Urgent: Deuxième message du Groupe de Commando Marin FDS-CI
Urgent: Deuxième message du Groupe de Commando Marin FDS-CI
Chers ivoiriens, chères ivoiriennes
Beaucoup de choses ce sont dites ces derniers temps.
Nous, le groupe de commando marin tenons à vous dire que nous sommes déterminés à libérer la Côte d’Ivoire.
Nous n’avons donné aucune date, mais cela ne veux pas dire que les ivoiriens doivent continuer à souffrir.
Nul ne détient le monopole de la violence.
Aussi voudrions-nous préciser que la présence de certains officiers en Côte d’ Ivoire ne lave pas l’affront à nous infligé par l’ennemi. Si la présence de ces officiers résolvait leur problème, pourquoi demander à des forces étrangères en ce moment d’assurer leur sécurité ou la sécurité des institutions de l’état? C’est le signe que nous avons perdu notre souveraineté et pour cela nous nous battrons pour que ce pays retrouve sa souveraineté.
En son temps, personnes n’a protégé ces édifices pour nous, nous l’avons fais nous même avant de nous replier, c’est cela la différence lorsqu’une armée, la vrai engage le vrai combat.
Nous ne vous dirons pas non plus ce que nous allons faire. Mais notre devoir c’est de tenir informer ceux pour qui nous nous battons. C’est-à-dire le peuple ivoirien.
L’appel que nous lançons au peuple c’est de demander à ce peuple de se tranquilliser.
Vous avez toujours été fort même dans la douleur. Nous vous demandons d’arrêter de fuir. L’heure est venue pour vous de nous aider à vous défendre. Nous ne vous conduisons pas à l’abattoir, mais sachez qu’une liberté ne s’obtient pas, elle s’arrache.
L’heure est donc venue pour vous de prendre en main votre courage et nous soutenir. Sans vous tout ce que nous ferons sera vain c’est pourquoi nous vous donnons cette mission:
- Dans vos quartiers, vous vous connaissez entre vous, et donc vous savez quoi faire le moment venu lorsque nous demanderons votre assistance. Faite le dans la pure discrétion. Nous ne vous demandons pas de faire quoique ce soit qui vous exposerait ou de vous attaquer à qui que ce soit car nous ne sommes pas des FRCI. Le reste nous nous en chargeons.
Ils ont fait venir ces derniers temps plusieurs dozo à Abidjan en vue de préparer mystiquement leur troupe et nous en sommes informés. Ils les ont déversé autour d’Abobo pour certains et d’autres le long de la voie menant au Ghana. Nous disons que nous, nous avons l’éternel des armées et ils verront.
Ils parlent aussi de négociation mais le Président Gbagbo leur a avait tendu cette main, ils l’ont refusé, pourquoi veulent ils maintenant discuter quand il s’agit d’eux?
Le militaire, obéit aux ordres de ses supérieurs, ils ne discutent pas. Ces supérieurs sont pour la plupart emprisonnés avec leur chef suprême. Allez discuter avec eux si vous voulez échapper à ce châtiment auquel cas nous vous disons que nous sommes en route. Nous sommes obligés de vous le dire car nous ne cachons pas nos intensions. Nous ne sommes pas des rebelles FRCI, nous sommes des FDS et nous sommes fiers de l’être. Nous sommes une armée régulière.
Le militaire quelque fois est obligé d’informer le peuple, pas de son action, mais de ce qui arrive afin que le peuple prenne ses dispositions en vue de minimiser les effets collatéraux, c’est pourquoi nous lançons encore ce message.
Pendant que certains parmi vous cherchent à nous dissuader, vous continuez de faire des arrestations sous le prétexte que ceux-là troublent l’ordre publique. Cela est intolérable.
Nous, le groupe de commando marin, tenant à réaffirmer notre détermination, à assurer notre devoir régalien de protection des personnes, des biens et des institutions de la République de Côte d`Ivoire bafoué par cette horde de combattants de fortune, appuyés notamment par les forces de l`Onuci (mission de l`ONU) et de la (force française) Licorne demandons au peuple ivoirien de se réjouir car le fruit est mûr et même pourri.
Nous disons au peuple de Côte d’Ivoire de ne pas avoir peur car la moisson a été bonne dans le champ du père.
‘‘Take care’’ – Tu le disais souvent.
Que Dieu Bénisse La Côte D’Ivoire unie et que la Paix règne dans le cœur de chacun.
Vive la Nouvelle Côte D’Ivoire libre, libérée et indépendante.
Signé: Le Groupe de Commando Marin FDS-CI
Nous tenons à préciser que ce message a été publié tel que reçu à notre rédaction.
Source :Infodabidjan.net
Mbeki: L'Afrique a perdu la foi en l'ONU
Mbeki: l'Afrique a perdu la foi en l'ONU
L'ancien président Thabo Mbeki, a accusé les Nations Unies de déstabiliser les
processus de paix dans des pays comme la Côte d'Ivoire et la Libye.
Il dit les Africains ont perdu confiance en l'organisme mondial contrôlé par
l'Occident .
S'exprimant sur Sunday Times, M. Mbeki a appelé les dirigeants africains à résister à l'ingérence de l'Occident.
Mbeki a donné son avis sur LES NATIONS UNIES
"Les Africains ne font plus confiance à l’ONU, un machin. La tâche des Nations unies
en Côte d'Ivoire était de maintenir la paix entre le Nord, occupé par les rebelles et le
Sud par le gouvernement. L'ONU était censée faire en sorte que l'accord de paix soit
signé, que les deux parties ne s'affrontent pas et de trouver une solution politique.
Mais qu'est-ce que l'ONU fait? Il a ouvert la porte pour les rebelles dans le Nord
jusqu’à Abidjan et à effectuer des opérations conjointement avec des bandits. Alors
qu’ils devaient rester neutre pour maintenir la paix, mais ils ont pris le côté des *
bandits.
En Libye, l'ONU a délégué ses responsabilités à l'Organisation du Traité Atlantique
Nord (OTAN) - une formation militaire de quelques pays.
La Restructuration de l'ONU est nécessaire et urgente.*
"Le Conseil de sécurité n'a pas compris que la situation en Libye et en Côte-d'Ivoire
constituait une menace pour la paix et la sécurité internationales. Pourtant, ils ont
autorisé l'utilisation de la force militaire.
L'ONU a besoin d'être restructurée de sorte qu'elle soit représentative des peuples du
monde. Dans la situation actuelle, je doute que certains des membres du Conseil de
sécurité avec droit de veto soient intéressés à l'effet des changements structurels.
Ce sont des gens méprisants et ne sont certainement pas dans l'humeur dans laquelle
ils peuvent connaître une vision africaine sur la restructuration fondamentale de
l'ONU. "
• Comment combattre les Nations unies
"Je pense que nous pouvons (les arrêter) à condition que nous agissions et ils peuvent
voir que s'ils prennent ce type d'action et qu'ils rencontreront de la résistance de
l'ensemble du continent africain. Cela leur fera repenser sur leur initiative.
"Mais malheureusement, notre voix est très faible et nous devons faire quelque chose
pour renforcer cela et exprimer les droits des Africains de décider de leur avenir."
MÉDIATION EN LIBYE ET CÔTE-D'IVOIRE
"S'il y avait un respect pour les positions que l'Union africaine pour résoudre le
problème selon lequel les Libyens doivent se réunir et décider de leur avenir, (il)
aurait été un processus de démocratisation.
"Malheureusement, nous avons vu ces grandes puissances décider d'intervenir d'une
manière qui a perpétué la guerre. En Côte d'Ivoire, le Président Laurent Gbagbo a
accepté la décision de l'UA qu'il devrait démissionner quel que soit le caractère juste
ou injuste de la controverse et de permettre Le président Alassane Ouattara à prendre
le relais après le recompte des voix.
ont été bloqués par les Français et les Nations Unies qui ont créé un espace pour eux-
mêmes pour mener des opérations militaires avec les forces rebelles qui étaient le
soutien Ouattara.
résultat particulier qui a créé plus de problèmes pour les Ivoiriens".
• le renforcement des UA
«Le problème ici, ce sont les États membres de l’UA . La Commission de l'UA se
plaint qu'ils sont incapables de faire leur travail correctement parce que les Etats
membres ne font pas leurs contributions nécessaires pour permettre à l'UA de faire
son travail. Vous avez donc une situation où si l'UA veut réaliser une opération -il doit
faire appel à l'UE pour les fonds.
"Cette question allait être résolu, mais force inutile a été utilisé pour produire un
«Quand l'UA devait se rendre à Abidjan pour mettre en œuvre cette décision, ils
La faiblesse de la commission de l’UA est un reflet de la façon dont les États
membressont traités "
NKULULEKO NCANA
Thabo Mbeki Picture: RAYMOND PRESTON
Source: times.co.za
http://www.timeslive.co.za/africa/2011/07/31/mbeki-africa-has-lost-faith-in-the-un
L’Ivoirité ou le gros mensonge de Ouattara pour tuer le peuple ivoirien
L’Ivoirité ou le gros mensonge de Ouattara pour tuer le peuple ivoirien.
Depuis plus d’une décennie, le peuple Ivoirien connu pour son hospitalité qui a fait de la Côte d’ivoire l’un des pays au taux d’étrangers le plus élevé au monde, a été traité de peuple xénophobe et massacré par la suite par alassane dramane et sa clique de suiveurs.
Le temps est passé et nous constatons qu’il n’y a rien de nouveau sur cette terre, mais que l’histoire ne fait que se répéter.
Les mensonges de ouattara pour tuer le peuple ivoirien, comme les mensonges de bush pour tuer le peuple Irakien…
Le 20 Mars 2003, Georges Bush sur la base d’un mensonge grotesque et international, a entamé un bombardement du peuple Irakien. Quelques mois auparavant ce voyou de bush a fait croire au monde entier que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive (armes biologiques) et qu’il fallait aller les chercher.
Très rapidement, bush a mobilisé les alliés du mal pour détruire l’Irak sous les feux de bombardements qui ont plongé le peuple Irakien dans un chaos digne de l’apocalypse.
N’ayant pas trouvé une seule arme de destruction massive en Irak, georges bush le genocidaire, en parfait disciple de Satan, s’est tout de même donné le plaisir de tuer massivement ce digne peuple Irakien.
Le bilan de cette aventure digne du nazi hitler s’est soldé par la mort de 109302 personnes, la pendaison d’un Président sans que georges bush ne soit inquiété d’une poursuite devant le TPI. Georges bush a tué 109302 personnes et reste en liberté au vu et au su du raciste ocampo qui est pourtant prompte à brandir la menace de la tristement célèbre Cour Pénale Internationale, quand il s’agit de dirigeants Africains.
Comme Bush, ouattara dramane, le VAMPIRE DE SINDOU, alias BOUCHER DE SINDOU a parcouru la terre pour diffamer le peuple ivoirien, le traiter de xénophobe, dans le seul but de le diaboliser et retourner contre lui, l’opinion internationale.
Un travail minutieux, une campagne de diffamation bien planifié pour porter l’estocade à ce peuple qui autre fois étais très uni. En grand diviseur, ouattara a détruit en moins d’une décennie le travail de plusieurs générations. Celui qui bien se retourner dans sa tombe, c’est bien le President Feu Felix Houphouët Boigny, bâtisseur de cette nation.
Houphouet a œuvrer pour unir un peuple, ouattara œuvre pour le désunir. Un vrai travail de sabotage depuis 1990 !
La campagne de diffamation du VAMPIRE DE SINDOU alias le BOUCHER DE SINDOU, s’est soldé par deux coups d’Etat.
L’un, c’est-à-dire celui de décembre 1999 a réussi, et l’autre, c’est-á-dire celui du 19 Septembre 2002 qui a écoué, s’est transformé en rébellion armée jusqu’en 2010 pour assurer son coup d’Etat électoral du golf hotel..
La diffamation de ouattara et sa clique de suiveur se résumait en un seul mot : L’Ivoirité, définie comme de la xénophobie, voire du racisme.
Depuis l’hors, l’Hospitalité, le vrai visage de la Côte d’ivoire a été balafré pour faire place à la xénophobe dans l’esprit de beaucoup de gens à travers le monde.
Ouattara a parlé…
Les medias nationaux et internationaux à la solde de ses maitres ont répété…
Et voici que le peuple ivoirien «devenu» «xénophobe» et «racisme», lui qui a accueilli sur la terre de ses ancêtres tous les peuples du monde, sans distinction…
Les Libanais, les Nigérians, les Nigériens, les Mauritaniens, les Béninois, les Ghanéen, les Togolais, les Camerounais, les Congolais, les Angolais, les Centrafricains, les Gabonais, la Marocain, les Tunisien etc. ne me diront pas le contraire.
· Le Racisme
Selon le dictionnaire Encarta de Microsoft, le racisme est l’idéologie selon laquelle, une race se croit supérieure à une autre et prône son élimination. Tel que le dictionnaire le définit, qui de la France et des ivoiriens n’aiment pas son prochain au point de l’éliminer ? Je ne crois pas que ce soit les ivoiriens parce que la France a démontré que le peuple ivoirien pouvait disparaître sans que cela ne la trouble. L’embargo sur les médicaments est un exemple qui traduit bien son état d’esprit. On ne peut pas traiter le peuple ivoirien de raciste parce qu’il n’a jamais dit qu’il était supérieur au peuple français et n’avait jamais développé de stratégie pour faire disparaître la France. Nous sommes HOSTILES à la politique française en Côte d’Ivoire et c’est bien cette politique impérialiste que nous dénonçons. Nous dénonçons sa main mise sur la Côte d’Ivoire. Nous voulons une coopération où tout le monde gagne et non une coopération où il y a un qui prend tout et un autre qui n’a rien. Une coopération win-win ou si vous le voulez, une coopération gagnant-gagnant. Nous récusons qu’elle nous impose quelqu’un ou quelque chose parce que nous sommes un peuple souverain et entant que tel, il nous revient de faire notre propre choix.
Si nos frères français vivant en Côte d’Ivoire sont honnêtes, ils reconnaîtront que nous n’avons rien contre eux. Bien au contraire, nous leur accordons de la considération qui n’est pas forcément réciproque. Dans la tête de certains nous sommes des sous-hommes qui ne méritent pas le respect et doivent être traité comme tels.
Il y a des gens qui prêche le faut en disant que c’est le Président Gbagbo a fait tracer la ligne de démarcation pour séparer le nord du sud, afin de maintenir le nord dans la pauvreté(…) Je dirai à ceux là qu’ils ne maîtrisent pas le dossier ivoirien et que dans ce cas, le bon sens voudrait qu’ils se taisent. A moins que leurs démarches ne soient guidée par de la mauvaise foi.
La ligne de démarcation dont certains parlent avec une aussi grande légèreté, a été construite point par point, trait par trait, tiret par tiret par la France. C’est la France qui a divisé la Côte d’Ivoire en deux et non le Président Gbagbo.
On ne peut pas parler de rejet des ivoiriens du nord, s’il y a un tiers qui divise cette population en deux pour assouvir ses plans machiavéliques. La France sachant bien le funeste plan qu’elle préparait pour la Côte d’Ivoire a tracé ce trait pour créer la division entre le nord et le sud. Et cela sous le fallacieux prétexte qu’elle allait chercher ses ressortissants à Bouaké. Ce n’est pas honnête et si on crie pour cela, on n’est pas raciste. Alors un peu de sérieux et sachons de quoi nous parlons.
Il ne faut donc pas se borner au sursaut d’orgueil du digne peuple de Côte d’Ivoire pour conclure que nous sommes racistes.
· La Xénophobie, gros mensonge du vampire de Sindou
Quand les ivoiriens crient que ouattara est un vampire qui boit du sang, ce n’est pas une obscénité, c’est la vérité, parce que tout le monde l’a vu tuer la population ivoirienne à coups de canons avec la complicité des français, sous le couvert d’opérations de maintien de paix.
A Duékoué, à Yopougon Gesco, à Sakassou (en 2002) en 2004 devant l’hôtel ivoire… ses maîtres français et ses sbires de dozos ont tué la population ivoirienne avec une barbarie digne d’un sanguinaire-né ou de satan en personne. Dire que ouattara est le vampire de sindou, n’est pas une obscénité, c’est la vérité.
Parce que jamais avant lui personne n’avait égorgé un homme devant tout le monde pour recueillir son sang et s’en abreuver. Au nom et au compte de ouattara les chasseurs dozos transformés en rebelles l’ont fait à Bouaké sur la terre des Baoulés leurs hôtes d’hier.
Jamais avant lui, la Côte d’Ivoire est rentrée dans une spirale de violence. Il y a eu certes des remous sociaux dans les années soixante-dix et un peu avant, avec les Guébié, les sanwis mais les choses ne sont pas allées plus loin qu’elles n’ont commencé.
Comprenons par là que notre peuple n’a pas une âme de guerrier, nous ne sommes pas des hommes dont la vie rime avec la violence et la barbarie. La preuve est que, les dozos et autres tueurs, nous n’en avons pas. Nous ne savons chasser l’homme.
Maintenant, est-ce faux de dire que les FRCI sont incultes ? Celui qui me dira le contraire de cette assertion, c’est celui-là même qui considère le bambara comme la langue officielle de la Côte d’Ivoire. Sans m’enorgueillir ni en être fier, jusqu’à la parution de cet article, l’ivoirien parle français et écrit français, mais pas le bambara qui n’est inscrit nulle part comme langue officielle de la Côte d’Ivoire.
De quoi veut-on parler quand on dit que nous crions notre haine aux burkinabè, aux maliens… ?
Nous ne crions pas notre haine au bukinabè ou au sénégalais qui adopte la posture d’un observateur neutre et objectif.
Cependant si un individu est malintentionné, et malhonnête dans sa démarche, qu’il soit burkinabè ou pas, il est tout à fait légitime de lui montrer la place qui est la sienne. Ramener une personne qui s’égare à l’ordre ne saurait être de la xénophobie.
Il y a des intellectuels sénégalais, burkinabè… qui ont compris le stratagème de la France à nous maintenir dans une position de peuple servile et défendent la souveraineté et la dignité de l’homme noir aux côtés des ivoiriens. Est-ce que vis-à-vis de ses frères dignes et compatissants a-t-on entendu dire que l’ivoirien les a rejeté ? Non !
L’ivoirien crie sa colère à celui qui n’a rien compris, mais surtout à l’homme malhonnête, c’est-à-dire à celui qui a bien compris le fond du problème et use de la langue de bois pour distraire les gens. Nous crions notre colère au malien, au guinéen au burkinabé… qui n’accepterait pas qu’on lui fasse ce qu’il est en train de nous faire.
Les sénégalais, les maliens et autres burkinabé seraient-ils xénophobes s’ils disaient aux ivoiriens de ne s’occuper que de ce qui les concerne ? De ne point se mêler à leurs problèmes politiques ? Je ne crois pas.
Maintenant une question: toi qui parle si promptement de xénophobie, accepterais-tu que l’ouvrier agricole qui a travaillé dans la plantation de ton papa, que les siens et toi aviez accueilli,
hébergé, nourri se retourne contre vous et vous nargue en s’adjoignant à l’ennemi pour vous tuer ?
Accepterais-tu que celui-là animé d’un esprit on ne peut plus INGRAT, se retourne contre toi en ennemi alors que tu la reçu comme un frère ?
Les burkinabè, les sénégalais, le guinéens, les maliens… ceux que nous avons accueillis à bras ouverts chez nous, se sont associés aux français pour faire de nous leurs ennemis communs et nous tuer…
Si gentille soit-elle, je ne pense pas qu’il y ait une seule personne au monde qui accepterait d’aimer ses bourreaux.
Rejeter ses bourreaux et ceux de ses parents ne sauraient être de la xénophobie!
Si le burkinabè, et les autres avaient eu l’intelligence de dire non, nous ne nous mêlons pas à la politique ivoirienne, personne ne leur aurait rien reproché. La preuve est qu’avant l’arrivée du VAMPIRE DE SINDOU, personne ne s’en prenait aux burkinabè et autres sénégalais, bien que les burkinabè excellaient dans l’art du braquage ou du vol à mains armées… Au contraire, ils étaient bien intégrés en Côte d’Ivoire parce que l’ivoirien est hospitalier.
· L’Ingratitude, la « Reconnaissancephobie » et non la Xénophobie
Ceux qui parlent de xénophobie, font sûrement allusion à la réaction des ivoiriens par rapport à la posture des burkinabè, des guinéens, des maliens…
Tout petit, dans mon village à l’est de la Côte d’Ivoire où il y avait une population très hétéroclite, je ne savais pas qui était ivoirien et qui ne l’était pas. Il en était de même pour les gens autour de moi. Et je crois que dans les autres régions, c’était la même chose. Sinon on aurait entendu que dans telle ou telle partie du pays, les ressortissants de tel pays voisins y sont interdits. C’est dire que la Côte d’Ivoire n’a jamais eu un comportement xénophobe.
Bien au contraire ce sont les gens que nous avons accueillis chez nous qui pour des raisons de survie à la base, parce que venant des pays sahéliens et arides ont développés le réflexe du rejet de l’autre comme dans une jungle. La preuve : les différents monopoles développés dans le commerce. Le marché du bois, du poisson, des tôles, de la viande, le transport… est aux mains de ces personnes qui n’acceptent pas que d’autres personnes viennent, furent-ils ivoirien se mêler à eux.
Selon le dictionnaire Encarta, la xénophobie est un état d’esprit haineux et hostile (à l’étranger).
Or en se créant des monopoles, c’est l’étranger qui crée un environnement hostile et haineux vis-à-vis de l’ivoirien.
Entre nous, accepteriez-vous que quelqu’un que vous avez accepté sous votre toit vous dise où vous devez poser vos pieds ? Je suis sûr qu’aucun de vous accepteriez cela. Les étrangers que nous avons accueillis, nous ont tout pris et nous disent: taisez-vous, qu’on vous méprise. Alors quand on veut dénoncer cette attitude INGRATE ou de « reconnaissancephobie », ceux-là mêmes qui on développé un climat de haine et d’hostilité dès leur arrivé en Côte d’Ivoire, crient à la xénophobie. C’est trop facile. Car ce n’est pas par xénophobie que l’ivoirien a reçu chez lui l’étranger, mais par pur esprit d’hospitalité qui malheureuse se retourne contre lui. Alors, au lieu de parler de xénophobie de l’Ivoirien, il faut plutôt parler de la «RECONNAISSANCEPHOBIE» (la peur d’être reconaissant) = INGRATITUDE.
· Concernant ouattara
Vous le savez aussi bien que moi qu’il est un “gbin du burkina faso”, qu’il a travaillé pour le burkina dans les institutions financières internationales, alors pourquoi le lui rappeler serait-il acte de xénophobie ? Qu’on me donne le nom d’un seul ivoirien qui a représenté la Côte d’Ivoire auprès des institutions internationales et qui serait devenu président d’un autre pays autre que le sien. Voyez-vous c’est cette malhonnêteté que nous dénonçons.
Quand un individu adopte la posture de ce BOUCHER et VAMPIRE de ouattara, on ne peut que le dénoncer. ouattara est un tueur et vous ne pourrez pas me dire le contraire. Le dénoncer également n’est pas de la xénophobie.
Les ivoiriens ne sont pas des burkinabé, ni des maliens, ou encore moins des guinéens… Pourquoi donc les sénégalais et autres burkinabé seraient-ils des ivoiriens ? Ca aussi, vous ne me direz pas le contraire.
Si le burkinabé, le sénégalais selon le code de la nationalité ivoirienne, devient ivoirien, il est ivoirien au même titre que tout le monde.
Maintenant s’il devient ivoirien et prône la “sénégalité” ou la “burkinalité”, et non l’Ivoirité, il y a problème et dans ce cas ceux qui comme nous se sentent floués ou trahis ont le devoir de réagir comme cela s’entend. Ce n’est pas être xénophobe, ça s’appelle réagir, avoir un sursaut d’orgueil! C’est avoir un sursaut patriotique!
L’Ivvoirité, l’Amour de la chose ivoirienne doit être prônée par tous les Ivoiriens dignes de ce nom : Nés ivoiriens ou naturalisés ivoiriens.
Chez moi à l’Est, il y a un adage qui dit ceci: « Lorsqu’on déteste le poisson, on ne se met pas au bord de l’eau pour le pêcher…»
Celui qui n’aime pas la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens et qui ne veut pas entendre parler de la promotion des valeurs ivoiriennes c'est-à-dire l’Ivoirité, qu’il reste loin de la Côte d’ivoire. Ainsi, il se rendra service et nous rendra aussi service.
Les mensonges de ouattara pour tuer le peuple ivoirien, comme les mensonges de bush pour tuer le peuple d’Irak ne sauraient pousser l’ivoirien à se renier.
Quant à notre culture de pays de l’hospitalité, elle demeure en nous et ce n’est pas l’Ingratitude de quiconque qui nous enlèverait cela.
Maintenant que celui qui a les oreilles pour entendre, entende.- vous pouvez tout nous voler, mais le sursaut d’orgueil, vous ne pourrez pas nous le prendre.
Vive la côte d’Ivoire!
Vive les valeurs de la Côte d’Ivoire!
Vive la chose Ivoirienne, alors VIVE L’IVOIRITÉ!
Jean-Serge Banima,
Digne fils de l’Est de la Côte d’Ivoire
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LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME
LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME
La présente « charte » a été élaborée à Washington pendant la « traite négrière ». Puis, elle a été discrètement négociée à la « Conférence de Berlin en 1885 » au moment où les puissances occidentales se partageaient l’Afrique. Elle a ensuite été renégociée secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations », l’ancêtre de l’« ONU ».
I. DISPOSITION GÉNÉRALE
Article 1° : De la Devise.
La Devise de l’impérialisme est : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
Article 2° :
Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.
Article 3° :
Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.
Article 4° :
Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçables selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.
Article 5° :
Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira de dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
II. DU RÉGIME POLITIQUE
Article 6° :
Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal,
légitime et démocratique. Mais, tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.
Article 7° :
Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd, par ce fait même, sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
III. DES TRAITES ET DES ACCORDS
Article 8° :
On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.
Article 9° :
Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
IV. DES DROITS FONDAMENTAUX
Article 10° :
Là où il y a nos intérêts, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.
Article 11° :
La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.
Article 12° :
Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion, ni de droit ; ils subissent notre loi et notre droit.
Article 13° :
Les pays du tiers-monde n’ont ni culture, ni civilisation, sans se référer à la civilisation Occidentale.
Article 14° :
On ne parle pas de génocide, ni de massacre, ni de « crimes de guerre » ou « crimes contre l’humanité » dans les pays où nos intérêts sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
V. DES FINANCES PUBLIQUES
Article 15° :
Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.
Article 16° :
N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, sont nos marionnettes et nos valets.
Article 17° :
Notre aide doit être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
VI. DES TRAITES MILITAIRES
Article 18° :
Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’armes des destructions massive ne nous concernent pas, mais concernent les autres.
Article 19° :
Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et pour nous faire craindre par les pays du tiers-monde.
Article 20° :
Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
Article 21° :
Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
Article 22° :
L’ONU est notre instrument. Nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
Article 23° :
Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».
Article 24° :
Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU ».
Article 25° :
Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la misère, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les Missions de Nations-Unies.
Article 26° :
Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
Article 27° :
Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
Article 28° :
Les dirigeants des puissances occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêtés, ni incarcérés par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », des « génocides » ou des « crimes contre l’humanité ».
Source : « Musée de Tervuren [*] » et envoyé par : Jean-Jacques Ngangweshe
NOTE :
[*] À Tervuren, se trouve le « Musée royal de l’Afrique centrale ». Tervuren (anciennement Tervueren) est une commune néerlandophone de Belgique située en région flamande dans la province du Brabant flamand. Elle compte environ 20 600 habitants. C'est la seule commune périphérique de la région de Bruxelles-Capitale à être située dans l'arrondissement de Louvain. Les autres communes flamandes sont situées dans l'arrondissement de Hal-Vilvorde).