Cameroun : L’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite selon le journal L’anecdote.
Cameroun : L’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite selon le journal L’anecdote.
Pratiques d’homosexualité : Les « hommes-femmes » de Marafa
On s’étonnerait de l’enracinement de la satanique tendance au Cameroun, si on néglige le travail de sape abattu par l’ex Sg/pr et Minatd qui fait de manière éhontée un buzz politique actuellement
du fond de son cachot.
Les hommes « femmes » du fils de Bibémi, à Garoua, ou les adeptes des pratiques d’homosexualité ont désormais envahi toutes les sphères de la République. Ils sont ministres, Dg de sociétés
étatiques ou privées, encore en poste ou non, préfets ou encore élus municipaux. La gent féminine quadrille également le terrain dans cette odieuse pratique des relations sexuelles entre
personnes de même sexe. Marafa Hamidou Yaya s’est même permis l’autre jour de se mettre nu devant Pascal Magnaguemabe, un mâle comme lui, par ailleurs juge d’instruction, au Sed. Comme promis à
nos nombreux lecteurs, voyage au cœur de la Maraf’anustocratie », acte 1
Jean Emmanuel Pondi, un derrière intelligent !
Derrière les lunettes d’intellectuel chevronné, statut qui peut d’ailleurs se vérifier de par le monde, ses publications et son bagage académique sortant de l’ordinaire, des sources disent Jean
Emmanuel Pondi au sommet des strates des pratiques d’homosexualité. L’agrégé de Droit, de spécialité internationaliste semble également avoir obtenu l’agrégation en sodomie, au regard de
l’entrain avec lequel le fils de Paul Pondi se donne dans ces pratiques que la culture et la société africaine réfutent. Le secrétaire général de l’Université de Yaoundé I (mon Dieu, une
institution chargée de former le fer de lance de la nation !), comme l’anustocrate Sade, homosexuel et débridé moral inqualifiable, des sources, apprécierait d’être sauvagement sodomisé. Des
langues avouent que, pour ceux des étudiants qui aimeraient pousser un peu plus loin leurs études supérieures, dans le domaine de compétence du Pr Emmanuel Pondi, la condition est incontournable
: offrir son arrière train au Professeur. C’est ainsi que la loi de « l’offre de l’anus » remplacerait celle du mérite. A la volonté de Paul Biya de laisser une République irréprochable, Jean
Emmanuel Pondi et les autres opposent la République du « tout pourri ».
Sibama Bichock, un homme de main à la préfectorale
L’autorité administrative en chef du département de la Mefou-et-Afamba a désormais la santé approximative. Si l’âge avancé de Sibama Bichock pourrait expliquer en partie cet état de choses, des
confidences lâchent que ce serait son entrain aux pratiques d’homosexualité, comme son mentor Marafa Hamidou Yaya, qui a considérablement amorti M. le Préfet. Lui dont des sources qualifient la
promotion de « canapé » à ce niveau de l’administration territoriale. Sibama Bichock ferait partie du cercle des hommes « femmes » de l’ex Minatd sur qui le peuhl comptait énormément dans son
ambition présidentielle. On se souvient, qu’il y a des mois, une histoire de cargaison d’armes du côté de Mfou avait ébranlé l’opinion publique dans cette unité administrative et politique. Des
informations font état de ce que le préfet de la Mefou-et Afamba était chargé de sécuriser les armes de son mentor Marafa. Pour quelles fins ? Nous ne tarderons pas à vous le révéler. A Mfou, les
populations ne savent plus à quel saint se vouer. Tant la zizanie que sème M. le préfet, son 1er adjoint…, le commandant de compagnie de gendarmerie de Mfou, Voundi et bien d’autres cadres de
l’administration départementale n’a plus son pareil.
Yaou Aïssatou, condition féminine !
Où va la gent féminine, socle de toute société ? Yaou Aïssatou, actuel Directeur général de la Société nationale des investissements (Sni), la toute première à conduire un ministère destiné à la
condition de la femme au Cameroun aurait certainement du mal à répondre à cette préoccupation. Elle qui, malgré son âge suffisamment avancé continue à s’adonner de manière soutenue à des
relations sexuelles avec ses semblables de même sexe. La présidente du bureau national de l’Ofrdpc n’a jamais caché ses accointances avec Marafa Hamidou Yaya, accusé d’un dérèglement
d’imagination sur les mœurs inqualifiables, originaire du département de la Benoué comme elle. Des informations laissent entendre que pour les femmes avides de promotions au sein de
l’administration publique ou au Rdpc, mieux vaut se faire entretenir sexuellement par dame Yaou Aïssatou…….
Ousmanou Moussa, l’électrificateur satanique
C’est par les réseaux de l’ex toute puissante ministre de l’Education de base, Haman Adama que Ousmanou Moussa avait commencé à se frayer les chemins de la haute administration. Avant que ses
préférences sexuelles inhumaines et hors normes ne le conduisent vers Marafa Hamidou, le débauché sexuel et ennemi de l’ex dame imposante de Garoua, actuellement à la prison centrale de
Kondengui. Ce dernier actionnera pour qu’Ousmanou Moussa soit bombardé à la direction générale de l’Agence d’électrification rurale (Aer). Depuis lors, le grand amour entre le chantre des
pratiques d’homosexualité et cette autre conquête battait son plein. Du côté de l’Aer, des recoupements confient que depuis l’arrestation de Marafa Hamidou, l’ambiance est berne dans la
structure. Certains disent même que le cœur et l’arrière-train du Dg de l’institution ne vibreraient plus à la même cadence.
Jean Jacques Ndoudoumou, le «blanc» au goût débridé
Jean Jacques Ndoudoumou, Dg de l’Armp est le major de tous les administrateurs civils que l’Ecole nationale d’administration et de magistrature-Enam- (il aurait eu une moyenne de 18/20 à la
sortie) a jusque là formés. Performance exceptionnelle ! Mais, le blanc de Zoetélé comme aime se faire appeler Jean Jacques Ndoudoumou semble avoir confié son âme au diable. Des informations
faisant état de ce que cet homme serait un homosexuel patenté. La solidarité étant le maître mot dans le monde des homosexuels, J.J Ndoudoumou confierait au sujet de l’arrestation de Marafa
Hamidou Yaya, à ses proches que « ce n’est pas bien ce que Paul Biya est en train de faire ». Des proches du Directeur général de l’Agence de régulation des marchés publics laissent échapper que
J. J préférait tellement les relations intenses avec ses semblables de même sexe et non protégées qu’il aurait contacté la maladie des quatre lettres qui bat son plein de par le monde. Pour
calmer la plupart de ses pseudos copines à qui il aurait selon eux transmis la maladie du siècle, l’homme les bombarderait à coup de millions de fcfa. Certaines d’entre elles se sont lancées dans
l’import-export entre Dubaï et Yaoundé. On se souvient que récemment, les jeunes de Zoetélé qui sont également ses sujets et ses fidèles en ses qualités d’autorité traditionnelle et d’homme
d’église s’étaient vus obliger de barrer la route au cortège présidentiel. Pour transmettre à Paul Biya un mémorandum appelant au limogeage immédiat de J.J N. sous le motif que le blanc de
Zoetélé ne s’occupe des problèmes ni de la jeunesse ni même des autres. De ce côté, le Dg de l’Armp est réputé pingre. Une attitude liée à son statut d’homosexuel, lance-t-on. Le chef de l’Etat
semble prêter une oreille attentive à cette doléance de ces jeunes. Le Contrôle supérieur de l’Etat fouille désormais avec minutie la gestion du Dg de l’Armp que certains qualifient d’alambiquée.
On lâche aussi que l’homme à l’absence de mélanine sur la peau, dans ses habitudes d’agression des fonds publics fait dorénavant partie du club très fermé des camerounais très riches.
Christian Penda Ekoka, l’autre « anustocrate »
Dans la « Maraf’anustocratie », des sources martèlent que Christian Penda Ekoka, originaire de la région du Littoral, conseiller au cabinet civil de la présidence de la République, institution
dans laquelle il a la tâche d’enraciner les pratiques d’homosexualité, cadre du groupement dont la logique est le « pouvoir de l’anus par l’anus et pour l’anus » dirigée par l’ex Sg/prc et
Minatd. A la présidence de la République, des sources disent que c’est avec appétit que le « Douala » comme Penda Ekoka aime se faire appeler, qu’il observe l’arrière-train des nouveaux arrivants
à la présidence. Tellement plongé dans la pratique des mœurs débridées, Penda Ekoka ne cacherait plus son statut de gay. Des langues ont vu, à l’époque où Marafa Hamidou Yaya était encore
ministre d’Etat, Minatd des relations très étroites entre les deux hommes.
Koah Songo, honorable déshonoré !
Sa première épouse n’aurait pas pu supporter la situation à la suite de la découverte que son époux serait un adepte des pratiques. Madame Koah Songo, élu Rdpc Lekié-Sud à l’Assemblée nationale
était pourtant une femme en tenue, souvent réputée avoir un moral d’acier pour supporter les situations compliquées. Des informations, l’honorable a des stratégies bien huilées pour se taper des
jeunes garçons. Quand il n’est pas lui-même « sodomisé » par Marafa et d’autres débridés de mœurs, le représentant du peuple surfe royalement sur le problème de chômage qui hante la plupart des
jeunes. Si un jeune garçon de sa circonscription politique voudrait entrer à l’Ecole nationale supérieure de police (Ensp) ou à l’Ecole nationale supérieure (Ens) ou bien l’Enam, Koah Songo exige
l’arrière train. Bon nombre ont à ce jour rempli la condition et ont pu accéder à ces institutions et donc directement à la fonction publique par le biais des connections maffieuses avec les
dirigeants de ces structures. Multimillionnaire, l’honorable gaverait de billets tous les jeunes garçons qu’il sodomise et qu’il positionne dans les sections Ojrdpc et dans les conseils
municipaux. Des confidences y voient également des rapports étroits entre l’ex Sg/prc et Minatd et le député. C’est ce qu’on pourrait qualifier d’honorable déshonorable.
Yves Michel Fotso et Juimo Monthé, enfants chéris !
Leur bombardement par Marafa Hamidou Yaya, alors secrétaire général de la présidence de la République, à la tête d’institutions étatiques « juteuses », notamment l’ancienne compagnie aérienne
nationale –Camair- et la Chambre de Commerce, d’Industrie, Mines et Artisanat était déjà une indication des relations préférentielles qui existaient déjà entre Marafa Hamidou Yaya, Yves Michel
Fotso et Juimo Monthé, eux qui n’étaient à ce moment que des vulgaires opérateurs économiques comme bien d’autres. Des anecdotes, pour raconter les ébats sexuels ou les partouzes de Marafa
Hamidou Yaya et ses « dulcinées » pleuvent dans les métropoles économiques et politiques du Cameroun. Des sources confient Yves Michel Fotso très « enthousiasmé » le 17 mai dernier, de l’arrivée
de son « chéri » Marafa à la prison centrale de Kondengui, où se trouvait son cachot. Des langues affirment que le mariage, il y a quelques mois du fils du milliardaire de Bandjoun à la prison
centrale de Kondengui avec la belle « italienne » avait d’autres objectifs que celui de la procréation ou le besoin d’une épouse. Il était question pour Michel, de ces recoupements d’avoir à
l’extérieur de la prison quelqu’un qui allait suivre ses business ainsi que ses conflits familiaux. L’homme ayant engagé un bras de fer avec son géniteur Victor Fotso dans bon nombre de
sujets.
Adoum Garoua, le «géantosaure» débauché
S’il est connu dans l’opinion nationale comme le membre de l’équipe Yang Philémon, le plus grand de taille et l’un de ses piètres ministres, tant Adoum Garoua n’a rien apporté comme solutions à
la ribambelle de problèmes qui mine le sport camerounais ; dans le sérail, l’originaire du département du Mayo Danaï, dans la région de l’Extrême-nord a la réputation d’être un invétéré
homosexuel. Des sources évoquent ses séances de partouze dont Marafa Hamidou Yaya était le maître de l’évènement. Des langues y voient son maintien à son ancien poste de ministre de la Jeunesse
malgré son incompétence notoire, à son appartenance au réseau des adeptes des pratiques d’homosexualité. En sus de son choix de membre de la pratique immorale et amorale, des recoupements disent
Adoum Garoua menteur hors pair. Il aurait écrit au Chef de l’Etat, il y a quelques années, pour raconter qu’il s’occupe d’une veuve et la famille d’un homme en tenue, victime des évènements
malheureux de juin 1983. Paul Biya, habité par un esprit de reconnaissance et autre magnanimité aurait décidé de faire de lui, fonctionnaire anonyme qu’il était à l’époque, un ministre de la
République. Des confidences affirment qu’Adoum Garoua fait partie du réseau qui finance la propagande actuelle de son « époux » Marafa Hamidou Yaya. La débauche et Adoum Garoua : une histoire
d’amour !
Jean Claude Adjessa Melingui, le maire dévergondé
Son nom n’est pas nouveau dans les cercles de ces hommes qui aiment à s’entre-tripoter le popotin. Lorsqu’il arrive à la tête de la mairie de Yaoundé VI, c’est un peu sur un coup du sort. Nous
sommes à mi-mandat et son prédécesseur, Robert Atangana en presque trois ans de séjour à la mairie avait déjà convaincu ses populations et même l’immense majorité de la classe politique du
département du Mfoundi de ce qu’il était l’une des rares élites politiques pouvant contribuer grandement à changer le vécu quotidien des citoyens relevant de sa circonscription. A titre
d’illustration, il avait acquis une vaste parcelle de terrain de plus de 2000 mètres carrés du coté d’Etoug Ebe pour y ériger une bâtisse devant servir de siège à cette mairie. Les travaux de
construction de ce siège avaient même déjà été lancés et réalisés en grande partie lorsque Marafa décida d’en découdre avec lui et de laisser son poulain lui succéder. Pour une histoire de
pratiques magiques qui impliquaient l’épouse de ce membre du gouvernement. Dame Marafa aurait été surprise en tenue d’Eve dans une rivière, se faisant abreuver de mixtures par un marabout.
La rocambolesque histoire qui fait partir Robert Atangana du Cameroun en catimini tient aux démêlés qu’il a eu des jours avant avec le ministre d’Etat en charge de l’Administration territoriale,
Marafa Hamidou Yaya. Selon des sources introduites, il aurait nuitamment surpris un groupe de personnes plongées dans une séance d’incantation. Le théâtre choisi était la traversée de rivière
Mefou sur la route Yaoundé-Douala non loin de la barrière de police et de la scierie dont Robert Atangana était le promoteur. Parmi les personnes composant ce groupe on comptait la compagne de
Marafa, son ministre de tutelle.
L’épouse, visiblement en mission commandée, verra d’un mauvais œil que le maire ait tenu à identifier ces présences peu ordinaires en ces lieux et qu’il ait voulu en savoir plus sur cette scène.
Elle s’en ouvrira à son époux. Robert Atangana qui se trouvait dès lors en danger de mort trouvera refuge au Canada.
Fort de ses soutiens tant auprès de Marafa que d’autres élites du Mfoundi souvent citées dans les milieux homosexuels, Adzessa prendra le dessus sur Tolo pour terminer le mandat du maire partant.
Les deux hommes seront encore aux prises deux ans plus tard pour se disputer le mandat qui continue de courir.
Durant ses sept ans de premier magistrat municipal, Adzessa dont le physique frêle et la gestuelle trahissent ses orientations sexuelles, a su se faire entourer tant pour spolier les ressources
de la commune. L’un de ses maîtres à penser est un confrère aujourd’hui employé du quotidien national, Cameroon tribune. Ils sont proches même morphologiquement. Les conseillers municipaux ont
découvert tout récemment qu’il avait distrait tout un bus d’une valeur de plus de 30 millions de Fcfa. C’était un don de la mairie de Richelieu en Alsace en France. La Conac a enquêté sur ce rapt
il y a quelques mois seulement et le maire a promis de rembourser. Même le terrain acquis par son prédécesseur pour abriter le siège de sa mairie est déjà sur plus de la moitié cédé aux privés.
Une école y est par exemple en cours de construction. Lorsque ses collègues du conseil municipal ont commencé à en parler, il a cru les narguer en se lançant dans des dépenses ostentatoires comme
ces véhicules achetées aux siens telles que son épouse.
Les dénonciations de cette gestion cafouilleuse ont convaincu ses soutiens de se désolidariser. L’un d’eux préparait déjà une certaine madame native de la commune mais épouse d’un fils de l’Ouest
du pays. La déchéance Marafa est venue sonner le glas de cette descente inéluctable aux enfers.
J.L Beh Mengue, un disciple de Sade à l’Art
Jean Louis Beh Mengue, le Dg de l’Agence de régulation des télécommunications (Art) peut se targuer, en sa qualité de disciple de Sade, cet aristocrate français des siècles derniers, d’un
dérèglement de mœurs hors paire, de tenir avec maestria l’une de ses missions. Qui consiste à implanter fortement les pratiques d’homosexualité au sein de la structure à sa charge. Des
recoupements, en dehors de la boulimie financière qui conduit le patron de l’Art aux détournements de fonds publics et autres pratiques peu orthodoxes, les promotions du ressort de cet homme
fervent adepte de la pratique satanique ont une senteur d’appartenance au monde des gays. Ces sources livreraient quelques liens avec Marafa Hamidou Yaya, le dépravé qui a tenté d’imposer les
pratiques d’homosexualité à la tête de l’Etat, du temps où l’actuel pensionnaire des cellules du Sed présidait aux destinées du secrétariat général de la présidence de la République. On s’en
souvient qu’à l’époque, c’est Marafa qui avait désigné le Dg de l’Art par message porté et intimé l’ordre à Isaac Njiemoun, alors Minpt, de lui débloquer la somme de 300 millions de fcfa pour la
mise en place de l’Art. Une somme que personne n’a jamais vu les traces du côté de l’Art. Il y a quelques semaines, l’Anecdote révélait que Jean Louis Beh Mengue s’est offert près de 2 milliards
de Fcfa de commission, dans l’attribution du marché de construction de l’immeuble siège de l’Art à l’entreprise « Groupement Bati ». Des dénonciations de cet autre détournement de l’argent du
contribuable venaient de l’intérieur de la commission de passation de marchés de l’Art. Votre hebdomadaire appelait par cette révélation à l’arbitrage de l’autorité des marchés publics au
Cameroun-le premier ministre- dans une stratégie de corruption de la presse empreinte d’une volonté de narguer Yang Philémon, Jean Louis Beh Mengue avant entrepris d’inonder les médias de «
messages »annonçant l’éminence des travaux du building. Des sources affirment que cette opération de communication d’une institution réputée fermée à la presse aurait avalé plusieurs dizaines de
millions de Fcfa. A l’Art, les mauvaises ( ?) langues révèlent qu’il y a quelques mois, une parenté du Dg avait réussi de manière incroyable à vider le coffre-fort du boss de la structure de la
sueur du contribuable, estimé à plusieurs millions de Fcfa. Pour se refugier pour quelques semaines du côté du Gabon. Avant à revenir sur Yaoundé et se lancer dans les affaires avec les deniers
publics sans être inquiétée par la direction de l’Art. Drôle de cambriolage !
Amadou Sali, l’arrière-train
L’honorable Amadou Sali, élu de l’Assemblée nationale pour le compte du Rdpc fait partie des hommes clef de la planète Marafa, dans son rêve d’un destin présidentiel. A ce titre, le Pca de la
Camrail se vante d’être parmi les « épouses » préférées du célèbre prisonnier des pamphlets. Des langues racontent que les ébats sexuels sataniques entre l’ex Sg/pr et Minatd et l’honorable se
passaient souvent à Paris, à la place Porte Maillots du 17ème arrondissement. Ces confidences font aussi état de ce que ce sont les coups de reins formidables d’Amadou Sali qui font de lui la
dulcinée caissière du dépravé en chef. C’est pourquoi Le président du conseil d’administration de la Camrail, une structure sur laquelle Vincent Bolloré l’ami de l’ex Sg/prc et Minatd a fait main
basse, était chargé de veiller sur les intérêts de son « chéri ». Amadou Sali n’a jamais caché son admiration, d’après les confidences à ses proches, de la personnalité de son mentor de
Garoua.
Jules Doret Ndongo, le kribien félon
Derrière les apparences de saint, Jules Doret Ndongo, ministre délégué auprès du Minatd, des informations présentent l’ex secrétaire général des services du premier ministre comme un homme trempé
dans ces affaires qui ébranlent la république en relation avec l’opération épervier. De ces confidences le membre du gouvernement, le plus petit de taille comme le qualifient certains, est aussi
accablé de l’homme aux mœurs débridées à cause de ses préférences. On le dit opportuniste de la 1ère heure, celui qui était chargé de recruter les membres du G11, jadis très proche de Atangana
Mebara, auraient selon certains de ses proches tôt fait de replier sur Marafa Hamidou Yaya quand les problèmes de celui-ci avaient commencé. Nos informateurs disent que le passeport du Mindel,
aurait déjà été retiré du fait de son implication présumée dans la gestion scandaleuse de Messengue Avom au ministère des travaux publics. Parce que Jules Doret Ndongo, originaire de Kribi, chef
lieu du département de l’Océan, qui s’est mis à dos tous les patriarches et certains responsables politiques à la base, est surtout celui qui visait, au nom du Pm, les marchés de gré à gré!
Youssouf Alim Adjidja, l’alliée contre nature
Nous n’avons pas encore des précisions sur les tendances sexuelles de la ministre en charge de l’éducation de base. Mais, des informations en notre possession disent le cœur de Youssouf Alim
Adjidja battre pour Marafa Hamidou Yaya, le présumé détourneur de deniers publics dans l’affaire Albatros, dans son ambition présidentielle. La ministre de l’éducation de base (Minedub) malgré
son bombardement au gouvernement par Paul Biya, elle qui était jusqu’au 09 décembre 2011, une ordinaire citoyenne dont seules les membres de sa famille maîtriseraient le nom voue une haine contre
Paul Biya d’après ses proches. Cette femme du Grand Nord confie de ne pas être capable de pardonner au Chef de l’Etat d’avoir instruit le jugement et l’exécution, pour sa participation dans la
tentative de coup d’Etat le 06 avril 1984, de son parent Issa Adoum, ancien Dg du Fonds national de développement rural (Fonader). La femme presque toujours voilée du gouvernement lâcherait
parfois sans scrupules à certains de ses invités que « Paul Biya récoltera ce qu’il a semé quoi qu’il arrive ». On est tenté de conclure malgré la confiance que lui a accordée Biya à une alliance
contre nature entre Marafa et Youssouf Alim Adidja.
Source:
L´anecdote