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Abolition de l'esclavage:La Reine Joby valente en Colère contre les Collabos.

12 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

VALENTE_Joby_2008.jpg

La Reine Joby valente en Colère contre les Collabos.

http://www.youtube.com/watch?v=K8A0bCQzN1s&feature=player_embedded

 

La Mobilisation Continue

 

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tsynjovabdU#at=13

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Abolition de l'esclavage:10 Mai 2011 ou le bal des Collabos

12 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

t-29 OUEST Foumban Art Bamoun 02

CHRONIQUE DE MBOMBOG NTOHOL

 

Pourquoi depuis 10 ans le 10 Mai  est une journée de souvenir pour les Noirs de France métropolitaine et pourquoi cette année est-elle différente des précédentes ?

Rappel pour les «Collabos» et ceux qui ne le savent pas par ignorance. Il y a 500 ans les Européens venaient en Afrique pour arracher brutalement avec l’aide d’autres Noirs collabos des hommes, des femmes et des enfants pour les amener aux Amériques pour travailler pour eux gratuitement 24/24 comme des bêtes de somme. Sans salaire. Cette pratique à durer pendant plus de 400 ans jusqu’au jour ou certains Noirs, les Neg’ marrons ont réagit finit par briser cet enfer.

En 2001 sous  l’impulsion des associations des Noires de France, le gouvernement de Jacques Chirac   avait fait voter au parlement une loi fixant le 10 mai comme journée de commémoration de l’Abolition de l’esclavage, tout en reconnaissant que cette ignominie était un crime contre l’humanité. C’est la fameuse loi Taubira du nom de l’Afro-descendante Guyanaise, Député alors.

Si depuis 10 ans cette commémoration s’est déroulée sans problème, Cette année 2011 a vu une commémoration teintée avec plusieurs incidents majeurs très nocifs pour la suite, mais hautement révélateur du niveau des menaces qui pèse sur cette loi. Non seulement les descendants des victimes s’attendaient a des réparations, c’est plutôt le contraire qui se dessine. Mais l’objectif n’est pas vraiment cette loi Taubira, c’est de la pure diversion. Le vrai objectif, c’est éviter la jonction entre Afro-descendants et Africains sur la situation de la Côte d’Ivoire, et tant qu’on y est si on peut joindre les deux pourquoi pas. Voila la véritable raison.

Tout commence avec les élections de Côte d’ivoire qui ont vu la victoire du président sortant Laurent Gbagbo, or la France dit le contraire sur des bases juridiques sans fondement. Suivant cela, tout le monde entier a vu la Capitale Abidjan bombarder, les massacres perpétrés à Duekue, et dans d’autres villes, sans que personne ne dise mot. Un silence inqualifiable. Ce qui à  amener tous les Noirs à se poser des questions sur les intentions réelles de ceux qui nous gouvernent en France comme dans le reste de nos pays atomisés de l’Afrique. Tout le monde a vu comment jour et nuit les forces françaises et Onusiennes ont bombardé la population civile ivoirienne, transporté des terroristes appelés «commando invisible», tout le monde a suivit les bombardements de la présidence ivoirienne et l’arrestation du président et son épouse.

Ces événements ont crée au sein de la population Noire du monde un choc immense qui ne cesse de s’alimenter jour après jour avec les exactions commises sur la population.

Au vu de cette situation, un élan d’unité et du devoir de rompre les chaines mentales de l’esclavage a vu  le jour et aujourd’hui est en passe de devenir réalité. C’est la raison pour laquelle par tous les moyens il faut le détruire.

Alors pour réussir l’opération les stratèges de la Nébuleuse ont mis l’accent sur :

-          Le rappel des collabos et/ou le recrutement au sein des populations Africaines et Afro-descendante des hommes et des femmes (des collabos), comme ils l’ont fait en Côte d’Ivoire avec Ouattara et Sorro ;

-         Les moyens financiers pour appâter ces collabos;

-         L’occasion (le 10 mai), en Côte d’ivoire ce fut une élection.

Le 10 mai qui n’a pas été choisi au hasard par le gouvernement français de l’époque. Ce genre d’incident était prévisible.

Le 10 mai de cette année a eu à gérer donc, aussi l’inauguration de  la place François Mitterrand à la Bastille. Evénement d’importance pour les partisans de Mitterrand, qui ont pour cette occasion convié  les chanteurs Africains suivants : Alpha Blondy, Manu Dibango, Patience Dabany, Petit Pays, Mory Kanté, Mokobé, Werrasson, Fally Ipupa, Jessy Matador, Coumba Gawlo, Meiway, Passi, Oumou Sangaré, Magic System, Baaba Maal, Sekouba Bambino, et NPLV.

Pourquoi ces chanteurs sont-ils  aller commémorer ce Monsieur au lieu de la mémoire de l’abolition de l’esclavage. Cela veut-il dire  pour eux que Mitterrand était plus important que la mémoire de leur ancêtres noirs détenus et utilisés comme des bêtes de somme pendant 400 ans.

Ici loin de moi de les accuser  de le faire, car dans la vie chaque individu doit faire son choix en toute conscience. En revanche j’attire l’attention des autres Noirs qui ne partagent pas cette façon de faire les choses.

J’attire leur attention sur ce genre de comportement qui doit être dénoncé vigoureusement et sans détours. Car si nous ne le faisons pas, nous envoyons un mauvais signal aux générations futures.

Par conséquent, en invitant les chanteurs Africains connu du public en France, pour célébrer Mitterrand et non leurs ancêtres déportés autrefois, on essaie de semer la zizanie entre les Africains et Afro-descendants sur la question Ivoirienne.

Mr Nicolas Sarkozy, en invitant  Claudy Siar le Mardi 10 mai pour une cérémonie du dévoilement d'une stèle dans les jardins du Luxembourg, porte les germes de cette division au sein même de la Communauté Afro-descendante des Antilles. Comment interpréter le retournement de veste de ce Monsieur qui  fêtait l'abolition de l'esclavage depuis 10 ans en compagnie des frères et sœurs et organisait des Marches des libertés en 2008

A ce stade, on peut par conséquent voir quel est l’objectif de toute cette agitation autour des Nègres  de la place.

CE QUE JE CROIS, c’est que tous les Africains et Afro-descendants ont pris conscience aujourd’hui que certaines élites Africaines sont des collaborateurs de ceux qui les réduisent à néant. Ne pouvant plus compter sur eux, ils ont décidé de faire l’union sacrée autour des élites conscientes.

Beaucoup d’Africains et Afro-descendants ont compris que comme par le passé, certains Noirs avaient participé au commerce de leurs frères et sœurs, aujourd’hui d’autres perpétue ces pratiques autrement. Et ces Africains la sont  à dénoncer sur la place public pour qu’ils sachent que nous savons ce qu’ils font et que ayant choisi le camp de l’oppresseur, un jour si la justice ne leur juge pas, l’histoire le fera.

Je pense que cette situation doit nous faire réfléchir davantage aussi et nous permettre de prendre conscience des dangers réels qui pèsent sur l’ensemble de notre population partout ou elle se trouve.

Visiblement dans l’œuvre qui vient d’avoir lieu le 10 mai 2011 il y a trois éléments à retenir :

1)    Il  ya une volonté manifeste au sein de la classe politique actuelle de France gauche et droite confondue une volonté de créer la division entre Africains et Afro-descendants d’une part, entre Afro-descendants d’autres part ;

2)    Une catégorie de Noirs qui est prêt à vendre père, mère et enfants pour de l’argent. Cela a eu lieu par le passé et cela continu aujourd’hui;

3)    L’union sacrée autour de la Cote d’ivoire est en marche eu égards des agissements de la Nébuleuse.

C’est pour dire à tous ceux qui ont compris que les collabos sont parmi nous. Nous devons les dénoncer.

La Lutte doit continue

 

 

  Afrohistorama n'est pas responsable du contenu

 

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Les Africains ne doivent pas seulement se réveiller, mais ils devraient se tenir prêt pour faire face à la nouvelle tentative de recoloniser l’Afrique.

11 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

220px-Gambia President Yahya JammehPresident Yahya Jammeh de la Gambie

 

       Nous n’allons par refaire l’histoire de la Casamance ancienne qui n’a jamais été colonisée, histoire dont Y.  Jammeh aime s’inspirer. La devise invicta Feliz vient ainsi confirmer le constat « nous ne sommes pas maîtres de la Casamance, nous y sommes tolérés » disait un gouverneur de la Colonie française du Sénégal.

Le président gambien a pleine conscience de cette histoire de sa région, comme en témoigne ses discours. C’est un gage de fierté. D’ailleurs les succès militaires de la France contre les Africains du temps colonial – qui ne sont pas légion – sont facilités par la supériorité technique qui a été lâchement utilisée contre Gbagbo.

Une bataille a été gagnée, mais le combat continue et le verdict final sera dit quand les putschistes auront installé leur régime client en toute sécurisé. Ce qui semble bien loin de la réalité car la résistance se prépare.

D’ailleurs, dans la traduction ci-dessous du discours lu à la Nation Gambienne, le président Jammeh harangue les combattants de la liberté et s’en prend à l’occident et ses régimes clients en Afrique, à l’image de Blaise Compaoré du Burkina Faso et Alassane Ouattara...

La position du Gouvernement gambien sur la « tragédie ivoirienne »

Les événements en Côte-d’Ivoire nous donnent raison quand nous affirmions préalablement que des occidentaux néo-colonialistes parrainent des agents en Afrique qui ne respectent qu’à leurs propres lois et celles de leurs maîtres occidentaux et prêts à marcher sur des milliers de cadavres pour accéder au pouvoir. C’est ce qui est en train de se passer en Côte-d’Ivoire.

Les Africains ne doivent pas seulement se réveiller, mais ils devraient se tenir prêt pour faire face à la nouvelle tentative de recoloniser l’Afrique par de prétendues élections qui sont organisées dans le seul but de tromper les gens étant donné que le vrai choix du peuple ne sera jamais respecté s’il n’est pas à la faveur des candidats suppôts de l’occident comme cela s’est produit en Côte d’ Ivoire et ailleurs en Afrique.

Ce qui fait craindre des malheurs et dangers de la menace néocolonialiste, c’est le fait qu’il soit prêt à recourir à la force brutale, ou de perpétrer des massacres de manière à neutraliser toute forme de résistance contre leurs candidats comme cela s’est encore produit en Côte d’Ivoire.

En Côte-d’Ivoire, nous savons le rôle joué par l’ancienne puissance coloniale qui, en dehors du mandat de l’ONU, a d’abord bombardé le palais présidentiel pendant des jours qu’il a finalement pris d’assaut par un tunnel qui relie le palais à l’une des résidences de leur représentant diplomatique.

Les raisons avancées pour justifier ce bombardement du Palais présidentiel avant le raid final étaient qu’ils voulaient empêcher Gbagbo d’utiliser des armes lourdes contre des civils! Et pourtant, l’ONU et la France étaient au courant des effrénés massacres de civils, quand des villages entiers qui ont soutenu le président Laurent Gbagbo ont été anéanties par les prétendues forces républicaines qui combattent pour Ouattara. Les partisans de Gbagbo n’étaient-ils pas censés être protégés par l’ONU et les forces françaises contre les massacres?

Ces soi-disant forces républicaines qui étaient supposés se battre pour la démocratie, avaient fini par tuer des milliers de personnes en toute impunité et sont maintenant engagés dans le pillage massif!

Notre position est très claire. Ce que vit Laurent Gbagbo est une réplique de l’affaire Patrice Lumumba qui, comme un combattant de la liberté et pour la dignité et l’indépendance, non seulement des Congolais mais toute la race noire, a été renversé par les puissances occidentales dont l’ONU, et remis à son ennemi juré pour être assassiné.

L’histoire se répète, les mêmes forces néocoloniales qui avaient renversé Patrice Lumumba, qui l’avaient mis en captivité et le livrèrentà ses ennemis il y a maintenant plus de cinquante ans; sont les mêmes forces impliquées en Côte d’Ivoire avec la seule différence que ce n’est plus le même pays colonisateur. Si justice doit être faite, il devrait y avoir une enquête impartiale et approfondie sur toutes les atrocités perpétrées en Côte-d’Ivoire par des gens honnêtes qui craignent Dieu. Alassane Ouattara et ses forces rebelles ne peuvent pas rester impunis et faire porter le blâme sur le président Laurent Gbagbo qui, selon la Constitution ivoirienne est le président légitime de la Côte-d’Ivoire. Cette équipe devrait être choisie par le Mouvement des pays non alignés.

On est tenté de poser cette question:

Comment est-il possible que le verdict du Conseil constitutionnel quia récemment décidé qui a remporté les élections dans certains pays d’Afrique francophone a été accepté [c'est avant les élections en Côte-d'Ivoire], mais celui du Conseil Constitutionnel de Côte d’Ivoire aété rejeté par les puissances occidentales et l’ONU?

En ce qui nous concerne, la seule solution pour éviter en Côte-d’Ivoire une longue et haletante guerre civile avec toutes les conséquences qui en découlent est de réorganiser des élections présidentielles dans les plus brefs délais. En attendant, un gouvernement intérimaire d’unité nationale devrait être formé sans Alassane Ouattara; comme il a aussi beaucoup à répondre devant la justice. Une chose est très claire aujourd’hui pour tous les Africains – le complot visant à recoloniser l’Afrique est bien réel et nous devons le combattre.

C’est une honte que les régimes les plus maléfiques, les plus dictatoriaux et les plus répressifs sur terre osent traiter les dirigeants africains de dictateurs. Comme il est assez choquant et intéressant à la fois de voir que les mêmes pouvoirs ne disent rien sur le soulèvement populaire qui fait rage au Burkina Faso depuis les trois dernières semaines, entraînant l’assaut du palais présidentiel à Ouagadougou la nuit dernière, avec un Blaise Compaoré dont on ne sait plus où il se trouve. Ce soulèvement est là il y a plus de trois semaines maintenant et pas un seul média international ne parle de ce qui se passe au Burkina Faso. Comment comprendre qu’une telle insurrection qui a lieu dans un pays comme le Burkina Faso, si près de la Côte d’Ivoire, où un couvre-feu est imposé du crépuscule à l’aube pendant plus deux semaines, sans que les médias occidentaux y compris ceux de l’ancienne puissance coloniale n’en sachent rien?

Nous, de la nouvelle génération d’Africains, ne pouvons et ne devons pas accepter d’être dupés. Nous savons ce que Blaise Compaoré représente dans les relations entre l’Afrique et l’Occident.

Le capitaine Thomas Sankara a été assassiné pour avoir dit non à l’impérialisme et au néo-colonialisme au Burkina Faso en particulier et en Afrique francophone en général. Il a été tué pour les mêmes raisons que Patrice Lumumba comme d’autres de la liberté en Afrique qui sont morts en défendant cette noble cause, leurs assassins sont finalement devenus présidents dans les pays africains et ont exclusivement mis en place des régimes clients qui défendent les intérêts occidentaux en Afrique.

Blaise Compaoré, est l’un d’entre eux. Il a beaucoup à répondre pour les différentes guerres civiles qui ont ravagé depuis et maintenant le Libéria, la Sierra Leone et la Côte-d’Ivoire.

Qu’il y ait un tel black-out médiatique sur la révolution des Burkinabés, mais une actualisation minutes par minutes des événements au Yémen, en Syrie, en Côte d’Ivoire etc… montre bien que les soi-disant médias internationaux sont les trompettes sataniques de certaines puissances qui réservent un sinistre destin au reste du monde hors de l’Occident.

Pourquoi l’occident ne peut-il pas respecter l’indépendance et la dignité de l’Afrique ?

En conclusion, nous demandons à l’ONU d’assurer la sécurité, la protection et le bien-être du président Laurent Gbagbo, le président de la Côte d’Ivoire constitutionnellement reconnu et qui doit être libéré. Il ne peut pas être jugé tandis qu’Alassane Ouattara, le président de la communauté internationale s’en tire sans jugement après avoir massacré des milliers de civils juste pour devenir président!

Le Gouvernement de la Gambie ne reconnaîtrait pour aucune raison un président ou un gouvernement en Afrique qui a été imposé par des forces extérieures au continent africain. Nous savons ce que ces gouvernements et ces présidents représentent pour l’Afrique. Ils pillent les ressources africaines pour le compte des forces qui les ont amenés au pouvoir.

Qu’Allah notre guide TOUT-PUISSANT, garde et protège les Africains en nous donnant le courage de nous lever pour la défense de l’indépendance africaine, la dignité et la protection de nos ressources naturelles contre ces criquets affamés qui sont sur le point de saccager notre continent. Le chemin de la libération totale peut être difficile, mais la victoire est proche, Inch’ Allah.

Article Lynx

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QUAND L’UNIVERSITE DEVIENT UNE CIBLE MILITAIRE POUR LE TRIO LICORNE-ONUCI-REBELLES D’ALASSANE DRAMANE OUATTARA

11 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Malaise des ONUCISTES AFRICAINS

ON VEUT DETRUIRE TOUT CEUX QUI PENSENT OU SERT A PENSER EN COTE D'IVOIRE.

L’Université détruite, d’autres massacres au Sassandra.

QUAND L’UNIVERSITE DEVIENT UNE CIBLE MILITAIRE POUR LE TRIO LICORNE-ONUCI-REBELLES D’ALASSANE DRAMANE OUATTARA

Dans sa mission occulte d’installation d’un Gouverneur de Province à la tête de la Côte d’Ivoire, le trio Licorne-Onuci-Rebelles d’Alassane Dramane Ouattara, commandité depuis Paris par Sarkozy, n’a pas épargné les structures universitaires et les étudiants ivoiriens.
La stratégie du trio Licorne-Onuci-Rebelles d’Alassane Dramane Ouattara est méthodiquement réglée et coordonnée : d’abord, la Licorne et l’ONUCI bombardent les sites avec leurs MI-24 et PUMA ; ensuite ils transportent et déversent les rebelles sur lesdits sites ; enfin, les rebelles d’Alassane Dramane Ouattara entrent en scène pour piller, saccager, violer, torturer, tuer…
Les deux universités publiques, que sont l’Université d’Abidjan-Cocody et l’Université d’Abobo-Adjamé, sont hors d’état de fonctionnement. La première a été pillée et saccagée et la seconde, pillée et en partie détruite. Les seize résidences universitaires du District d’Abidjan ont été toutes littéralement pillées et mises à sac. Un certain nombre de chambres de ces cités sont occupées par les rebelles d’Alassane Dramane Ouattara.
Pour apporter des précisions, l’on peut citer quelques exemples:
- l’université d’Abobo-Adjamé a été en partie détruite en même temps que l’Hôpital Militaire d’Abidjan (HMA), située non loin de celle-ci, suite aux premiers bombardements des hélicoptères de combat de la Licorne et de l’Onuci ;
- les Résidences universitaires d’Abobo (I et II), de Williamsville et des 220 logements ont été violemment attaquées par les rebelles d’Alassane Dramane Ouattara, sous le regard bienveillant de la Licorne et de l’ONUCI, qui les encadraient par le survol de leurs hélicoptères : armés de gourdins, de marchettes et de kalachnikovs, ils ont sauvagement pris à partie les étudiants desdites cités ;
- l’université d’Abidjan-Cocody a été le théâtre de violents affrontements : du lundi 4 avril au lundi 11 avril 2011, elle a servi de base arrière aux bombardements de la Résidence du Président de la République Les rebelles, transportés sur place ont ensuite pillé et saccagé la Présidence de l’Université, la Scolarité, la Comptabilité de même que certaines facultés, dont celles des Sciences Juridiques et des Sciences Economiques et de Gestion: ordinateurs et coffres-forts emportés, livres et divers autres documents administratifs et financiers éparpillés et irrécupérables ;
- le Centre Régional des Œuvres Universitaires d’Abidjan (CROU-A) et l’Ecole Normale Supérieure (ENS), tous deux situés au sein de l’Université d’Abidjan-Cocody, n’ont pas échappé à la furie des rebelles pilleurs. Ils y ont respectivement emporté l’argent des bourses des étudiants et le matériel informatique ;
- les Résidences universitaires du Campus de Cocody et de la Riviéra II ont été attaquées à l’arme lourde, obligeant les étudiants à se réfugier au sein du Centre Hospitalier Universitaire de Cocody et dans les églises et écoles environnants (notamment la Paroisse Saint Albert Le Grand, la Maison des Etudiants protestant (MAPE) et le Cours Supérieur Protestant de Cocody (CSP).Tout un pallier d’un bâtiment de la Cité de la Riviéra II a été calciné par les tirs de missiles d’un hélicoptère de combat de la Licorne ;
- les résidences universitaires de Port-Bouet (I, II et III) ont été, dans les mêmes conditions que précédemment, décoiffées puis incendiées par la main criminelle des rebelles d’Alassane Dramane Ouattara avec la complicité de la Licorne et de l’ONUCI ;
- l’ensemble des résidences universitaires a été prise d’assaut par les rebelles pilleurs, à peine entamé l’ultimatum de 72 heures donné aux étudiants pour libérer les cités.
Le Gouverneur Alassane Dramane Ouattara annonçait, le mardi 19 avril 2011, sur TCI, sa chaîne gracieusement offerte par l’Ambassadeur de France, que les étudiants avaient 72 heures à partir du mercredi 20 avril pour quitter les résidences universitaires. Cependant, dès le jeudi 21 avril à 15 heures, alors même que le délai n’était pas expiré, les rebelles se livrèrent à leur sale besogne, le pillage des chambres des étudiants : télévisions, frigos, ordinateurs, matelas, bouteilles de gaz, ustensiles de cuisines et même les vêtements ont constitué leur butin de guerre.
Il n’est pas inutile de relever que dès le lundi 18 avril 2011, les rebelles, munis de bulldozers, avaient entamé la destruction de tous les magasins et petits commerces des étudiants situés au sein des cités, voire des commerces de particuliers voisins aux cités universitaires, sans leur avoir permis de récupérer le contenu ;
- Les résidences universitaires, pour celles qui ont subi le moins de dégâts, notamment celles du campus de Cocody, hébergement désormais les rebelles d’Alassane Dramane Ouattara tout particulièrement ses dozos.
Les étudiants ivoiriens payent un lourd tribut et sont constamment en proie à la folie meurtrière des rebelles d’Alassane Dramane Ouattara :
- de nombreux étudiants ont été tués lors des bombardements de la résidence du Président de la République par la Licorne et l’ONUCI;
- les étudiantes et étudiants présents sur les cités au débarquement des rebelles ont été, pour les premières, violées et pour les seconds, molestés et tués de sang froid, sous prétexte de leur appartenance à la FESCI;
- des milliers d’étudiants rejoignent leurs parents en zone rurale, suite à la fermeture des universités et des résidences universitaires. L’on assiste à un exode massif de la population estudiantine vers les villages ;
- beaucoup d’autres sont condamnés à errer dans les rues d’Abidjan, car n’ayant aucune famille ou ami susceptible de les accueillir. Ils ne peuvent non plus rejoindre leurs parents, faute de moyens ou parce que ces derniers ont eux aussi fui leurs villes et villages pour des destinations inconnues. Et, là encore, ils s’exposent à tout moment au danger d’être appréhendé ;
- tous, les jeunes hommes en particulier, sont pourchassés : les rebelles assiègent les domiciles à la recherche d’étudiants qu’ils considèrent de fait comme des miliciens du Président Gbagbo ; ces derniers sont arrêtés à des barrages, dans les rues, exécutés sur place ou conduits à des destinations inconnues ;
- des milliers d’étudiants sont contraints à l’exil pour d’une part préserver leur vie et d’autre part poursuivre leurs études. Mais, hélas, pour la plupart, ils ne pourront s’inscrire dans aucune université, car leurs diplômes et autres documents ont été détruits.
L’université ivoirienne est en danger si ce n’est déjà le chaos. Une réouverture imminente des universités publiques est sinon une utopie à tout le moins une œuvre difficilement réalisable. Les administrations sont en ruine, tous les fichiers et bases données étant détruits.
Il s’ensuit qu’il est désormais impossible de vérifier la qualité encore moins le niveau d’études de toute personne qui prétendrait être étudiant.
Tout semble avoir été savamment orchestré pour l’épuration de la race estudiantine.
Au moins, avons-nous le” privilège” de connaitre le titre de la nouvelle matière qui sera introduite dans les facultés des universités africaines aux prochaines rentrées académiques: “Le Droit de la Force” !!!
Le Patriote Ivoirien

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la Gambie ne reconnaîtrait pour aucune raison un président ou un gouvernement en Afrique qui a été imposé par des forces extérieures au continent africain.

11 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

220px-Gambia_President_Yahya_Jammeh.jpgSEM Yahya Jammeh President de la Gambie

 

Gbagbo a été renversé par les puissances occidentales dont l’ONU, et remis à son ennemi juré pour être assassiné.

 


 

BANJUL – Le Président Gambien Y. Jammeh, a dénoncé lors d’un discours lu à la Nation mardi l’implication « grossière » des « puissances occidentales » lors de la capture du président ivoirien Gbagbo par les forces spéciales Française.

Le Président Gambien s’est voulu très clair sur la situation qui prévaut en Côte d’Ivoire.

« La position du Gouvernement Gambien sur la tragédie ivoirienne est sans équivoque. Les événements en Côte-d’Ivoire nous donnent raison quand nous affirmions préalablement que des occidentaux néo-colonialistes parrainent des agents en Afrique qui ne respectent qu’à leurs propres lois et celles de leurs maîtres occidentaux et prêts à marcher sur des milliers de cadavres pour accéder au pouvoir. C’est ce qui est en train de se passer en Côte-d’Ivoire », a-t-il dénoncé.

Pour Y. Jammeh, ce que vit le Président ivoirien Laurent Gbagbo est une réplique de l’affaire Patrice Lumumba qui, comme un combattant de la liberté et pour la dignité et l’indépendance, non seulement des Congolais mais toute la race noire, a été renversé par les puissances occidentales dont l’ONU, et remis à son ennemi juré pour être assassiné.

« Nous demandons à l’ONU d’assurer la sécurité, la protection et le bien-être du président Laurent Gbagbo, le président de la Côte d’Ivoire constitutionnellement reconnu et qui doit être libéré.

Il ne peut pas être jugé tandis qu’Alassane Ouattara, le Président de la communauté internationale s’en tire sans jugement après avoir massacré des milliers de civils juste pour devenir président », a déclaré le président Gambien avant d’ajouter que le Gouvernement de la Gambie ne reconnaîtrait pour aucune raison un président ou un gouvernement en Afrique qui a été imposé par des forces extérieures au continent africain.

Source Directscoop

 

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Côte d'Ivoire: Les révélations édifiantes de Jean Ziegler

11 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xiklld_cote-d-ivoire-jean-ziegler-fait-des-revelations-edifiantes_news#from=embed

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Les pratiques d'une armée coloniale.

10 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

 


http://www.dailymotion.com/video/x4tksn_video-france-algerie-crimes-et-mens_news#from=embed

 


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Les envoyés de madame Alassane Ouattara humiliée à Saikro

10 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire

Démarche vers des refugiés ivoirien Dominique Ouattara humiliée à Saikro
Mme Ouattara (1) (Large)Mme Ouattara
 

    Les envoyés de madame Alassane Ouattara n'oublieront pas de sitôt la journée du jeudi 5 mai 2011. Venus pour convaincre les déplacés du village de Saikro, situé dans la sous préfecture de Mafferé, pour retourner à Abidjan, ils ont eu pour leur compte. Les déplacés se sont farouchement opposés.

Avant de tenir des propos très durs à l'encontre des envoyés de madame Ouattara: « Vous avez fini de nous tuer et piller. Et maintenant vous nous demandez de retourner à Abidjan. Nous ne sommes pas prêts.

Vous êtes des assassins, des tueurs. Nous ne pouvons pas vous suivre. Allez dire à votre chef que nous n'avons rien à cirer avec lui » font-ils remarquer. Et d'ajouter: « Nous ne voulons plus vous voir ici. Nous sommes à l'aise ici. On préfère la pauvreté dans la dignité que la richesse dans la servitude. Vous nous avez tout volé. Détruisez tous les acquis du pays.

C'est Dieu qui va vous payer ». La rencontre n'a pu aller à son terme.  Puisque les déplacés ont vidé la salle.  Laissant seuls les envoyés de la femme d'Alassane. En outre, les déplacés ont refusé les vivres et l'argent de Dominique Ouattara.

C'est tout de honte que ses envoyés ont quitté le village sous les huées.

 Source :  Le Temps (Auteur : Enise Kamagaté )


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Problème d'effectif pour les Forces Rebelles de Cote d'Ivoire

10 Mai 2011 , Rédigé par afrohistorama, Toute l'histoire sans histoire



Problème d'effectif pour les Forces Rebelles de Cote d'Ivoire, aucun ivoirien ne veut les rejoindre sauf par la contrainte, car considérée comme armée illégale. Créée dans la sans décret de loi et comportant en son sein des éléments responsables des génocides de Duekue, Daloa, Gagnoa etc.

Alors on fait appel aux prisonniers de droit commun et aux Chasseurs traditionnels (Dozos).

Car toute chose constituée illégalement, agit illégalement, ne payera pas les salaires, jugera sans justice et tuera en croyant s’il le faut. Le mieux c’est attendre le retour de la légalité république, c'est-à-dire le respect de la constitution et de celui qui l’incarne légitimement le président Laurent Gbagbo.


 

 

http://www.youtube.com/watch?v=uYfITD3Pprw&feature=player_embedded

 

L'armée de Ouattara a vraiment un problème d'effectif. La preuve, elle procède actuellement au recrutement de nouveaux combattants parmi les prisonniers de nos différentes prisons civiles libérées par ces miliciens de Ouattara eux-mêmes.  Regardez la vidéo ci-dessus, pour vous en convaincre:

Incroyables mais vrai, une armée qui se dit "républicaine" libère des prisons pour faire des occupants ses soldats. Que fait-on alors des critères moraux qui conditionnent le recrutement dans une armée républicaine. Avec Sieur Ouattara, nous sommes vraiment dans la république bananière.

Où sont les FDS (Forces de Défense et de Sécurité de Côte d'ivoire) dont ont prétend qu'ils auraient fait allégeance à Ouattara?

Le camp Ouattara a de sérieux problèmes, vu que son armée à perdu assez d'hommes dans les combats contre les forces résistantes à yopougon, à Dabou et à Grand Lahou.

Pour la paix en Côte d'Ivoire, le camp ouattara gagnerait à négocier avec le président Gbagbo au lieu de s'obstiner dans cette voix sans issue de la chasse aux sorcières.

En tout cas pour négocier avec l'autre camp. il faut le chef, sinon rien. le débauchage de quelques ratés ne suffira pas. la force ne suffira. L'exemple sud-Africain est la, entre l'ANC et le Gouvernement d'Aparteid de l'ethnie blanche. N'ayant aucun issu, ils etaient obligés de négocier avec le chef. Mandela. Seul capable de debloquer la situation, qui devenait intenable pour les Afrikaners. La France et Sieur Ouattara doivent comprendre la Côte d'Ivoire ne peut fonctionner normalement que si le camp Gbagbo existe librement et toutes les armées étrangeres quittent le pays.

Mbombog Ntohol

Afrohistorama n'est pas l'auteur de l'article

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