Alerte:Et la Révolution continue en Cote d'Ivoire.
Et la Révolution continue
Selon des sources certaines la Cote d’Ivoire est devenu un pays fantôme en l’occurrence sa Capitale Abidjan ou les routes sont désertes et un calme étrange pour une ville de 5 millions d’habitants.
Et si tous les Ivoiriens refusaient d’allez travailler pour ce régime venu par la force des armes ? Qu’est ce qui se passeraient-ils ? Ferait-il venir les étrangers comme ils l’ont fait pour le Coup d’état, les prochains jours nous dirons ce qui va réellement se passer en Cote d’Ivoire.
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Son contenu tient compte des évènements de ce lundi
Mardi 12 avril de 13h30 à 15h30 dans les locaux des éditions l'Harmattan au 21 bis, rue des Ecoles Paris 5è (métro Maubert Mutualité)
La protection des populations civiles en Côte d'Ivoire reste une priorité par rapport la lutte militaro-politique que se sont mené Ouattara et Gbagbo et que risquent de continuer leurs partisans respectifs dans les semaines à venir. Chacun de ces deux personnages revendiquait la victoire aux élections du 28 novembre 2010. Laurent Gbagbo tenant son élection du Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire. Alassane Ouattara s’appuyant sur une élection reconnue par la « Communauté internationale ». Cela justifie t-il les massacres passés et ceux en cours ? Mais surtout ceux qui semblent s'annoncer ?
Sans se positionner pour un camp ou pour un autre, une pétition lancée dans l'urgence par la plateforme panafricaine, des tribunes et des prises de positions de personnalités, mettent en cause l'action de la communauté internationale et en particulier de la France, sur l'aggravation des violences qui résultent de leurs interventions diplomatique, économique ainsi que leur participation directe aux combats. L’arrestation de l’un des deux protagonistes ne change pas fondamentalement les données de ce problème tant que ne sont pas résolues ce qui a créé problème en particulier les ingérences de la France.
Ici, à Paris, est-il encore temps, pour les ex pays coloniaux, de penser aux victimes civiles et d’adapter leur stratégie en
conséquence. Les problèmes de la Côte d’Ivoire ne peuvent se réduire au combat de deux hommes. Leurs partisans respectifs ont commis des actes de grandes
violences et rien ne peux laisser espérer que l’élimination de l’un des deux hommes suffise à ce que cela cesse. Personne ne pourra oublier que la France a contribué,
volontairement ou non, à la monté de ces violences. A la suite de la pétition (toujours en cours sur http://www.petitions24.net/
Préalablement aux questions des journalistes, Louis Keumayou, président de l’association de la presse africaine animera une série de courtes présentations de point de vue ;
James Ngumbu, Secrétaire général de l’association de la presse africaine évoquera l'environnement politique de cette affaire et reviendra sur les positions de certains responsables politiques africains qui avaient tenté de prévenir l’aggravation actuelle en suggérant à la France d'éviter toute intervention militaire qui ne ferait que mettre de l'huile sur le feu ;
Des représentants de tendance politiques françaises situées au centre, écologistes et à gauche exprimeront leur point de vue ;
Mme Martine Kei Vao, originaire du village martyre de Duekoué et présidente d'une association de solidarité de cette région demande que cela s'arrête (un texte de Jean-Paul Ouraga Karam, président de la coordination des ivoiriens de France sera lu à cette occasion) ;
L'Amicale Panafricaine et la Plateforme Panafricaine analyseront cette situation dans le cadre de la lutte des pays industriels pour l'appropriation des ressources africaines, accompagnée d’une négation du droit des peuples à s’auto gérer.
Renseignement : 06 21 05 47 37