Cameroun : Quel rôle les colonialistes Américains et français ont-ils joué dans la convocation tardive du corps électoral ?
Paul Biya
président du Cameroun depuis 1982
Barack Obama Président des Etats-unis d'Amerique depuis 2008.
Nicolas Sarkozy a expliqué à Barack Obama qu’il y a risque d’un chaos au coût humain et matériel incalculable si Paul Biya était enlevé du pouvoir par la force en 2011, alors qu’il n’y a personne d’acceptable pour le remplacer. Ils ont conclu que Biya restera au pouvoir pour deux ans au maximum, et passera le pouvoir à quelqu’un d’autre… un Nordiste ?
Nous révélons également ici une bagarre entre Frank et Chantal, que les services secrets de Paul Biya avaient étouffée… ainsi que le sort que Paul Biya réserva, sous le coup d’une jalousie injustifiée, aux anciens amants de Chantal Vigouroux au Cameroun.
BALTIMORE 09/28/2011 – Ceux qui rêvaient du spectacle des hélicoptères Puma détruisant la garde présidentielle et l’infrastructure militaire, suivi du regard hagard devant les cameras d’un Paul Biya arrêté par les forces armées américaines et/ou françaises, vont devoir se mordre les doigts… pour un temps seulement on l’espère.
Tout porte en effet à croire que Paul Biya ne quittera pas le pouvoir en 2011, parce que Nicolas Sarkozy, le véritable dirigeant du Cameroun, en a décidé autrement.
Selon une source proche du Département d’Etat qui requiert l’anonymat, la position de Barack Obama était ferme au sujet du Cameroun, conforme à celle de Hillary Clinton, à savoir que Paul Biya ne devait pas briguer un autre mandat en 2011 parce qu’il doit quitter le pouvoir après 29 ans de règne.
Si besoin se faisait sentir, Barack était prêt à engager l’infrastructure armée américaine pour enlever Paul Biya du pouvoir par la force, au cas où ce dernier s’obstinait à défier les appels du Département d’Etat et de la Maison Blanche de partir du pouvoir, mais aussi au cas où la France hésitait à le faire.
Malheureusement, pendant la semaine du 28 août au 3 septembre 2011, Sarkozy a pu changer la position du Président noir américain.
Après quelques entretiens entre le parrain gaulois Sarkozy et son métayer du territoire français du Cameroun Paul Biya, les deux ennemis du Peuple camerounais sont tombés d’accord sur une proposition qui devait calmer Barack Obama. La proposition était en deux points.
Nicolas Sarkozy a expliqué à Barack Obama qu’il y a un risque d’un chaos au coût humain et matériel incalculable si Paul Biya était enlevé du pouvoir par la force en 2011 alors qu’il n’y a personne d’acceptable pour le remplacer.
Sarkozy a donc proposé que Paul Biya reste au pouvoir au-delà de 2011. Même si pour cela il utilisera les fraudes électorales, la France et les Etats-Unis devront fermer les yeux.
La seule condition, c’est que Paul Biya ne passera pas plus de deux ans au pouvoir. Car à l’échéance de fin 2013, il devra passer le pouvoir à quelqu’un d’autre.
Ce quelqu’un d’autre aura pour mission d’organiser de nouvelles élections présidentielles dans une atmosphère plus calme… et de les gagner.
Sarkozy a plaidé auprès de Barack Obama pour que ce successeur de Paul Biya soit son fils Frank Biya. Obama aurait rejeté sèchement cette proposition.
Nous n’avons pas les différentes raisons que Sarkozy a avancées pour soutenir une telle solution de succession de père en fils.
Mais il nous semble que la stratégie de Sarkozy-Biya était de jeter ce nom de Frank Biya à Obama comme un appât, afin qu’il dise non, mais qu’il accorde ensuite en guise de concession l’essentiel de la proposition de 2 ans maximum.
En effet, il savent que Frank Biya avait déjà rejeté par le passé les offres du pouvoir par son père, après avoir suivi pendant un temps la formation nécessaire. A cet effet, tout en rejetant la proposition de la place de président de la république du Cameroun, Frank Biya était même allé jusqu’à conseiller à son père de laisser tomber cette affaire de pouvoir et de prendre tranquillement sa retraite.
Etait-ce à cause des conflits entre lui et Chantal Biya que Frank exprimait un tel refus (lire le médaillon ci-dessus sur ce conflit) ou alors parce qu’il est tout simplement humble dans ses ambitions et trouve suffisante l’immense fortune qu’il amasse personnellement dans l’exploitation du bois camerounais et dans d’autres marchés d’Etat juteux ?
En fin de semaine du 3 septembre, Barack Obama a enfin donné son accord de deux ans supplémentaires de Paul Biya au pouvoir.
C’est le retard de la décision d’Obama qui explique que Paul Biya ait signé tardivement le décret de convocation du corps électoral le 4 septembre dernier.
Une analyse de ce deal présente tout de suite un couac important. Que deviendrait le deal si Barack Obama n’était pas réélu en 2012 ? La même question se posera avec la réélection ou pas de Nicolas Sarkozy.
La seule conclusion qu’on doit retenir c’est que Nicolas Sarkozy s’est opposé au départ de Paul Biya du pouvoir, un départ qu’ont pourtant demandé différents ambassadeurs des Etats-Unis au Cameroun, le Département d’Etat ayant suivi les avis de ces derniers dans les déclarations très peu diplomatiques de Hillary Clinton en mai dernier.
Deux ans de plus pour Paul Biya, afin que ce serviteur fidèle des intérêts français quitte plus tranquillement le pouvoir. Une période qui donnera à la France de Nicolas Sarkozy ou de tout successeur l’opportunité de remettre le pouvoir entre les mains d’un fidèle nordiste.
Pourvu la hiérarchie militaire sudiste accepte aussi le deal…
La bagarre qui opposa Frank Biya et Chantal Biya le jour du mariage
Une source de la présidence de la république du Cameroun vient de nous conter une scène de bagarre, que le protocole et les services secrets de Paul Biya avaient tout fait pour étouffer et effacer.
Les faits s’étaient passés le jour du mariage de Frank Biya (avec Laure Terry) au second palais présidentiel de Mvomeka’a. La date du mariage ne nous a pas été donnée et l’entretien ne nous a pas laissé la possibilité de revenir facilement à cette source avec de nouvelles questions.
Quelqu’un avait informé Chantal Biya que, parmi les invités, il y’avait une ancienne copine de Paul Biya. Elle avait alors interdit tout accès au palais à cette femme qui reste une grande amie de Frank Biya.
Pendant que Paul Biya est déjà installé sur la table d’honneur, attendant les mariés, un informateur vient souffler à l’oreille de Chantal une scène se déroulant dehors où le protocole a stoppé la femme et le ton est entrain de s’élever.
Frank Biya essaie de convaincre le protocole, composé des éléments de la garde présidentielle, mais rien n’y fait.
Frank est très en colère et peste à tout bout de champs. Il rentre à l’intérieur afin de s’enquérir des raisons du l’expulsion de son invitée. Quand il rentre vers l’entrée, il ne sait pas que, derrière lui, Chantal Biya vient, toute aussi énervée.
Quand Frank demande encore une fois au protocole de laisser entrer son invitée, il constate seulement que tous les éléments du protocole ne bougent pas, et sont au garde-à-vous.
En se retournant, il se trouve nez à nez avec Chantal Biya, qui lui tonne sur la figure qu’elle ne veut pas voir cette femme dans son palais.
Frank Biya, tout aussi énervé, lui répond que c’est son mariage et il a le droit d’inviter qui il veut.
Sur ce, Chantal Biya pousse Frank Biya, qui titube. Frank revient et la pousse et elle tombe presque. En même temps tous les deux s’engueulent sauvagement, le protocole ne sachant pas qui de ces deux hautes personnalités ils peuvent oser arrêter pour les séparer.
A un moment, Chantal arme et inflige à Frank une bonne gifle.
Frank se courbe, avale le sang de la souffrance, se redresse et décoche une puissante gifle sur Chantal, qui titube et va s’écrouler.
Elle est relevée par le protocole, qui ceinture aussitôt les lieux.
Tous ceux qui se trouvaient à l’endroit ou avaient vu la bagarre sont immédiatement encerclés. Les éléments de la garde républicaine fouillent chaque invité pour retirer tous les appareils d’enregistrement, les téléphones cellulaires et autres caméras qu’ils trouvent et confisquent ou détruisent.
C’est de la sorte que le protocole de Paul Biya a pu effacer toute trace de cette ridicule bagarre entre individus mal élevés de la famille présidentielle.
Sorciers qu’ils sont dans la famille de Paul Biya, est-ce pour cet incident de mauvais augure, que Frank Biya a divorcé de Laure Terry quelques mois seulement plus tard, pour se marier à la femme de son cousin et ami Mvondo Assam Bonivan ? (voir articles ci-dessous).
Il est assez surprenant que Chantal Vigouroux Biya soit jalouse à ce point de son vieillard de mari. A moins que sa jalousie soit tout simplement une vengeance contre la violente jalousie que Paul Biya avait démontré depuis 1994 qu’il avait « pointé » cette fille de joie lors du mariage de son neveu Mvondo Assam Bonivan.
En effet, en même temps que contre l’auteur de ces lignes, qui avait publié en exclusivité la nouvelle relation amoureuse du « veuf », avec les commentaires caustiques nécessaires sur la légèreté de vie de Chantal Vigouroux, Paul Biya demanda aux milices auto-défense de me tuer, ce que les leaders de ces milices n’avaient pas fait, avant de demander ensuite que nous soyons arrêté et jeté en prison par deux fois, Paul Biya avait jeté les chiens de ses services de renseignements et de sa garde présidentielle dans les trousses des multiples anciens amants de Chantal au Cameroun.
C’est ainsi que le métisse qui gérait l’affaire « Moto George » de Yaoundé fut arrêté, torturé à la « balançoire » par les éléments de la garde présidentielle. Les pieds suspendus en l’air et battu à la machette, il criait comme un animal dans l’abattoir. C’est seulement quand il accepta de déclarer qu’il ne connaissait pas la nudité de Chantal que Moto George fut relâché.
Le père des jumeaux de Chantal Vigouroux, un libanais qui avait des propriétés à Kribi et ailleurs au Cameroun, avait connu un sort différent, mais semblable à tout point à celui réservé aujourd’hui par le même Biya aux prisonniers de l’« épervier ». Il fut tout simplement accusé de trafic des organes humains et poussé à quitter le pays.
Un autre amant de Chantal Vigouroux ne connut pas de tels tourments, parce qu’il était un français et attaché de l’ambassade de France à Yaoundé… Paul Biya ne pouvait pas oser le toucher. Il fut réaffecté.
Beaucoup d’anciennes relations de Chantal Biya raconteront un jour ce que Paul Biya leur avait fait souffrir… tout cela juste par une jalousie non justifiée.
Le fils du chef de l’Etat camerounais s’est marié vendredi aux Seychelles
Le discret fils aîné du président de la République, Franck Emmanuel Olivier Biya s’est marié vendredi dernier aux îles Seychelles, dans l’Océan indien. De sources bien informées, qui se sont abstenues de donner le nom de l’heureuse élue, précisent néanmoins qu’il s’agit d’une jeune camerounaise originaire d’Ebolowa, dans la région du Sud dont Franck Biya est également originaire.
Selon les mêmes sources, le mariage s’est déroulé, sans la publication des bans, comme le permet la législation de ce pays. Et pourtant, il y a quelques mois, Franck avait été aperçu maintes fois en très bonne compagnie avec l’une des filles du libano-camerounais Hadjal Massad.
Le fils de Paul Barthelemy Biya bi Mvondo et de Zanguena Pauline épouse Temgoua avait eu un précédent mariage avec Laure Terry. Toujours est-il que personne ne veut ébruiter la nouvelle du mariage de Franck Biya.
Scandale autour du nouveau mariage de Franck BIYA.
Après un précédent mariage avec Laure Terry, le fils aîné du président de la République du Cameroun,
Franck Emmanuel Olivier BIYA s’est marié vendredi 27 novembre 2009 aux îles Seychelles, dans l’Océan indien. Le mariage s’est déroulé, sans la publication des bans, comme le permet la législation
de ce pays, certainement parce que Frank ne voulait pas de bruits autour de ce qui allait s’avérer être un vrai scandale pour le fils aîné du Président de la République du Cameroun. En effet, de
sources bien informées, l’heureuse élue n’est rien d’autre que sa propre belle-sœur, Virginie Baroux, épouse Mvondo Assam, l’ex-femme de son frère Bonivan.
L’on se demande pourquoi le fils du Président Camerounais, qui fait de belles rencontres au quotidien, a choisi de se remarier avec une femme qui a passé des années dans sa propre famille en
qualité d’épouse. Comment se fait-il que Franck BIYA n’ait vu que celle-là, l’ancienne amie de sa première femme Laure Terry.
L’histoire remonte à très loin. En effet, la mère de Virginie Baroux, Témoin de Jéhovah tout comme sa fille, a très tôt préparé le terrain pour permettre à sa fille d’atteindre le cœur et la
maison de Franck BIYA. La redoutable mère de la nouvelle épouse de Franck, originaire d’Ebolowa, exerce quantités de petits métiers mais surtout celui de grande marabouteuse. Elle serait
d’ailleurs directement impliquée dans de faits assez graves :
- dans un premier temps, la nouvelle belle-mère de Franck BIYA serait impliquée dans le décès de
la première épouse de Bonivan. Cela a facilité le mariage de sa fille avec ce dernier, abandonnant par la même occasion le fiancé indien qui avait pourtant déjà versé l’intégralité de la dot avec
un terrain à Kribi. L’on se souvient d’ailleurs que cet indien avait curieusement été accusé par la suite de trafic d’organes humains ;
- dans un second temps, la redoutable sorcière, témoin de Jéhovah, serait impliquée dans l’échec
du premier mariage de Franck. L’on sait d’ailleurs que la première femme de Franck, Laure Terry, n’a pas supporté les multiples infidélités de son mari avec la femme de Bonivan, parfois sous ses
yeux.
Lorsque Bonivan décida de répudier cette femme pour infidélité, c’était sans compter qu’il ouvrait grandement la porte à Franck BIYA pour vivre au quotidien la tendresse illégitime. Au moment de
son divorce, Bonivan n’avait pas intégralement payé le prix de l’appartement sis Avenue FOCH (Paris)
; Franck s’est empressé de payer le montant restant afin que sa nouvelle compagne reste en sécurité dans l’un des quartiers les plus chics de Paris.
La question qui se pose est celle de savoir pourquoi, avec toutes les femmes qu’il rencontre au quotidien, Franck BIYA a choisi de se marier avec la femme répudiée de Bonivan. C’est vrai que l’on
peut trouver du bonheur au sein de la famille. Mais le fils du Président camerounais doit être un modèle pour la jeunesse qui peut, à un moment donné, le prendre pour repère.
Le problème est tout autre : Franck BIYA aime violer les interdits (prendre par exemple la femme de son frère ou
de ses amis) ; il n’a pas de retenue pour ses concitoyens (il coupe par exemple le bois camerounais
comme un pilleur); il aime l’extravagance ; Franck adore montrer qu’il est au-dessus, très au dessus des autres.
Pourtant, le premier fis de Paul BIYA vit entièrement aux frais du contribuable camerounais (frais d’entretien
de la villa du lac, de l’appartement sis avenue Foch et de la villa de Monaco ; ce sont les militaires camerounais qui gardent la villa sise à Monaco ainsi que l’appartement de l’avenue
Foch). Récemment, il s’est illustré auprès de son père Président en lui offrant une Bentley pour ses 70 ans.
On doit quand même se demander comment va se comporter aujourd’hui l’ex épouse de Bonivan nouvellement femme de Franck BIYA vis-à-vis de Chantal BIYA, la première dame du Cameroun. En tant que
femme de Bonivan elle disait pires énormités sur la première dame du Cameroun. On espère qu’elle a changé de point de vue depuis qu’elle va en croisière de luxe sur les bateaux et voyage à la
baule et aux states. Elle est obligée de changer pour assurer sa survie au sein de la famille présidentielle.
Selon nos sources, furieux par l’annonce de ce « mariage à problèmes », le Président BIYA n’aurait
pas encore reçu le nouveau couple. Son entourage le dissuaderait d’ailleurs de le faire dans le contexte actuel de la préparation de sa réélection.
Le Président camerounais a tout à fait raison. Un commentaire publié sur internet au sujet de ce mariage illustre parfaitement cette gêne du Président de la République : « on s’en tape de tout ce tapage c’est SALE pour le fils d’un président, c’est SALE pour nos coutumes, on ne touche pas à la femme de
son frère surtout si ce dernier l’a répudié. Il faut savoir tenir son rang lorsque l’on est fils de grand, pour qui les connaissent tout ce tapage ne leur dit rien car totalement amoraux et ne
connaissant ni la honte, ni la gêne d’une telle situation. La belle-famille s’en vante et joue les grands dans le quartier de douala. Franck tu as bafoué l’honneur de ta famille, de notre Chef
ton père et de maman Chantal en allant te marier avec cette gourgandine, on prie pour le Cameroun et tes enfants ».
En définitive, on ne peut pas vraiment pas dire que Franck BIYA ait tiré quelle que leçon de son précédent mariage ou pleuré longtemps sur son récent divorce. C’est comme si rien ne s’était
passé. Alors, de deux chose l’une : ou c’est la peur de la solitude, ou c’est un manque véritable de maturité et de clairvoyance. « C’est trop tôt pour quelqu’un qui aurait eu le cœur brisé et
c’est un peu simpliste de prendre la première venue » Des questions se posent : est-ce un mariage arrangé ? Est-ce un coup de foudre ? Était-ce le premier choix d’avant l’heure ?
Ce deuxième mariage de Franck BIYA jette la honte sur le Président de la République et sur tous les camerounais. Epouser la femme répudiée de son frère n’es pas de la tradition de nos
ancêtres.
Franck BIYA a montré, par cet acte posé aux Seychelles, qu’il n’est définitivement plus avec les Camerounais. Et c’est dommage car la jeunesse aurait pu faire appel à lui dans bien de
circonstances.
Décidément, “Le
Cameroun c’est le Cameroun”.
© L. P. K. AMOUGOU, Yaoundé
Camerpress / Dimanche 29 novembre 2009
Ndzana Seme