La légion panafricaine pour la Côte d’Ivoire et de l’Afrique
Un example de recrutement pour aller combattre en Côte d'ivoire
La tentative de coup d’état électorale en Côte d’Ivoire est–elle une chance pour l’Afrique? car selon un journal Panafricain de Londres une légion Africaine est en plein recrutement dans tous les pays d’Afrique avec ou sans le consentement des états pour une éventuelle défense de la Côte d’Ivoire en cas d’attaque par la Communauté internationale occidentale avec le soutien de ses agents locaux Africains.
A dire que les populations Africaines sont entrain de se muer en peuple Africain. Selon d’autres sources également, un bateau de guerre Sud –Africain croiserait au large de la Côte d’ivoire Lire.
« A quelque chose malheur est bon »
Conflit postélectoral en Côte d’ivoire
La légion panafricaine[i] s’engage pour le respect de la souveraineté de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique.
Au moment où les experts de l’union africaine entament leur mission de dernière chance de dialogue à Abidjan, un premier contingent de plus de 2000 volontaires venus de tous les continents et appartenant à la légion panafricaine s’est discrètement positionné à différents endroits stratégiques du pays , prêt à épauler les forces loyalistes si les marionnettes de l’occident (l’ECOMOG) mettaient leur menace à exécution.
Le mouvement panafricaniste pour la libération totale de l’Afrique a indiqué qu’il a enregistré plus de 6000 demandes d’enrôlement volontaires depuis la menace d’intervention de la CEDEAO et les demandes continuent d’affluer de partout.
Un point important mérite d’être souligné, de nombreux soldats et professionnels des armées se sont inscrites à titre individuel avec des identités d’emprunt afin de ne pas s’exposer aux sanctions de leur hiérarchie dans leur pays respectifs mais se disent prêts à payer le prix pour la cause.
Affaire à suivre.
T. Smith (Panafrika News)
L'article est de la responsabilité de son auteur
[i] La légion panafricaine est une idée de force panafricaine développée pour la première fois par Marcus GARVEY.