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Si Simone Gbagbo est transféré au CPI, les ivoiriens et Africains doivent comprendre que les manifestations pacifiques ne seront jamais suffisantes pour libérer la Cote d'Ivoire de l’esclavage.

22 Novembre 2012 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Si Simone Gbagbo est transféré au CPI, les ivoiriens et Africains doivent comprendre que les manifestations pacifiques ne seront jamais suffisantes pour libérer  la Cote d'Ivoire de l’esclavage.

 Simone 1

 

LA CPI EMET UN MANDAT D'ARRET A L'ENCONTRE DE LA PREMIERE DAME SIMONE GBAGBO. 
VOICI LE COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CPI : 
Aujourd’hui, le 22 novembre 2012, la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a levé les scellés sur un mandat d’arrêt émis à l’encontre de Simone Gbagbo pour quatre chefs de crimes contre l’humanité.

Selon le mandat d’arrêt, initialement délivré sous scellés le 29 février 2012, Mme Gbagbo serait pénalement responsable, au sens de l’article 25-3-a du Statut de Rome, de crimes contre l’humanité ayant pris la forme de meurtres, de viols et d’autres formes de violences sexuelles, d’autres actes inhumains et d’actes de persécution, commis sur le territoire de la Côte d’Ivoire entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011.

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La Côte d’Ivoire, qui n’est pas partie au Statut de Rome – le traité fondateur de la Cour, avait, le 18 avril 2003, déclaré accepter la compétence de la Cour. La présidence de la République de Côte d’Ivoire a confirmé cette acceptation les 14 décembre 2010 et le 3 mai 2011. Le 3 octobre 2011, la Chambre préliminaire III a autorisé le Procureur à ouvrir une enquête proprio motu pour les crimes présumés relevant de la compétence de la Cour, qui auraient été commis en Côte d’Ivoire depuis le 28 novembre 2010, ainsi que sur les crimes qui pourraient être commis dans le futur dans le contexte de cette situation. Le 22 février 2012, la Chambre préliminaire III a décidé d’élargir son autorisation d’enquêter sur la situation en Côte d’Ivoire pour inclure les crimes relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis entre le 19 septembre 2002 et le 28 novembre 2010.

Par M. Jobi

 

 

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