Le Zimbabwe veut Nationaliser les banques et entreprises.
Président robert Mugabe, Héro National et Africain de l'independance.
Le président du Zimbabwe
a menacé de nationaliser toutes les entreprises étrangères, en représailles aux sanctions économiques qu’impose la nébuleuse communauté Internationale a son pays a cause de la reforme agraire
qu’il a réaliser depuis 5 ans (Rappel : 2% de blanc étaient propriétaires de 80% des terres que leurs ancêtres ont pris par la force a leur arrivée en Zimbabwe il plus de 100
ans).
Le président Robert Mugabe a mentionné en particulier le mercredi des banques et entreprises sous contrôle britannique,
en disant les intérêts britanniques contrôlent 400 entreprises dans l'ancienne colonie britannique et que cela doit cesser. Car toutes ses entreprises ont collaborer avec le système d’esclavage
de l’apartheid de Yan Smith et elle doivent payer.
"Il est temps maintenant d'agir et de commencer à regarder ces sociétés,
nous devons les prendre en charge," Mugabe lors d'un rassemblement au début d'une campagne pour recueillir deux millions de signatures pour une pétition nationale pour reprendre les entreprises.
Il a accusé les banques Barclays et Standard Chartered de prendre de l'argent de l'économie du Zimbabwe et de l'utiliser pour
soutenir la déstabilisation du pays et cela est inacceptable. Ce genre de chose ne doit pas être toléré. La dignité avant tout
Il a dit que les entreprises britanniques et d'autres intérêts européens et américains ont également pris des profits sur l'exploitation
minière et d'autres entreprises. «Nous disons non à cela," a dit M. Mugabe.
Il a également exigé des dirigeants d'entreprises appartenant à la nébuleuse internationale de dénoncer la déstabilisation du pays concrètement.
Les camions et les autobus transportant les supporters de Mugabe sont arrivés mercredi matin à un champ ouvert à l'orée du centre-ville.
Les partisans scandaient des slogans et vive Mugabe marque serrées-poing salué.
L'ancien parti d'opposition du Premier
ministre Morgan Tsvangirai, dans une coalition fragile avec Mugabe, a boycotté la rencontre.
Dans un communiqué, le Mouvement
de Tsvangirai pour le changement démocratique soutenu par la Nébuleuse comme Alassane Ouattara a déclaré que les mesures contre Mugabe et son parti ZANU-PF ont donnes lieu aux difficultés dans le
pays et c’est inacceptable. En ajoutant qu’on ne doit pas affamer un peuple sous prétexte que l’on ne veut pas son président, c’est un crime contre l’humanité.
Le communiqué indique que Tsvangirai a pris ses distances de la "impopulaire et assoiffé de sang» de son parti.
Mugabe insiste, les sanctions occidentales ont détruit l'économie du Zimbabwe il est bien vraie, mais n’entamerons pas le moral et la
dignité des Zimbabwéens. Ce qui pensent qu’il faut redonner les terres aux blancs, peut-être oui, mais en Europe, pas au Zimbabwe a déclaré un représentant de la jeunesse du parti.
"Bien que certains progrès ont été réalisés au Zimbabwe, en particulier sur la stabilisation économique,
depuis la signature de l'accord de partage du pouvoir, la nébuleuse persiste et on voit très bien que ce n’est le peuple noir de Zimbabwe qui est important mais son exploitation comme
à l’époque de l’Apartheid.
Les entreprises ont fermé leurs portes à travers Harare que quelque 20.000 partisans de Mugabe ont convergé sur le rallye mercredi. De nombreux partisans ont été vus quittant la
réunion au cours de Mugabe toucher par le discours de 80 minutes sur la domination blanche dans l'histoire de la nation de l'ère coloniale et l'opposition de l'Ouest au progrès du peuple
Noir.
«Les sanctions sont une agression raciste visant le peuple africain. Les sanctions sont une violation flagrante des
droits de l'homme. Les sanctions sont une attaque contre tous les Zimbabwéens, ils ne sont pas personnalisées ou ciblées. "
SM. Mbombog
Ntohol