Avis de recherche (Cameroun): Aidez-moi à retrouver DASHAKO Samson un criminel refugié au Nigeria. Il a tué mon frère le Commandant, l’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude, à TIKO.
Avis de recherche (Cameroun): Aidez-moi à retrouver DASHAKO Samson un criminel refugié au Nigeria.
Il a tué mon frère le Commandant, l’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude, à TIKO.
DASHAKO Samson le gendarme recherché.
Monsieur, Madame, Bonjour. Je tiens à porter à la connaissance des médias l'assassinat odieux et crapuleux d'un commandant de brigade qui était mon frère perpétré dans une brigade de
gendarmerie au Cameroun dans un état supposé de droit et les difficultés auxquelles la famille du défunt est confrontée face à un silence total de la grande muette .Pour que ce crime ne
soit pas étouffé et que justice soit rendue.
En effet le 09/10/2012, au sein même de l’unité dont il était le Commandant, l’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude, mon frère était assassiné à TIKO (Localité Camerounaise située
dans la région frontalière avec le Nigéria) par un de ses adjoints, l’Adjudant DASHAKO Samson en cavale et réfugié au Nigéria. L’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude est décédé, le
corps horriblement mutilé, transformé en passoire sanglante, après avoir reçu 18 impacts de balles d’une arme de guerre en temps de paix. Lesdits projectiles ayant, pour la plupart, été tirés à
bout portant. L’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude est mort, pour avoir établi l’aberration d’une garde à vue illégale dont était innocemment victime un de ses concitoyens et dont il
avait ordonné la libération sine die. Il faut rappeler que ce mardi soir, vers 19h, L’Adjudant-chef Major MENANGA, commandant de la brigade de gendarmerie de TIKO revient à son bureau. Au
passage, il rencontre une dame qui l’interpelle au sujet de son frère qui serait gardé à vue depuis deux jours. Le commandant qui n’est nullement au courant de cette situation consulte la main
courante où ne figure aucune information sur le concerné. Sur l’insistance de la dame, portant ses recherches dans les cellules, il découvre effectivement la présence du prévenu. Irrité par cette
pratique peu orthodoxe qu’il exècre quoique coutumière des poste de police ou de gendarmerie au Cameroun, il demande son adjoint, l’Adjudant DASHAKO, responsable de cette arrestation et détention
arbitraire puis, lui enjoint de libérer ce monsieur (qui doit représenter de gros intérêts financiers). Ce dernier refuse d’obtempérer à l’ordre de son supérieur. Il semble qu’il y ait eu des
éclats de voix sulfureux entre les deux hommes et les mots du Commandant aurait été passablement rugueux pour dénoncer cette pratique pour le moins recommandable par la règlementation en vigueur.
Tout compte fait, c’est un autre gendarme, des trois qui était présent à la brigade qui libère le détenu. Alors que l’on croit l’incident clos, l’Adjudant DASHAKO, tireur d’élite à l’humeur
sombre et massacrante qui n’a pas digéré ce qu’il considère comme une humiliation par son chef, s’empare subitement de l’arme avec laquelle il était en patrouille (on parle d’un fusil
d’assaut léger ou d’une Kalachnikov), tire une première rafale de 3 balles dans le dos de son supérieur, qui se dirigeait vers son bureau sis au fond d’un couloir. L’infortuné, tentant de s’y
réfugier, est copieusement arrosé d’une autre salve de 9balles qui ont aisément transpercé la porte métallique. Le forcené DASHAKO, dans une sorte de folie meurtrière, l’y rejoint, seul et
désarmé, se vidant déjà de son sang. Puis, il achève sa macabre besogne de bouché, éclatant la cervelle à sa victime et lui broyant littéralement le bassin. Puis il ressort, s’engouffre dans sa
voiture après avoir lâché en l’air une dernière salve dissuasive, certainement à l’attention des deux autres gendarmes, qui, tétanisés par la peur, étaient terrés à l’extérieur de la brigade. Les
premiers à arriver sur le théâtre du drame découvrent un spectacle d’une horreur insoutenable : le corps inerte du commandant de brigade affreusement mutilé par la violence des impacts de balles
tirées à bout portant gisant sur un escalier donnant sur son bureau. L’Adjudant-chef Major MENANGA AHANDA Jean-Claude, meurt donc dans son bureau de la main d’un de ses frères d’armes, victime
des droits d’un concitoyen que tentait d’écraser la machine des pratiques maffieuses, l’incurie des fonctionnaires de la gendarmerie (comme de tous les autres corps de métier au Cameroun). En
outre, l’Etat camerounais, dont l’efficacité de l’appareil sécuritaire ne se manifeste que dans les cas de préservation des intérêts de la caste d’apparatchiks qui en tiennent les rênes, traine
dans la procédure d’investigation tout en maintenant le secret le plus absolu sur l’évolution du dossier.
Je sollicite donc votre intervention afin de médiatiser ce drame afin que l'Etat Camerounais y mette un peu du sien afin que l’assassin, DASHAKO Samson, véritable danger public, soit
appréhendé, pour qu’aussi, justice soit rendue à la mémoire d’un infortuné défenseur des droits citoyens, MENANGA AHANDA Jean-Claude. Cordialement, Pièce jointe: Photo de l'assassin
recherché supposé avoir trouvé refuge au Nigeria état voisin du Cameroun.
Par Godefroy frère du tué.