipulant que le cadeau ne pouvait pas être utilisé pour le travail sur les droits des LGBT dans la région. Il a ensuite été photographié à côté d'Al Jaber lors d'une cérémonie en 2013 pour commémorer le financement.

 

«En acceptant un engagement excluant son utilisation pour travailler sur un groupe dont nous nous efforçons de protéger les droits, les personnes impliquées dans Human Rights Watch, Inc. ont commis une grave erreur de jugement», ont écrit Rao et Rimer au personnel. «Ken Roth, la personne la plus expérimentée de HRW impliquée dans la sollicitation de cet engagement, accepte l'entière responsabilité de cette erreur.»

 

Dans un courriel à The Intercept, Roth a déclaré que lui et d'autres avaient discuté des abus au travail à Jadawel «avec l'employeur, qui s'est engagé à les aborder et a fourni plus tard des documents à cet effet. HRW et l'employeur ont ensuite discuté d'un éventuel cadeau au travail de HRW, en attendant la confirmation que les abus avaient été résolus. » Roth a également déclaré que les retombées du retour du don n'avaient pas eu d'incidence sur son rôle de gestion à Human Rights Watch.

Le personnel de Human Rights Watch a initialement rencontré Al Jaber en 2010 dans le cadre de son processus de plaidoyer après avoir étudié les plaintes de ses travailleurs, selon un employé de Human Rights Watch. Leur rapport a continué l'année suivante. Les pratiques de travail de Jadawel sont mentionnées dans les rapports mondiaux 2011 et 2012 de Human Rights Watch comme exemples des échecs du système de parrainage de l'Arabie saoudite pour protéger adéquatement les travailleurs migrants.

 

Le rapport de 2012 indiquait que certains cadres de Jadawel avaient «six mois d'arriérés de paiement de salaire» et que «les cadres avaient menacé les travailleurs de ne pas porter plainte devant le tribunal du travail.

 

Une politique de collecte de fonds approuvée par le conseil d'administration de Human Rights Watch plus tard en 2012 a déclaré que l'organisation n'acceptera pas de financement d'une entreprise qui est «elle-même au cœur du travail de Human Rights Watch» ou lorsque «la sollicitation ou l'acceptation de tels fonds pourrait saper les droits humains Crédibilité, indépendance ou réputation de Watch. »

Le don n'a été porté à la connaissance du conseil d'administration de Human Rights Watch que récemment, selon l'e-mail interne. Mais la fondation Al Jaber a annoncé la subvention sur son site Web en septembre 2013. «[Son Excellence] Sheikh Mohamed Bin Issa Al Jaber, fondateur et président de la Fondation MBI Al Jaber, a signé un accord avec Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch, afin de soutenir leur travail dans le domaine de la société civile dans le monde arabe, avec une référence particulière à la cause des droits de l'homme dans les pays arabes en transition », a annoncé la déclaration.

 

Malgré les restrictions imposées au don d'Al Jaber, Human Rights Watch a continué de documenter les violations des droits des LGBT dans la région. En 2013, ils ont joint une lettre au président iranien Hassan Rouhani sur les droits des LGBT et documenté les abus contre les personnes transgenres au Koweït. L'année suivante, ils ont publié des rapports sur les droits des LGBT au Maroc, en Égypte et en Syrie.

 

"Néanmoins, accepter une subvention avec une telle condition était clairement faux et nous déçoit profondément", ont écrit Rao et Rimer au personnel le mois dernier.

 

Human Rights Watch lancera «une enquête indépendante complète pour comprendre pourquoi nos protocoles et politiques rigoureux sur la vérification des subventions et des donateurs ont échoué», selon sa déclaration en ligne.

 

"L'enquête commencera bientôt et fournira la base de toute nouvelle action du conseil d'administration et de la direction", indique le communiqué. «Pour éviter que cela ne se reproduise, nous avons créé une politique supplémentaire interdisant explicitement les restrictions sur les cadeaux qui excluraient des groupes sociaux particuliers ou des questions de droits fondamentaux.»

 

Cet article a été mis à jour pour inclure une réponse et des détails supplémentaires du directeur exécutif de Human Rights Watch Kenneth Roth qui ont été reçus après sa publication.

Attendez! Avant de poursuivre votre journée, demandez-vous: quelle est la probabilité que l'histoire que vous venez de lire ait été produite par un autre média si The Intercept ne l'avait pas fait?

 

Considérez à quoi le monde des médias ressemblerait sans The Intercept. Qui tiendrait les élites du parti responsables des valeurs qu’elles proclament? Combien de guerres secrètes, d'erreurs judiciaires et de technologies dystopiques resteraient cachées si nos journalistes n'étaient pas sur le coup?

 

Le type de reportage que nous faisons est essentiel à la démocratie, mais il n'est pas facile, bon marché ou rentable. L'Intercept est un média indépendant à but non lucratif. Nous n'avons pas d'annonces, nous dépendons donc de nos membres - 35 000 et plus - pour nous aider à demander des comptes aux puissants. L'adhésion est simple et n'a pas besoin de coûter cher: vous pouvez devenir membre de soutien pour aussi peu que 3 $ ou 5 $ par mois. C’est tout ce qu’il faut pour soutenir le journalisme sur lequel vous comptez.

Traduit de l’anglais par Afrohistorama

En Anglais

Par Alex Emmons

Source: https://theintercept.com/2020/03/02/human-rights-watch-took-money-from-saudi-businessman-after-documenting-his-coercive-labor-practices/?fbclid=IwAR3Dl2z9VdQSuzhU6wPcrIkdH1vu2o2X0O2BI6jZCSg15vsdYYHLHROcKuM

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LE CAMEROUN DANS L’ŒIL DE LA PERFIDE D’ALBION. Le processus de recolonisation des pays francophone engagé depuis 2009 va-t-il connaitre son aboutissement avec le Cameroun ?

29 Février 2020 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Actualités

LE CAMEROUN DANS L’ŒIL DE LA PERFIDE D’ALBION. Le processus de recolonisation des pays francophone engagé depuis 2009 va-t-il connaitre son aboutissement avec le Cameroun ?

Depuis 2009, le Cameroun le pays d’UM nyobe, Moumié, Ouandié, Foncha, Milla et bien d’autres célébrités ayant contribués à sa notoriété mondiale est secoué par des mouvements irrédentistes, sécessionnistes et tribalistes sur l’ensemble de ses points cardinaux.

Au Nord tout d’abord par les extrémistes islamistes Djihadistes du Boko Haram qui souhaitent installé autour du lac Tchad un Kalifa islamiste identique au défunt Etat islamiste au nord de la Syrie et de l’Irak.

A l’Est par les coupeurs de route et rebelle centrafricains. Sur le flan Ouest par les Séparatistes coupeurs de têtes connus sous le nom d’Ambazoniens, et en mer dans le golfe de Guinée par les pirates du Delta du Niger.

Ces attaques vicieuses et malicieuses qui durent depuis 10 ans  ont juste un seul but, recoloniser le Cameroun et tous les pays frontaliers.

Depuis 10 ans l’armée vaillamment résiste et même en passe de réduire cette menace multiforme et c’est exactement parce quelle ne faiblie pas qu’elle est devenue un obstacle aux yeux  des officines occidentales en charge de l’opération.

Aujourd’hui, elle est accusée par une organisation dite des droits de l’homme qui s’appelle Humans Right watch de Génocide dans le Nord-ouest à NGarbuh.

Car ces officines savent exactement ce qu’elles font, elles savent qu’en affaiblissant l’armée camerounaise, la porte de la recolonisation est entrouverte.

 C’est la raison pour l’armée camerounaise doit rester focaliser sur sa mission. Ramener la paix sur l’ensemble du territoire. Elle doit rester forte et garder son professionnalisme et son honneur.

Selon les «securocrates» de Yaoundé certains éléments matériels issus des services d’intelligence en leur possession démontrent une complicité intelligente et une collision active entre les séparatistes ambazozos et les agents missionnés de HRW (Humans Right Watch) et aidés en cela par la deuxième génération des collabos camerounais que nous observons tous les jours dans leur posture dans les médias nationaux et internationaux.

Voir les images ci-dessus :

 

 

 

 

 

 

Ce qui est vraiment dérangeant dans cette histoire, on a l’impression que l’histoire a tendance à se répéter. Génération après génération comme si c’était génétique de transmission par les chromosomes.

Ce qui s’est passé dans les années 60 à la veille de notre indépendance risque de se reproduire au crépuscule du régime du Renouveau.

En 1960, une partie des camerounais voulant conquérir le pouvoir à tous les prix a été complice de l’assassinat d’autres camerounais par une armée étrangère.

Aujourd’hui d’autre Camerounais appellent les armées étrangères à venir leur débarrasser du régime du Renouveau en croyant que c’est la seule manière de parvenir au pouvoir et/ou régler les problèmes qui se posent à notre pays.

Ce qui est encore pire, on voit des camerounais les plus instruits qui sont à la tête de ce processus. Quelle tristesse pour l’Afrique en général et notre pays en particulier.

J’en appelle au sursaut des citoyens sans soutenir le régime actuel de s’unir autour de notre armée pour éviter à notre pays une recolonisation intégrale.

A suivre…

Par Paul Gwet

 

 

 

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«La poule n’a jamais pondu d’œufs noirs» ? Le racisme dans les usines Renault. Affaire Laurent Gbarum Genèse.

19 Mai 2019 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Racisme et politique

«La poule n’a jamais pondu d’œufs noirs» ? Le racisme dans les usines Renault. Affaire Laurent Gbarum Genèse.

GENESE DE L’AFFAIRE GABAROUM

 

Laurent GABAROUM, Français d’ascendance africaine, est entré au service de la Régie Nationale des Usines Renault, le 15 juillet 1975, sous contrat à durée indéterminée, en qualité d’agent productif, catégorie B.

 

Parallèlement, il poursuivait des études supérieures en droit et en économie qui devaient le conduire jusqu’à un doctorat de droit.

 

Les pratiques discriminatoires à l’égard de Laurent GABAROUM ont commencé dès les années 1980 lorsque ce dernier a révéléà la Régie Nationale des Usines Renault qu’il préparait un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées de Gestion, Transport et Logistique Commerciale et une thèse de doctorat en droit.

 

Depuis une quarantaine d’années, l’histoire de la rencontre de Laurent GABAROUM avec l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS n’est pas celle qui ressemble aux longs fleuves tranquilles de bien des cadres de bonne couleur.

 

 

Une histoire hors du commun où la couleur de peau et le patronyme portent la fatalité de l’échec et engendrent d’étonnants raccourcis racistes et xénophobes.

 

L’histoire d’une expérience judiciaire douloureuse qui fait s’étouffer de honte les sourires satisfaits de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS célébrant le déni de justice organisé à son profit par la justice française de manière à lui garantir une totale impunité, dans «l’Affaire GABAROUM», au mépris du principe d’équité et d’impartialité dans l’application de la loi relative à la lutte contre la discrimination raciale.

 

Racisme ? Ségrégation ? Apartheid social ? Négrophobie ? Discrimination ? Allons ! Faut-il alors désespérer de la «vitrine sociale de la France», au point de se complaire dans son intolérance raciale et de cautionner sa tentative d’expulser de son propre pays un Français d’ascendance africaine en le rendant éligible à l’«aide de retour au pays», par sélection sur son délit de faciès, lui déniant ainsi ouvertement sa nationalité française, au motif que «La poule n’a jamais pondu d’œufs noirs» ?

 

Un Noir serait-il interdit de prétendre au statut de Cadre et condamné à être agent de sécurité à vie quel que soit son niveau de formation et de qualification ? Oui si l’on suit la trajectoire professionnelle imposée à Laurent GABAROUM par l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS au nom de «l’inégalité des races humaines.»

 

La conception hiérarchisée des emplois et l’ethnicisation des tâches portent la marque de fabrique de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS passée maître dans l’art de faire de la discrimination raciale sans le savoir comme Voltaire faisait de la prose sans le savoir.

 

Un Noir Cadre ? Un Noir qui aurait du pouvoir, exercerait des responsabilités, pourrait donner des ordres à des Blancs, ça frise la provocation ? Joseph Arthur de GOBINEAU va se retourner dans sa tombe !

 

Autant dire que pour l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS, «Le singe n’est pas encore descendu de l’arbre». Les fonctions régaliennes d’encadrement et de direction doivent donc rester des prérogatives exclusives des «Français de souche» voire d’ascendance européenne.

 

Avec beaucoup d’arrogance, de mépris et de cynisme, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS profite de la procédure de promotion au statut-cadre de Laurent GABAROUM pour déverser un torrent de boue sur le continent noir en se livrant à un violent réquisitoire contre l’Afrique et les Africains, notamment sur la guerre civile et la misère qui règnent sur ce continent en s’épanchant sur «la nature profondément sauvage des peuplades de ces contrées africaines condamnés à s’entretuer entre des ethnies hostiles et à mourir de faim depuis que le colonisateur blanc est parti.

 

Le Noir n’a pas encore compris qu’elle est la place que nous autres Blancs sommes prêts à lui accorder dans notre société civilisée. Il est impensable pour certains d’entre nous qui avons vécu la période coloniale et qui avons apporté la civilisation dans ces pays où l’histoire ne s’écrit nulle part ailleurs que dans la barbarie la plus éculée de laisser un Noir exercer en France une quelconque autorité sur les Blancs. Je comprends que notre confort de vie puisse faire des envieux mais je ne peux me permettre d’endosser l’habit de traître qui assurerait la promotion d’un Noir au statut de Cadre. Jamais au grand jamais, les salariés blancs ne comprendraient le sens d’une telle décision et encore moins ne s’accommoderaient d’une telle trahison. Franchement, que veut dire encore être Blanc si les Noirs doivent venir nous commander chez nous ? Être diplômé de l’enseignement supérieur est une chose et exercer le pouvoir de commandement sur des salariés blancs en est une autre.

 

Malgré vos diplômes, n’oubliez pas, Monsieur GABAROUM, que vous êtes Noir. L’essentiel pour vous, en choisissant de vivre en France, si je ne me trompe, c’est d’abord de gagner votre pain. Oubliez donc vos diplômes. Je vous propose, si vous êtes d’accord, un poste d’ETAM (Employés, Techniciens et Agents de Maîtrise) ce qui pour un Noir n’est déjà pas rien. Vous avez 48 heures pour nous faire connaître votre décision

 

Comble de l’absurde, les préjugés racistes disséminés dans le temps et dans l’espace ont été ainsi convoqués et instrumentalisés par l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS pour en faire un collier d’opprobre pour l’Afrique et pour les Français d’ascendance africaine.

 

Le 1er janvier 1985, en dépit de ces douloureuses péripéties, Laurent GABAROUM accède au statut de Cadre par la grâce du Président Directeur Général de l’époque, Monsieur Bernard HANON, qui l’a reçu et a considéré sa situation inadmissible.

 

Laurent GABAROUM est affecté à la Direction du Personnel Ingénieurs et Cadres (DPIC) du Groupe Renault.

 

Premier Noir à être parvenu aussi haut dans l’appareil de gestion des Cadres du Groupe Renault depuis sa nationalisation-sanction en1945, Laurent GABAROUM s’imagine déjàêtre le modèle d’intégration réussie version Renault mais ce ne sera finalement qu’un miroir aux alouettes.

 

Coupable de ne pas avoir la couleur de peau de référence de l’establishment traditionnel de la Direction du Personnel Ingénieurs et Cadres du Groupe Renault, ce sera l’occasion pour Laurent GABAROUM d’être confrontéà des préjugés et injures racistes, notamment de rencontrer le diable en costume trois pièces dans les allées du pouvoir managérial de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS qui prend un malin plaisir raciste à humilier le «Français de papier».

 

Alors que Laurent GABAROUM se pense Cadre, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS l’accueille en primate prompt à pousser le simiesque «cri de Tarzan» dans la jungle, une banane à la main, se balançant aux branches des arbres de la Place BIR-HAKEIM, siège de la DPIC à BOULOGNE BILLANCOURT, et sautant d’une cime à l’autre pour atterrir dans son bureau, pendu au bout d’une liane.

 

Peut-on être Noir et néanmoins Français? Oui, si l’on en croit le bon sens républicain le plus élémentaire et les règles de droit en vigueur en France. Non, si l’on en croit l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS pour qui «La poule n’a jamais pondu d’œufs noirs».

 

Noir, Laurent GABAROUM ne pouvait qu’être travailleur immigré. Français, il aurait été blond. C’est le règne du sophisme. La couleur de peau devient un critère de francité.

 

Dur, dur pour Laurent GABAROUM contraint de se défendre notamment par une grève de la faim.

 

La virtuosité manipulatrice de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS et sa capacité à se fourvoyer dans un marketing du mensonge pour dissimuler sa face cachée forçait l’admiration.

 

La peur du «grand remplacement» aidant, faute de pouvoir expulser par vol charter «l’immigré africain à passeport français» vers son pays d’origine, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS organise, grâce à des relais et à des réseaux de complicités amies, sa reconversion forcée en agriculture pour un retour définitif en Afrique noire afin d’aider à«nourrir ses frères africains qui crèvent la faim».

Ironie de l’histoire, par l’intermédiaire d’un ancien comptoir esclavagiste naguère spécialisé dans les transactions négrières transatlantiques, aujourd’hui reconverti dans le négoce international, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS impose à Laurent GABAROUM des stages de formation en élevage de lapins, de cochons, de poulets et de canards, notamment aux techniques d’irrigation, de stockage de grains, d’abattage de volailles et de machinisme agricole à Beauvais, Dinard, Vitré, Mont-Marsan, Montpellier, Roanne, Rennes et Sablé puis un départ pour le Cameroun, proche de son Tchad natal alors plongé dans la guerre civile.

 

Après l’échec de la tentative de sa reconversion forcée vers l’agriculture en Afrique noire, le déroulement de carrière de Laurent GABAROUM a été orienté et stationné de force dans une «voie de garage» sous la pression du noyau dur des suprémacistes DRH et leurs acolytes qui n’accepte pas le retour en France de cet homme «étrangement français», à la fois noir, français, immigré et africain. Un mélange identitaire composite dans lequel ces hérauts de «l’inégalité des races humaines» se gaussent et croient déceler une menace pour l’identité française.

 

Une identité nationale racisée et caricaturée, en machine à exclure, qui s’emploie à promouvoir un discours de haine et à congédier l’histoire de France.

 

Après tout, «Les Noirs, on les aime bien mais chez eux»…. en Afrique.

 

Décidément «Y’a bon Banania» dans l’univers raciste et négrophobe du Groupe Renault !

 

Triste époque que celle où comme le disait Albert EINSTEIN, «il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé».

 

Le déni de justice des juridictions françaises

 

Le propre de la justice c’est de dire le droit, rien que le droit. C’est à la fois son but et sa raison d’être. Sans tabou. Les Romains avaient l’habitude de dire «dura lex, sedlex». Traduisez : la loi reste la loi aussi dure soit-elle.

A la vérité, on se demande à quoi servirait un Etat de droit si ce n’est précisément de protéger les plus faibles contre le déni de justice.

 

Le 11 janvier 2005, malgré des éléments de preuve irréfutables versés aux débats établissant matériellement l’existence des pratiques racistes et discriminatoires et démontrant que l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS a menti à la justice au point de se mentir à elle-même, le Conseil de Prud’hommes de Paris, siégeant en départage, a condamné l’Alliance franco-japonaise à payer à Laurent GABAROUM la somme de 120.000 € pour «inexécution loyale du contrat de travail».

Le Conseil de Prud’hommes de Paris a cependant omis de prendre en compte la dimension raciale de la discrimination ayant motivé cette «inexécution loyale».

 

Soulignant à plusieurs reprises le traitement particulier et inexplicable dont Laurent GABAROUM a fait l’objet, le juge départiteur n’a curieusement tiré aucune conséquence de ses propres constatations.

 

Or, mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde parce que mal identifier les maux, c’est contribuer à leur perpétuation.

 

Laurent GABAROUM a interjeté appel dudit jugement et sollicité la réformation intégrale de la décision déférée.

 

Dans son arrêt du 12 septembre 2006, la Cour d’appel de Paris a infirmé le jugement entrepris et a débouté Laurent GABAROUM de sa demande en éludant tous les éléments matériels de preuve pour ne pas entrer en voie de condamnation de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS pour discrimination raciale.

 

Pour étouffer cette embarrassante affaire de discrimination raciale et contraindre le «Français de papier» à renoncer à ses droits d’ester en justice et à s’accommoder du sort qui lui est réservé par l’ordre racial et le déterminisme social, la Cour d’appel de Paris a condamné Laurent GABAROUM à rembourser à l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS les 120.000 €.

 

Compte tenu de la motivation elliptique de l’arrêt du 12 septembre 2006, Laurent GABAROUM a introduit un pourvoi en cassation.

 

Par décision non motivée du 22 septembre 2011, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi sans expliquer les raisons objectives pour lesquelles il n’aurait pas été admis.

 

Face à cette volonté de contraindre Laurent GABAROUM au silence et de dissimuler un racisme d’Etat avec le pourvoi non admis comme leurre, une vérité reste immuable : un rapport de non-admission rédigé sur la base d’éléments de preuve délibérément et sciemment dénaturés par les juridictions internes dans l’unique but d’extraire l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS d’une affaire embarrassante de racisme et de discrimination raciale ne satisfait pas aux conditions d’une justice équitable rendue au nom du peuple français.

 

L’histoire retiendra que, dans un dernier sursaut de lucidité, l’instance au sommet de la pyramide judiciaire française n’a pas su se hisser à la hauteur des idéaux qui fondent la nation française au point de donner raison à Jean de LA FONTAINE pour qui «(…) Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de Cour vous feront blanc ou noir

 

Pour «soigner le nègre pour l’exemple», l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS, spécialiste du «management par le suicide», a mis au placard, Laurent GABAROUM, depuis de nombreuses années, à un poste de travail fictif de «Responsable Sécurité et Conditions de Travail».

 

En l’espèce, le «management par le suicide» a pris le visage de la Direction de l’Etablissement Renault Siège, devenue l’exécuteur testamentaire de la fatwa émise par des suprémacistes DRH, nécessitant de Laurent GABAROUM un signalement au Comité de l’ONU.

 

En effet, c’est un fait incontestable que le complotiste en diable naguère à l’œuvre dans la mise en cause à tort des cadres dirigeants dans une fausse affaire d’espionnage industriel de sinistre mémoire est une créature de la Direction de l’Etablissement Renault Siège aujourd’hui chargée d’organiser, en toute sérénité, le délit d’entrave à la décision du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU (CERD).

 

Le 19 mars 2012, après épuisement des voies de recours internes, Laurent GABAROUM a introduit une requête devant le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU.

 

Le 12 février 2013, estimant que les agissements racistes et comportements discriminatoires, notamment les mesures de rétorsion de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS n’ont jamais cessé, après l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 12 septembre 2006, Laurent GABAROUM a saisi le Conseil de Prud’hommes de Versailles d’une nouvelle demande visant à faire reconnaître la discrimination intersectionnelle dont il est l’objet.

 

Par jugement rendu le 26 janvier 2015, au terme d’une audience d’une partialité pitoyable, contraire aux normes prohibant toute justice de copains et coquins, le Conseil de Prud’hommes de Versailles a violé le droit de Laurent GABAROUM à un procès équitable.

 

Laurent GABAROUM a donc interjeté appel de ce jugement.

 

Le 8 février 2016, à l’occasion de la procédure devant le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU, Laurent GABAROUM découvre que pour fausser la décision de la Cour d’appel de Paris du 12 septembre 2006 et nier avec succès l’absence de toute discrimination raciale, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS a déployé des trésors d’ingéniosité pour abuser de la bonne foi des juges : le blackface, à savoir, noircir par photocopieur, les photos des Cadres blancs qu’elle a présentés à la Cour comme étant des Cadres noirs.

 

Face à cette escroquerie au jugement et, dans la foulée, par exploit d’huissier du 8 mars 2016, Laurent GABAROUM a fait citer l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS à comparaître devant la Cour de céans afin que soit ordonné la rétraction de l’arrêt du 12 septembre 2006 et qu’il soit de nouveau statué en fait et en droit sur ses demandes relatives à la discrimination dont il est l’objet.

 

Le 10 mai 2016, dans sa décision rendue au visa de l’article 14 de la Convention, le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU a conclu que «les faits dont il est saisi font apparaître une violation par l’Etat partie des articles 2 et 6 de la convention».

 

En d’autres termes, pour le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU, les juridictions internes ont gravement manqué à l’obligation déontologique qui leur est faite de respecter et de faire respecter le principe d’équité et d’impartialité dans l’application de la loi relative à la lutte contre la discrimination raciale en France.

 

Par courrier du 18 août 2016, Laurent GABAROUM a exprimé au Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU le principe fondamental concernant le droit à réparation des victimes flagrantes du droit international des droits de l’homme en matière de discrimination raciale.

 

Par courrier en date du 12 septembre 2016, Laurent GABAROUM a communiqué la décision du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU à la Cour d’appel de Versailles et à l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS en leur indiquant que «En application des dispositions de la résolution 60/147 du 16 décembre 2005 de l’Assemblée Générale de l’ONU, la décision du Comité des droits de l’homme de l’ONU confère à Monsieur GABAROUM un droit à réparation pour le préjudice résultant de la violation des articles 2 et 6 de la Convention de l’ONU ce qui rend sans objet la poursuite de la procédure d’appel».

 

De façon similaire, le 29 janvier 2018, Laurent GABAROUM a mis fin au recours en révision qu’il a formé devant la Cour d’appel de Paris à l’encontre de l’arrêt, du 12 septembre 2006, devenu sans objet.

 

Etonnant étonnement, pour transgresser, travestir, pervertir, et maquiller la vérité, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS a multiplié les interprétations spécieuses visant à tordre les faits et à mettre en échec la décision du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU susceptible d’entacher son image et de nuire à sa réputation.

 

Pour tenter de justifier l’injustifiable tout en se réfugiant derrière des arguties juridiques, l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS se met alors à planer au-dessus du droit international des droits de l’homme en matière de discrimination raciale au point de s’autoproclamer juge de la constitutionnalité des lois en France n’hésitant pas à prendre des libertés avec l’article 55C de la Constitution française dans l’unique but d’entretenir et d’installer la confusion dans les esprits.

 

C’est un procédé désormais classique visant à la déstructuration et à la délégitimation de la décision du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU de manière à affaiblir les institutions de l’ONU, notamment d’imposer à Laurent GABAROUM, hors du cadre de l’ONU, des accommodements déraisonnables et des renoncements indolents, synonyme de reniement et d’impuissance.

 

Dans tous les cas, c’est une erreur que d’entretenir l’illusion que Laurent GABAROUM accepterait, en désespoir de cause, un marchandage imposé, en catimini, sous la férule du noyau dur de suprémacistes DRH de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS. Notamment de faire l’impasse sur la décision du Comité de l’ONU au point de se résoudre à exclure toute réparation complète du préjudice subi, en méconnaissance et au mépris des traités internationaux signés et ratifiés par la France.

 

Quoi qu’on en pense, l’attitude indigne de l’Alliance RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI MOTORS dans «l’Affaire GABAROUM» suscite un énorme malaise et participe sûrement à la banalisation du racisme et de la discrimination raciale en France.

 

Pour la leçon de l’histoire et pour que la France ne bafoue pas ses propres idéaux, il nous revient en mémoire le préambule de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme : «La méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, est à proclamer comme la plus haute aspiration de l’homme.»

 

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Pourquoi la guerre ne sert à rien du tout !

12 Mai 2019 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #Droits humains, #Droit de l'homme

Cette histoire est la votre.
Il faut la connaitre. 

ARCHIVES D'AFRIQUE | GUERRE DU BIAFRA 

 

2 millions de morts, 5 millions de déplacés  et plus de 3 millions de réfugiés! Pour rien !

 

Paris, Palais de l'Élysée un matin de 1966, Jacques Foccart sort du bureau du Général de Gaulle, la décision est prise! La France va soutenir le Biafra !

 

En effet, le Général Yakubu Gowon au pouvoir au Nigeria a déclaré  : " oil is for all Nigerians and for all the Nation"!

 

Le Pétrole de la région du Delta va donc échapper aux dignitaires Ibgos qui contrôlent les riches terres et qui traitent avec de grands groupes pétroliers !

 

Emeka Ojukwu, le Gouverneur de la région de l'Est, refuse alors de reconnaître l'autorité de Yakubu Gowon et déclare que tous les revenus du Pétrole de la Région seront réquisitionnés!

 

Les sociétés pétrolières décident de traiter directement avec le Biaffra !

 

Le 30 Mai 1967, Ojukwu proclame l'indépendance de la région, qui prend le nom de "République du Biaffra" avec Enugu pour capitale!

 

Le Biafra est aussitôt reconnu par la Tanzanie, la Zambie, Haiti, le Royaume-Uni, le Gabon et la Cote D'Ivoire.

 

Les Présidents Houphouët et Bongo soutiennent les opérations du Biaffra qui sont coordonnées par l'ambassadeur de France au Gabon, Maurice Delauney avec comme adjoint Jean Mauricheau-Beaupré, basé à Abidjan.

 

La France qui préfère attendre l'évolution des opérations pour reconnaître le Biafra, finance l'opération, fournit des armes via la Côte d'Ivoire et le Gabon; met les mercenaires de Bob Denard et les paras du 1er REP à la disposition de l'armée biafraise de Ojukwu qui compte alors environ 100 000 hommes!

 

Juillet 1967, les forces biafraises attaquent et prennent le contrôle des deux tiers des réserves de Pétrole du Nigeria!

 

Pendant quelques semaines, le Biafra semble avoir le contrôle et prévoient  progresser jusqu'à Lagos .

 

C'était mal connaître le Général Yakubu Gowon qui met en place un État Major tactique composé de : Murtala Mohammed, Benjamin Adekunle, Olusegun Obasanjo, Mohammed Shuwa, Musa Yaradua,Theophilus Danjuna, Ibrahim Haruna,Ipoola Alani,Ted Hamman, Muhamadu Buhari, Ibrahim Babangida, Isaac Boro et Idriss Garba.

 

Yukubu Gowon mobilise 120 000 soldats de la Nigerian Army composés de combattants venus de Zaria, Kano, Maiduguri, Sokoto, Jos, Ibadan, Kaduna et lance des contres offensives !

 

Les soldats du Biafra et les mercenaires de Bob Denard ne tiennent pas devant la puissance de feu des NAF! Les villes de Ogoja, Nsukka et l'île de Bonny tombent dès le 30 Mai 1967!

 

Entre temps, Yakubu Gowon reçoit un important appui de l'Égypte qui lui envoie des avions de chasse Mig 17 et des avions bombardiers Il-28!

 

Le 28 Septembre 1967, les Commandos de la Nigerian Army de Theophilus Danjuna mettent en déroute les paras du 1er REP français et prennent la ville Enugu, la capitale du Biaffra !

 

Voyant le rapport de force, la Grande Bretagne lâche le Biafra et apporte son soutien à Yakubu Gowon !

 

Yakubu Gowon ayant également reçu des appuis de Moscou ordonne à Murtala, Adekunle, Shuwa, Isaac et Idriss Garba de lancer des offensives sur la ville pétrolière stratégique de Port Harcourt qui tombe finalement le 24 Mai 1968

 

Malgré des renforts de Légionnaires français venus de Guyane, du Gabon et de Côte D'Ivoire, les Bataillons de Yaradua, Ipoola et Ted font tomber le QG de Ojukwu situé dans la ville de Umuahia le 22 Avril 1969 !

 

Les commandos de Obasanjo et Buhari prennent le contrôle de Owerri le 9 Janvier 1970!

 

Depuis Enugu, Murtala Mohammed appelle Yakubu Gowon et lui dit : Mister President, it is over ! We are on total control !"

 

Yakubu Gowon a gagné ! Son État Major a repris toutes les villes, tous les aéroports, des ports et de tous les secteurs pétroliers stratégiques !

 

Défait, Emeka Ojukwu se réfugie en Cote D'Ivoire !

 

Le Général de Gaulle est furieux !

Les Présidents Houphouët et Bongo accusent Jacques Foccart de les avoir mis "dans une fausse affaire!"

 

La guerre du Biafra à fait 2 millions de morts, près de 5 millions de déplacés  et plus de 3 millions de réfugiés! Pour rien !

 

Aujourd'hui, le vieux Général Yakubu Gowon vit une retraite paissible.....

 

Aujourd'hui, le Gabon est un partenaire important du Nigeria

 

Aujourd'hui le Nigeria est le 1er client de la Cote D'Ivoire !

 

Aujourd'hui le Nigeria est le 1er partenaire commercial de la France en Afrique Noire !

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PRESS RELEASE OF THE COMMITTEE OF CAMEROONIANS LIVING ABROAD FOR A NATIONAL DIALOGUE

12 Mai 2019 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #SOCIOPOLITIQUE

The leaders of associations and representatives of Cameroonian political and trade union parties in France.

 

The Cameroonian community abroad met in the form of a round table meeting in Paris on May 10, 2019.

Convinced that when blood flows in a country it means that there is no peace. At this moment the blood is flowing in our country.

Convinced that when the prohibitions of democratic expression multiply in a country, it means that democracy is in danger.

That’s why we support the call for dialogue initiated by The Prime Minister Joseph Dion Ngute, an inclusive national dialogue with all parties involved in the ongoing conflict, to promote reconciliation and democracy.

Convinced that only the Dialogue can create a consensus between the Cameroonian people and their leaders in order to put an end to the political and security crisis that is shaking our country and restoring national cohesion.

The leaders of associations and representatives of Cameroonian political and trade union parties in France suggest:

- The convening of an inclusive national dialogue by the President of the Republic;

- That the Head of State orders the prosecution of persons who have not committed blood crimes to NO / SO and those arrested during the demonstrations of January 26, 2019, grant an amnesty to those who are condemned by justice in the context of this socio-political crisis.

- The recognition of the Cameroonian community abroad as the 11th region of Cameroon;

- Recognition of dual nationality;

The leaders of associations and representatives of Cameroonian political and trade union parties in France reject:

- The vandalism of the diplomatic chancelleries of France and Germany;

- Barriers to artists and cultural expression

- Verbal abuses between Cameroonians;

- The rise of tribal and / or regional hatred;

 

- The systematic prohibition of the legal activities of the declared political parties.

 

The leaders of associations and representatives of Cameroonian political and trade union parties in France appeals to the government  and the opposition parties to more responsibilities in the construction of a State of law and fundamental freedoms, pledge of the development of the Cameroonian people while whole who aspires to happiness ''

Paris on May 12, 2019

Committee of Cameroonians Abroad for a National Dialogue (C.C.A.N.D)

 

YOU WANT TO JOIN THE COMMITTEE:

Email:oedc.info@gmail.com

 

VERSION FRANCAISE

La communauté camerounaise de l’extérieur s’est réunie sous la forme d’une table ronde à Paris, le 10 mai 2019.

Convaincue que lorsque le sang coule dans un pays cela veut dire qu’il n’y a pas la paix. En ce moment le sang coule dans notre pays.

Convaincue que lorsque les interdictions de l’expression démocratique se multiplient dans un pays, cela veut dire que la démocratie est en danger.

C’est la raison pour laquelle  nous  soutenons l’appel au dialogue lancé par le premier ministre Joseph Dion  Ngute, un dialogue national inclusif avec toutes  les parties prenantes au conflit, aux fins de favoriser la réconciliation et la démocratie.

Persuadée  que seul le Dialogue peut créer un consensus entre le peuple camerounais et ses gouvernants afin de mettre fin à cette crise politique et sécuritaire qui ébranle notre pays et de restaurer la cohésion nationale.

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux  Camerounais en  France proposent :

- La convocation d’un dialogue national inclusif par le président de la république ;

- Que le chef de l’Etat ordonne l’arrêt des poursuites pour les personnes n’ayant pas commis des crimes de sang au NO/SO et aux personnes interpellées pendant les manifestations du 26 janvier 2019, accorde une amnistie à celles qui sont condamnées par la justice dans le cadre de cette crise sociopolitique.

- La reconnaissance de la communauté camerounaise extérieure comme la 11ième région du Cameroun ;

- La reconnaissance de la double nationalité ;

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux camerounais en France récusent :

- Le vandalisme des chancelleries diplomatiques de France et d’Allemagne ;

- les entraves faites aux artistes et à l’expression culturelle

- la violence verbale entre camerounais ;

- La montée de la haine tribale et/ou régionale ;

 

- L’interdiction systématique des activités légales des partis politiques déclarés.

 

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux du Cameroun  en France lance un appel aux gouvernants et à l'opposition à plus de responsabilités dans la construction d'un État de droit et libertés fondamentales, gage du développement du peuple camerounais tout entier qui aspire au bonheur''.

Fait à Paris le 12 mai 2019

Comité des camerounais de l’extérieur  pour un dialogue national (C.C.E.D.N)

 

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE DU COMITE DES CAMEROUNAIS DE L’EXTÉRIEUR POUR UN DIALOGUE NATIONAL

12 Mai 2019 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire Publié dans #SOCIOPOLITIQUE

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux camerounais en France.

 

La communauté camerounaise de l’extérieur s’est réunie sous la forme d’une table ronde à Paris, le 10 mai 2019.

Convaincue que lorsque le sang coule dans un pays cela veut dire qu’il n’y a pas la paix. En ce moment le sang coule dans notre pays.

Convaincue que lorsque les interdictions de l’expression démocratique se multiplient dans un pays, cela veut dire que la démocratie est en danger.

C’est la raison pour laquelle  nous  soutenons l’appel au dialogue lancé par le premier ministre Joseph Dion  Ngute, un dialogue national inclusif avec toutes  les parties prenantes au conflit, aux fins de favoriser la réconciliation et la démocratie.

Persuadée  que seul le Dialogue peut créer un consensus entre le peuple camerounais et ses gouvernants afin de mettre fin à cette crise politique et sécuritaire qui ébranle notre pays et de restaurer la cohésion nationale.

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux  Camerounais en  France proposent :

- La convocation d’un dialogue national inclusif par le président de la république ;

- Que le chef de l’Etat ordonne l’arrêt des poursuites pour les personnes n’ayant pas commis des crimes de sang au NO/SO et aux personnes interpellées pendant les manifestations du 26 janvier 2019, accorde une amnistie à celles qui sont condamnées par la justice dans le cadre de cette crise sociopolitique.

- La reconnaissance de la communauté camerounaise extérieure comme la 11ième région du Cameroun ;

- La reconnaissance de la double nationalité ;

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux camerounais en France récusent :

- Le vandalisme des chancelleries diplomatiques de France et d’Allemagne ;

- les entraves faites aux artistes et à l’expression culturelle

- la violence verbale entre camerounais ;

- La montée de la haine tribale et/ou régionale ;

 

- L’interdiction systématique des activités légales des partis politiques déclarés.

 

Les responsables d’associations et représentants de partis politiques et syndicaux du Cameroun  en France lance un appel aux gouvernants et à l'opposition à plus de responsabilités dans la construction d'un État de droit et libertés fondamentales, gage du développement du peuple camerounais tout entier qui aspire au bonheur''.

Fait à Paris le 12 mai 2019

 

Comité des camerounais de l’extérieur  pour un dialogue national (C.C.E.D.N)

 

Vous voulez rejoindre le COMITÉ:                                   Contact: oedc.info@gmail.com

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